Mais il faut reconnaître que c’est drôlement bien fait !
Depuis le début de la crise du « Conard-virus »,
j’ai comme un « gros doute » planqué dans le coin de ce qui me reste
de cervelle.
Vous me direz peut-être que je reste un « pervers-complotiste ».
C’est vrai qu’à force de voir me sauter au visage tous ces « petits-fils-rouges »
qui forment des convictions à force de se chevaucher, de se nouer et de se
dénouer, et toutes ces « informations-orphelines » s’entrelacer, il y
a de quoi en rigoler.
Au démarrage, il y a un « virus-chinois ».
Ils n’aiment pas ça, alors on l’a baptisé « coronavirus ». Un de
plus.
Mais Corona, les brasseurs de la bière éponyme n’ont
pas apprécié, alors on l’a nommé le « Covid-19 ».
Et puis l’académie n’a pas apprécié qu’on le masculinise,
alors on lui a attribué le genre féminin : « La » covid-19,
parce que la couronne, c’est féminin.
Notez que « virus », c’est masculin et que
probablement – n’en déplaise à mes amis québécois – ce n’est pas sa couronne
qui le caractérise le mieux, mais qu’il soit viral.
Passons, je n’ai pas ce problème : Je le nomme « Conard-virus ».
Masculin, comme toutes les espèces de konnards nés rien que pour vous pourrir
la vie, leur seule utilité sociale…
Et ils sont nombreux.
Il n’empêche que pour un « scénariste » que
je suis devenu au fil du temps (puisque je n’écris plus : J’ai un « nègre »
qui le fait à ma place, sous l’égide de « mon Gardien » et de la « haute-autorité »
du personnage principal de « mes » romans du temps où j’étais encore « auteur-écrivain »),
c’est une aubaine invraisemblable.
Je suis déjà – je crois vous l’avoir dit – sur l’épisode
suivant des « Enquêtes de Charlotte », suivant celui que je vais vous
mettre en ligne cet été (« dans le sillage de Charlotte »). Pour l’heure,
je relis et je ne suis pas très satisfait : Peut mieux faire.
Car dans cet « opus », on vous promène
également dans le sillage de « Jupiter » quand il fait le zouave sur
les plages du débarquement, qu’il reçoit « Poux-tine » à Brégançon
avant de se fâcher tout rouge contre le Brésilien (qui n’était même pas invité
à Biarritz) et qu’il va partager le « boudin-vin-blanc » des
légionnaires cantonnés sur une des « îles Éparses » dans l’océan
Indien où il disparaît quelques heures et ne rentre pas avec l’avion des
journaliste & ministres, celui qui aura fait un détour autour du volcan
local qui en a rugit de bonheur…
Figurez-vous que tout cela est lié, bien
naturellement.
D’ailleurs, pourquoi en irait-il autrement, je vous
demande un peu ?
Car depuis, on sait beaucoup plus de chose sur la
crise du « Conard-virus ».
D’abord qu’il y en a plusieurs. Il y a bien sûr « le
chinois » qui a ravagé Wuhan dès novembre/décembre.
C’est la « grappe » de type A : C’est
le plus proche du « Cornard-virus » découvert chez les
chauves-souris, retrouvé le plus fréquemment à Wuhan, sans être étonnamment le
type prédominant de la ville. Mais un grand nombre de virus de type A ont été
découverts chez des patients américains et australiens. Des versions mutées de
« A » ont ainsi été retrouvées chez des Américains ayant vécu ou en provenance
de Wuhan.
Le type « B » : C’est le principal type de virus
circulant à Wuhan… Il est répandu chez les patients de toute l’Asie de l’Est et
sa variante n’a pas voyagé au-delà de l’Asie de l’Est sans évoluer ce qui suggère
« une résistance contre ce type en dehors de l’Asie de l’Est » affirment
les virologues.
Et puis le type « C » : C’est le principal type
européen, retrouvé chez les premiers patients de « Gauloisie-sans-masque »,
en « Ritalie », en Suède et en UK.
Ce type est totalement absent de l’échantillon chinois
de l’étude, mais il a été également observé à Singapour, à Hong Kong et en
Corée du Sud.
Ainsi, la variante « A », la plus proche du virus
trouvé à la fois chez les chauves-souris et les pangolins, est décrite comme la
racine de l’épidémie, le type « B » séparé de « A » par deux mutations, puis «
C » est à son tour issue de « B ».
Excusez-moi, mais depuis, il ne mute plus mais
persiste à « remonter » les vents dominants…
Vous aurez beau accuser les vols d’avions intercontinentaux,
mais si « A » part de Chine pour arriver à « C » en Europe
et avoir une charge virale suffisamment importante pour contaminer tout un
pays, voire plusieurs, c’est qu’il s’est passé quelque chose que tout le monde
veut ignorer.
Notez qu’on n’avait pas non plus de test en
décembre/janvier en Europe pour en savoir plus, donc on ne savait pas, mais
clairement, il s’agit de la même détresse respiratoire.
D’où l’assimilation, alors même qu’on nous affirmait,
droit dans les yeux et jusqu’en février, que la Chine c’est loin :
Contamination peu probable, mais pas impossible en disait l’ex-sinistre de « bonne
santé », « Agnèle-Buse-one »…
En fait, ce n’est pas le plus important, même s’il
semble que bien des « autorités » avaient été averties dès la fin de
l’année dernière de l’arrivée d’un virus : Le Mossad aurait averti ses
correspondants de la CIA et donc les autorités « otanesques ».
Après, les relais n’ont pas été faits et tout le monde (ou
presque) aura été pris au dépourvu, sauf les « Ritaux » qui n’ont pas
tardé à confiner toute une ville, puis toute une région, pendant qu’en « Gauloisie-électorale »
on poursuivait tranquillement la campagne des municipales sans se méfier.
Le plus important, ça aura été l’instrumentalisation
des autorités sanitaires de mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si
mal…).
Les meks hurlent qu’ils ont peur d’être « débordés »
et qu’il vaut mieux enfermer tout le monde, mais on va voter tout de même !
Débordés, en réalité, pas tant que ça : On a bien
promené quelques malades en avion, en train et en bateau, mais pas plus que
quelques dizaines et les cliniques privées se lamentaient d’avoir des couloirs
déserts…
Je te vous jure, refaites l’historique, vous verrez.
Donc, si on vote le 15 mars, le 12 au soir, « Jupiter »
nous annonce qu’on se confine le 17 au matin pour 14 jours.
Notez qu’après plusieurs lois « d’état d’urgence »,
on compte les morts et les contaminations pendant deux mois et on nous annonce
qu’on « déconfine » le 11 mai.
Deux mois sans manifestations, sans « Gilets-jaunes »,
sans grèves sauvages et pratiquement plus de bagnoles dans les rues ni d’avions
dans le ciel, les gares désertées et les musées et salles de concert fermées :
Un vrai bonheur !
Notez que vous aurez quand même une fête de la
musique, faut pas croire…
Aussitôt, l’annonce faite, elle est suivie d’une
déclaration de son « Premier sinistre » qui explique que le déconfinement
ne touchera que certaines personnes, et que dans certaines zones…
Au même moment, le président du conseil scientifique « Conard-virus »,
et donc le principal conseiller de l’Élysée, affirme que les personnes âgées
resteront confinées jusqu’à la fin de l’année, ce qui est rapidement démenti
par le « sinistre de l’Intérieur-&-des-cultes », Mister Castagneur.
Bien : Ne cherchez pas la logique, elle n’est pas
là où vous l’imaginez.
La porte-la-parole du gouvernement « Si-Bête-la-Diarrhée »
explique alors que, bien que le déconfinement commence le 11 mai, mieux vaut
prévoir ne pas partir en vacances en août…
Aussitôt, une virologue experte annonce alors sur « France-Intox »
que plusieurs études de modélisation dans différents pays concluent à « une
deuxième vague épidémique très probable au plus tôt fin août », à
moins que ce ne soit « en octobre ou en novembre »
De son côté, le « sinistre de « l’Endoctrinement
national » annonce la réouverture de « toutes les écoles dans
toutes les zones », en précisant aussitôt que les enfants sont
probablement de gros vecteurs du virus et qu’il faudra sans doute laisser
fermés les collèges, les lycées et l’enseignement supérieur…
De son côté, la « Sinistre du travail et du
labeur », « Mumu-Pénis-chaud » estime alors sur la même radio « France-Intox »
qu’il est « raisonnable de dire » qu’un « télétravail
massif aura lieu au moins jusqu’à l’été », ce qui achève de rendre
caduque l’annonce d’un déconfinement le 11 mai…
Vous suivez ?
Très bien.
On passe sur la publication d’une carte des
départements rouges, oranges et verts dont on nous explique qu’ils pourront
servir, ou non, à définir des dates différentes d’ouverture des différents
secteurs de l’économie.
Sur les annonces contradictoires des bienfaits du
confinement, des masques, des tests de dépistage.
Sur l’affaire de la chloroquine atteignant le summum
de la foire d’empoigne, avec des experts tout aussi incontestables les uns que
les autres qui se prononcent en faveur ou en opposition totale au traitement.
Sur le fait que les enfants et les jeunes sont
successivement présentés comme potentiellement victimes de la maladie ou au
contraire parfaitement protégés.
Imaginez-vous que si, à la fin de ces messages, vous
avez mal à la tête, et envie de sortir vous promener pour penser à autre chose,
dites-vous que c’est exactement l’effet recherché par les Autorités de tous les
pays totalitaires lorsqu’ils assomment leurs citoyens sous un déluge
d’informations, contre-informations et ré-informations !
Ils visent à obtenir que les réseaux de résistance se
divisent.
Que les citoyens se découragent.
Que la critique devienne impossible.
Que l’action, la réaction, la révolte, perdent tout leur
sens.
À la fin, comme il n’y a plus de vérité, il n’y a plus
de réalité.
Vous avez l’impression de vous battre contre des
moulins qui tournent dans tous les sens.
Vous comprenez que lire, parler, réfléchir, n’a plus
aucun sens car on peut penser tout et son contraire, selon les sources que l’on
choisit, et qui évoluent elles-mêmes en permanence.
« Quand tout le monde vous ment en permanence,
le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne
croit plus rien.
Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut pas se
faire une opinion.
Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais
aussi de sa capacité de penser et de juger.
Et, avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous
voulez » !
CQFD : Le traitement est impitoyable et
fonctionne toujours aussi bien au XXIème siècle que dans le siècle
précédent.
« La propagande de masse découvrit que son public
était prêt à tout moment à croire le pire, qu’elle qu’en fut l’absurdité, et ne
répugnait pas particulièrement à être trompé, puisqu’il pensait que de toute
manière, toute affirmation était mensongère » dixit Hannah Arendt
(1906-1975), ça ne date pas d’hier…
Dommage qu’elle soit morte (même si elle eu l’occasion
d’en voir d’autres à son époque à elle), mais avouez que le « Conard-virus »
aura été une opportunité exceptionnelle pour « Jupiter » !
L’occasion d’un « test grandeur-nature »…
Vous me direz que mon raisonnement est bancal, trop
ethnocentré sur la « Gauloisie-prétentieuse ».
Naturellement : L’épidémie est mondiale à en être
devenue « pandémie ».
Mais soyez honnêtes, c’est partout pareil sauf, quelques
exceptions… exceptionnelles.
C’est d’ailleurs curieux, car vous aurez remarqué que ce
sont dans les pays qui comptent le plus de morts du « Conard-virus »
qu’on a pu et su faire peur au plus grand nombre jusqu’à consentir que tous
perdent leur Liberté fondamentale d’aller et venir !
Pas les autres…
Un hasard ? Une simple coïncidence ?
Tiens donc, tiens donc…
Généralisée à ce point-là, permettez moi d’attirer
votre attention sur cette… « curiosité » !
En réalité, le problème est que ce « Monde d’après »
propulse les outils de management qui visent la rationalisation à l’extrême.
Même pas terminé cette crise « passagère »,
on vous annonce déjà que le « Conard-virus » va devenir « endémique »,
permanent.
Qu’il faudra « vivre avec ».
Ou mourir !
Une excellente raison pour des gouvernants qui ne se
cachaient plus de vouloir sévèrement limiter la mobilité du public.
Enfin flûte, on vous l’avait dit, entre « écololo »,
GIEC, réchauffistes, « Gratte-la-Thune-berg » et autres prophètes de l’extinction
de la civilisation, vous êtes de trop sur cette planète.
Elle n’a d’avenir que sans vous !
C’est un « coup d’État planétaire », une des
conséquences évidentes du modèle de restructuration planétaire qui s’impose au
fil du temps.
Nous en avons le résultat en direct !
Ce n’est pas un hasard que cette gestion-là du « Conard-virus » :
La communication officielle a été un festival de contradictions, qui cette fois
s’en prenait à ce que l’individu a de plus cher : Sa santé, sa vie affective et
relationnelle.
Une communication confuse, chaotique, digne des meilleurs
régimes totalitaires.
Le « test » grandeur nature aura fonctionné
au-delà de toutes espérances : Vous êtes mûrs !
Vous laisseront-ils vous ressaisir ?
La suite va nous l’apprendre : Soit vous partez
en vacances en bord de mer et le risque (ethnocentrée sur la « Gauloisie-bouillonnante »)
sera une rentrée « ultra-chaude » en septembre.
Soit on vous colle une « deuxième vague »
entre les dents après avoir fêté le 14 juillet pour le grand-bonheur de « Jupiter »
qui n’hésite pas à récupérer l’Histoire à son profit (jusqu’à De Gaulle…).
Ils osent tout… « c’est comme ça qu’on les
reconnaît ! »
En attendant, ils savent désormais sur quel bouton
appuyer pour vous faire rentrez dans les rangs (chez vous…) : S’en prendre
à votre intimité, votre santé, dès la moindre « suspicion »… et vous
culpabiliser à défaut de pouvoir vous vacciner.
D’ailleurs, ce vaccin arrivera l’année prochaine et
comme il sera « mal calibré », mal testé, il va en tuer quelques-uns
et ce sera une aubaine pour le prochain coup !
Ce n’est pas pour rien que les antivaccins se sont
tout d’un coup réveillés : Comment disait-il, le kamarade Vladimir Ilitch
Oulianov ?
Des idiots utiles…
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