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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 19 juin 2020

Les Ummos sont de retour !

Il en faut…
 
Un Ummo et sa femme se baladent en soucoupe roulante sur les routes de la planète des homo-sapiens-sapiens (à leurs risques et périls : C’est bien connu dans le cosmos, les terriens sont très dangereux). Et ils sont interceptés par quatre bandits (pas Corsi, pour une fois).
Ils forcent le couple à sortir et placent le mari devant la soucoupe-roulante.
Un des malfaiteurs trace un cercle sur le pavé avec de la craie, met l’Ummo à l’intérieur et lui dit :
« Si tu sors de ce cercle, on te tue. »
Ils violent la femelle Ummo tour à tour et s’en vont.
Au bout de 20 minutes la Ummo reprend connaissance.
Elle a été violée à quatre reprises, elle saigne de partout, elle est couverte d’ecchymoses et a un bras cassé.
Son mari est toujours dans son cercle et est plié en deux riant aux éclats.
« – Puis tu ris en plus !
– Mais oui, je suis sorti du cercle deux fois pendant qu’ils t’agressaient et ils ne m’ont même pas vu HI ! HI ! »
 
Une « revenue » :
Un Ummo et un Kameulf sont assis au comptoir d’un bar et regardent la télé.
C’est l’heure de la dernière édition des actualités.
La première information concerne une Ummo qui, debout sur le toit d’un immeuble de 25 étages, menace de sauter dans le vide.
« – J’te parie 100 Bultoks qu’elle ne saute pas » dit l’Ummo.
« – Ça marche ! » répond le Kameulf.
Moins d’une minute plus tard, l’Ummo remet les 100 Bultoks au Kameulf alors que, sur l’écran, on voit la femme s’écraser sur le trottoir.
Les deux extra-terrestres restent au bar à boire leur bière.
Au bout d’un moment, le Kameulf se tourne vers l’Ummo et lui dit :
« – Écoute, j’me sens mal, reprend tes 100 Bultoks. J’ai triché, j’avais déjà vu ce reportage aux actualités de 18 heures.
– Moi aussi », dit l’Ummo, « mais je ne pensais pas qu’elle le referait à 22 heures ! »
 
Jean-Marc, devant une bière se fait philosophe :
« Parfois, je vis tellement au-dessus de mes moyens que, vraiment, je vis séparément. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul (sur leurs balcons de confinement respectif, devant une bière chacun) :
« – Sais-tu pourquoi les femmes adorent sortir avec les homosexuels ?
– Non ! Peut-être parce qu’elles n’ont pas peur de se faire agresser sexuellement…
– Non. C’est seulement parce que ce sont les seuls qui les écoutent ! »
 
Encore une « revenue » de loin :
Sherlock Holmes et le Dr. Watson campent en forêt au cours d’une de leurs excursions de chasse.
À 3 heures du matin, Holmes pousse Watson :
« – Lorsque vous regardez vers le ciel Watson, que voyez-vous ?
– Je vois des milliers d’étoiles.
– Qu’est-ce que cela représente pour vous mon cher Watson ?
– Je remercie Dieu d’être vivant sur cette belle planète et cela m’indique qu’il fera beau demain, et vous Holmes qu’est-ce que ça représente pour vous ?
– Bien moi » dit Holmes « ça me dit que nous nous sommes fait voler la tente. »
Dans l’originale, c’était « Carlita » et « Bling-bling » qui campaient dans le jardin de belle-maman à Cap-Nègre…
C’est vous dire qu’elle revient de très, très loin…
 
Toujours Jean-Marc et Jean-Paul, déconfinés sur leur balcon, chacun devant une nouvelle bière :
« – Sais-tu qu’à « NAP », (Neuilly-Auteuil-Passy), il est courant de voire une ménagère engager une femme de ménage pour faire son ménage pendant qu’elle fait du bénévolat au centre aéré de l’école voisine où la femme de ménage a laissé ses enfants pour pouvoir faire des ménages…
– Ah ? Ma sœur fait pareil… et elle habite effectivement à Neuilly, mais sur la Marne. »
 
Germaine rentre chez elle et entend un drôle de bruit provenant de la chambre de sa fille.
Elle ouvre la porte et surprend sa fille en train de se caresser avec un vibrateur.
« – Pour l’amour du ciel, qu’est-ce que tu fais là ?
– Maman, j’ai 35 ans, pas mariée et ceci est la chose que j’ai trouvé qui se rapproche le plus d’un mari.
Alors laisse-moi tranquille ! »
Le lendemain, Jean-Marc entre dans la maison et entend le même bruit provenant de la chambre de sa fille.
Il ouvre la porte et surprend sa fille en train de se caresser avec un vibrateur.
« – Qu’est-ce que tu fais ?
– Papa, j’ai 35 ans, pas mariée et ceci est la chose que j’ai trouvé qui se rapproche le plus d’un mari.
Alors laisse-moi tranquille ! »
Quelques jours plus tard la mère entre dans la maison et elle entend le même bruit, mais cette fois, il provient du salon.
Elle avance… et voit son mari, étendu sur le sofa, buvant une bière froide et regardant la télévision.
Le vibrateur est à côté de lui sur le sofa et buzz comme un fou.
Germaine lui demande alors :
« – Pour l’amour du ciel qu’est-ce que tu fais là ?
– Je regarde du foot avec mon gendre… »
 
 
Un terrible tremblement de terre frappe le Mexique.
On parle de plusieurs centaines de milliers de morts et encore plus de blessés.
Le pays est ruiné.
L’électricité coupée dans tout le centre du pays.
Les conduites d’eau sont brisées, les ponts détruits.
La communauté internationale se mobilise, envoie des vivres, le Venezuela et l’Arabie du pétrole, l’Europe des médicaments, des tentes, et des milliers de médecins.
Et les Américains, pour ne pas être en reste, annoncent qu’ils envoient 2 millions de Mexicains en remplacement…
 
Une vieille dame va voir un spécialiste pour ses yeux.
Sa vue baisse, elle est pratiquement aveugle.
Elle raconte son problème à ce jeune surdoué à cheveux longs, barbe hirsute, chemise en dehors des pantalons.
Après l’avoir écouté attentivement, il lui conseille de fumer du pot.
Un mois plus tard, une voisine qui savait qu’elle se faisait traiter lui demande :
« – Est-ce que vos yeux vont mieux depuis que vous fumez du pot ?
– Heu … Non ! Mais maintenant, je m’en fous ! »
 
Une famille passe la fin de semaine à la chasse.
Bien entendu on déguste à plusieurs reprises les produits de la chasse.
De retour à la maison une des filles s’adresse à sa mère en pleurant :
« – Maman, j’ai fait pipi et j’ai des plombs dans mon urine.
– Ce n’est pas grave » dit la mère. « Ça arrive parfois quand en mangeant ce qu’on tue à la chasse on avale des petits plombs. »
Un peu plus tard l’autre petite fille arrive en pleurant :
« Maman j’ai fait pipi et j’ai des plombs dans mon urine. »
La mère rassure sa fille.
Encore un peu plus tard le jeune fils arrive en pleurant.
Sa mère le regarde et lui dit :
« – Je sais, je sais, tu as fait pipi et t’as des plombs dans ton urine.
– Non, non ! J’ai joué avec mon pénis et j’ai tué le chien. »
 
Le fils de Jean-Marc, un petit garçon lui demande :
« – Papa c’est quoi la différence entre « En principe et En réalité. »
– Va demander à ta mère si elle ferait l’amour avec n’importe qui pour un million ? »
Le petit garçon s’exécute et la mère répond :
« Eh bien non ! »
Le petit garçon retourne voir son père, lui annonce la réponse de sa mère et repose la même question.
Jean-Marc lui dit :
« Va demander à ta grande sœur si elle ferait lamour avec nimporte qui pour un million ? »
Le petit s’exécute et la grande sœur répond :
« Eh bien non ! »
Le petit garçon retourne voir son père, lui annonce la réponse de sa grande sœur et repose la même question.
Jean-Marc lui répond :
« Eh bien tu vois, ‘‘En principe’’ nous devrions avoir dans la maison deux millions et ‘‘En réalité’’ nous avons deux guidounes ».
(Guidoune : Femme couchant avec n'importe qui.)
 
Le psy rencontre un nouveau patient, le fait installer confortablement et lui dit :
« – Alors ? Quel est votre problème ? Commencez au début, s’il-vous-plait…
– Eh bien… Au début, j’ai créé le ciel et la terre ! »
 
Une dernière fois, Jean-Marc et Jean-Paul, sur leurs balcons de déconfinement, devant chacun une dernière bière :
« – Tu vois, la maladie d’Alzheimer a au moins un avantage.
– Ah oui ? Lequel ?
– On se fait de nouveaux amis tous les jours. »
 
Deux vielles sont assises sur un banc devant le Centre municipal où se tient l’exposition régionale des fleurs.
La plus maigre des deux, Yvonne, élève la voix :
« La vie est ennuyante à crever. On ne s’amuse plus !
Écoute, je te parie 20 € que je n’ai pas peur de me déshabiller et de traverser la salle d’exposition complètement nue ! »
Sa copine Marguerite sort un billet de 20 € :
« Pari tenu ! »
Yvonne se déshabille, sur place, donne ses vêtements à Marguerite et lui dit de l’attendre.
Elle se dirige en courant, comme peut le faire une dame de 76 ans et entre dans le hall d’exposition.
Soudain, on entend une clameur et des applaudissements.
Marguerite se lève.
« Mais qu’est-ce qui se passe ? »
Soudain, Yvonne sort de la salle, entourée d’une foule compacte qui l’applaudit.
Épuisée, elle arrive enfin au banc.
« – Mais qu’est-ce qui s’est passé ? Pourquoi ces applaudissements ?
– J’ai gagné le Premier prix dans la catégorie des Fleurs séchées. »
 
Les solutions de la semaine dernière :
 
« Aho ! Maintenant tu nous pollues, salaud ! »
« Ah, les orifices bénéfiques… »
« Oh dis donc, ça sent la pine dans votre pissoir, jeune-homme ! »
 
Celles de la semaine :
 
« Jean-Paul, un nom bien coté… »
« À chaque course, un but ! »
De Jean-Marc : « Cette fille a vraiment dans la peau un grain de fantaisie… »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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