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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 30 mars 2020

Petit conte de fée

Coronavirus ? C’était prévu !
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Les lettres-Ummos (cette civilisation extra-terrestre qui « nous guiderait ») l’avait indiqué dès 2015 : Crise mondiale à prévoir en 2020 !


Une information tombée par voie de « Twist » (ils sont au fait de la modernité) aux héritiers des « (f)Ummistes » de la « Baleine-Joyeuse » madrilène qui relayent encore leurs fadaises depuis les années 50 (du siècle précédent, d’un autre millénaire).
Je sais, j’en connais quelques-uns grâce à feu le « Capitaine Haddock », féru d’exobiologie depuis qu’il a croisé un Ovni au-dessus de « Paris-sur-la-plage » alors qu’il était aux commandes de son A320 entre Nice et London.
Il m’en avait fait part et a été la vedette de plusieurs forums consacrés au sujet, dans la mesure où son « contact-visuel » a été confirmé par un spot-radar du contrôle aérien « Gauloisien » !
 
Pour ma part, je n’ai pas à être convaincu : J’en ai croisés aussi quelques-uns, dont le dernier survolait « Paris-sur-la-plage » il y a quelques années maintenant, à basse altitude et faible vitesse, silencieux et sans feu de navigation en pleine nuit (il faisait seulement « tâche » sous les nuages qui étaient éclairés par la ville, alors que lui ne reflétait rien), sur un axe Ouest-Est au-dessus du quartier Saint-Germain alors que j’en grillais une cette nuit-là.
Une observation confirmée par un témoin, prof’-agrégé d’histoire-géo, qui se baladait avec son épouse sur le Pont des Arts.
Et puis, de toute façon, plus rien ne peut me surprendre sur ces sujets, depuis l’épisode de mes « On ».
J’en ai fait une relation sur l’ancien blog, aussi complète que possible et à chaud, que je reprendrai peut-être un jour sur celui-ci, même si l’épisode m’aura laissé un très mauvais souvenir (qui s’estompe heureusement au fil du temps) : On se promène tous avec ses blessures récoltées au fil de la vie et on ne s’en défait pratiquement jamais…
Traumatisant.
 
Ceci dit, probablement que les Ummos se désespéraient de voir une fois de plus toutes leurs prophéties échouer les unes derrière les autres – notamment sur le plan monétaire depuis que les banques centrales lisaient mes analyses (et parfois même ce blog-ci) pour avoir trouvé la parade à toutes les crises – te vous ont inventé un petit-virus sorti de derrière leurs fagots.
Pas plus dangereux qu’Ebola, mais qui devait provoquer une belle panique si le choix du pays était judicieux.
L’Afrique et les pays occidentaux, c’était mort : Ils sont trop bien organisés ou trop excentrés. L’Asie, c’était bien, mais ni la Corée, ni le Japon, ni Formose, ni Singapour également trop bien organisés.
Donc la « Chine-coco », une jolie petite dictature, bien formatée pour faire peur et prendre des mesures anxiogènes qui ferait tâche d’huile.
Et ils t’ont bazardé une petite météorite infectée d’un virus commun mais pas encore connu sur Terre du côté de Wuhan (un tir loupé en réalité, c’est compliqué d’être précis), au sud de la ville exactement, le 11 octobre dernier.
Ce n’était pas le premier essai (de laboratoire) mais là, la mayonnaise a pris.
 
Comme d’habitude, les animaux ont été les premiers infectés et comme un Chinois ça mange à peu près n’importe quoi, au mois de novembre, les premiers malades sont infectés-détectés dès le 14 décembre. Probablement un peu avant pour se confondre avec le grippe saisonnière, mais on ne savait pas vraiment faire la distinction.
D’ailleurs, puisqu’on on confond aussitôt cette épidémie avec celle classique de grippe saisonnière, le pouvoir central ne veut rien savoir et se cantonne dans le déni : Un grand classique dans ce grand pays de liberté…
Ceci dit, à force de lanceurs d’alerte, ils se décident à prendre des mesures radicales de mise en quarantaine abrupte de millions de personnes dans leurs provinces juste au moment des festivités du nouvel-an : Trop tard !
Et c’est le stress mondial rêvé : Les Ummos vont pouvoir en tester les conséquences politiques.
 
Lorsque les premiers cas de cette nouvelle pneumonie virale sont détectés à Wuhan, en Chine, on est loin d’en faire les gros titres et personne ne semble s’inquiéter. Le risque d’une introduction en Europe est jugée « faible », même s’il « ne peut pas être exclu », déclare ainsi le 21 janvier « Agnelle-Buzz-Yn » alors « sinistre de la Bonne Santé », (en fait elle dira plus tard qu’elle savait déjà, pour avertir ses collègues du Gouvernement le 11 janvier que maintenir les municipales était une ineptie, et c’est probablement pour ça qu’elle a été désignée volontaire pour remplacer « Gris-Veau » à l’arraché), tandis que la Chine compte déjà plusieurs décès et 300 malades et commence à bâtir des hôpitaux de campagne gigantesques en quelques jours.
Tout en accusant, pêle-mêle, les USA, le Canada, d’être à l’origine du désastre, alors que leur laboratoire « P4 » situé dans la même ville aurait très bien pu « fuir » un animal infecté par une manipulation…
 
D’ailleurs, ça n’a pas trainé, même en « Gauloisie » on rapatrie en urgence des « pseudo-contaminés », imité par tous les « grands-pays » du globe avec plus ou moins d’empressement.
Car, il y a un peu plus d’un mois, malgré un premier mort, l’épidémie sur le sol Gauloisien semblait inimaginable, comme partout ailleurs.
Mais en l’espace de quelques semaines les contaminations se sont envolées, projetant tous les pays dans une crise d’une toute nouvelle dimension !
 
Si le 21 janvier, si le risque d’introduction du virus reste « faible » pour les autorités « Gauloisiennes », quelques jours plus tard, le 24 janvier, trois premiers cas sont confirmés dans l’Hexagone : Un Bordelais de retour de Chine et un couple de trentenaires chinois. Dans les jours suivants, neuf autres cas sont détectés. Le ministère de la Bonne Santé commence ses points de situation quasi-quotidiens, diffusés en direct par les chaînes d’information en continu.
C’est lors de l’un d’entre eux que le 15 février, la encore « sinistre » avant de devenir la battue municipale parigote annonce, la mine sombre, la mort la veille à l’hôpital Bichat de l’un des douze malades, un touriste chinois de 80 ans : « C’est le premier hors d’Asie, le premier en Europe », souligne-t-elle à la veille de sa démission pour briguer la mairie des Parigots-bobos.
 
Malgré ce décès, à fin février, tous les autres patients contaminés sont sortis de l’hôpital, guéris. Aucun nouveau cas n’a été détecté en deux semaines. Et malgré l’inquiétude des riverains, aucun des plus de 300 « rapatriés de Wuhan » passés par des centres de quarantaine n’a été testé positif : Pas très virulent le virus.
Sauf qu’il mute probablement…
Et la rémission apparente est trompeuse. De l’autre côté des Alpes, la « Ritalie » prend des mesures pour isoler des foyers de contamination dans le nord du pays. Ce qui change tout : « L’épidémie est à nos portes », met en garde le nouveau sinistre de la Bonne Santé le 25 février.
Pas de contrôle à la frontière, sauf du côté du pays infecté-grave.
 
26 février : Premier mort « Gauloisien ». Quelques heures plus tard, c’est confirmé : Le numéro deux du ministère Jérôme Salomon annonce deux nouveaux cas, dont le premier lié à la « Ritalie ».
Et un premier mort est à déplorer, un enseignant originaire de l’Oise, sans contact avec la Chine ni avec la « Ritalie »…
Autour de chaque cas, un jeu de piste est lancé pour retrouver toutes les personnes entrées en contact avec le malade et si besoin les confiner pour limiter la contagion.
En quelques jours, c’est l’emballement.
Les contaminations se multiplient brusquement et la barre des 100 cas est atteinte le 29 février.
 
Pour tenter de freiner le virus, les rassemblements de plus de 5.000 personnes en milieu fermé sont interdits ainsi que certains événements en extérieur. Des restrictions plus fortes sont prises dans les foyers principaux dans l’Oise, la Haute-Savoie, puis ce sera au tour du Morbihan, du Haut-Rhin…
Dans un pays alors passé au « stade 2 » de la progression de la maladie, avec plusieurs foyers qui rendent l’épidémie quasiment inéluctable, c’est la ruée sur les masques de protection.
Le gouvernement décide de les réquisitionner pour les réserver aux soignants et aux malades. Le prix des flacons de gel hydroalcoolique s’envole, forçant le ministère de l’Économie à les encadrer, puis à en augmenter le tarif.
 
Le président « Jupiter » en appelle au « bon sens » alors que le bilan s’alourdit à neuf morts et près de 600 cas le 6 mars (et encore bien plus plus tard).
Ne plus se saluer en se serrant la main, se laver les mains régulièrement, tousser dans son coude, appeler le 15 en cas de symptômes… Les messages anxiogènes d’alerte passent en boucle sur les radios ou dans les couloirs du métro.
Le compteur continue de grimper. Le seuil symbolique des 1.000 cas est dépassé et le gouvernement interdit les rassemblements de plus de 1.000 personnes le 8 mars, une décision qui frappe le monde du spectacle, déjà au bord de l’asphyxie.
Alors que le « sinistre de la Cul-ture » et plusieurs députés sont contaminés, les mesures de protection sont renforcées autour du président qui modifie son agenda pour monter en première ligne dans la bataille contre le virus.
 
Côté économique, la spirale infernale continue : L’activité déjà ralentie par l’arrêt des usines chinoises qui a perturbé les chaînes d’approvisionnement subit de plein fouet la chute de la demande provoquée par les mesures de confinement décidées à travers le monde.
Les mesures pour faire face à cette crise « coûteront des dizaines de milliards d’euros », prévient le ministre de l’Économie.
Face à cette situation extraordinaire, ce jeudi soir-là, le président change de ton et d’échelle face à « la plus grave crise sanitaire depuis un siècle », qui a fait désormais 79 morts pour plus de 3.600 cas. Devant 25 millions de téléspectateurs – un record pour une déclaration officielle –, il annonce la fermeture dès le lundi suivant de toutes les crèches, écoles, collèges, lycées et universités jusqu’à nouvel ordre.
Mais maintient les élections municipales.
 
Dans la foulée, les rassemblements de plus de 100 personnes sont interdits, signant la fermeture du Louvre, de la Tour Eiffel et du château de Versailles. Le foot tricolore décide aussi un temps mort jusqu’à nouvel ordre. Les messes se disent en petit-comité, les compagnies aériennes s’affolent, les hôtels et restaurants se vident à l’allure des gondoles qui sont pillées dans les magasins…
Des mesures draconiennes exceptionnelles, mais pour combien de temps ?
Au moins plusieurs semaines : Un véritable casse-tête pour les parents et les entreprises.
 
Mais aussi un défi extraordinaire pour les soignants des hôpitaux à qui le gouvernement a promis « tous les moyens financiers nécessaires » qu’ils n’ont jamais obtenu malgré des mois de grève, pour pouvoir traiter les 5 % de contaminés qui seront victimes de formes graves de la maladie.
« Nous sommes au début d’une épidémie d’un virus inconnu, je ne peux absolument pas vous affirmer les yeux dans les yeux aujourd’hui que je sais exactement quelle sera l’ampleur de l’épidémie », a reconnu le nouveau sinistre de la Bonne Santé, quasi inconnu il y a un mois et qui écume désormais les plateaux télé pour tenter de rassurer la population : Il fait autorité pour avoir été toubib avant de faire « politique » dans le civil.
 
L’épidémie devient rapidement mondiale : Aucun pays n’est épargné sans qu’on sache vraiment où se situe à chaque fois le « patient zéro » d’une zone donnée.
Et les frontières finissent par se fermer, même chez les « autistes anglo-saxons ».
Il faut dire que la pandémie n’est pas que médicale : L’objectif (f)Ummiste est enfin atteint, les marchés financiers s’effondrent, anticipant les chutes d’activité de l’usine du monde qui ne produit plus et consomme beaucoup moins, les banques centrales déversent des milliers de milliards de monnaie gratuitement, les produits pétroliers s’écoulent à vil prix et même la « devise-barbare », l’or, vrille ses cours : Il faut dire que personne ne mange d’or, même en confinement et qu’il est temps de prendre ses bénéfices et de se rendre liquide pour saisir les opportunités qui vont se présenter.
Côté avantageux de la chose, la délinquance de rue s’effondre et les manifestations sur la voie publique sont interdites.
 
C’est l’effet-pervers de l’expérimentation (f)Ummiste : Les Libertés-Pue-Bliques passent sous le boisseau, à la trappe, comme effacées, mises entre parenthèses dont on ne sait pas quand elle va se refermer.
Et tout le monde s’y plie sans heurts, tous mûrs pour une vraie dictature, sans contre-pouvoir ! Là, ce n’est jamais qu’une répétition générale.
Le rapport d’activité de l’expérience (f)Ummiste énoncera que, quel que soit le pays et le régime politique qui y règne, c’est la Liberté qui aura perdu du terrain.
Il n’y avait que deux possibilités de limiter la casse et de « tuer » le coronavirus : Contrôler ou enfermer les gens.
Et curieusement, dans les pays « avancés » et beaucoup d’autres, on enferme et on ferme, quitte à se ruiner… plus tard.
Le seul qui contrôle jusque dans les rues, c’est un État Sud-Coréen avec un certain succès grâce aux technologies nouvelles qui tracent absolument tout le monde.
La Chine trace aussi et avec obstination, mais à un moment, au démarrage de la pandémie, les autorités se sont laissées débordées et ont préféré mettre en quarantaine, quitte à ruiner le pays (et ses citoyens).
 
Voilà un petit-conte qui en dit long sur l’avenir de vos démocraties électives :
– Une élection peut être reportée sine die au premier motif venu sans que ça n’émeuve qui que ce soit : Elles ne veulent plus rien dire.
– Le pouvoir n’appartient plus au citoyen (par les urnes ou par la rue) mais aux « sachants » en place à ce moment-là, qui n’hésiteront pas à tout faire pour le garder (pour votre bonheur).
– On délègue désormais aux robots (et autres drones) le sort des gens jusque dans la rue, et avec succès. C’est un arbitraire comme un autre, mais celui-là est largement accepté (pour votre bonheur).
– Et quand ça ne suffit pas, on envoie la force publique et l’armée pour vous entraver (pour votre bonheur).
Et même cela est finalement bien accepté : On adhère unanimement par « bon sens » partagé, figurez-vous !
 
Et moâ, je suis colère : J’ai été privé d’un séjour en Balagne : Merci les (f)Ummistes !

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