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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 23 mars 2020

La « Jupitérie » s’en relèvera-t-elle ?

La défaillance criminelle de l’État…
 
À la fin de la crise du « Connard-virus » (probablement autour de Pâques, je maintiens encore), on va enfin faire les comptes en « Gauloisie-maladive ».
Le compte des morts « anticipées » (en nous racontant que ça aurait pu être pire sans l’État et de ses nombreux « serviteurs-dévoués »), en comptant les malades « sauvés » (grâce aux efforts de l’État et de ses nombreux « serviteurs-dévoués ») pour s’en féliciter : Ça aurait pu être pire !
On va compter aussi les milliards déversés par les uns et les autres pour que le pays, mis à l’arrêt avec les mesures de confinement, puisse ne pas s’arrêter et surtout redémarrer en comptant les chômeurs dont le nombre aura explosé et les entreprises en faillite dont… le nombre aura explosé dans les mois à venir !
 
Et peut-être, pour faire « bon compte », on tâchera de « dépister » ex-post tous les contaminés, tous ceux qui ont été atteints et ont développé ou non « la maladie » sous des formes bégnines et qui n’auront pas été encombrer les services hospitaliers (débordés parce que sous-dimensionnés), car on guérit tout seul d’une « grippette », même particulièrement virulente avec quelques cachets d’aspirine (et quelques verres de rhum), j’en compte plusieurs dans mon entourage.
Là, on va s’apercevoir que ce virus-là aura eu une progression considérable, que les frontières ne servent à rien (vive la « globalisation » !) et surtout que nos « sachants » sont décidément des ânes déplorables !
Leur faillite à eux !
 
On a commencé à s’en rendre compte la semaine dernière quand on a appris de l’ex-sinistre de la bonne santé qu’« on aurait dû tout arrêter, (que) c’était une mascarade » en parlant des élections municipales, entre des sanglots dont elle n’est pas avare.
Des aveux formulés dans le journal le Monde (ce torchon…) et selon lesquels le plus haut sommet de l’État savait parfaitement la catastrophe qui se profilait sont assez terrifiants : « Quand j’ai quitté le ministère, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu. »
Facile à affirmer ex-post, bien sûr, et c’est purement et simplement une désertion qu’elle aura commise, qu’elle reconnaissait à ce moment-là en essayant assez lâchement de s’en défausser.
Mais de cela elle se débrouillera avec sa conscience sur laquelle pèsera une partie de ces morts qui sont et vont tomber, emportés par le virus, et dont on sait parfaitement qu’ils se compteront par milliers.
Elle en a tellement bonne conscience que, dit-on, elle veut retourner soigner à l’hôpital !
Euh… pas moâ ni « ma nichée » SVP…
 
Mais il y a plus grave, beaucoup plus grave !
On peut déduire de ses propos le caractère criminel du comportement des décideurs publics dont c’était la responsabilité de prendre toutes les mesures permettant d’affronter la catastrophe et d’éviter une hécatombe, principe constitutionnel de précaution obligeant même les pouvoirs pue-bliques.
Que nous dit-elle en effet ? « Je pense que j’ai vu la première ce qui se passait en Chine : le 20 décembre, un blog anglophone détaillait des pneumopathies étranges. J’ai alerté le directeur général de la santé. Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation. Le 30 janvier, j’ai averti Édouard Philippe que les élections ne pourraient sans doute pas se tenir. Je rongeais mon frein. » Donc, dès la fin janvier il était clair que prévenu par sa « sinistre de la bonne santé », « Jupiter » savait à quoi il fallait s’attendre et son premier sinistre aussi ainsi que le directeur général de la santé.
Malgré cela, le président de la république paradait le 7 mars dans les rues de Paris pour inciter les parisiens à continuer à aller au théâtre !
Surréaliste…
 
Tous ceux, professeurs de médecine, spécialistes, chercheurs (mes potes carabins ou urgentistes) qui sonnaient l’alarme se faisaient insulter par les « zélés-serviteurs du pouvoir », journalistes « aux ordres », médecins-généraux et « penseurs » de pacotille en charge de votre bonheur, appuyés par l’inévitable et irremplaçable « Si-bête-la-Diarrhée », porte-la-parole officielle du gouvernement.
L’incompétence à la direction d’un État de toute cette équipe arrivée au pouvoir par surprise en 2017 n’est désormais, c’est ce qui saute aux yeux, plus à démontrer !
 
Si tous ces faits sont formellement établis tout cela engage la responsabilité pénale de tous ces décideurs publics…
Rien de moins.
Jusqu’au perchoir du Sénat et celui du Conseil Constitutionnel, en passant par les chefs de partis qui s’étaient réveillés, bousculés pour empêcher le report du premier tour des municipales.
À mon sens, ça, et même pour les membres consultés de la « communauté scientifique » sur les avis desquels les décisions se sont appuyées, dans et hors la haute administration : Aucun n’a pu émettre un avis discordant en public !
Tous complices, y compris par « abstention ou omission », écrasés par « l’autorité » jupitérienne : Des lâches !
Pas fiables…
C’est un peu comme le nuage de Tchernobyl : Il ne pouvait pas traverser le Rhin, ses papiers n’étaient pas en règle, pensez donc !
 
J’en conclue qu’on n’aura rien appris après ce triste épisode qui « fragilise » tous ses « opérés de la thyroïde » depuis plusieurs décennies et dont la vie ne tient qu’à un médicament à prendre tous les jours sans exception, sinon c’est la peine de mort appliquée sans trembler…
 
D’ailleurs, que nous dit le code pénal à ce sujet, celui-là même utilisé dans l’affaire du sang contaminé ?
C’est l’article 221–6 qui s’applique : « Le fait de causer, dans les conditions et selon les distinctions prévues à l’article 121-3, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, la mort d’autrui constitue un homicide involontaire puni de trois ans d’emprisonnement et de 45.000 euros d’amende.
En cas de violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, les peines encourues sont portées à cinq ans d’emprisonnement et à 75.000 euros d’amende. »
Le renvoie à l’article 121-3 nous explique que : « Il y a également délit, lorsque la loi le prévoit, en cas de faute d’imprudence, de négligence ou de manquement à une obligation de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, s’il est établi que l’auteur des faits n’a pas accompli les diligences normales compte tenu, le cas échéant, de la nature de ses missions ou de ses fonctions, de ses compétences ainsi que du pouvoir et des moyens dont il disposait.
Dans le cas prévu par l’alinéa qui précède, les personnes physiques qui n’ont pas causé directement le dommage, mais qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation du dommage ou qui n’ont pas pris les mesures permettant de l’éviter, sont responsables pénalement s’il est établi qu’elles ont, soit violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute caractérisée et qui exposait autrui à un risque d’une particulière gravité qu’elles ne pouvaient ignorer. »
Deux textes, datant des années 90, pour justement bien définir le périmètre de la responsabilité personnelle en matière d’homicide et de coups et blessures involontaires, qui méritent un éclairage.
 
Dans ce domaine, la « Gaulosie-juridique » applique depuis toujours ce que l’on appelle « la théorie de l’équivalence des contributions ». Ce qui veut que tous ceux qui ont commis le dommage ou « contribué » à sa réalisation sont pénalement responsables.
C’est ce que l’on appelle les « auteurs directs » et les « auteurs indirects ».
Ainsi l’automobiliste qui renverse un cycliste et le tue est l’auteur direct de l’infraction de l’article 221–6 par défaut de maîtrise de son véhicule.
Mais, si la manœuvre mortelle a aussi été causée en raison d’une voirie défectueuse non signalée à cet endroit, les responsables de celle-ci seront également poursuivis.
Vous saisissez ?
 
Bien évidemment, l’auteur principal et direct des morts de la pandémie est bien le « Connard-virus ». Mais il existe aussi comme l’aura l’avoué « Agnelle-Buzz-Yn » des auteurs indirects dont la culpabilité, si elle est établie, serait accablante.
Le chef de l’État, le Premier-sinistre, la « sinistre de la bonne santé », le directeur général de la bonne-santé, savaient-ils à quoi s’en tenir dès janvier ?
Manifestement, n’ayant pas pris les mesures afin de l’éviter alors qu’elles étaient de leur compétence, en n’appliquant pas les « diligences normales » qu’exigeaient leurs responsabilités (pue-bliques), ils ont contribué à créer la situation d’une catastrophe aggravée. Et en s’abstenant d’agir, ils ont commis une faute pénale caractérisée en exposant autrui « un risque d’une particulière gravité qu’ils ne pouvaient ignorer ».
A minima.
 
Par conséquent, comme cela avait été le cas pour l’affaire du sang contaminé, il me semble indispensable que la Cour de Justice de la République soit saisie d’une procédure dirigée contre ces sinistres pour dire si leur défaillance est établie ainsi que le prétend « Agnelle-Buzz-Yn » et prononcer à leur encontre les sanctions à la mesure du dommage subi. Le juge judiciaire de droit commun doit l’être pour les fonctionnaires qui n’ont pas fait leur devoir comme cela avait été également le cas dans l’affaire du sang contaminé : Après tout, ils sont (chèrement) payés pour ça.
 
Naturellement, « Jupiter » ne risque rien. Avec ses propres pouvoirs et un Parlement à sa botte, celui qui pouvait tout est protégé par son immunité.
Reste le déshonneur et les urnes (si on peut encore y accéder, car ce n’est pas certain…).
 
S’il faut évidemment restez chez vous, car ce confinement est la seule bonne décision de ces dirigeants, ayant faits preuve d’inepties, d’incompétence, de menteries, et pour tout dire de dangerosité, il nous appartiendra d’en débarrasser le pays d’une façon ou d’une autre.
Ça va même devenir urgent !
 
Soyons réalistes et ouvrons les yeux : La liste de leurs mensonges est longue dans cette affaire.
 
1/ « Ce virus ne viendra jamais en Europe. Il n’y a aucune chance, ou très faible, que nous y soyons confrontés. »
Pôvre chérie, va. Et c’est une toubib dans le civil ?…
 
2/ « Fermer les frontières ne sert à rien contre un virus… »
C’est vrai au moins autant que pour les nuages…
Mais précisons que ce sont les hommes qui en sont porteurs et que les frontières servant de « contrôles » peuvent être utiles est pourtant une évidence.
Certes, fermer des frontières peut être difficile quand nous avons des centaines de milliers de nos compatriotes partout dans le monde est une évidence aussi.
On les ramène et on les met en quarantaine : Ceux-là n’étaient pas contaminants.
Et alors pour quelles raisons d’autres ferment leurs frontières ?
 
3/ « Porter des masques ne sert à rien. » Probablement moins efficace qu’une capote ou une combinaison NBC, mais alors, il faut expliquer pour quelle raison les « soignants » courent après pour se protéger ?
La vraie raison c’est qu’il y a des stocks (stratégiques) en quantité (110 millions m’a-t-on affirmé) mais que le dernier qui savait où ils étaient planqués est mort et que depuis plus personne ne sait…
 
4/ « Tester systématiquement ne sert à rien. » Il y a surtout que nous sommes incapables d’en produire suffisamment et que ceux-là sont réservés aux VIP-ministériels.
On testerait tout le monde, qu’on aurait rapidement pu lever les mesures de confinement général…
 
5/ « Désinfecter ne sert à rien ». C’est clair : N’importe quel praticien sait depuis Pasteur que ce n’est pas la peine de se laver les mains et de désinfecter les choses !
Il n’y a que les ignorants rastaquouères qui désinfectent leurs bus, trains, métros et halls de gare !
 
D’ailleurs, en Corée du Sud, l’épidémie est contenue grâce au port du masque systématique par tout le monde, parce qu’en Corée on désinfecte partout les lieux publics, parce qu’en Corée on teste tout le monde systématiquement et que l’OMS (ces nains du rachis) le recommande vivement !
 
Chez nous, c’est bien plus logique, on ne teste que les crevards-fiévreux et les cadavres (pour avoir des certitudes, probablement) et nous ne portons pas de masques parce que de toute façon nous ne « savons pas les mettre », nous les gueux, les sans dents, qui puent la clope et le gasoil !…
Notez qu’on pourrait bien nous faire un ou deux « tuto » pour nous apprendre vu que « les Ducs-à-Sion » nationale sait payer des imbéciles qui vont expliquer à des mômes de 12 ans comment enfiler une capote en classe et dans le noir…
 
Ne désinfectons pas non plus les lieux publics, car à part nos amis agriculteurs, qui disposent de pulvérisateurs en quantité suffisante et autres saloperies qui désinfectent leurs champs ne sont pas « solidaires ».
Il faut même que ce soit les « parfumeurs de luxe » qui se mettent à faire « pharmacien » pour avoir les bidons, l’alcool et la glycérine pour faire du gel hydro-alcoolique…
Nos apothicaires en sont démunis (ou ne savent plus en faire…)
 
Force est de reconnaître que nous sommes finalement dirigés par les mêmes mauvais, les mêmes incompétents (au mieux) que ceux qui nous ont menés au désastre de 40 et à de vraies heures sombres.
Nou sommes jetés en pâture à des immatures incompétents et menteurs !
Car en plus ils mentent comme ils respirent en se cachant derrière leur petit-doigt.
 
On aurait pu (et dû) entendre simplement la vérité : « Bon, je ne vous le cacherais pas, nous avons raté la première mi-temps. Nous allons avoir de lourdes pertes. Nous n’avons pas de masques, pas de gants, pas de matériel pour faire face. On vous a menti, pour ne pas vous faire peur. Ce n’est pas une « grippette », c’est une putain de saloperie de pneumonie, qui rend malade tout le monde, les jeunes comme les vieux, et qui tue tout le monde mais plus les vieux, mais pas que.
Restez chez vous (mais surtout allez bosser, c’est important), c’est la seule façon de contenir ce virus monstrueux.
Prenez-le au sérieux. L’ennemi est redoutable.
En restant chez vous, vous nous donnerez le temps de fabriquer des masques, des blouses de protection, des respirateurs » etc.
Au moins ça aurait été cohérent et les gens auraient compris pourquoi rester chez eux au lieu d’aller contaminer les campagnes dans leurs résidences secondaires est primordial.
Car mettre une amende ne leur fera pas prendre conscience de la gravité de la situation sanitaire qui oblige même une loi « d’état d’urgence » votée dans… l’urgence !
 
Au lieu de cela, « Jupiter » m’aura fait marrer un grand coup en vous expliquant qu’il fallait sortir, mais pas trop loin, et téléphoner à mémé et surtout pas au 15, les urgences…
Je n’ai plus de « mémé » à surveiller, je ne lui téléphone plus : Là où elle est, les réseaux ne « passent » pas !
Pathétique et très inquiétant.
On attendait tous la réaction au « coup de téléphone de 4 heures du matin » annonçant une catastrophe en pleine nuit.
Ils auront eu tous le leur, « Mythe-errant » (qui fonce au Koweït), « Le Chi » (qui file à New-York par le premier avion), « Bling-bling » (qui fait barrage de sa chétive corpulence en Géorgie) et même « Tagada-à-la-fraise-des-bois » (qui aura réagi en convoquant un G 80 place de la République à la Bastille…).
Je repose la question : Est-ce que la « Jupitérie » y survivra ?

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