Une classique pour commencer
Le Pape et Clinton décèdent en même
temps.
Le Pape se retrouve en enfer et Bill se
retrouve au Paradis.
Le pauvre Pape demande alors que l’on révise
son statut.
St-Pierre voit bien qu’il y a eu
erreur, envoie le Pape au paradis en s’excusant et retourne Bill en enfer sans
faire de manières.
Arrivés à mi-chemin, ils se croisent,
le Pape dit à Bill :
« – Ho ! lala, que j’ai hâte de voir
la Vierge Marie.
– Non, mais tu veux rire ! » lui répond Bill. « Je
suis passé avant toi, elle s’appelle maintenant Marie. »
Oui, je sais, elle est vraiment très bête…
« – Chéri », dit Germaine,
« tu ne m’aimes plus comme avant. Souvent, après le repas, tu me
caressais le menton pour me signifier que tu voulais faire zizi panpan.
– Ouin », dit Jean-Marc,
en levant les yeux de son journal, « sauf qu’avant, comme tu dis, tu
n’avais qu’un seul menton. Maintenant, je ne sais vraiment plus. »
Encore plus bête :
Jean-Marc, un dangereux prédateur
sexuel pourchasse une rousse, une brune et une blonde non-brune-non-rousse.
Les trois filles voient une grange et y
entrent.
Elles voient des sacs à patates.
Elles s’y cachent, juste à temps. Jean-Marc,
secoue le sac de la rouquine et entend :
« MIAOU ! MIAOU ! »
Il se dit que ça doit être un chat.
Il secoue le sac de la brune et entend
:
« WOUF ! WOUF ! »
Il se dit que ça doit être un chien.
Il secoue le troisième sac et entend :
« PATATE ! PATATE ! »
« – Docteur, ma femme croit que
je suis fou parce que j’aime les balles de golf…
– Hum. Je ne vois là rien d’étranger,
j’adore le golf, moi aussi.
– Alors venez à la maison samedi, j’en
ai 3.222.101. Je viens de remplir la piscine au complet avec des belles
Callaway et des Titleist.
Et dans le salon, j’ai uniquement des
balles qui viennent des grands tournois, j’ai rempli le garage avec des MaxFli,
des Wilson et des Taylor Made. J’ai… »
Un beau matin, Jean-Marc était en
train de lire paisiblement son journal lorsque son épouse arriva sournoisement
derrière lui et le frappa violemment à la tête avec une énorme poêle à frire en
fonte.
À demi-conscient, il lui demande :
« Mais pourquoi t’as fait ça ? »
Elle lui répond :
« – C’est quoi ce petit bout de
papier dans ta poche de pantalon sur lequel est écrit Marylou ?
– Mais chérie, tu te souviens, j’ai été
aux courses l’autre jour et Marylou c’est le nom du cheval sur lequel j’ai
gagé. »
Satisfaite de la réponse, Germaine
s’excuse et retourne à ses travaux.
Trois jours plus tard, notre Jean-Marc
toujours à lire son journal, est encore matraqué avec la poêle à frire.
Encore tout étourdi, il demande :
« Mais c’est pourquoi cette fois-ci
? »
Et Germaine répond alors :
« Ton cheval a
téléphoné. »
Une vraie revenue, presqu’intacte !
Jean-Marc au mariage de Jean-Louis.
« – Moi, j’ai couché avec ma
femme avant le mariage. Et toi ?
– C’est Germaine…, c’est ça ? Attends
que je me souvienne… »
Une vieille « classique » qui
fait son retour malgré le confinement :
Quand Dieu créa le monde, il convoqua
l’homme pour lui dire qu’il lui accordait vingt ans de vie sexuelle normale.
L’homme protesta, trouvant que cela
n’était pas suffisant.
Mais Dieu lui répondit qu’il y avait
beaucoup d’autres créatures sur la terre et qu’il fallait diviser cela
également entre tous.
Dieu convoqua ensuite le singe et lui
donna vingt ans de vie sexuelle normale.
Celui-ci dit que c’était beaucoup trop,
que dix lui suffisaient amplement.
Aussitôt, l’homme demanda la permission
d’avoir ces dix années supplémentaires et Dieu les lui accorda.
Dieu convoqua ensuite le chien et lui
donna vingt ans de vie sexuelle normale.
Il protesta aussi, affirmant qu’il en
avait assez de dix.
Alors l’homme demanda les dix années
inutilisées et Dieu les lui accorda.
Dieu convoqua finalement le perroquet
pour lui donner vingt ans de vie sexuelle normale.
Même scénario, l’homme hérita de dix
années du perroquet.
Alors, l’homme s’en alla, la poitrine
gonflée de satisfaction d’avoir réussi à obtenir cinquante ans de vie sexuelle.
D’après les commentaires des femmes,
ceci explique très bien la vie sexuelle des hommes :
Vingt ans de vie sexuelle normale, dix
ans de singeries, dix ans d’aboiements et dix ans à raconter ses anciens
exploits…
Jean-Paul avance sur le trottoir, la
tête baissée.
Soudain, une péripatéticienne
l’accoste…
« – Alors mon chéri, je
t’invite ?
– Non…. Non merci.
– Allez, pourquoi refuser un petit
plaisir ?
– J’ai trois bonnes raisons de refuser :
La première, je n’ai pas d’argent, la seconde…
– Allez. Assez, la première me suffit. »
À l’arrêt d’autobus attendait un p’tit
vieux appuyé sur sa canne.
Au loin il aperçoit, à l’arrêt avant le
sien, un homme entrer dans l’autobus avec ses 14 enfants.
Le p’tit vieux en entrant à son tour
dans l’autobus, remarque qu’il n’y aucune place disponible.
Il marche donc jusqu’à l’arrière de
l’autobus.
L’autobus s’arrête à un feu rouge.
Le chauffeur freine brusquement et le
p’tit vieux glisse jusque dans le pare-brise.
Frustré, il se relève et entreprend de
marcher jusque l’arrière de l’autobus encore une fois quand, à nouveau,
l’autobus freine brutalement.
Il se voit encore projeté vers l’avant
du bus, cette fois en tombant au pied du père des 14 enfants.
Le père des 14 enfants lui dit :
« Si tu avais mis un bout en
caoutchouc au bout de ta canne. Tu ne glisserais pas comme ça ».
Le p’tit vieux de rétorquer :
« Ouais ! Mais si t’en avais mis un
à TON bout, j’aurais peut-être pu m’asseoir. »
Jean-Marc se rend chez son
garagiste :
« – Vous pouvez réparer ma roue
?
– Bien sûr, Monsieur... Oh ! Mais comment
avez-vous fait pour crever cette roue comme ça ?
– J’ai roulé sur une bouteille.
– Vous ne l’aviez pas vue ?
– Non ! Figurez-vous qu’elle était
dissimulée dans la poche d’un ivrogne. »
Dans une chambre d’hôpital, Jean-Paul hospitalisé
pour une pneumonie, voit arriver un autre patient, inconscient, transporté par
des infirmiers sur une civière.
Ils le transfèrent dans son lit et le
branchent à un moniteur cardiaque qui émet immédiatement le même bruit que
celui Jean-Paul : Bip ! Bip ! Bip !
Soudainement, le moniteur du nouveau
patient émet le bruit suivant : Biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Pas plus d’une minute plus tard, arrivent
dans la chambre un docteur et des infirmiers qui commencent par marteler le
patient sur la poitrine, lui font un électrochoc, lui injecte une seringue dans
le cœur et continue à le marteler sur la poitrine pendant quelques minutes pour
enfin le transférer sur une civière et le sortir de la chambre.
Jean-Paul est estomaqué !
Il ne dit pas un mot : Il est sous
un état de choc.
La journée suivante, on amène sur une
civière un nouveau patient qu’on branche aussi sur le moniteur.
Cependant, celui-ci est encore conscient.
Lorsque les infirmiers quittent la
chambre et que Jean-Paul est seul avec le patient il l’interpelle et lui dit :
« Hé ! Ce serait mieux pour toi de «
checker » ta TV, parce que si elle se brise, tu vas manger une sacrée avoinée !
»
Les petites nouveautés de Jean-Marc :
« – Ce gars-là est tellement
laid qu’il a besoin d’acheter deux billets quand il va au zoo de Vincennes.
– Ah oui ?! Comment ça ?
– Un pour entrer, et un pour sortir. »
Jean-Marc arrive en retard pour le
discours télévisuel de « Jupiter ».
Il questionne Germaine :
« – Ça fait longtemps qu’il
parle ?
– 45 minutes, je crois…
– Qu’est-ce qu’il a dit ?
– Je ne sais pas, il ne l’a pas dit. »
Jean-Marc, Germaine et leur fils
se rendent à un camp de nudiste.
Le petit gars se promène sur la plage
tout surprit il revient et demande à sa mère :
« Pourquoi certaines femmes ont-elle
de petits seins et d’autres en ont des gros ? »
Germaine lui répond que plus ils sont
gros, plus elle est idiote.
Le petit gars, satisfait de la réponse,
retourne sur la plage.
Il revient plus tard, tout étonné et
demande à sa mère :
« Pourquoi certains hommes ont-ils
un petit pénis et d’autres en ont un gros ? » Germaine lui dit que plus le
pénis est gros, plus l’homme est idiot.
Le petit gars, satisfait à nouveau de
la réponse, retourne sur la plage et après quelques minutes revient à nouveau
voir sa mère et lui dit :
« Maman, pourquoi quand papa parle avec
une femme très idiote et plus il devient idiot ? »
Contrepèteries de la semaine passée
:
« À force de fouiller les miches,
je suis arrivé au con de la folle. »
« La patineuse tient absolument
à faire une escalade sur mes roupettes. »
« Que c’est bon de s’gratter le
cul ! »
Celles de la semaine :
« Votre recteur est un grand
bonhomme, vraiment ! »
« Dites-moi, comment peut-on bien
dîner avec de maigres parts ? »
« Ah, la philanthropie… »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : N’oubliez pas mon « gardien »
et « sa bibliothèque »
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