Payez pour respirer, tel est notre
destin !
Preuve par l’image :
Devra-t-on aussi payer pour rire ?
Non, c’est gratuit !
Notez que Jean-Marc m’a bien
fait rire.
Il s’imaginait passer ses vacances prochaines
dans un camp de nudistes : « Juste pour voir comment ils auront l’air
fin, la bite à l’air et le masque sur le visage ! »
Ce sera effectivement cocasse à suivre…
Les masques, on en aura tellement qui
ne serviront plus à rien que Jean-Marc imagine déjà leur recyclage à
la plage :
Ceci dit, reprenons nos habitudes du
vendredi. Celui-ci est seulement un peu particulier, puisqu’il est férié (non carillonné)
en souvenir d’une guerre mondiale qui aura été plus que … « superlative » !
Jean-Marc entre dans un centre commercial
:
« Pardon madame », demande-t-il,
tout hébété, les yeux fous à l’hôtesse d’accueil.
« Les camisoles de force, c’est
dans une boutique de vêtements ou dans une boutique d’articles de sport ? »
À propos de questions qui rendent fou :
« – Quelle est votre date
d’anniversaire ?
–
Le quinze juillet.
–
Quelle année ?
–
Tous les ans… »
« – Quelle est la première
chose que votre mari a dit lorsqu’il s’est éveillé ce matin-là ?
– Il a dit, « Où suis-je, Nathalie ? »
– Et pourquoi cela vous a vexée ?
– Mon prénom est Germaine… »
« – Monsieur l’agent, lorsque
vous avez arrêté l’accusée, est-ce que vos gyrophares bleus clignotaient ?
– Oui.
– Est-ce que l’accusée a dit quelque
chose en sortant de son auto ?
– Oui monsieur.
– Qu’a t-elle dit ?
– Dans quelle discothèque suis-je ? »
« – Ainsi la date de conception
du bébé est le 8 août ?
– Oui.
– Et que faisiez-vous à ce moment-là ? »
« – Comment votre premier
mariage s’est-il terminé ?
– Par un décès.
– Et par le décès de qui, s’est-il
terminé ? »
« – Toutes vos réponses doivent
être orales, OK ? À quelle école avez-vous été ?
– Orale. »
« – Vous rappelez-vous à quelle
heure vous avez examiné le cadavre ?
– L’autopsie a débuté vers 20 heures 30.
– Et Monsieur Dennington était mort à
ce moment-là ?
– Non ! Il était assis sur la
table se demandant pourquoi je pratiquais une autopsie. »
« Êtes-vous qualifié pour
donner un échantillon d’urine ? »
« – Docteur, avant de pratiquer
l’autopsie, avez-vous vérifié son pouls
– Non.
– Avez-vous pris sa pression sanguine ?
– Non.
– Avez-vous vérifié sa respiration ?
– Non.
– Ainsi, est-ce possible que le patient
soit vivant lorsque vous avez débuté l’autopsie ?
– Non.
– Comment pouvez-vous en être sûr,
Docteur ?
– Parce que son cerveau était dans un
bocal sur mon bureau.
– Mais, est-ce que le patient pouvait
tout de même être encore vivant ?
– C’est possible qu’il soit encore vivant
et pratiquer le droit comme vous le faites, Maître. »
« – Que pensez-vous des
relations sexuelles ?
– C’est l’une des choses les plus
belles, les plus saines, les plus merveilleuses que… l’argent puisse acheter. »
Justement, un jeune couple se présente
chez un sexologue afin de discuter d’un problème d’incompatibilité sexuelle.
Quand ça lui tente, elle a mal à la
tête et quand elle en a envie, il est trop fatigué.
Le sexologue leur dit :
« Votre problème, est, comme la
plupart des couples, vous attendez au coucher pour faire l’amour.
Vous n’avez pas besoin de faire ça au
lit.
Faites ça quand ça vous tente qu’elle
que soit l’heure ou l’endroit où vous êtes. » Quelques jours plus tard le sexologue
rencontre le couple dans la rue et leur demande comment est leur vie sexuelle ?
« C’est merveilleux »
disent-ils. « Nous étions en train de souper lorsque nos doigts se sont
touchés en prenant la salière.
Ça a été comme un électrochoc !
Nous avons alors tiré sur la nappe et
tout flanqué par terre et avons fait l’amour en plein là sur la table !
– Fantastique ! » dit le sexologue.
« Il n’y a qu’un problème »
dit le mari.
« – Lequel ?
– Nous ne pourrons jamais retourner à
ce restaurant-là ! »
De Jean-Marc à Jean-Paul,
confinés chacun sur leurs balcons mitoyens encore quelques jours, devant un Picon-bière :
« Je ne sais pas pourquoi j’avais
décidé d’arrêter de boire.
Je devais être complètement paqueté. »
Plus tard, les mêmes, dans une
situation similaire (ils sont seulement passés au Pastis) :
« Lui, là, il roule en Mercedes
parce qu’il faut payer comptant dans le Métro. »
À nocturne, dans la même « position
de confinement », mais devant un Cointreau sur glace pillée :
« – Sais-tu que ma femme a réussi
à me convertir à la religion ?
– Non ? Germaine ?
– Oui, Germaine en personne !
– Et comment elle a fait ?
– Je n’aurais jamais cru à l’enfer
avant de la connaître… »
De Jean-Paul à Jean-Marc (en pyjama,
sur leurs balcons respectifs, un verre de « fine » à la main, avant
de se coucher) :
« Moi, tu sais, je n’arrête
plus aux feux rouges.
Quand on en a vu un, on les a tous vus. »
Contrepèteries de la semaine passée :
« Dans ce slip, on découvre les
atouts de Carla ! »
« C’est un vrai pain de glace… »
« Horace a présenté la tige à sa
bonne… »
Celles de la semaine :
« Des nouilles encore, Jean-Marc ! »
« La Terre est comme une grande
masse… »
« C’est bien connu à la faculté
des sciences, les mathématiciennes ne peuvent bien travailler seulement qu’avec
Pi connu ! »
Avant de vous saluer, notez que « mon Gardien » à sorti un énième bouquin, exclusivement sur Amazon.com.
Par malchance, leurs entrepôts sont
fermés en « Gauloisie-confinée » et les 10.000 salariés ne sont même
pas admis au bénéfice du « chômage-technique » dit « partiel » :
Ils vont tous pointer au chômage total…
Bon week-end de confinement à toutes et
à tous !
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