Quelles sont les
situations dans lesquelles le risque d’infection est le plus élevé ?
Ce qu’il y a de bien, c’est qu’au fur et à mesure de la progression de la
pandémie de coronavirus dans le monde, les scientifiques ont pu analyser les
principaux modes de transmissions du virus.
Et quelles ont donc les situations de la vie courante qui présentent un
risque important de transmission du « Conard-virus » ?
Très simple, et c’est sûr et certain que ça va vous faire aimer vos
semblables : Pas sûr que vous ayez envie de « zouker » avec
n’importe qui pris au hasard de vos rencontres.
Personnellement, je me souviens parfaitement des années « MST »
qui ont précédé les années SIDA (une épidémie toujours pas maîtrisée, disons-le
au passage).
Bon, on ne « sortait que couvert ».
Désormais, plus question de drague sans avoir un certificat sérologique de
présence d’anticorps du « Conard-virus » ou un test négatif récent, en
bonne et due forme. Ou alors, c’est prendre le risque de se faire contaminer.
Notez, ça ne durera probablement qu’un temps. Parce que, hein, les « hormones »,
ça pousse.
Mais ça restera un frein à la reproduction de l’espèce, un des objectifs
des « maîtres du monde » : Ils ont besoin d’à peine un milliard
d’individus pour leur fournir à becqueter et assurer leur confort, pas plus…
D’autant qu’on vous explique (notamment chez les « écolologistes »
subventionnés) et sur toutes les longueurs d’onde que c’est bon pour la planète !
Parce que soyons clairs : Seulement 6 % de la population aura été en
contact avec le « Conard-virus ». Et encore, c’est un chiffre
« fort ».
Sur ces 6 %, environ 10 % auront été malades.
Et sur ces malades, seulement (et heureusement) un quart en sont morts
(durablement) = 1,5 pour 1.000.
Ce qui fait tout de même des centaines de milliers de mort…
Deux fois plus que pour une banale grippe saisonnière, mais très loin des
ravages de la peste ou même de la grippe espagnole.
D’autant que si le SIDA visait des communautés particulières (gay et
drogué), le « Conard-virus » n’atteint de façon létale principalement
que les seniors (âge médian : 77 ans) et ayant des risques de comorbidité
avérés (sinon nombreux).
Bref, déjà des morts en sursis…
Jusqu’au moment où on va s’apercevoir que la plupart s’était fait vacciner
(c’est un public de choix) contre la grippe passagère.
Si vous faites une relation de « cause à effet », je vous colle
un procès pour plagier mon futur roman (celui de l’année prochaine) : Vous
êtes prévenus !
Il est hors de question d’alerter qui que ce soit contre une campagne massive
de vaccination, même obligatoire…
Mais vous aurez probablement été interpelés par l’aventure de l’équipage
du Charles-de-Gaulle, notre unique PAN mis en panne à Toulon.
Les marins de la Royale, ça voyage partout et c’est vacciné contre tout.
Il n’empêche, un mek fait escale à terre et met à peine quelques jours à
infecter quasiment tout l’équipage : 1.200 porteurs de pompon rouge !
Expliquez-moi ?
Bon d’accord, la promiscuité à bord a forcément joué un rôle important
sinon indiscutable. D’accord.
Mais quasiment tous vivent au grand-air du large, tous sont vaccinés
contre tout et tous sont contaminés.
Et hop, un équipage en moins, tous en quatorzaine, peu de malades,
quelques-uns hospitalisés, un seul en réanimation (on ne sait pas si c’est le
doyen d’âge, le « pacha » ou le toubib du bord, celui qui s’est fait
une « charge virale » maximale), mais tous guéris au bout de
quelques-jours.
Et aptes au service pour reprendre une patrouille…
Étonnant, non ?
En revanche, ce qu’on sait désormais, c’est que des études récentes ont
montré que la parole émettait de minuscules gouttelettes qui peuvent rester
suspendues dans l’air entre huit et quatorze minutes dans un milieu clos.
Avant même de développer des symptômes, les patients atteints du « Conard-virus »
peuvent également contaminer les objets autour d'eux, comme les draps ou les
poignées de portes, selon une étude chinoise publiée lundi de la semaine passée,
par les autorités sanitaires américaines.
Donc évitez les boutons d’ascenseur de vos tours de bureaux (je ne vous
dis pas ces futurs « déserts verticaux » !) et privilégiez les
conversations téléphoniques au lieu des bouches-à-bouches entre deux paires de
bougies autour d’une table.
D’autres études mettent en avant des niveaux de risque variés en fonction
du temps passé en compagnie d’une personne malade ou des circonstances de la
rencontre. Ainsi, une chercheuse de l’université de Saint-Andrews, Muge Cevik,
a passé en revue sur « Twister » un grand nombre d’entre elles :
La plupart tendent à montrer que la majorité des contaminations observées ont
lieu au sein d’un même foyer, dans les transports, dans des maisons de retraite
ou de soins, et dans d’autres lieux clos.
Les maisons closes sont fermées en « Gauloisie-de-la-luxure »,
les foyers monoparentaux sont les plus nombreux (restez encore célibataire), la
retraite, évitez de la prendre trop tôt, n’allez surtout pas à l’hôpital (ni
dans un cabinet médical), c’est le plus sûr moyen d’en revenir contaminé (ou
seulement malade) et privilégiez votre automobile personnelle…
À défaut, un vélo, c’est presque mieux.
En fait, il faut relativiser : L’étude chinoise porte sur 157 cas de
coronavirus et 2.147 personnes qui ont été en contact avec ces derniers et note
ainsi que seuls 6 % de ces cas contacts ont été infectés par le virus.
Pour les amis des personnes infectées au coronavirus, cette proportion
s'élève à 22 % et à 17 % pour les personnes logeant dans le même foyer.
Vous avez pigé : Si ce n’est déjà fait, larguez vos moitiés et
envoyez vos gamins vivre au champ, à l’ékole, loin de vous en pension complète,
c’est pour leur bien !
D’autres études en « Gauloisie-éternelle », à Taïwan, aux États-Unis
ou en Islande aboutissent à des résultats similaires. Mais notez que dans ce
dernier pays, outre le certificat de séronégativité au SIDA, ils ont déjà
coutume de vérifier dans leurs archives familiales le degré de cousinage entre
eux…
Il faut comprendre : C’est une île posée loin de tout.
Une étude menée à Chicago montre ainsi que la plupart des personnes
contaminées par seize patients malades du « Conard-virus » les
avaient rencontrés lors de repas de famille ou lors d’un enterrement.
Évitez les enterrements (même de vie de garçon), c’est dangereux !
D’autres observent la propagation rapide du virus dans des maisons de
soins, ou encore dans un refuge pour sans-abri à Boston.
Les églises, que ce soit en Corée ou à Mulhouse et encore ailleurs,
semblent également propices à la propagation.
La prière, c’est une méditation personnelle, presqu’intime.
Sauf chez les « cathos-papistes » où évoquer Jésus, l’évoquer
seulement, même à deux, et Il est là…
Ça marche à tous les coups !
Ces observations semblent pour l’instant se vérifier dans les nouveaux «
clusters » observés en « Gauloisie-maladive » depuis le début du
déconfinement : Hôpitaux, abattoirs, collèges, résidences pour jeunes
professionnels…
La plupart de ces foyers d’infection sont des lieux clos où les malades du
« Conard-virus » ont été potentiellement longtemps en contact avec d’autres.
Notez que ma boulangère a été KO quinze jours, « covidée » pour
de bon.
Elle a repris son service : Ses croissants sont incontournables pour
avoir un « croustillant » phénoménal.
Par ailleurs, même ma « nichée » a été « suspectée »
d’être infectée.
Et moâ de la bisouter à la première occasion, trop heureux d’être encore
de ce monde d’hurluberlus pour la voir grandir.
Un, ce n’était pas du « Conard-virus » mais une simple angine de
Vincent (tu morfles…) deux, j’ai déjà été infecté en décembre dernier, à l’époque
de Noël, avec une fièvre carabinée et une mauvaise toux (soignée à coups de
Grog).
Trois, je n’étais heureusement vacciné de rien.
Quatre, quand mon « neveu » (pas celui qui fait
« génie-de-la-famille » mais l’autre, tout autant génial, mais il ne
le sait pas encore…) nous a reçu pour son anniversaire avant le confinement
généralisé, il avait de la fièvre à presque ne plus pouvoir tenir debout :
Zéro effet sur ma fragile santé !
Mais lui, il a mis du temps à récupérer. Ce qui tombait bien, on était
déjà tous en garde-à-vue chez soi…
Mais notez qu’une meilleure connaissance des modes de transmission du
virus est indispensable pour mettre en place des mesures barrières susceptibles
de freiner sa propagation après la fin du confinement, évidemment.
Dans un guide publié le 7 mai en prévision du déconfinement, « Santé
publique Gauloisie » définit ainsi quels « cas contacts » devront être
testés : Les personnes considérées comme les plus à risque sont définies
comme celles qui ont « partagé le même lieu de vie que le cas confirmé ou
probable », « eu un contact direct avec un cas, en face-à-face, à moins
d’un mètre, quelle que soit la durée (ex. conversation, repas, flirt,
accolades, embrassades) », « partagé un espace confiné (bureau ou salle
de réunion, véhicule personnel…) pendant au moins 15 minutes avec un cas ou
resté en face-à-face avec un cas durant plusieurs épisodes de toux ou d’éternuement
».
Inutile de vous dire qu’il n’y aura pas grand-monde dans les bureaux de
vote du second tour des municipales…
Déjà que le premier tour était une hérésie, là, on vous prévient
clairement que c’est à vos seuls « risques & périls » !
C’est vous dire si ça m’amuse follement…
Les personnels enseignants ou soignants, ainsi que les élèves d’une même
classe, en font aussi partie. En revanche, « des personnes croisées dans l’espace
public de manière fugace ne sont pas considérées comme des personnes contacts à
risque », précise l’agence nationale de santé publique.
Ouf, on pourra encore draguer à la sauvette !
Sans lendemain, selon la formule consacrée…
Chez nous, on aurait « une approche statistique concernant le risque
», explique un virologue. Une façon « adaptée en fonction du niveau de
testing qui est disponible » : Comme on n’a toujours pas les moyens de
tester tout le monde, on ne teste donc que les personnes les plus exposées, une
approche « classique pour juguler une épidémie », note le spécialiste.
En Espagne, moins kon (où l’on vient d’imposer le port du masque dans les
lieux publics bien que ça ne serve à rien chez nous… puisqu’on « ne
sait pas s’en servir ») ainsi que dans d’autres pays qui sont pour l’instant
parvenus à limiter drastiquement la progression du virus, comme Singapour, ils ont
pour politique d’isoler systématiquement de leur famille toutes les personnes
testées positives au « Conard-virus ».
Il faut dire que c’est moins kon que d’enfermer tout le monde : C’est
d’ailleurs ce qu’on faisait à une époque pas si reculée que ça avec les
léproseries (et ça existe toujours… notamment à Fontilles, en Espagne, qui
accueille toujours une quarantaine de malades).
Tu bannis l’infecté et c’est suffisant.
Ou tu ouvres des lazarets. Si ça a été inventé, ce n’était pas pour des
prunes…
Mais attention, on vous garde un sabre au-dessus du crâne (pardon, une
épée de Damoclès au-dessus de la tête) : « Si les mesures
barrières ont été fixées à un niveau approprié », pas de problème, mais si
le nombre de nouveaux cas repart à la hausse, un reconfinement n’est pas à
exclure !
Je ne te raconte pas la politique anxiogène qu’ils persistent à mener :
Et tu veux aller les faire voter dans plus 3.000 municipalités ?
Non mais, tu ne peux pas les laisser tranquille, partir en vacances (déjà
qu’ils n’iront pas très loin, vu qu’ils n’ont plus de sou et qu’on n’en veut
pas ailleurs), sauf à aimer l’idée d’être mis en quarantaine arrivé à Douvres
et de repartir pour se remettre en quarantaine une fois revenu à Calais…
« À nous les petites-anglaises » pour quelques séjours
linguistiques, c’est définitivement d’un autre millénaire !
Complètement dépassé…
En conclusion, on ne peut pas dire que l’on en sache très beaucoup sur
tous ces sujets : Ça tombe très bien !
On veut que vous retourniez bosser, mais pas trop loin, parce que bon,
mettre à l’arrêt un tiers de la population active durant 2 mois, ça coûte une
blinde et ça met à terre l’économie d’un pays (qui n’en demandait pas tant) et
de pouvoir vous faire rentrer fissa durant la période estivale si jamais
les « indicateurs » repassent au rouge/orange.
Tiens donc : Les gueux avaient obtempéré une première fois, il faut
pouvoir « tirer sur la laisse » pour que le patronat puisse payer
impôts et charges, sans ça, ce n’est plus tenable !
Attendez-vous donc à ce qu’après la votation fin juin, les autorités
tirent la sonnette d’alarme avec rage.
Et que l’on vous organisera bien un « monde d’après » où les inutiles
« troisième ligne » soit laissées pour compte : On ne pourra probablement
pas faire autrement avant longtemps.
À part fournir à bouffer et soigner ce qui peut encore l’être (plus « l’ordre »
à maintenir, naturellement), le reste, toutes ces « inutilités-superflues »
qui faisaient aussi partie du « plaisir de vivre », ma foi… vous en
serez privés pour un bon bout de temps.
Les « hérétiques-huguenots » aiment bien la perspective : « La
vie n’est pas une fête », me suis-je laissé scotcher par l’un d’eux
lors de ma lointaine jeunesse.
D’autant que probablement, il vous faudra « vivre avec » ce « Conard-virus »,
votre immunité, même collective, n’étant pas du tout assurée d’une année sur l’autre.
Quelle opportunité pour les « Maîtres du monde » !
C’est dire…
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