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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 12 mai 2020

Il y en a une qui me plaît beaucoup…

« Sœur-Âne » est magnifique !
 
En attendant les retombées « politiques » de l’arrêt de la cour constitutionnelle de Karlsruhe pour vous en faire un post, je ne perds pas mon temps et veut d’abord vous parler de la mairesse-centrale de « Paris-sur-la-plage ».
Ça fait longtemps que je ne vous ai pas parler de la « Kapitale-Gauloisienne ».
Pourtant…
 
Moâ, je l’adore ! Et je ne parle pas de son parfum envoutant, de son sourire charmeur, de ses yeux qui brillaient quand elle me croisait, ni même de son physique incendiaire de « brune-ibérique ».
De toute façon, question « charmes-féminins », je préférais ceux de « Myriam-(El-Konnerie) », son adjointe à la vie sociale qui a fini « Sinistre » de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » (à se prendre des vestes en séries-soldées avec « Manu », pas encore devenu « Jupiter ») avant de se reconvertir, dans le civil et vaille que vaille, en égérie de « la solidarité aux personnes âgées », pour une mission « publique » financée par vos impôts : Ils ne savent faire que ça, chez les « Soces », vivre de votre pognon…
Elle fait d’ailleurs tellement de bruit (même si elle vient de se souvenir qu’elle existait encore avec une récente interview, je ne sais plus ni où ni pour dire quelle ânerie), que vous ne saviez même pas !
Moâ, si : Je la suis de loin en loin.
 
Non, chez « Sœur-Âne », ce que j’adore c’est seulement « sa logique-dogmatique »dont je suis admiratif.
Son entêtement à mettre à genou sa ville héritée de « De-la-Nuée » (livrée pieds et poings liés par « Bling-bling » et avant lui par le « Bâfreur de Pizzas »).
Elle avait réussi à lui mettre un genoux à terre, maintenant elle s’attache à lui mettre le second avant de l’écraser du talon, assommée par la dette monstrueuse, une administration territoriale pléthorique et impérialement inutile, des impôts locaux dédoublés pour les « proprios » (ceux qui possèdent la ville, finalement), des travaux de défonçage de chaussée à ne plus savoir où les mettre (pour emmerder le « locaux » qui y habitent encore) et réussir à passer le premier tour des dernières élections municipales en tête, talonnée de loin par « Rachida-Mimi » (dit le « pruneaux desséché ») et « Buse-one » qui aura remplacé « Ben-jasmin-Gris-veaux » (le « turlututeur »).
Le bel attelage qui pavoise, alors qu’elle a des « alliés écololos » et même une partie de la « gôche-trotskiste » et « stalinienne » dans sa besace.
Indécrottable : Elle finira par gagner tous ces paris (et pas seulement sa « plage-sur-Seine »).
 
Franchement, je ne sais pas ce qui lui agite le « neurone » le matin avant de se déconfiner, mais elle en a même remis une nouvelle couche en instaurant 50 kilomètres supplémentaires de « voie cyclable » (dans une ville de 5 kilomètres de rayon environ… 10 de diamètre pour un périphérique à peu près circulaire de 35.040 m et quelques), même que « les services » ne savent plus où les mettre et n’ont de toute façon pas les matériaux pour les faire.
Si, la rue de Rivoli sera fermée…
Et j’espère qu’elle aura un « coupe-file » pour rejoindre son bureau (le plus beau et grand de « Gauloisie-républicaine » : 155 m² d’un seul tenant ! Je sais, j’y suis allé plusieurs fois…)
 
Rivoli, de toute façon, c’était un axe impraticable de Bastille au Louvres depuis belle lurette, rétrécis, phagocyté par les couloirs à ceci et à cela, les chantiers et des feux tricolores même pas coordonnés avec un désastreux effet polluant et bruyant à chaque passage « au vert » pour les riverains !
Même les taxis évitaient…
Cette hispanique finira par tuer la poule aux œufs d’or : C’est vraiment parti pour et rien n’y fait.
Son ambition doit être « sans limite » pour vider de tous ses intérêts, atouts et « attractivités » la « Ville-Lumière ».
 
Même pas réélue, elle aura donc relancé sa croisade contre les voitures avant même la fin du confinement et le retour à une vie économique plus proche de la normale.
Non seulement, comme le prouve depuis deux mois la qualité de l’air, la pollution automobile n’est qu’une petite partie du problème, mais le risque majeur aujourd’hui est surtout de voir les populations déserter le centre de toutes les grandes villes, « Paris-sur-la-Seine » la première d’entre-elles.
« Il est hors de question que nous nous laissions envahir par les véhicules et la pollution, parce que cela aggraverait la crise sanitaire », a-t-elle pu affirmer péremptoirement.
Ah bon, le « Conard-virus » aime les bagnoles autant que ça ?
Si c’est vrai, il faut bazarder tout le stock roulant : Tous à vélos pour faire les livraisons des 15 tonnes qui ravitaillent encore les « Parigots-bobos » dans l’entrelacs des rues étroites (parfois tellement entortillées que même les pompiers n’y vont plus avec leurs gros-kuls) pour qu’ils ne crèvent pas de faim !
 
Elle entend ainsi interdire des axes majeurs, notamment est-ouest, à la circulation automobile, alors que depuis le confinement et l’effondrement de l’usage de la voiture, la pollution aux particules fines n’a pas vraiment diminuée dans l’agglomération parisienne…
Ne confondons non plus pas la ville et son agglomération… Si ça n’a pas diminué, c’est justement parce que l’agglomération roule encore, pour assurer la subsistance des « confinés-intra-muros », tiens donc.
C’est ce que je dis : Il faut les laisser crever et les cribler de dettes publiques-locales !
 
En fait, elle risque tout bonnement d’augmenter les embouteillages et leurs nuisances et surtout, comme on a pu le constater avec les fermetures des voies sur berge : Quand on ne passe plus là, on passe ailleurs, en se déportant, ce qui encombre tous mes « petits-raccourcis »…
Quand je pense à Budapest et son « beau Danube bleu » traversée de part en part par une série de trois cheminements (y compris le tramway) le long des berges : Manifestement, elle se trompe de combat !
Mais comme tous les « autistes-trisomiques » elle ne veut rien en entendre.
Soyons sérieux : À voir l’évolution de la qualité de l’air depuis deux mois, l’automobile n’est qu’un élément parmi beaucoup d’autres de la pollution atmosphérique locale. C’est « un fait » et un fait établi ne se conteste pas (contrairement aux opinions qui peuvent diverger et être changeantes, sauf chez elle, ce qui reste « admirable » de constance à mes yeux émerveillés !).
Et pour éviter une catastrophe économique durable à « Paris-sur-la-plage », déjà privé de ses touristes, il semble avant tout nécessaire d’encourager les gens à revenir dans la kapitale, pas à les empêcher de le faire !
C’est véritablement contre-productif, voire suicidaire.
Mais ce que j’en dis ou rien, n’est-ce pas…
 
Surtout, pour une ville qui dépend essentiellement des revenus du commerce et du tourisme, qui subit depuis plusieurs années une hémorragie d’habitants et qui dans le même temps a vu son endettement exploser…
Plusieurs agences de notation envisagent d’ailleurs d’abaisser leur évaluation de la solidité financière de la kapitale : La solvabilité d’une municipalité repose sur ses habitants. S’ils s’en vont, elle devient insolvable !
D’autant que l’usage généralisé du télétravail réduit et réduira encore tout seul les déplacements : Pas besoin d’en rajouter.
 
Je suis plutôt inquiet de constater que nombre d’activités commerciales et culturelles fonctionneront pendant longtemps au ralenti voire même pas du tout !
Les faillites et fermetures vont s’enchaîner, pour sûr.
Or, l’attractivité des grandes villes, qui avait déjà considérablement diminuée depuis plusieurs années avec le prix élevé des logements, l’accessibilité entravée, la saleté et l’augmentation de l’insécurité, va donc encore inexorablement se dégrader.
Moins de services disponibles, plus de risques sanitaires et des transports encore plus incommodes, voilà finalement la seule vraie « promesse de Sœur-Âne » !
Le bel avenir qu’elle s’accroche à faire vivre aux « Parigots », qui en redemanderaient presque, en plus (à revoir les résultats du premier tour ex-ante confinement).
 
Car, on ne s’en rend pas vraiment compte (et elle pas plus que d’autres), mais le « Conard-virus » va changer beaucoup de choses dans l’utilisation des transports au sein des grandes métropoles.
C’est de tout façon la conclusion d’une étude menée le mois dernier par IBM, la première du genre à apporter des éléments de réponse sur le « monde d’après ».
Même s’il s’agit globalement de « ricains » (ce sont eux qui cumulent le plus de « grandes-villes »), l’étude est transposable sur la plupart des grandes cités et agglomérations du monde entier.
Elle montre notamment comment les comportements en matière de déplacements quotidiens pourraient profondément changer : Les transports publics comme les taxis et les VTC devraient perdre une partie de leurs passagers du fait de la baisse de l’utilisation des transports et d’un recours plus important aux véhicules individuels.
Que ce soit la voiture, la moto, les scooters, les vélos ou les trottinettes…
Vous avez envie de vous coltiner les transports en commun (train, bus, métro, tram) matin et soir avec votre masque sur le nez, vous ?
Non, bon alors ?
 
L’étude souligne surtout le fait que les déplacements vers le centre des métropoles devraient sensiblement se réduire.
Car les principaux chiffres de ladite étude sont les suivants :
– Les personnes interrogées ont l’intention, en majorité, de recourir plus fréquemment aux moyens de transport individuels et moins aux transports collectifs et partagés.
– Les personnes interrogées n’ont ni l’envie, ni souvent les moyens d’acheter une nouvelle voiture. De toute façon, à « Paris-sur-la-plage », ils ne sauraient pas où la stationner (le nombre de places disponibles a fortement chuté depuis des années) : Le problème est réglé et l’industrie mécanique n’a plus qu’à aller se brosser !
– Les déplacements intra-urbains vont finalement sensiblement se réduire : Une grande majorité des personnes interrogées a l’intention de continuer à pratiquer le télétravail et de limiter ses déplacements à l’intérieur des métropoles et vers le centre des villes.
 
Sur les 14.000 personnes sondées (une belle cohorte !), seulement un peu plus de 17 % ont déclaré avoir l’intention d’utiliser plus souvent leur voiture.
Mais pour ceux qui prenaient régulièrement les transports en commun avant l’épidémie, le bus, le métro et le train, 20 % a l’intention de ne plus du tout les utiliser et 28 % de les prendre moins fréquemment.
Ce qui représente une différence considérable. 48 – 17 = presqu’un tiers de trafic en moins !
Gagné : Vive les « mobilités » imposées qui vont disparaître !
La preuve, de la même façon, une majorité utilisera le transport partagé moins souvent ou plus du tout.
 
La dégradation de la situation économique aura, sans surprise, un impact sur le marché automobile, naturellement. Un quart des personnes interrogées considèrent que les incertitudes économiques pèseront sur leur décision d’acheter ou pas un véhicule.
Et le même pourcentage considère qu’il va attendre au moins six mois avant de prendre une éventuelle décision d’achat.
Moâ pareil : J’attends la nouvelle génération de petite citadine hybride.
Type Yaris de chez « Totoya ».
 
L’étude parvient ainsi à la conclusion que même si plus de personnes utilisent leur voiture pour se déplacer, cela ne devrait pas forcément augmenter la congestion dans les métropoles et les grandes villes car pas moins de 75 % des personnes interrogées déclarent travailler à la maison et entendent continuer à le faire au moins partiellement.
Et même 50 % des sondés aimeraient conserver une partie des habitudes prises pendant le confinement.
 
Tout cela s’inscrit dans un mouvement plus large qui est celui de la remise en cause du modèle de concentration des populations et du pouvoir économique dans les métropoles et les capitales.
Là, le « Conard-virus » ne joue qu’un rôle d’accélérateur d’une évolution en cours liée aux prix élevés des logements, à la congestion et à des transports de plus en plus inconfortables, aux désordres sociaux  (les grèves et les cortèges de manifestants) de plus en plus fréquents dans les capitales, à l’insécurité grandissante, à l’essor ininterrompu du commerce en ligne et à la généralisation du télétravail : Le cocktail explosif de toutes les dégradations successives au « cadre de vie » imposées par une municipalité dépensière et abusive, concentré à « Paris-sur-la-plage »…
 
Il faut y ajouter maintenant évidemment les questions de santé : Plus c’est dense, plus les microbes prolifèrent. Comme les rats !
Certains vont jusqu’à parler aujourd’hui de « contre-urbanisation ».
Et « Sœur-Âne » surfe sur l’époque en se trompant de priorités : Le principal danger aujourd’hui pour « Paris-sur-la-plage » est de voir la kapitale perdre encore une bonne partie de sa substance économique.
Avec le « Conard-virus », elle ne peut plus se contenter de devenir une « ville musée » !
 
Il n’y a qu’à voir Rome : Ils habitent tous en banlieue et viennent travailler « en ville » pour les touristes. Si les touristes ne peuvent plus accéder, ils ne viendront plus y travailler et la ville se transformera en champ de ruines. Notez, qu’elle a l’habitude depuis plusieurs siècles…
Venise en prend le chemin : Trop cher d’habiter sur place, c’est trop pollué et trop malcommode et pourtant il n’y a pas une seule voiture !
En plus c’est sale et les rats pullulent parmi les trésors…
Alors que Londres et New-York, voire Hong-Kong, Shangaï, Singapour, Baltimore, etc. restent des villes qui ont su rester « habitables » en même temps que de rester des poumons économiques incontournables.
Vous me direz, elles ne sont pas gérées par des « Soces-dogmatiques » ni par des « écololos-bobos ».
Ça doit être la vraie différence…

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