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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 14 juin 2020

Le monde entier est mobilisé pour trouver un vaccin contre le « Conard-virus »

D’autres cherchent « le meilleur café » scientifique
 
L’enjeu est effectivement crucial !
Il s’agit, pour l’industrie de café, de concilier la réduction de ses impacts sur le climat et la satisfaction du consommateur.
Diable…
Alors des chercheurs, du monde entier, ont été payés pour créer un modèle mathématique permettant de calculer la durée d’écoulement et la masse de grains idéales pour un café de qualité, durable et économique.
Je vous assure : C’est sidérant !
 
Mathématiciens, physiciens et chimistes de haute intelligence, visent à nous donner la recette d’un café de qualité uniforme, plus économique et désormais plus durable.
Moi je sais déjà : Éviter celui des « ricains » et des « Britishs ». Leur thé est bien meilleur, surtout chez ces derniers… et les asiatiques.
Préférez le « rital » et si vous êtes un connaisseur, le grec (dit turc sous nos latitudes) est fondamentalement excellent.
À condition de le moudre finement et de le laisser décanter suffisamment.
Garanti : Tu en bois une microtasse et tu te racontes à toi-même des histoires drôles toute la nuit, à te plier en quatre dans ton pieu, alors même que tu les connais (sans effet de surprise de leur chute) !
 
Rappelons que le café n’est pas une drogue et qu’il est hydrosoluble mais que nombreux humains sont tout de même dépendants du café.
Surtout le matin ou après une nuit-blanche.
Le café (de l’arabe « El qahwah », la boisson stimulante), c’est bien connu, est une boisson énergisante psychotrope stimulante, obtenue à partir des graines torréfiées de diverses variétés de caféier, de l’arbuste caféier, du genre Coffea : Toute le monde sait ça.
Il fait partie des trois principales boissons contenant de la caféine les plus consommées dans le monde, avec le thé et le maté.
Il existe de nombreuses manières de préparer la boisson. Le café instantané est l’une d'elles.
Les autres méthodes sont plus traditionnelles, et recourent soit aux grains fraîchement moulus, commercialisés moulus sous vide, soit au café en dosette (variante récente du café filtre et de l’expresso) ou encore au sachet de café, développé pour offrir la commodité du café instantané et en même temps maintenir la saveur du café filtre.
On dénombre six modes de préparation du café, chacun conférant à la boisson obtenue des propriétés organoleptiques et compositions bien distinctes.
 
La boisson finale peut être plus ou moins concentrée, à côté de l’espresso italien très concentré, il existe des dilutions plus ou moins grandes aboutissant au café de type « américain », encore connu sous le nom de café de « bonne sœur », qui ressemble à une tisane.
Le café instantané est une préparation de café lyophilisée ou atomisée. La poudre obtenue est à dissoudre simplement dans une tasse d’eau chaude. Le café instantané est plus rapide à préparer, facile à transporter et à conserver.
 
La décoction : Il s’agit de la méthode la plus ancienne. On utilise cette méthode dans la préparation du café turc (ou café oriental, ou café grec, selon les pays). Une mouture extra-fine de café mélangée à de l’eau (environ trois cuillerées de café pour 300 ml d’eau) est portée à ébullition dans une cafetière ou tout autre pot allant sur le feu.
 
L’infusion​ : Cette méthode requiert l’usage d’une cafetière à piston. Dans un récipient en verre, un filtre sous la forme d’un piston permet la séparation du marc de la boisson en l’isolant au fond du récipient.
La lixiviation​ : C’est la méthode que l’on utilise couramment avec les cafetières électriques modernes. Le café filtre est préparé en faisant passer lentement de l’eau bouillante dans un filtre rempli de café moulu, donnant un lixiviat.
À l’origine, ce filtre était une chaussette, d’où l'expression « jus de chaussette » qui peut, encore aujourd'hui, désigner un café.
De nos jours, les filtres jetables sont généralement en papier. Il existe aussi des filtres permanents, lavables, en nylon, et en acier inoxydable micro perforé.
La percolation : C’est le procédé utilisé par les cafetières italiennes. Il s’agit d’une lixiviation à vapeur forcée. En chauffant, une partie de l’eau placée dans la cuve en vase clos s’évapore, ce qui produit de la vapeur qui pressurise la cuve (la vapeur occupant plus de volume que l’eau liquide) : Ainsi l’eau encore liquide remonte par le tuyau du filtre, traverse le café et déborde par le haut de la cheminée pour retomber finalement dans la verseuse.
L’appareil sert à la fois à la préparation et au service.
La percolation sous haute pression est un procédé qui permet de réaliser un expresso (de l’italien espresso, extrait par pression).
La différence avec la méthode précédente vient de ce que la pression est établie au moyen d’un système de pompage.
 
Cette généralisation universelle est plus ou moins un constat bien établi par une équipe internationale et pluridisciplinaire de chercheurs qui publient, dans la revue Matter, leur modèle afin d’améliorer la qualité et la durabilité des expresso.
Et cette addiction au café en fait l’un des secteurs économiques majeurs, comme le montrent ces quelques chiffres : 1,5 million d’emplois et 225 milliards de dollars de chiffre d’affaires pour la seule industrie américaine du café.
Cependant, grave problème, les pays producteurs sont aujourd’hui confrontés à un challenge de taille : Réduire l’impact de leur production sur le réchauffement climatique tout en satisfaisant les préférences des consommateurs qui varient considérablement !
On se crée des problèmes là où on peut, n’est-ce pas…
 
Pour les auteurs de l’étude, ces défis mettent en évidence la nécessité de maximiser la qualité et la reproductibilité de notre bon vieux café, tout en minimisant la masse de grains de café utilisée pour le produire.
Et, surprise, pour former le marc de café, les molécules présentes dans le café se comporteraient plus ou moins comme les ions lithium d’une batterie !
L’enjeu de ce modèle mathématique est ambitieux : Calculer le bon temps d’extraction et la bonne quantité de café pour maximiser plusieurs variables dont les deux citées précédemment, à savoir le moindre impact sur le climat et la satisfaction du consommateur.
Tout cela en tenant compte des contraintes classiques auxquelles sont soumis les baristas (barman) dans leurs pratiques professionnelles…
Un travail titanesque si l’on en croit les dires d’un des mathématiciens de l’étude, de l’université de Portsmouth : « Vous auriez besoin de plus de puissance de calcul que Google pour résoudre avec précision les équations de physique et de transport du brassage sur une géométrie aussi complexe qu’un lit de café ».
 
Comment les investigateurs ont-ils fait face à ces problèmes inhérents à la pratique pour proposer leur modèle ? Bé justement avec l’aide d’une discipline voisine : l’électrochimie !
En effet, selon les scientifiques, la façon dont la caféine et d’autres molécules présentes dans le café se dissolvent pour former le marc de café, ressemble peu ou prou à la manière dont des ions lithium (Li) se meuvent dans une batterie.
Le modèle utilisé est capable, selon les auteurs, de faire des prédictions puissantes et vérifiables à propos du café.
De ce fait, ils ont calculé le temps d’extraction et la masse de grains nécessaires pour concocter un café « idéal ».
 
La recette pour le café idéal c’est donc quelque 7 à 15 secondes d’écoulement et 15 à 20 grammes de café moulu.
Attention, il n’est pas forcément question que de goût, mais de la recette idéale pour diminuer l’impact de l’industrie du café sur l’environnement, maximiser la reproductibilité, limiter les grandes variations de goût et faire des économies.
Néanmoins, les auteurs restent prudents.
Le « chimiste informatique » de l’université de l’Oregon de l’équipe précise que « bien qu’il existe des stratégies claires pour réduire les déchets et améliorer la reproductibilité, il n’y a pas de ‘‘point espresso’’ optimal évident.
Il existe une énorme dépendance vis-à-vis des préférences de la personne qui produit le café ; nous élucidons les variables dont ils doivent tenir compte s’ils veulent mieux naviguer dans l’espace des paramètres de la préparation de l’expresso. »
Vous n’en saurez pas plus.
Et de conclure qu’il appartient désormais à l’industrie du café de s’emparer de ce modèle mathématique afin de réaliser les objectifs pour lesquels il a été créé.
 
Mais qui va s’en soucier ?
Autrement dit, quand on aura vraiment besoin des formules mathématiques sorties de cette étude-là (sait-on jamais ?), tout le monde aura oublié !
D’autant que s’il faut mobiliser la puissance de calcul de « Gogol », on n’est pas arrivé !
Bref, des travaux « géniaux » qui nous prouve que quand « la science avance », c’est toujours un régal pour vos pupilles émerveillées.
Les papilles, c’est moins sûr…
 
Bonne fin de week-end à toutes et tous !
 
I3

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