On avait déjà « Si-bête-la-diarrhée ».
« Jean-Mi-Bunker » est bien meilleur !
Le « Sinistre de les-duc-à-Sion » nationale nous en aura fait
deux absolument fabuleuses la semaine dépassée.
Tu sais quoi, les meks qui te vous gouvernent, parce qu’ils ne savaient
plus (le dernier qui savait est mort ou parti à la retraite) où se trouvait le
« stock-stratégique » de 360 millions de masques alors que le
« Conard-virus » traversait la frontière sans ses papiers, ils en ont
été réduits à vous imposer presque deux mois de confinement sévère…
Plus de plages, plus de bar, plus de travail, plus de loisir, tu fermes
les usines les commerces et naturellement tu protèges les
« chère-têtes-blondes » en les mettant en « résidence surveillée »
obligatoire, aux « bons soins » de leurs parents.
Plus d’ékole, plus de copain, plus de cantine, plus de récrée, plus de
foot, plus de sortie !
Tous confinés devant leur « télé-devoirs », la
« télé-tout-court », les « games-boys » pendant de longues
semaines.
Les seuls « chanceux » sont ceux qui ont des parents qui
« soignent » encore ceux qu’ils peuvent en faisant face au manque de
moyens et aux restrictions budgétaires récurrents depuis plusieurs mandatures
: Ceux-là auront « garderie-scolaire » vaguement pédagogique.
Bien…
Et follement, tout le monde approuve et s’organise : 10 % des
« parigots-bobos » se cassent même à la campagne, avec chien, chat,
belle-mère et poisson-rouge et se mettent à « télé-travailler » en se
faisant livrer (à vélo) la bouffe et le PQ.
Les autres applaudissent même à 20 heures à leur balcon tous les soirs !
Il faut dire, qu’à part quelques orages, il a fait beau : Normal…
Et puis voilà qu’on « déconfine ».
Les masques tombent ? Non pas du tout : Tu es obligé de les mettre !
Bé oui, entre-temps, un « sachant » s’est étonné de devoir
signer un ordre de service de destruction de 85 millions de masques (des stocks
« stratégiques ») : On les aura retrouvés, youpi !
Par ailleurs, les toubibs sont formels, les gosses sont les moins
sensibles au « Conard-virus ».
Ce dernier cible les vieux seniors-âgés à la santé fragile, ceux qui
ont déjà des maladies chroniques et des causes de « comorbidité » à
assumer, usés par toute une vie de labeur : Ils se font décimer.
Ce sont ceux-là qu’il fallait confiner : Du coup, la plupart ne
suivent plus leurs traitements et il en meure par anticipation des wagons
entiers (pas nécessairement et officiellement recensés, d’ailleurs…).
Quand ils ne sont pas déjà à la garde des Ehpad : Là, c’est parfois
plus radical pour libérer des places…
Donc, tout le monde au turbin et pour ça, il faut que les gamins
retournent en classe.
Tout le monde, tout le monde, pas vraiment puisque les
« itinérants » étaient déjà au taf, parmi les « postés »,
certains ont poursuivi en « télé-travaillant » (ils y ont même pris
goût) mais c’est quand même 12,4 millions qui restent au « chômage
technique » (dit partiel), ce qui représente tout de même une petite
moitié des « salariés-esclaves » du « privé » (celui qui
paye les 5 millions de fonctionnaires et assimilés et autant de chômeurs
« dans le dur »).
Et les « autonomes » persistent à faire comme ils l’entendent.
Situation intenable financièrement pour la puissance étatique et le pays,
naturellement.
D’où le message hallucinant dudit « sinistre » : « Il
y a plus de risques chez soi qu’à l’école » !
Filez donc les remettre à l’ékole, rapidos, si vous voulez les sauver…
Les sauver de quoi au juste ?
Pas du « Conard-virus », puisqu’ils ne sont pas vraiment
concernés, les gamins.
Et puis si ça avait été le cas depuis toujours, à quoi auront-ils donc
échappé à rester chez eux ?
Pas de la maladie, mais peut-être de devenir indécrottablement kons ?
Je veux dire, avec un ministre pareil et tout un gouvernement à son image,
c’est sûr que ceux-là le sont déjà depuis un long moment !
Euh… comme demande l’autre, « en cas de catastrophe nucléaire
majeure, ce sont les mêmes qui gèrent la crise ? »
Ça promet…
Alors, nous assistons de la part de nos gouvernants à un festival
ininterrompu d’approximations, de grand n’importe quoi, quand ce ne sont pas
purement des mensonges éhontés, proférés avec l’autorité que seule peut
conférer l’absence totale de scrupule !
Ils ne manquent pas seulement d’humilité, ils sont totalement tarés de
dire blanc le matin et d’affirmer noir le soir : Un cynisme ahurissant.
À la suite des autres, nos si-brillants « sinistres » (de la
société civile) viennent asséner leurs bêtises, au premier micro qui se tend. Et
avec le déconfinement, ils semblent même avoir déclenché le turbo.
« Il y a plus de risques à rester chez
soi que d’aller à l’école », droit dans les
yeux face au grand Jury RTL,
Le Figaro (cet autre torchon), LCI.
Et pas un n’aura relevé la contradiction essentialiste, bluffés qu’ils ont
tous été par l’affirmation inattendue…
Ou alors ils avaient consigne de ne pas relever, pour être « aux
ordres » !
Mais quel besoin avait-il de proférer une telle énormité ?
Est-ce un moment d’égarement, dû au titre de l’émission radiophonique à laquelle il participait ?
Croit-il vraiment ce qu’il
dit, ou agit-il sur commande comme la désormais légendaire « porte-la-parole »
du gouvernement, dont le prénom (« Si-bête »,
parce que « Si-konne » n’existe pas dans son village natal) vaut
toutes les mises en garde ?
Rappelons-nous, qu’il y a de cela à peine deux mois les gamins étaient
alors considérés comme un bouillon de culture propre (si l’on peut dire…) à
faire flamber la pandémie.
Nos chères « têtes-blondes » étaient les principaux vecteurs de
la nouvelle peste et il convenait de les enfermer fissa, ainsi que leurs
parents.
Admettons que, le temps passant et le nombre de parents infectés par les
sales mouflets avec lesquels ils ont cohabité durant deux longs mois 24/24 heures,
n’ayant pas explosé, les « autorités » aient eu à réviser leur jugement sur le « péril jeune ».
Mais de là à considérer que l’endroit où nous avons tous été consignés et qu’il ne fallait
surtout pas quitter pour sauver des vies est devenu plus dangereux
que le cloaque qu’il était si urgent de fermer, après nous y avoir envoyé voter en masse, le pas était tout de même énorme !
Il y a deux mois, on découvrait que le pays est à poil, sans masques, sans
gel, sans respirateurs…
Bref que tout ce qui se trouvait dans le stock stratégique anti-épidémie
constitué par « Rose-line-le-pompon-rose » (dite « Bâche-l’eau ») et son
Président « Bling-bling », après l’épisode avorté de grippe aviaire,
s’était volatilisé comme par enchantement bureaucratico-comptable (jusqu’à cet
ordre de mission dément de destruction).
Ajoutez à cela un système de santé exsangue que tous se sont échinés à
raboter, selon le principe bien compris que moins on a de médecins, moins il y
a d’hôpitaux et moins il y a de dépenses de santé, et vous obtenez la recette
de la bonne catastrophe à la « Gauloisienne-impétueuse ».
Merci à « Tagada-à-la-fraise-des-bois » et à « Jupiter ».
Aux « sinistres » en place de gérer la situation…
Ils l’avaient voulue, la place, alors qu’ils assument !
L’absurdité de ce raisonnement conduisant naturellement à l’engorgement
complet du système, il a fallu confiner, le temps que les morts s’accumulent,
que les masques arrivent, etc. etc. pour que l’on en revienne à la normale.
Et dire qu’ils en prétendent que le monde entier envie notre système de
sécurité-sociale…
Simplement confiner tout un pays parce que l’on a été totalement
imprévoyant représente un coût faramineux que la « Teutonnie-d’outre-Rhin »
ne semble pas très désireuse de payer, une fois de plus.
Donc il convient de remettre tout le monde au boulot et vite fait, pour
éviter la banqueroute. Seulement voilà, comment travailler quand les enfants
sont à la maison parce que l’on a passé deux mois à expliquer à leurs parents
que l’ékole était vraiment le lieu de tous les dangers ?
Et du coup, de nous dévoiler en fait la vraie mission du service public de « les-ducs-à-Sion » nationale
: Seulement une gigantesque garderie pour enfants de laborieux, le Komsomol
Soviet en quelle que sorte, ni plus ni moins : On
y revient encore et toujours.
D’ailleurs, les profs’ et instits’ sont priés de désinfecter leur classe,
matériels, tables, chaises et poignées de porte, avant et après le passage des
enfants.
Cinq ans d’études post-bac, avec un concours « difficile » pour
faire « dame de ménage »…
Il y en a même qui se relayeront devant la porte des chiottes pour les
mêmes tâches… mais avec le titre de « dame-pipi-kaka »…
La promotion du jour pour les heureux « désignés volontaires » !
C’est la faute au manque d’effectif des « techniciens de surface »
en nombre insuffisant.
Il faut dire que ceux-là ne sont pas payés par le ministère, mais par les
communes, départements ou régions en fonction de la qualité des locaux occupés (respectivement
ékole, collège, lycée).
Je vous le dis tout de suite, en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi »,
ils ont carrément décidé de ne pas les mobiliser : Résultat, la rectrice aura
« pris acte » qu’il n’y aura pas de rentrée avant septembre… si tout
va bien d’ici-là !
L’Île de Beauté est la troisième région la plus touchée par le « Conard-virus »
après « l’Île-de-Gauloisie » et la région « Grand-Est ».
Et ils ont su garder un semblant d’activité, en circuit-fermé pour
contourner le confinement (mais pas les gestes-barrières) dans l’espoir de « faire
la saison » cet été, malgré tout (comme
vient d’en décider le Conseil Constitutionnel et « Éd-Phi-Lippe »).
Ils attendent désormais que les préfets autorisent l’ouverture des plages (parce
qu’il va falloir les récurer) et ils se remettront au boulot pour accueillir
les touristes qu’ils espèrent nombreux : Tout sera finalement prêt pour
vous recevoir !
Notez, pour revenir à notre sujet du jour, qu’à voir le niveau toujours
plus affligent des compétences exigées des élèves pour avoir leur bac, on se
doutait bien que l’enseignement n’était pas l’activité principale du ministère
dont « Jean-Mi-Bunker » à la charge.
Alors que de nombreux professeurs, dupés, croient encore honnêtement qu’ils
étaient recrutés pour instruire !
C’est en réalité devenue une administration entière qui déploie des trésors
d’ingéniosité pour s’assurer que les élèves en apprennent le moins possible
(des fois qu’ils se montrent critiques envers leurs aînés, plus tard).
À coups de circulaires, de réformes des programmes et d’expérimentations
pédagogiques toutes plus délirantes les unes que les autres, les fonctionnaires
de ce ministère ont réussi à faire passer les enseignants du rang de maître à
celui de garde-d’enfant…
Et on en aura une preuve de plus (cf. juste ci-après !).
À voir ce qu’est devenu le regretté ministère de l’Instruction publique,
on se dit qu’il est grand temps de laisser les praticiens médicaux, et non les
médecins de laboratoire pharmaceutique, s’occuper de celui de la Santé.
En ce sens cette sortie-là du « sinistre » aura au moins été
salutaire : Elle nous a rappelé ce qu’est une institution et un ministre
en roue libre, totalement déconnecté de la réalité qu’il est supposé
administrer !
Ceci dit, comme d’une confirmation (annoncée ci-avant), son ministère aura
pondu une circulaire impérieuse.
Un paragraphe d’une « fiche » publiée sur le site du ministère de
l’Éducation nationale semble valider cette idée : « Des enfants peuvent
tenir des propos manifestement inacceptables.
La référence à l’autorité de l’État pour permettre la
protection de chaque citoyen doit alors être évoquée, sans entrer en discussion
polémique.
Les parents seront alertés et reçus par l’enseignant, le cas échéant
accompagné d’un collègue, et la situation rapportée aux autorités de l’école. »
Vous avez bien lu : Interdit de colporter des informations remettant
en cause « l’autorité de l’État » omniscient et omnipotent !
Et comme dans le « ministère de la Vérité » d’Orwell, ce sont
les enfants envoyés à l’ékole qui servent de délateur de leurs propres parents !
Une technique mise au point par les nazis, Lénine et Trotski,
perfectionnée par Staline, « Mao-sait-tout » et « Popol-pot ».
« Jupiter » n’aura eu qu’à y mettre les points sur les « i ».
On se demande même si ce n’était pas une urgence que de « ficher »
les citoyens devenus dubitatifs après deux mois de confinement…
Naturellement, avec la loi Avia qui vient d’être adoptée et fait
obligation aux GAFAM de censurer toute opinion émise sur « les réseaux »
qui seraient « inadaptées » à la situation (moyennant une amende administrative
qui peut aller jusqu’à 4 % du chiffre d’affaires de la « boutique » :
Évitez donc de reprendre ce texte sur votre « Fesse-book »…), il s’agit
donc d’une « circulaire » qui manifestement tente de transformer les
enseignants en censeur, voire en dénonciateur, les enfants en délateur, ce
qu’ils ne vont sans doute pas apprécier du tout.
Déjà, les mains dans les chiottes…
Même les vieux-cocos, qui traînent encore à l’ékole de la République, pourraient
être touchés par le souvenir émouvant de cette énième victime du communisme-appliqué
et qui ont pu valider ces méthodes dans des temps anciens et dans d’autres pays…
Mais je ne sais pas s’ils seront conscients de voir où mènent leurs
utopies-passées.
Dans ces conditions, sûr et certain, aucun danger de renvoyer vos gosses à
l’ékole !
Pour eux, c’est devenu une Vérité, pour vous, c’est moins évident.
Quoique que même pour eux, comme ils sont déjà fichés depuis la maternelle,
fichés, catégorisés, mis dans des cases invisibles depuis « Bling-Bling »
alors que ça reste surtout des « citoyens en devenir », tenez votre
langue devant eux : Il pourrait leur en cuire au moment de passer un
concours (même s’ils sont assez méritants pour le réussir) ou être embauchés à
la hauteur de leurs compétences futures !
Ce genre de tentative s’inscrit bien dans la droite ligne de la loi Avia,
liberticide jusqu’à l’absurde.
D’autant qu’on sait très bien que, quels que soient les dispositifs de
censure mis en place, on trouve toujours le moyen de les contourner.
Même si cela pose d’abord le problème de l’arbitraire d’un gouvernement (qui
délègue au passage aux GAFAM « ricains » la mission régalienne de souveraineté de la « police politique ») à la dérive qui
tente de sauver les meubles !
Ce sont les suites logiques des lois Hadopi et anti-terroristes déjà
entrées dans le droit commun : Comme quoi, ça ne leur suffisait pas…
Notez, on pourra se défausser des futurs tribunaux de la « pensée politique »
en argumentant que les propos mensongers sont acceptables et même vivement
autorisés si l’on s’en tient à l’essentiel de la communication gouvernementale
depuis plus de deux mois.
Les « fake news » également, puisqu’avec son dispositif Internet baptisé «
Désinfox
Coronavirus », prématurément défunt, notre bien-aimé « Jupiter »
souhaitait déjà nous diriger vers les « bons » sites qui dénoncent les «
mauvaises » informations.
Conséquence, il faut impérativement rassurer les enfants et les parents
sur la qualité de la « bonne gestion » opérée par notre gouvernement
pendant cette période de crise.
Plus sérieusement, depuis que le 17 a été submergé d’appel de
dénonciations diverses de comportements « inciviques » de voisins
confinés, on peut vraiment s’inquiéter de ces démarches qui paraissent relever
d’une nouvelle tentative de contrôle des opinions de la population par, cette
fois, une utilisation des enfants digne des meilleures heures les plus sombres
de notre Histoire.
Quant on n’est pas « au niveau », de cette crise, de l’Histoire
et de son pays, franchement, on reste cloîtré chez soi et on ne dit plus rien :
Il serait grand-temps qu’ils en tirent les conclusions que le « bon sens
en marche » leur hurle !
L’inverse devient sinon indécent, au moins particulièrement scandaleux…
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