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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 14 mai 2020

30 ans après, le retour de l’URSS !

Qu’aura-t-on appris en 30 ans ?
 
Une génération que le mur de Berlin est tombé.
Trois-quarts de siècle après avoir mis un terme à la seconde guerre mondiale sur le continent européen (elle continuait par ailleurs encore quelques mois… jusqu’au lendemain de Nagasaki !), on en revient, pour causes conjuguées d’un « Conard-Virus » et de l’incurie de nos dirigeants politiques restés dans l’indécision – et l’aveuglement des autorités sanitaires, il faut bien le reconnaître – un peu trop longtemps, à un régime « totalitaire » de « résidence surveillée » généralisée !
Exactement à l’image de l’ex-URSS à la veille de son éclatement…
 
Vous ne vous souvenez plus de ce qu’était la vie des citoyens soviétiques de cette époque-là.
Moâ si, parce que j’y ai été.
Pas longtemps, mais j’étais si heureux de rentrer au pays : Je me suis senti chez moâ dès être assis dans l’avion (un Boeing707 si je me souviens bien) de la compagnie Gauloisienne-nationale aujourd’hui en très grande difficulté financière…
Il fallait plein de carburant pour atteindre l’altitude de croisière, par longs paliers séquencés par le contrôle aérien soviétique.
Comme en « Teutonnie-berlinoise », sur des couloirs étroits et tortueux…
Comme à l’aller…
Champagne à bord au retour, figurez-vous !
À Moscou, j’y ai dépensé plein de dollars (et à bord des « Francs-Pinay »), je suis rentré avec autant de roubles qu’on m’avait obligé à en acheter avant de partir…
Mais j’ai gueuletonné au caviar à tous les repas, jusqu’à l’écœurement (il sentait la pomme…), durant tout mon séjour.
 
À cette époque-là, tu ne pouvais pas rencontrer de russe hors les visites encadrées. Et encore. De toute façon, ceux qui n’étaient pas autorisé à avoir des contacts avec les étrangers, même dans la foule du Goum, place Rouge, ils t’évitaient sciemment, te regardant comme un pestiféré.
Tu aurais pué l’ail, la bière et le camembert en même temps, ça aurait eu le même effet.
Interdit, verbauten, forbiden, Zapreshchennyy !
 
Dans le cas contraire, ils auraient pu être longuement interrogés par la milice, la police, la sécurité d’État et pourquoi pas par le KGB, le GRU ou je ne sais quel autre service, avant d’être déporté, pour justifier d’avoir juste donné son chemin à un touriste perdu.
Un « touriste-perdu », ça n’existait pas : On était encadré par des « agents » qui n’avaient pas intérêt à en perdre un seul, sans ça ils ne rentraient pas chez eux le soir après « le service ».
J’ai dû en envoyer un ou deux au « diable-vauvert » par mégarde en « perdant » mon groupe, vite rattrapé par des agents à la gueule patibulaire, surmontés de leur « poêle-à-paëlla » vissée sur le crâne au coin de la rue suivante…
 
Tous capables de devoir justifier d’être là, à ce moment-là, pour telle ou telle raison justifiée et légitime.
On nous avait expliqué tous « ces détails » avant de partir : Pour des raisons de « sécurité » d’État, aucun moscovite ne pouvait sortir de son quartier, parfois seulement de son immeuble, sauf pour travailler, emmener les enfants à l’école ou aller faire des courses.
Sortir de la ville obligeait à avoir un permis, une permission authentifiée.
Sortir de la province restait l’exception…
 
Que crûtes-vous où vous en êtes en ce début de période de « déconfinement » ?
Tu prends les transports en commun avec ton masque (et ton titre de transport-payant) à des créneaux horaires « obligés » seulement sur autorisation spéciale.
De toute façon, le reste du temps, il y en a si peu…
Tu ne sors plus que sur justification écrite (jusque-là autodélivrée), le régime imposé de presque deux mois durant, mais tu n’as pas le droit d’aller au-delà de 100 km sans une excellente raison : Des funérailles, des personnes à l’agonie, ou la réquisition des autorités judiciaires !
Mes obligations fiscales ne rentrent même dans le cadre.
 
Exception faites des routiers… qui livrent, tout de même…
Et on ne sait toujours pas si tu peux passer une frontière pour ton bon plaisir (sauf quand tu es « frontalier », mais c’est pour aller bosser, pas pour le « fun »…) ou si tu peux te promener d’un département classé « vert » à un autre classé « rouge » et vice-versa !
Il paraît que si, mais d’ici qu’ils te mettent en quatorzaine-obligée dans un « camp de rétention » à l’aller comme au retour, il n’y a pas loin.
 
Heureusement que le ridicule ne tue plus depuis très longtemps, puisque c’est l’idée retenue pour la « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » et pour sauver la saison, les « autonomistes-Natios » veulent mettre en place un « pass-santé » !
Marrant comme idée, on a vu ça hier…
De toute façon, ils ne vont jamais pouvoir donner à bouffer à 1,5 million de touristes s’ils les obligent tous à rester confinés en quatorzaine.
Ils ne viendront donc pas, trop peur de devoir se « reconfiner » au retour d’estives.
 
Le plus drôle, ça reste toutefois que tout cela ne tient qu’à l’incurie de nos « autorités sanitaires », prises au dépourvu, faute de masque qu’on nous a d’abord interdit d’acheter et qu’on vous oblige désormais à mettre : Ubuesque !
Le pire, c’est que vous allez en redemander, tellement content de trouver un motif pour râler.
Vous râliez parce qu’on vous obligeait à télétravailler, vous râlerez de ne plus pouvoir le faire.
En deux mois, nous sommes passés d’un régime de libertés à un régime d’exception où le gouvernement peut suspendre par décret des droits fondamentaux (aller et venir, se réunir, etc.) et ce – et ça c’est nouveau ! – sans aucun horizon de temps, puisque ce sera indéfiniment renouvelé… de mois en mois !
Même s’ils ne sont pas encore capables de voter leur loi liberticide dans les délais requis…
 
L’état d’urgence pouvait se comprendre lorsqu’il correspondait à la période de confinement, dès lors qu’il lui survit, il n’est plus justifié que par la présence du « Conard-virus », dont on ne sait absolument pas quand un vaccin viendra nous débarrasser.
Il y en a tellement des virus baladeurs…
L’état d'urgence devient donc et de fait notre nouvelle règle de droit permanente.
 
En deux mois, nous sommes également passés d’une économie faisant encore une place à l’initiative privée, à un pays dans lequel, en 2020, selon les chiffres publiés par la Commission Européenne, la dépense publique représentera 63 % du PIB (+ 7 points par rapport à 2019) !
63 %, même l’URSS n’avait pas pu tenir très longtemps à ce rythme-là alors qu’après la première guerre mondiale lui a succédé une « terreur-blanche » d’une effroyable guerre civile, pour déboucher sur la seconde guerre mondiale… et le pays entrait dans une ère de paix-armée (la guerre-froide) mais restait dans une économie de guerre jusqu’à nos jours (Syrie).
Chez nous « c’est la guerre » aura dit « Jupiter », alors on est désormais en économie de guerre où tout est permis pour la finance publique : Nationalisée à hauteur de 63 % et ce avant même les prochaines nationalisations pour éviter les faillites et les destructions d’emplois !
Vous rendez-vous compte où leurs incuries (pour quelques masques) nous auront-elles précipités ?
 
Un pays de libertés restreintes et une économie administrée… nous ne savons pas ce que sera la « Gauloisie-de-demain », celle du « monde d’après », mais nous savons déjà ce qu’elle ne sera pas : Une démocratie libérale !
Je vous l’ai déjà dit : L’utopie marxiste aura vaincu.
Qu’on ne nous parle plus d’économie libérale (même avancée) : Ça n’existe plus en « Gauloisie-éternelle ».
Et ce n’est pas pour autant que le capitalisme aura été abattu : Il aura été remplacé – et depuis bien longtemps – par le capitalisme d’État, tout simplement…
Avec les mêmes travers en plus caricaturaux que ceux de l’ex-URSS, c’est-à-dire aveugle et « tyrannique » !
Le plus court chemin vers la paupérisation accélérée des masses (à soumettre).
 
La gestion de cette épidémie aura été nulle (ou presque) et chaque étape a exprimé une inaptitude-crasse à identifier au bon moment la bonne décision : Les « sachants » n’ont absolument pas compris que l’unité de temps n’était plus le mois, mais la semaine et parfois le jour. Ils ont trop souvent attendu qu’une mesure s’impose de façon évidente pour la mettre en œuvre, tardivement et avec lenteur.
D’abord le manque de réaction face à la pénurie de masques : Il était pourtant possible de corriger cette erreur entre janvier et mars, par des achats massifs et par la mobilisation de nombreuses entreprises capables de les produire.
Au lieu de ça, ils auront préféré balancer des « tutoriels » et dévaloriser l’efficacité des masques : « Le masque n’est pas la bonne réponse pour le grand public car il ne peut être porté en permanence et surtout n’a pas d'indication sans contact rapproché et prolongé avec un malade »
 
La transmission du virus était pourtant principalement produite par le nez et la bouche, le port d’un masque s’imposait, associé au lavage des mains et à l’évitement des contacts.
« Supprimer le confinement dans les habitations sans rendre obligatoire le port d’un masque quand on les quitte est une erreur majeure » en dit un virologue.
Je veux bien le croire, lui… parce que ça tombe sous le sens.
 
Le confinement, justement : Non seulement nous sommes appelés aux urnes le 15 mars, mais on choisit une forme de confinement minimaliste le 17 mars: Autorisation de faire des courses dans certains magasins sans porter de masque, de sortir pour marcher pendant une heure toujours sans masque, de poursuivre des activités non indispensables, de maintenir des transports en commun, sans égard pour les mesures barrière et là encore sans port obligatoire d’un masque.
Difficile d’y trouver une vraie cohérence médicale.
 
D’ailleurs le maintien dans leur milieu familial des personnes atteintes par le virus, et l’absence de suivi de ces personnes et de leurs proches est une mesure qui n’aura été prise que sept semaines plus tard.
Il n’était pourtant pas si difficile que ça d’isoler les porteurs du virus dans des hôtels privés de clients.
Cela exigeait simplement des moyens et une bonne organisation.
 
Enfin, déconfiner lundi dernier sans rendre obligatoire le port d’un masque quand on quitte son logement (mais seulement qu’on entre dans un métro ou un bus) est également une erreur majeure : Le masque doit assurer un confinement externe (protection au dehors) compensant la fin du confinement interne (dans les habitations).
Il est si peu contraignant (sauf pour moâ quand j’en grille une) et les pays qui ont actuellement les meilleurs résultats ont rendu obligatoire son usage : Les exemples sont nombreux à travers la planète.
 
Notez que la taille d’un logement modifie également les risques de contamination : Ce n’est pas un hasard si le « Conard-virus » tue deux fois moins dans les Yvelines qu’en Seine-Saint-Denis. C’est une forme de « débilité sociale » qui ne veut surtout pas faire la différence entre l’Élysée et « un deux-pièces de 20 mètres carrés. »
À croire qu’il n’y en a pas, même si ce qui compte, bien sûr, reste « la charge virale » dans un volume donné, la densité de « virus-vagabondeur » dans l’air.
Les tempêtes du début de semaine vont délayer cette charge-virale.
L’épidémie va s’arrêter toute seule si les vents persistent.
Mieux que l’eau de Javel de « McDo-Trompe » ou les chaleurs estivales qui n’arrivent pas !
 
Que d’erreurs : Pas étonnant que la côte de confiance ce soit effondrée (sauf parmi les décervelés). Pour tout dire je reste scotché de constater que, les appels à l’unité nationale soit restés lettre-morte, même derrière les « avis scientifiques » (qui auront un temps pris le pouvoir au pouvoir, pour finalement le perdre faute d’un discours clair et limpide), et que « l’ancien-monde » se rappelle au bon souvenir des citoyens : « Menuet-Valse », exilé à Barcelone, a même alimenté l’idée d’un retour début mars en indiquant que : « Je considère qu’à 57 ans je ne suis pas totalement terminé ».
Le fat imbu de lui-même…
Son ex-rival « Art-No-Monte-et-bourre-la », ex-sinistre du « dressement reproductif » de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » en a profité pour nous remettre la piqûre au sujet de son projet de « démondialisation » et de « patriotisme économique ».
« Rose-Lyne-le-pompon-rose » (dite « Bâche-l’eau ») est même revenue nous expliquer le principe de précaution : « J’ai été moquée mais je suis persuadée, et les éléments le prouvent, que la théorie de la préparation, de la préparation maximum, est la bonne ».
Un autre « ex-sinistre-de-la-bonne-Santé », « Phiphi-d’Ouste-Blabla-z’y » en a également fait son retour sur les plateaux-télés : Il défend notamment le traitement à la chloroquine pour les patients atteints du « Conard-virus » et aura lancé une pétition, recueillant plus de 500.000 signatures.
Pas probant auront tranché les essais cliniques, comme beaucoup d’autres…
 
Les limites des « sachants » qui ignorent eux-mêmes l’étendue de leur ignorance quand il s’agit de leur métier.
Ils me font penser au toubib qui voulait que je maigrisse et qui aura pris 30 kilos entre deux visites…
Tous les toubibs savent qu’on ne soigne pas d’un virus. On soulage seulement les organismes atteints pour leur donner le temps de s’auto-immuniser.
Bref, il y aura eu des tartes en travers de la tronche qui se seront perdues dans la nature.
 
Incuries, tout du long de la chaîne de décision, un pays qui plonge tête baissée dans le léninisme-stalinien le plus hard et ils en pensent qu’on sera tous contents si on peut se casser en vacances après cette éreintant épisode liberticide.
Moâ, je demande à voir : Je l’ai déjà dit, on n’aurait probablement pas mieux fait en leurs lieux et places avec les éléments qui leur auront été présentés.
Mais au moins, on aurait certainement eu la décence de ne pas s’en glorifier !
C’est un minimum d’humilité qui manque le plus à tous ces « sachants »…
 
Trente ans plus tard, ils n’auront même pas appris ça.
Dans trente ans, qu’en retiendront nos gamins ?

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