Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 8 mai 2020

Ma « petite-sœur » avait raison.


Payez pour respirer, tel est notre destin !
 
Preuve par l’image :
 
 
 
Devra-t-on aussi payer pour rire ?
 
 
Non, c’est gratuit !
 
Notez que Jean-Marc m’a bien fait rire.
Il s’imaginait passer ses vacances prochaines dans un camp de nudistes : « Juste pour voir comment ils auront l’air fin, la bite à l’air et le masque sur le visage ! »
Ce sera effectivement cocasse à suivre…
Les masques, on en aura tellement qui ne serviront plus à rien que Jean-Marc imagine déjà leur recyclage à la plage :
 
 

Ceci dit, reprenons nos habitudes du vendredi. Celui-ci est seulement un peu particulier, puisqu’il est férié (non carillonné) en souvenir d’une guerre mondiale qui aura été plus que … « superlative » !
 
Jean-Marc entre dans un centre commercial :
« Pardon madame », demande-t-il, tout hébété, les yeux fous à l’hôtesse d’accueil.
« Les camisoles de force, c’est dans une boutique de vêtements ou dans une boutique d’articles de sport ? »
 
À propos de questions qui rendent fou :
 
« – Quelle est votre date d’anniversaire ?
 – Le quinze juillet.
 – Quelle année ?
 – Tous les ans… »
 
« – Quelle est la première chose que votre mari a dit lorsqu’il s’est éveillé ce matin-là ?
– Il a dit, « Où suis-je, Nathalie ? »
– Et pourquoi cela vous a vexée ?
– Mon prénom est Germaine… »
 
« – Monsieur l’agent, lorsque vous avez arrêté l’accusée, est-ce que vos gyrophares bleus clignotaient ?
– Oui.
– Est-ce que l’accusée a dit quelque chose en sortant de son auto ?
– Oui monsieur.
– Qu’a t-elle dit ?
– Dans quelle discothèque suis-je ? »
 
« – Ainsi la date de conception du bébé est le 8 août ?
– Oui.
– Et que faisiez-vous à ce moment-là ? »
 
« – Comment votre premier mariage s’est-il terminé ?
– Par un décès.
– Et par le décès de qui, s’est-il terminé ? »
 
« – Toutes vos réponses doivent être orales, OK ? À quelle école avez-vous été ?
– Orale. »
 
« – Vous rappelez-vous à quelle heure vous avez examiné le cadavre ?
– L’autopsie a débuté vers 20 heures 30.
– Et Monsieur Dennington était mort à ce moment-là ?
– Non ! Il était assis sur la table se demandant pourquoi je pratiquais une autopsie. »
 
« Êtes-vous qualifié pour donner un échantillon d’urine ? »
 
« – Docteur, avant de pratiquer l’autopsie, avez-vous vérifié son pouls
– Non.
– Avez-vous pris sa pression sanguine ?
– Non.
– Avez-vous vérifié sa respiration ?
– Non.
– Ainsi, est-ce possible que le patient soit vivant lorsque vous avez débuté l’autopsie ?
– Non.
– Comment pouvez-vous en être sûr, Docteur ?
– Parce que son cerveau était dans un bocal sur mon bureau.
– Mais, est-ce que le patient pouvait tout de même être encore vivant ?
– C’est possible qu’il soit encore vivant et pratiquer le droit comme vous le faites, Maître. »
 
« – Que pensez-vous des relations sexuelles ?
– C’est l’une des choses les plus belles, les plus saines, les plus merveilleuses que… l’argent puisse acheter. »
 
Justement, un jeune couple se présente chez un sexologue afin de discuter d’un problème d’incompatibilité sexuelle.
Quand ça lui tente, elle a mal à la tête et quand elle en a envie, il est trop fatigué.
Le sexologue leur dit :
« Votre problème, est, comme la plupart des couples, vous attendez au coucher pour faire l’amour.
Vous n’avez pas besoin de faire ça au lit.
Faites ça quand ça vous tente qu’elle que soit l’heure ou l’endroit où vous êtes. » Quelques jours plus tard le sexologue rencontre le couple dans la rue et leur demande comment est leur vie sexuelle ?
« C’est merveilleux » disent-ils. « Nous étions en train de souper lorsque nos doigts se sont touchés en prenant la salière.
Ça a été comme un électrochoc !
Nous avons alors tiré sur la nappe et tout flanqué par terre et avons fait l’amour en plein là sur la table !
– Fantastique ! » dit le sexologue.
« Il n’y a qu’un problème » dit le mari.
« – Lequel ?
– Nous ne pourrons jamais retourner à ce restaurant-là ! »
 
De Jean-Marc à Jean-Paul, confinés chacun sur leurs balcons mitoyens encore quelques jours, devant un Picon-bière :
« Je ne sais pas pourquoi j’avais décidé d’arrêter de boire.
Je devais être complètement paqueté. »
 
Plus tard, les mêmes, dans une situation similaire (ils sont seulement passés au Pastis) :
« Lui, là, il roule en Mercedes parce qu’il faut payer comptant dans le Métro. »
 
À nocturne, dans la même « position de confinement », mais devant un Cointreau sur glace pillée :
« – Sais-tu que ma femme a réussi à me convertir à la religion ?
– Non ? Germaine ?
– Oui, Germaine en personne !
– Et comment elle a fait ?
– Je n’aurais jamais cru à l’enfer avant de la connaître… »
 
De Jean-Paul à Jean-Marc (en pyjama, sur leurs balcons respectifs, un verre de « fine » à la main, avant de se coucher) :
« Moi, tu sais, je n’arrête plus aux feux rouges.
Quand on en a vu un, on les a tous vus. »
 
Contrepèteries de la semaine passée :
 
« Dans ce slip, on découvre les atouts de Carla ! »
« C’est un vrai pain de glace… »
« Horace a présenté la tige à sa bonne… »
 
Celles de la semaine :
 
« Des nouilles encore, Jean-Marc ! »
« La Terre est comme une grande masse… »
« C’est bien connu à la faculté des sciences, les mathématiciennes ne peuvent bien travailler seulement qu’avec Pi connu ! »

Avant de vous saluer, notez que « mon Gardien » à sorti un énième bouquin, exclusivement sur Amazon.com.
Par malchance, leurs entrepôts sont fermés en « Gauloisie-confinée » et les 10.000 salariés ne sont même pas admis au bénéfice du « chômage-technique » dit « partiel » : Ils vont tous pointer au chômage total…
 
Bon week-end de confinement à toutes et à tous !
 
I3
 
 

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