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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 18 mai 2020

Celui-là est vraiment extraordinaire !

On avait déjà « Si-bête-la-diarrhée ».
« Jean-Mi-Bunker » est bien meilleur !
 
Le « Sinistre de les-duc-à-Sion » nationale nous en aura fait deux absolument fabuleuses la semaine dépassée.
 
Tu sais quoi, les meks qui te vous gouvernent, parce qu’ils ne savaient plus (le dernier qui savait est mort ou parti à la retraite) où se trouvait le « stock-stratégique » de 360 millions de masques alors que le « Conard-virus » traversait la frontière sans ses papiers, ils en ont été réduits à vous imposer presque deux mois de confinement sévère…
Plus de plages, plus de bar, plus de travail, plus de loisir, tu fermes les usines les commerces et naturellement tu protèges les « chère-têtes-blondes » en les mettant en « résidence surveillée » obligatoire, aux « bons soins » de leurs parents.
Plus d’ékole, plus de copain, plus de cantine, plus de récrée, plus de foot, plus de sortie !
Tous confinés devant leur « télé-devoirs », la « télé-tout-court », les « games-boys » pendant de longues semaines.
 
Les seuls « chanceux » sont ceux qui ont des parents qui « soignent » encore ceux qu’ils peuvent en faisant face au manque de moyens et aux restrictions budgétaires récurrents depuis plusieurs mandatures : Ceux-là auront « garderie-scolaire » vaguement pédagogique.
Bien…
Et follement, tout le monde approuve et s’organise : 10 % des « parigots-bobos » se cassent même à la campagne, avec chien, chat, belle-mère et poisson-rouge et se mettent à « télé-travailler » en se faisant livrer (à vélo) la bouffe et le PQ.
Les autres applaudissent même à 20 heures à leur balcon tous les soirs !
Il faut dire, qu’à part quelques orages, il a fait beau : Normal…
 
Et puis voilà qu’on « déconfine ».
Les masques tombent ? Non pas du tout : Tu es obligé de les mettre !
Bé oui, entre-temps, un « sachant » s’est étonné de devoir signer un ordre de service de destruction de 85 millions de masques (des stocks « stratégiques ») : On les aura retrouvés, youpi !
Par ailleurs, les toubibs sont formels, les gosses sont les moins sensibles au « Conard-virus ».
Ce dernier cible les vieux seniors-âgés à la santé fragile, ceux qui ont déjà des maladies chroniques et des causes de « comorbidité » à assumer, usés par toute une vie de labeur : Ils se font décimer.
Ce sont ceux-là qu’il fallait confiner : Du coup, la plupart ne suivent plus leurs traitements et il en meure par anticipation des wagons entiers (pas nécessairement et officiellement recensés, d’ailleurs…).
Quand ils ne sont pas déjà à la garde des Ehpad : Là, c’est parfois plus radical pour libérer des places…
 
Donc, tout le monde au turbin et pour ça, il faut que les gamins retournent en classe.
Tout le monde, tout le monde, pas vraiment puisque les « itinérants » étaient déjà au taf, parmi les « postés », certains ont poursuivi en « télé-travaillant » (ils y ont même pris goût) mais c’est quand même 12,4 millions qui restent au « chômage technique » (dit partiel), ce qui représente tout de même une petite moitié des « salariés-esclaves » du « privé » (celui qui paye les 5 millions de fonctionnaires et assimilés et autant de chômeurs « dans le dur »).
Et les « autonomes » persistent à faire comme ils l’entendent.
Situation intenable financièrement pour la puissance étatique et le pays, naturellement.
 
D’où le message hallucinant dudit « sinistre » : « Il y a plus de risques chez soi qu’à l’école » !
Filez donc les remettre à l’ékole, rapidos, si vous voulez les sauver…
 
Les sauver de quoi au juste ?
Pas du « Conard-virus », puisqu’ils ne sont pas vraiment concernés, les gamins.
Et puis si ça avait été le cas depuis toujours, à quoi auront-ils donc échappé à rester chez eux ?
Pas de la maladie, mais peut-être de devenir indécrottablement kons ?
Je veux dire, avec un ministre pareil et tout un gouvernement à son image, c’est sûr que ceux-là le sont déjà depuis un long moment !
Euh… comme demande l’autre, « en cas de catastrophe nucléaire majeure, ce sont les mêmes qui gèrent la crise ? »
Ça promet…
 
Alors, nous assistons de la part de nos gouvernants à un festival ininterrompu d’approximations, de grand n’importe quoi, quand ce ne sont pas purement des mensonges éhontés, proférés avec l’autorité que seule peut conférer l’absence totale de scrupule !
Ils ne manquent pas seulement d’humilité, ils sont totalement tarés de dire blanc le matin et d’affirmer noir le soir : Un cynisme ahurissant.
À la suite des autres, nos si-brillants « sinistres » (de la société civile) viennent asséner leurs bêtises, au premier micro qui se tend. Et avec le déconfinement, ils semblent même avoir déclenché le turbo.
«Il y a plus de risques à rester chez soi que d’aller à l’école», droit dans les yeux face au grand Jury RTL, Le Figaro (cet autre torchon), LCI.
Et pas un n’aura relevé la contradiction essentialiste, bluffés qu’ils ont tous été par l’affirmation inattendue…
Ou alors ils avaient consigne de ne pas relever, pour être « aux ordres » !
 
Mais quel besoin avait-il de proférer une telle énormité?
Est-ce un moment d’égarement, dû au titre de l’émission radiophonique à laquelle il participait?
Croit-il vraiment ce quil dit, ou agit-il sur commande comme la désormais légendaire « porte-la-parole » du gouvernement, dont le prénom (« Si-bête », parce que « Si-konne » n’existe pas dans son village natal) vaut toutes les mises en garde?
 
Rappelons-nous, qu’il y a de cela à peine deux mois les gamins étaient alors considérés comme un bouillon de culture propre (si l’on peut dire…) à faire flamber la pandémie.
Nos chères « têtes-blondes » étaient les principaux vecteurs de la nouvelle peste et il convenait de les enfermer fissa, ainsi que leurs parents.
Admettons que, le temps passant et le nombre de parents infectés par les sales mouflets avec lesquels ils ont cohabité durant deux longs mois 24/24 heures, n’ayant pas explosé, les «autorités» aient eu à réviser leur jugement sur le « péril jeune ».
Mais de là à considérer que lendroit où nous avons tous été consignés et qu’il ne fallait surtout pas quitter pour sauver des viesest devenu plus dangereux que le cloaque quil était si urgent de fermer, après nous y avoir envoyé voter en masse, le pas était tout de même énorme !
 
Il y a deux mois, on découvrait que le pays est à poil, sans masques, sans gel, sans respirateurs…
Bref que tout ce qui se trouvait dans le stock stratégique anti-épidémie constitué par « Rose-line-le-pompon-rose » (dite « Bâche-l’eau ») et son Président « Bling-bling », après l’épisode avorté de grippe aviaire, s’était volatilisé comme par enchantement bureaucratico-comptable (jusqu’à cet ordre de mission dément de destruction).
Ajoutez à cela un système de santé exsangue que tous se sont échinés à raboter, selon le principe bien compris que moins on a de médecins, moins il y a d’hôpitaux et moins il y a de dépenses de santé, et vous obtenez la recette de la bonne catastrophe à la « Gauloisienne-impétueuse ».
Merci à « Tagada-à-la-fraise-des-bois » et à « Jupiter ».
Aux « sinistres » en place de gérer la situation…
Ils l’avaient voulue, la place, alors qu’ils assument !
 
L’absurdité de ce raisonnement conduisant naturellement à l’engorgement complet du système, il a fallu confiner, le temps que les morts s’accumulent, que les masques arrivent, etc. etc. pour que l’on en revienne à la normale.
Et dire qu’ils en prétendent que le monde entier envie notre système de sécurité-sociale…
 
Simplement confiner tout un pays parce que l’on a été totalement imprévoyant représente un coût faramineux que la « Teutonnie-d’outre-Rhin » ne semble pas très désireuse de payer, une fois de plus.
Donc il convient de remettre tout le monde au boulot et vite fait, pour éviter la banqueroute. Seulement voilà, comment travailler quand les enfants sont à la maison parce que l’on a passé deux mois à expliquer à leurs parents que l’ékole était vraiment le lieu de tous les dangers?
 
Et du coup, de nous dévoiler en fait la vraie mission du service public de « les-ducs-à-Sion » nationale : Seulement une gigantesque garderie pour enfants de laborieux, le Komsomol Soviet en quelle que sorte, ni plus ni moins : On y revient encore et toujours.
D’ailleurs, les profs’ et instits’ sont priés de désinfecter leur classe, matériels, tables, chaises et poignées de porte, avant et après le passage des enfants.
Cinq ans d’études post-bac, avec un concours « difficile » pour faire « dame de ménage »…
Il y en a même qui se relayeront devant la porte des chiottes pour les mêmes tâches… mais avec le titre de « dame-pipi-kaka »…
La promotion du jour pour les heureux « désignés volontaires » !
 
C’est la faute au manque d’effectif des « techniciens de surface » en nombre insuffisant.
Il faut dire que ceux-là ne sont pas payés par le ministère, mais par les communes, départements ou régions en fonction de la qualité des locaux occupés (respectivement ékole, collège, lycée).
Je vous le dis tout de suite, en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », ils ont carrément décidé de ne pas les mobiliser : Résultat, la rectrice aura « pris acte » qu’il n’y aura pas de rentrée avant septembre… si tout va bien d’ici-là !
L’Île de Beauté est la troisième région la plus touchée par le « Conard-virus » après « l’Île-de-Gauloisie » et la région « Grand-Est ».
Et ils ont su garder un semblant d’activité, en circuit-fermé pour contourner le confinement (mais pas les gestes-barrières) dans l’espoir de « faire la saison » cet été, malgré tout (comme vient d’en décider le Conseil Constitutionnel et « Éd-Phi-Lippe »).
Ils attendent désormais que les préfets autorisent l’ouverture des plages (parce qu’il va falloir les récurer) et ils se remettront au boulot pour accueillir les touristes qu’ils espèrent nombreux : Tout sera finalement prêt pour vous recevoir !
 
Notez, pour revenir à notre sujet du jour, qu’à voir le niveau toujours plus affligent des compétences exigées des élèves pour avoir leur bac, on se doutait bien que l’enseignement n’était pas l’activité principale du ministère dont « Jean-Mi-Bunker » à la charge.
Alors que de nombreux professeurs, dupés, croient encore honnêtement qu’ils étaient recrutés pour instruire !
C’est en réalité devenue une administration entière qui déploie des trésors d’ingéniosité pour s’assurer que les élèves en apprennent le moins possible (des fois qu’ils se montrent critiques envers leurs aînés, plus tard).
À coups de circulaires, de réformes des programmes et d’expérimentations pédagogiques toutes plus délirantes les unes que les autres, les fonctionnaires de ce ministère ont réussi à faire passer les enseignants du rang de maître à celui de garde-d’enfant…
Et on en aura une preuve de plus (cf. juste ci-après !).
À voir ce qu’est devenu le regretté ministère de l’Instruction publique, on se dit qu’il est grand temps de laisser les praticiens médicaux, et non les médecins de laboratoire pharmaceutique, s’occuper de celui de la Santé.
En ce sens cette sortie-là du « sinistre » aura au moins été salutaire : Elle nous a rappelé ce qu’est une institution et un ministre en roue libre, totalement déconnecté de la réalité qu’il est supposé administrer !
 
Ceci dit, comme d’une confirmation (annoncée ci-avant), son ministère aura pondu une circulaire impérieuse.
Un paragraphe d’une « fiche » publiée sur le site du ministère de l’Éducation nationale semble valider cette idée : « Des enfants peuvent tenir des propos manifestement inacceptables.
La référence à l’autorité de l’État pour permettre la protection de chaque citoyen doit alors être évoquée, sans entrer en discussion polémique.
Les parents seront alertés et reçus par l’enseignant, le cas échéant accompagné d’un collègue, et la situation rapportée aux autorités de l’école. »
Vous avez bien lu : Interdit de colporter des informations remettant en cause « l’autorité de l’État » omniscient et omnipotent !
Et comme dans le « ministère de la Vérité » d’Orwell, ce sont les enfants envoyés à l’ékole qui servent de délateur de leurs propres parents !
Une technique mise au point par les nazis, Lénine et Trotski, perfectionnée par Staline, « Mao-sait-tout » et « Popol-pot ».
« Jupiter » n’aura eu qu’à y mettre les points sur les « i ».
On se demande même si ce n’était pas une urgence que de « ficher » les citoyens devenus dubitatifs après deux mois de confinement…
 
Naturellement, avec la loi Avia qui vient d’être adoptée et fait obligation aux GAFAM de censurer toute opinion émise sur « les réseaux » qui seraient « inadaptées » à la situation (moyennant une amende administrative qui peut aller jusqu’à 4 % du chiffre d’affaires de la « boutique » : Évitez donc de reprendre ce texte sur votre « Fesse-book »…), il s’agit donc d’une « circulaire » qui manifestement tente de transformer les enseignants en censeur, voire en dénonciateur, les enfants en délateur, ce qu’ils ne vont sans doute pas apprécier du tout.
Déjà, les mains dans les chiottes…
Même les vieux-cocos, qui traînent encore à l’ékole de la République, pourraient être touchés par le souvenir émouvant de cette énième victime du communisme-appliqué et qui ont pu valider ces méthodes dans des temps anciens et dans d’autres pays…
Mais je ne sais pas s’ils seront conscients de voir où mènent leurs utopies-passées.
 
Dans ces conditions, sûr et certain, aucun danger de renvoyer vos gosses à l’ékole !
Pour eux, c’est devenu une Vérité, pour vous, c’est moins évident.
Quoique que même pour eux, comme ils sont déjà fichés depuis la maternelle, fichés, catégorisés, mis dans des cases invisibles depuis « Bling-Bling » alors que ça reste surtout des « citoyens en devenir », tenez votre langue devant eux : Il pourrait leur en cuire au moment de passer un concours (même s’ils sont assez méritants pour le réussir) ou être embauchés à la hauteur de leurs compétences futures !
 
Ce genre de tentative s’inscrit bien dans la droite ligne de la loi Avia, liberticide jusqu’à l’absurde.
D’autant qu’on sait très bien que, quels que soient les dispositifs de censure mis en place, on trouve toujours le moyen de les contourner.
Même si cela pose d’abord le problème de l’arbitraire d’un gouvernement (qui délègue au passage aux GAFAM « ricains » la mission régalienne de souveraineté de la « police politique ») à la dérive qui tente de sauver les meubles !
Ce sont les suites logiques des lois Hadopi et anti-terroristes déjà entrées dans le droit commun : Comme quoi, ça ne leur suffisait pas…
 
Notez, on pourra se défausser des futurs tribunaux de la « pensée politique » en argumentant que les propos mensongers sont acceptables et même vivement autorisés si l’on s’en tient à l’essentiel de la communication gouvernementale depuis plus de deux mois.
Les « fake news » également, puisqu’avec son dispositif Internet baptisé « Désinfox Coronavirus », prématurément défunt, notre bien-aimé « Jupiter » souhaitait déjà nous diriger vers les « bons » sites qui dénoncent les « mauvaises » informations.
Conséquence, il faut impérativement rassurer les enfants et les parents sur la qualité de la « bonne gestion » opérée par notre gouvernement pendant cette période de crise.
 
Plus sérieusement, depuis que le 17 a été submergé d’appel de dénonciations diverses de comportements « inciviques » de voisins confinés, on peut vraiment s’inquiéter de ces démarches qui paraissent relever d’une nouvelle tentative de contrôle des opinions de la population par, cette fois, une utilisation des enfants digne des meilleures heures les plus sombres de notre Histoire.
Quant on n’est pas « au niveau », de cette crise, de l’Histoire et de son pays, franchement, on reste cloîtré chez soi et on ne dit plus rien : Il serait grand-temps qu’ils en tirent les conclusions que le « bon sens en marche » leur hurle !
L’inverse devient sinon indécent, au moins particulièrement scandaleux…

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