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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 27 mars 2020

Les « bêtes » et « revenues » du moment

Une classique pour commencer
 
Le Pape et Clinton décèdent en même temps.
Le Pape se retrouve en enfer et Bill se retrouve au Paradis.
Le pauvre Pape demande alors que l’on révise son statut.
St-Pierre voit bien qu’il y a eu erreur, envoie le Pape au paradis en s’excusant et retourne Bill en enfer sans faire de manières.
Arrivés à mi-chemin, ils se croisent, le Pape dit à Bill :
« – Ho ! lala, que j’ai hâte de voir la Vierge Marie.
– Non, mais tu veux rire ! » lui répond Bill. « Je suis passé avant toi, elle s’appelle maintenant Marie. »
Oui, je sais, elle est vraiment très bête…
 
« – Chéri », dit Germaine, « tu ne m’aimes plus comme avant. Souvent, après le repas, tu me caressais le menton pour me signifier que tu voulais faire zizi panpan.
– Ouin », dit Jean-Marc, en levant les yeux de son journal, « sauf qu’avant, comme tu dis, tu n’avais qu’un seul menton. Maintenant, je ne sais vraiment plus. »
 
Encore plus bête :
Jean-Marc, un dangereux prédateur sexuel pourchasse une rousse, une brune et une blonde non-brune-non-rousse.
Les trois filles voient une grange et y entrent.
Elles voient des sacs à patates.
Elles s’y cachent, juste à temps. Jean-Marc, secoue le sac de la rouquine et entend :
« MIAOU ! MIAOU ! »
Il se dit que ça doit être un chat.
Il secoue le sac de la brune et entend :
« WOUF ! WOUF ! »
Il se dit que ça doit être un chien.
Il secoue le troisième sac et entend :
« PATATE ! PATATE ! »
 
« – Docteur, ma femme croit que je suis fou parce que j’aime les balles de golf…
– Hum. Je ne vois là rien d’étranger, j’adore le golf, moi aussi.
– Alors venez à la maison samedi, j’en ai 3.222.101. Je viens de remplir la piscine au complet avec des belles Callaway et des Titleist.
Et dans le salon, j’ai uniquement des balles qui viennent des grands tournois, j’ai rempli le garage avec des MaxFli, des Wilson et des Taylor Made. J’ai… »
 
Un beau matin, Jean-Marc était en train de lire paisiblement son journal lorsque son épouse arriva sournoisement derrière lui et le frappa violemment à la tête avec une énorme poêle à frire en fonte.
À demi-conscient, il lui demande :
« Mais pourquoi t’as fait ça ? »
Elle lui répond :
« – C’est quoi ce petit bout de papier dans ta poche de pantalon sur lequel est écrit Marylou ?
– Mais chérie, tu te souviens, j’ai été aux courses l’autre jour et Marylou c’est le nom du cheval sur lequel j’ai gagé. »
Satisfaite de la réponse, Germaine s’excuse et retourne à ses travaux.
Trois jours plus tard, notre Jean-Marc toujours à lire son journal, est encore matraqué avec la poêle à frire.
Encore tout étourdi, il demande :
« Mais c’est pourquoi cette fois-ci ? »
Et Germaine répond alors :
« Ton cheval a téléphoné. »
Une vraie revenue, presqu’intacte !                                                                                            
 
Jean-Marc au mariage de Jean-Louis.
« – Moi, j’ai couché avec ma femme avant le mariage. Et toi ?
– C’est Germaine…, c’est ça ? Attends que je me souvienne… »
 
Une vieille « classique » qui fait son retour malgré le confinement :
Quand Dieu créa le monde, il convoqua l’homme pour lui dire qu’il lui accordait vingt ans de vie sexuelle normale.
L’homme protesta, trouvant que cela n’était pas suffisant.
Mais Dieu lui répondit qu’il y avait beaucoup d’autres créatures sur la terre et qu’il fallait diviser cela également entre tous.
Dieu convoqua ensuite le singe et lui donna vingt ans de vie sexuelle normale.
Celui-ci dit que c’était beaucoup trop, que dix lui suffisaient amplement.
Aussitôt, l’homme demanda la permission d’avoir ces dix années supplémentaires et Dieu les lui accorda.
Dieu convoqua ensuite le chien et lui donna vingt ans de vie sexuelle normale.
Il protesta aussi, affirmant qu’il en avait assez de dix.
Alors l’homme demanda les dix années inutilisées et Dieu les lui accorda.
Dieu convoqua finalement le perroquet pour lui donner vingt ans de vie sexuelle normale.
Même scénario, l’homme hérita de dix années du perroquet.
Alors, l’homme s’en alla, la poitrine gonflée de satisfaction d’avoir réussi à obtenir cinquante ans de vie sexuelle.
D’après les commentaires des femmes, ceci explique très bien la vie sexuelle des hommes :
Vingt ans de vie sexuelle normale, dix ans de singeries, dix ans d’aboiements et dix ans à raconter ses anciens exploits…
 
Jean-Paul avance sur le trottoir, la tête baissée.
Soudain, une péripatéticienne l’accoste…
« – Alors mon chéri, je t’invite ?
– Non…. Non merci.
– Allez, pourquoi refuser un petit plaisir ?
– J’ai trois bonnes raisons de refuser : La première, je n’ai pas d’argent, la seconde…
– Allez. Assez, la première me suffit. »
 
À l’arrêt d’autobus attendait un p’tit vieux appuyé sur sa canne.
Au loin il aperçoit, à l’arrêt avant le sien, un homme entrer dans l’autobus avec ses 14 enfants.
Le p’tit vieux en entrant à son tour dans l’autobus, remarque qu’il n’y aucune place disponible.
Il marche donc jusqu’à l’arrière de l’autobus.
L’autobus s’arrête à un feu rouge.
Le chauffeur freine brusquement et le p’tit vieux glisse jusque dans le pare-brise.
Frustré, il se relève et entreprend de marcher jusque l’arrière de l’autobus encore une fois quand, à nouveau, l’autobus freine brutalement.
Il se voit encore projeté vers l’avant du bus, cette fois en tombant au pied du père des 14 enfants.
Le père des 14 enfants lui dit :
« Si tu avais mis un bout en caoutchouc au bout de ta canne. Tu ne glisserais pas comme ça ».
Le p’tit vieux de rétorquer :
« Ouais ! Mais si t’en avais mis un à TON bout, j’aurais peut-être pu m’asseoir. »
 
Jean-Marc se rend chez son garagiste :
« – Vous pouvez réparer ma roue ?
– Bien sûr, Monsieur... Oh ! Mais comment avez-vous fait pour crever cette roue comme ça ?
– J’ai roulé sur une bouteille.
– Vous ne l’aviez pas vue ?
– Non ! Figurez-vous qu’elle était dissimulée dans la poche d’un ivrogne. »
 
Dans une chambre d’hôpital, Jean-Paul hospitalisé pour une pneumonie, voit arriver un autre patient, inconscient, transporté par des infirmiers sur une civière.
Ils le transfèrent dans son lit et le branchent à un moniteur cardiaque qui émet immédiatement le même bruit que celui Jean-Paul : Bip ! Bip ! Bip !
Soudainement, le moniteur du nouveau patient émet le bruit suivant : Biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Pas plus d’une minute plus tard, arrivent dans la chambre un docteur et des infirmiers qui commencent par marteler le patient sur la poitrine, lui font un électrochoc, lui injecte une seringue dans le cœur et continue à le marteler sur la poitrine pendant quelques minutes pour enfin le transférer sur une civière et le sortir de la chambre.
Jean-Paul est estomaqué !
Il ne dit pas un mot : Il est sous un état de choc.
La journée suivante, on amène sur une civière un nouveau patient qu’on branche aussi sur le moniteur.
Cependant, celui-ci est encore conscient.
Lorsque les infirmiers quittent la chambre et que Jean-Paul est seul avec le patient il l’interpelle et lui dit :
« Hé ! Ce serait mieux pour toi de « checker » ta TV, parce que si elle se brise, tu vas manger une sacrée avoinée ! »
 
Les petites nouveautés de Jean-Marc :
« – Ce gars-là est tellement laid qu’il a besoin d’acheter deux billets quand il va au zoo de Vincennes.
– Ah oui ?! Comment ça ?
– Un pour entrer, et un pour sortir. »
 
Jean-Marc arrive en retard pour le discours télévisuel de « Jupiter ».
Il questionne Germaine :
« – Ça fait longtemps qu’il parle ?
– 45 minutes, je crois…
– Qu’est-ce qu’il a dit ?
– Je ne sais pas, il ne l’a pas dit. »
 
Jean-Marc, Germaine et leur fils se rendent à un camp de nudiste.
Le petit gars se promène sur la plage tout surprit il revient et demande à sa mère :
« Pourquoi certaines femmes ont-elle de petits seins et d’autres en ont des gros ? »
Germaine lui répond que plus ils sont gros, plus elle est idiote.
Le petit gars, satisfait de la réponse, retourne sur la plage.
Il revient plus tard, tout étonné et demande à sa mère :
« Pourquoi certains hommes ont-ils un petit pénis et d’autres en ont un gros ? » Germaine lui dit que plus le pénis est gros, plus l’homme est idiot.
Le petit gars, satisfait à nouveau de la réponse, retourne sur la plage et après quelques minutes revient à nouveau voir sa mère et lui dit :
« Maman, pourquoi quand papa parle avec une femme très idiote et plus il devient idiot ? »
 
Contrepèteries de la semaine passée :
 
« À force de fouiller les miches, je suis arrivé au con de la folle. »
« La patineuse tient absolument à faire une escalade sur mes roupettes. »
« Que c’est bon de s’gratter le cul ! »
 
Celles de la semaine :
 
« Votre recteur est un grand bonhomme, vraiment ! »
« Dites-moi, comment peut-on bien dîner avec de maigres parts ? »
« Ah, la philanthropie… »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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