Coronavirus ? C’était prévu !
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Les lettres-Ummos (cette civilisation extra-terrestre
qui « nous guiderait ») l’avait indiqué dès 2015 : Crise
mondiale à prévoir en 2020 !
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
Une information tombée par voie de « Twist »
(ils sont au fait de la modernité) aux héritiers des « (f)Ummistes »
de la « Baleine-Joyeuse » madrilène qui relayent encore leurs
fadaises depuis les années 50 (du siècle précédent, d’un autre millénaire).
Je sais, j’en connais quelques-uns grâce à feu le « Capitaine
Haddock », féru d’exobiologie depuis qu’il a croisé un Ovni au-dessus de « Paris-sur-la-plage »
alors qu’il était aux commandes de son A320 entre Nice et London.
Il m’en avait fait part et a été la vedette de
plusieurs forums consacrés au sujet, dans la mesure où son « contact-visuel »
a été confirmé par un spot-radar du contrôle aérien « Gauloisien »
!
Pour ma part, je n’ai pas à être convaincu : J’en
ai croisés aussi quelques-uns, dont le dernier survolait « Paris-sur-la-plage »
il y a quelques années maintenant, à basse altitude et faible vitesse, silencieux
et sans feu de navigation en pleine nuit (il faisait seulement « tâche »
sous les nuages qui étaient éclairés par la ville, alors que lui ne reflétait
rien), sur un axe Ouest-Est au-dessus du quartier Saint-Germain alors que j’en
grillais une cette nuit-là.
Une observation confirmée par un témoin, prof’-agrégé
d’histoire-géo, qui se baladait avec son épouse sur le Pont des Arts.
Et puis, de toute façon, plus rien ne peut me
surprendre sur ces sujets, depuis l’épisode de mes « On ».
J’en ai fait une relation sur l’ancien blog, aussi
complète que possible et à chaud, que je reprendrai peut-être un jour sur
celui-ci, même si l’épisode m’aura laissé un très mauvais souvenir (qui s’estompe
heureusement au fil du temps) : On se promène tous avec ses blessures
récoltées au fil de la vie et on ne s’en défait pratiquement jamais…
Traumatisant.
Ceci dit, probablement que les Ummos se désespéraient de
voir une fois de plus toutes leurs prophéties échouer les unes derrière les
autres – notamment sur le plan monétaire depuis que les banques centrales lisaient
mes analyses (et parfois même ce blog-ci) pour avoir trouvé la parade à toutes
les crises – te vous ont inventé un petit-virus sorti de derrière leurs fagots.
Pas plus dangereux qu’Ebola, mais qui devait provoquer
une belle panique si le choix du pays était judicieux.
L’Afrique et les pays occidentaux, c’était mort :
Ils sont trop bien organisés ou trop excentrés. L’Asie, c’était bien, mais ni
la Corée, ni le Japon, ni Formose, ni Singapour également trop bien organisés.
Donc la « Chine-coco », une jolie petite
dictature, bien formatée pour faire peur et prendre des mesures anxiogènes qui
ferait tâche d’huile.
Et ils t’ont bazardé une petite météorite infectée d’un
virus commun mais pas encore connu sur Terre du côté de Wuhan (un tir loupé en
réalité, c’est compliqué d’être précis), au sud de la ville exactement, le
11 octobre dernier.
Ce n’était pas le premier essai (de laboratoire) mais
là, la mayonnaise a pris.
Comme d’habitude, les animaux ont été les premiers
infectés et comme un Chinois ça mange à peu près n’importe quoi, au mois de
novembre, les premiers malades sont infectés-détectés dès le 14 décembre. Probablement un peu avant pour se confondre avec le grippe saisonnière, mais on ne savait pas vraiment faire la distinction.
D’ailleurs, puisqu’on on confond aussitôt cette épidémie avec
celle classique de grippe saisonnière, le pouvoir central ne veut rien
savoir et se cantonne dans le déni : Un grand classique dans ce grand pays de liberté…
Ceci dit, à force de lanceurs d’alerte, ils se
décident à prendre des mesures radicales de mise en quarantaine abrupte de
millions de personnes dans leurs provinces juste au moment des festivités du
nouvel-an : Trop tard !
Et c’est le stress mondial rêvé : Les Ummos vont
pouvoir en tester les conséquences politiques.
Lorsque les premiers cas de cette nouvelle pneumonie
virale sont détectés à Wuhan, en Chine, on est loin d’en faire les gros titres
et personne ne semble s’inquiéter. Le risque d’une introduction en Europe est
jugée « faible », même s’il « ne peut pas être exclu »,
déclare ainsi le 21 janvier « Agnelle-Buzz-Yn » alors « sinistre de la Bonne Santé », (en fait elle dira plus tard qu’elle savait déjà, pour avertir ses collègues du Gouvernement le 11 janvier que maintenir les municipales était une ineptie, et c’est probablement pour ça qu’elle a été désignée volontaire pour remplacer « Gris-Veau » à l’arraché), tandis que la Chine compte déjà plusieurs décès et
300 malades et commence à bâtir des hôpitaux de campagne gigantesques en quelques
jours.
Tout en accusant, pêle-mêle, les USA, le Canada, d’être
à l’origine du désastre, alors que leur laboratoire « P4 » situé dans
la même ville aurait très bien pu « fuir » un animal infecté par une
manipulation…
D’ailleurs, ça n’a pas trainé, même en « Gauloisie »
on rapatrie en urgence des « pseudo-contaminés », imité par tous les « grands-pays »
du globe avec plus ou moins d’empressement.
Car, il y a un peu plus d’un mois, malgré un premier
mort, l’épidémie sur le sol Gauloisien semblait inimaginable, comme partout ailleurs.
Mais en l’espace de quelques semaines les
contaminations se sont envolées, projetant tous les pays dans une crise d’une
toute nouvelle dimension !
Si le 21 janvier, si le risque d’introduction du virus reste
« faible » pour les autorités « Gauloisiennes », quelques
jours plus tard, le 24 janvier, trois premiers cas sont confirmés dans l’Hexagone
: Un Bordelais de retour de Chine et un couple de trentenaires chinois. Dans
les jours suivants, neuf autres cas sont détectés. Le ministère de la Bonne Santé
commence ses points de situation quasi-quotidiens, diffusés en direct par les
chaînes d’information en continu.
C’est lors de l’un d’entre eux que le 15 février, la encore
« sinistre » avant de devenir la battue municipale parigote annonce,
la mine sombre, la mort la veille à l’hôpital Bichat de l’un des douze malades,
un touriste chinois de 80 ans : « C’est le premier hors d’Asie, le
premier en Europe », souligne-t-elle à la veille de sa démission pour
briguer la mairie des Parigots-bobos.
Malgré ce décès, à fin février, tous les autres
patients contaminés sont sortis de l’hôpital, guéris. Aucun nouveau cas n’a été
détecté en deux semaines. Et malgré l’inquiétude des riverains, aucun des plus
de 300 « rapatriés de Wuhan » passés par des centres de quarantaine n’a
été testé positif : Pas très virulent le virus.
Sauf qu’il mute probablement…
Et la rémission apparente est trompeuse. De l’autre
côté des Alpes, la « Ritalie » prend des mesures pour isoler des
foyers de contamination dans le nord du pays. Ce qui change tout : « L’épidémie
est à nos portes », met en garde le nouveau sinistre de la Bonne Santé
le 25 février.
Pas de contrôle à la frontière, sauf du côté du pays
infecté-grave.
26 février : Premier mort « Gauloisien ». Quelques
heures plus tard, c’est confirmé : Le numéro deux du ministère Jérôme Salomon
annonce deux nouveaux cas, dont le premier lié à la « Ritalie ».
Et un premier mort est à déplorer, un enseignant
originaire de l’Oise, sans contact avec la Chine ni avec la « Ritalie »…
Autour de chaque cas, un jeu de piste est lancé pour
retrouver toutes les personnes entrées en contact avec le malade et si besoin
les confiner pour limiter la contagion.
En quelques jours, c’est l’emballement.
Les contaminations se multiplient brusquement et la
barre des 100 cas est atteinte le 29 février.
Pour tenter de freiner le virus, les rassemblements de
plus de 5.000 personnes en milieu fermé sont interdits ainsi que certains
événements en extérieur. Des restrictions plus fortes sont prises dans les
foyers principaux dans l’Oise, la Haute-Savoie, puis ce sera au tour du
Morbihan, du Haut-Rhin…
Dans un pays alors passé au « stade 2 » de
la progression de la maladie, avec plusieurs foyers qui rendent l’épidémie
quasiment inéluctable, c’est la ruée sur les masques de protection.
Le gouvernement décide de les réquisitionner pour les
réserver aux soignants et aux malades. Le prix des flacons de gel
hydroalcoolique s’envole, forçant le ministère de l’Économie à les encadrer,
puis à en augmenter le tarif.
Le président « Jupiter » en appelle au « bon
sens » alors que le bilan s’alourdit à neuf morts et près de 600 cas le 6
mars (et encore bien plus plus tard).
Ne plus se saluer en se serrant la main, se laver les
mains régulièrement, tousser dans son coude, appeler le 15 en cas de symptômes…
Les messages anxiogènes d’alerte passent en boucle sur les radios ou dans les
couloirs du métro.
Le compteur continue de grimper. Le seuil symbolique
des 1.000 cas est dépassé et le gouvernement interdit les rassemblements de
plus de 1.000 personnes le 8 mars, une décision qui frappe le monde du
spectacle, déjà au bord de l’asphyxie.
Alors que le « sinistre de la Cul-ture » et
plusieurs députés sont contaminés, les mesures de protection sont renforcées
autour du président qui modifie son agenda pour monter en première ligne dans
la bataille contre le virus.
Côté économique, la spirale infernale continue : L’activité
déjà ralentie par l’arrêt des usines chinoises qui a perturbé les chaînes d’approvisionnement
subit de plein fouet la chute de la demande provoquée par les mesures de
confinement décidées à travers le monde.
Les mesures pour faire face à cette crise « coûteront
des dizaines de milliards d’euros », prévient le ministre de l’Économie.
Face à cette situation extraordinaire, ce jeudi soir-là, le
président change de ton et d’échelle face à « la plus grave crise
sanitaire depuis un siècle », qui a fait désormais 79 morts pour plus
de 3.600 cas. Devant 25 millions de téléspectateurs – un record pour une
déclaration officielle –, il annonce la fermeture dès le lundi suivant de
toutes les crèches, écoles, collèges, lycées et universités jusqu’à nouvel
ordre.
Mais maintient les élections municipales.
Dans la foulée, les rassemblements de plus de 100
personnes sont interdits, signant la fermeture du Louvre, de la Tour Eiffel et
du château de Versailles. Le foot tricolore décide aussi un temps mort jusqu’à
nouvel ordre. Les messes se disent en petit-comité, les compagnies aériennes s’affolent,
les hôtels et restaurants se vident à l’allure des gondoles qui sont pillées
dans les magasins…
Des mesures draconiennes exceptionnelles, mais pour
combien de temps ?
Au moins plusieurs semaines : Un véritable casse-tête
pour les parents et les entreprises.
Mais aussi un défi extraordinaire pour les soignants
des hôpitaux à qui le gouvernement a promis « tous les moyens
financiers nécessaires » qu’ils n’ont jamais obtenu malgré des mois de
grève, pour pouvoir traiter les 5 % de contaminés qui seront victimes de formes
graves de la maladie.
« Nous sommes au début d’une épidémie d’un
virus inconnu, je ne peux absolument pas vous affirmer les yeux dans les yeux
aujourd’hui que je sais exactement quelle sera l’ampleur de l’épidémie »,
a reconnu le nouveau sinistre de la Bonne Santé, quasi inconnu il y a un mois
et qui écume désormais les plateaux télé pour tenter de rassurer la population :
Il fait autorité pour avoir été toubib avant de faire « politique »
dans le civil.
L’épidémie devient rapidement mondiale : Aucun
pays n’est épargné sans qu’on sache vraiment où se situe à chaque fois le « patient
zéro » d’une zone donnée.
Et les frontières finissent par se fermer, même chez
les « autistes anglo-saxons ».
Il faut dire que la pandémie n’est pas que médicale :
L’objectif (f)Ummiste est enfin atteint, les marchés financiers s’effondrent, anticipant
les chutes d’activité de l’usine du monde qui ne produit plus et consomme beaucoup
moins, les banques centrales déversent des milliers de milliards de monnaie
gratuitement, les produits pétroliers s’écoulent à vil prix et même la « devise-barbare »,
l’or, vrille ses cours : Il faut dire que personne ne mange d’or, même en
confinement et qu’il est temps de prendre ses bénéfices et de se rendre liquide pour saisir les opportunités qui vont se présenter.
Côté avantageux de la chose, la délinquance de rue s’effondre
et les manifestations sur la voie publique sont interdites.
C’est l’effet-pervers de l’expérimentation (f)Ummiste :
Les Libertés-Pue-Bliques passent sous le boisseau, à la trappe, comme effacées, mises entre
parenthèses dont on ne sait pas quand elle va se refermer.
Et tout le monde s’y plie sans heurts, tous mûrs pour une vraie dictature, sans contre-pouvoir ! Là, ce n’est jamais qu’une répétition générale.
Le rapport d’activité de l’expérience (f)Ummiste
énoncera que, quel que soit le pays et le régime politique qui y règne, c’est
la Liberté qui aura perdu du terrain.
Il n’y avait que deux possibilités de limiter la casse
et de « tuer » le coronavirus : Contrôler ou enfermer les gens.
Et curieusement, dans les pays « avancés »
et beaucoup d’autres, on enferme et on ferme, quitte à se ruiner… plus tard.
Le seul qui contrôle jusque dans les rues, c’est un État
Sud-Coréen avec un certain succès grâce aux technologies nouvelles qui tracent
absolument tout le monde.
La Chine trace aussi et avec obstination, mais à un
moment, au démarrage de la pandémie, les autorités se sont laissées débordées et ont préféré mettre en
quarantaine, quitte à ruiner le pays (et ses citoyens).
Voilà un petit-conte qui en dit long sur l’avenir de
vos démocraties électives :
– Une élection peut être reportée sine die au
premier motif venu sans que ça n’émeuve qui que ce soit : Elles ne veulent
plus rien dire.
– Le pouvoir n’appartient plus au citoyen (par les
urnes ou par la rue) mais aux « sachants » en place à ce moment-là,
qui n’hésiteront pas à tout faire pour le garder (pour votre bonheur).
– On délègue désormais aux robots (et autres drones) le sort des gens
jusque dans la rue, et avec succès. C’est un arbitraire comme un autre, mais
celui-là est largement accepté (pour votre bonheur).
– Et quand ça ne suffit pas, on envoie la force
publique et l’armée pour vous entraver (pour votre bonheur).
Et même cela est finalement bien accepté : On
adhère unanimement par « bon sens » partagé, figurez-vous !
Et moâ, je suis colère : J’ai été privé d’un séjour en Balagne :
Merci les (f)Ummistes !
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