La défaillance
criminelle de l’État…
À la fin de la crise du « Connard-virus » (probablement autour
de Pâques, je maintiens encore), on va enfin faire les comptes en
« Gauloisie-maladive ».
Le compte des morts « anticipées » (en nous racontant que ça
aurait pu être pire sans l’État et de ses nombreux
« serviteurs-dévoués »), en comptant les malades « sauvés »
(grâce aux efforts de l’État et de ses nombreux
« serviteurs-dévoués ») pour s’en féliciter : Ça aurait pu être
pire !
On va compter aussi les milliards déversés par les uns et les autres pour
que le pays, mis à l’arrêt avec les mesures de confinement, puisse ne pas
s’arrêter et surtout redémarrer en comptant les chômeurs dont le nombre aura
explosé et les entreprises en faillite dont… le nombre aura explosé dans les
mois à venir !
Et peut-être, pour faire « bon compte », on tâchera de
« dépister » ex-post tous les contaminés, tous ceux qui ont été
atteints et ont développé ou non « la maladie » sous des formes
bégnines et qui n’auront pas été encombrer les services hospitaliers (débordés
parce que sous-dimensionnés), car on guérit tout seul d’une
« grippette », même particulièrement virulente avec quelques cachets
d’aspirine (et quelques verres de rhum), j’en compte plusieurs dans mon
entourage.
Là, on va s’apercevoir que ce virus-là aura eu une progression
considérable, que les frontières ne servent à rien (vive la
« globalisation » !) et surtout que nos « sachants »
sont décidément des ânes déplorables !
Leur faillite à eux !
On a commencé à s’en rendre compte la semaine dernière quand on a appris
de l’ex-sinistre de la bonne santé qu’« on
aurait dû tout arrêter, (que) c’était
une mascarade » en parlant des élections municipales, entre des sanglots
dont elle n’est pas avare.
Des aveux formulés dans le journal le Monde (ce torchon…) et selon
lesquels le plus haut sommet de l’État savait parfaitement la catastrophe qui
se profilait sont assez terrifiants : « Quand j’ai quitté le ministère, je
pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. Je suis
partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu. »
Facile à affirmer ex-post, bien
sûr, et c’est purement et simplement une désertion qu’elle aura commise, qu’elle
reconnaissait à ce moment-là en essayant assez lâchement de s’en défausser.
Mais de cela elle se débrouillera avec sa conscience sur laquelle pèsera
une partie de ces morts qui sont et vont tomber, emportés par le virus, et dont
on sait parfaitement qu’ils se compteront par milliers.
Elle en a tellement bonne conscience que, dit-on, elle veut retourner
soigner à l’hôpital !
Euh… pas moâ ni « ma nichée » SVP…
Mais il y a plus grave, beaucoup plus grave !
On peut déduire de ses propos le caractère criminel du comportement des
décideurs publics dont c’était la responsabilité de prendre toutes les mesures
permettant d’affronter la catastrophe et d’éviter une hécatombe, principe
constitutionnel de précaution obligeant même les pouvoirs pue-bliques.
Que nous dit-elle en effet ? « Je
pense que j’ai vu la première ce qui se passait en Chine : le 20 décembre, un
blog anglophone détaillait des pneumopathies étranges. J’ai alerté le directeur
général de la santé. Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la
situation. Le 30 janvier, j’ai averti Édouard Philippe que les élections ne
pourraient sans doute pas se tenir. Je rongeais mon frein. » Donc, dès la
fin janvier il était clair que prévenu par sa « sinistre de la bonne santé »,
« Jupiter » savait à quoi il fallait s’attendre et son premier
sinistre aussi ainsi que le directeur général de la santé.
Malgré cela, le président de la république paradait le 7 mars dans les
rues de Paris pour inciter les parisiens à continuer à aller au théâtre !
Surréaliste…
Tous ceux, professeurs de médecine, spécialistes, chercheurs (mes potes
carabins ou urgentistes) qui sonnaient l’alarme se faisaient insulter par les « zélés-serviteurs
du pouvoir », journalistes « aux ordres », médecins-généraux et
« penseurs » de pacotille en charge de votre bonheur, appuyés par l’inévitable
et irremplaçable « Si-bête-la-Diarrhée », porte-la-parole officielle
du gouvernement.
L’incompétence à la direction d’un État de toute cette équipe arrivée au
pouvoir par surprise en 2017 n’est désormais, c’est ce qui saute aux yeux, plus
à démontrer !
Si tous ces faits sont formellement établis tout cela engage la
responsabilité pénale de tous ces décideurs publics…
Rien de moins.
Jusqu’au perchoir du Sénat et celui du Conseil Constitutionnel, en passant
par les chefs de partis qui s’étaient réveillés, bousculés pour empêcher le report du premier tour
des municipales.
À mon sens, ça, et même pour les membres consultés de la « communauté
scientifique » sur les avis desquels les décisions se sont appuyées, dans
et hors la haute administration : Aucun n’a pu émettre un avis discordant
en public !
Tous complices, y compris par « abstention ou omission »,
écrasés par « l’autorité » jupitérienne : Des lâches !
Pas fiables…
C’est un peu comme le nuage de Tchernobyl : Il ne pouvait pas
traverser le Rhin, ses papiers n’étaient pas en règle, pensez donc !
J’en conclue qu’on n’aura rien appris après ce triste épisode qui
« fragilise » tous ses « opérés de la thyroïde » depuis
plusieurs décennies et dont la vie ne tient qu’à un médicament à prendre tous
les jours sans exception, sinon c’est la peine de mort appliquée sans trembler…
D’ailleurs, que nous dit le code pénal à ce sujet, celui-là même utilisé
dans l’affaire du sang contaminé ?
C’est l’article 221–6 qui s’applique : « Le fait de causer, dans
les conditions et selon les distinctions prévues à l’article 121-3, par
maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation
de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, la mort d’autrui
constitue un homicide involontaire puni de trois ans d’emprisonnement et de 45.000
euros d’amende.
En cas de violation
manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de
sécurité imposée par la loi ou le règlement, les peines encourues sont portées
à cinq ans d’emprisonnement et à 75.000 euros d’amende. »
Le renvoie à l’article 121-3 nous explique que : « Il
y a également délit, lorsque la loi le prévoit, en cas de faute d’imprudence,
de négligence ou de manquement à une obligation de prudence ou de sécurité
prévue par la loi ou le règlement, s’il est établi que l’auteur des faits n’a
pas accompli les diligences normales compte tenu, le cas échéant, de la nature
de ses missions ou de ses fonctions, de ses compétences ainsi que du pouvoir et
des moyens dont il disposait.
Dans le cas prévu par
l’alinéa qui précède, les personnes physiques qui n’ont pas causé directement
le dommage, mais qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la
réalisation du dommage ou qui n’ont pas pris les mesures permettant de
l’éviter, sont responsables pénalement s’il est établi qu’elles ont, soit violé
de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de
sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute caractérisée
et qui exposait autrui à un risque d’une particulière gravité qu’elles ne
pouvaient ignorer. »
Deux textes, datant des années 90, pour justement bien définir le
périmètre de la responsabilité personnelle en matière d’homicide et de coups et
blessures involontaires, qui méritent un éclairage.
Dans ce domaine, la « Gaulosie-juridique » applique depuis
toujours ce que l’on appelle « la théorie de l’équivalence des contributions ».
Ce qui veut que tous ceux qui ont commis le dommage ou « contribué »
à sa réalisation sont pénalement responsables.
C’est ce que l’on appelle les « auteurs directs » et les « auteurs
indirects ».
Ainsi l’automobiliste qui renverse un cycliste et le tue est l’auteur
direct de l’infraction de l’article 221–6 par défaut de maîtrise de son
véhicule.
Mais, si la manœuvre mortelle a aussi été causée en raison d’une voirie
défectueuse non signalée à cet endroit, les responsables de celle-ci seront
également poursuivis.
Vous saisissez ?
Bien évidemment, l’auteur principal et direct des morts de la pandémie est
bien le « Connard-virus ». Mais il existe aussi comme l’aura l’avoué « Agnelle-Buzz-Yn »
des auteurs indirects dont la culpabilité, si elle est établie, serait
accablante.
Le chef de l’État, le Premier-sinistre, la « sinistre de la bonne santé »,
le directeur général de la bonne-santé, savaient-ils à quoi s’en tenir dès
janvier ?
Manifestement, n’ayant pas pris les mesures afin de l’éviter alors
qu’elles étaient de leur compétence, en n’appliquant pas les « diligences
normales » qu’exigeaient leurs responsabilités (pue-bliques), ils ont contribué
à créer la situation d’une catastrophe aggravée. Et en s’abstenant d’agir, ils
ont commis une faute pénale caractérisée en exposant autrui « un risque d’une particulière gravité qu’ils
ne pouvaient ignorer ».
A minima.
Par conséquent, comme cela avait été le cas pour l’affaire du sang
contaminé, il me semble indispensable que la Cour de Justice de la République
soit saisie d’une procédure dirigée contre ces sinistres pour dire si leur
défaillance est établie ainsi que le prétend « Agnelle-Buzz-Yn » et
prononcer à leur encontre les sanctions à la mesure du dommage subi. Le juge
judiciaire de droit commun doit l’être pour les fonctionnaires qui n’ont pas
fait leur devoir comme cela avait été également le cas dans l’affaire du sang
contaminé : Après tout, ils sont (chèrement) payés pour ça.
Naturellement, « Jupiter » ne risque rien. Avec ses propres
pouvoirs et un Parlement à sa botte, celui qui pouvait tout est protégé par son
immunité.
Reste le déshonneur et les urnes (si on peut encore y accéder, car ce
n’est pas certain…).
S’il faut évidemment restez chez vous, car ce confinement est la seule
bonne décision de ces dirigeants, ayant faits preuve d’inepties, d’incompétence,
de menteries, et pour tout dire de dangerosité, il nous appartiendra d’en
débarrasser le pays d’une façon ou d’une autre.
Ça va même devenir urgent !
Soyons réalistes et ouvrons les yeux : La liste de leurs mensonges
est longue dans cette affaire.
1/ « Ce virus ne viendra jamais
en Europe. Il n’y a aucune chance, ou très faible, que nous y soyons
confrontés. »
Pôvre chérie, va. Et c’est une toubib dans le civil ?…
2/ « Fermer les frontières ne
sert à rien contre un virus… »
C’est vrai au moins autant que pour les nuages…
Mais précisons que ce sont les hommes qui en sont porteurs et que les
frontières servant de « contrôles » peuvent être utiles est pourtant une
évidence.
Certes, fermer des frontières peut être difficile quand nous avons des
centaines de milliers de nos compatriotes partout dans le monde est une
évidence aussi.
On les ramène et on les met en quarantaine : Ceux-là n’étaient pas
contaminants.
Et alors pour quelles raisons d’autres ferment leurs frontières ?
3/ « Porter des masques ne sert
à rien. » Probablement moins efficace qu’une capote ou une combinaison
NBC, mais alors, il faut expliquer pour quelle raison les
« soignants » courent après pour se protéger ?
La vraie raison c’est qu’il y a des stocks (stratégiques) en quantité (110
millions m’a-t-on affirmé) mais que le dernier qui savait où ils étaient
planqués est mort et que depuis plus personne ne sait…
4/ « Tester systématiquement ne
sert à rien. » Il y a surtout que nous sommes incapables d’en produire
suffisamment et que ceux-là sont réservés aux VIP-ministériels.
On testerait tout le monde, qu’on aurait rapidement pu lever les mesures
de confinement général…
5/ « Désinfecter ne sert à rien ».
C’est clair : N’importe quel praticien sait depuis Pasteur que ce n’est
pas la peine de se laver les mains et de désinfecter les choses !
Il n’y a que les ignorants rastaquouères qui désinfectent leurs bus,
trains, métros et halls de gare !
D’ailleurs, en Corée du Sud, l’épidémie est contenue grâce au port du
masque systématique par tout le monde, parce qu’en Corée on désinfecte partout
les lieux publics, parce qu’en Corée on teste tout le monde systématiquement et
que l’OMS (ces nains du rachis) le recommande vivement !
Chez nous, c’est bien plus logique, on ne teste que les crevards-fiévreux
et les cadavres (pour avoir des certitudes, probablement) et nous ne portons
pas de masques parce que de toute façon nous ne « savons pas les mettre », nous
les gueux, les sans dents, qui puent la clope et le gasoil !…
Notez qu’on pourrait bien nous faire un ou deux « tuto » pour nous
apprendre vu que « les Ducs-à-Sion » nationale sait payer des
imbéciles qui vont expliquer à des mômes de 12 ans comment enfiler une capote en
classe et dans le noir…
Ne désinfectons pas non plus les lieux publics, car à part nos amis
agriculteurs, qui disposent de pulvérisateurs en quantité suffisante et autres
saloperies qui désinfectent leurs champs ne sont pas « solidaires ».
Il faut même que ce soit les « parfumeurs de luxe » qui se
mettent à faire « pharmacien » pour avoir les bidons, l’alcool et la
glycérine pour faire du gel hydro-alcoolique…
Nos apothicaires en sont démunis (ou ne savent plus en faire…)
Force est de reconnaître que nous sommes finalement dirigés par les mêmes
mauvais, les mêmes incompétents (au mieux) que ceux qui nous ont menés au
désastre de 40 et à de vraies heures sombres.
Nou sommes jetés en pâture à des immatures incompétents et menteurs !
Car en plus ils mentent comme ils respirent en se cachant derrière leur
petit-doigt.
On aurait pu (et dû) entendre simplement la vérité : « Bon, je ne
vous le cacherais pas, nous avons raté la première mi-temps. Nous allons avoir
de lourdes pertes. Nous n’avons pas de masques, pas de gants, pas de matériel
pour faire face. On vous a menti, pour ne pas vous faire peur. Ce n’est pas une
« grippette », c’est une putain de saloperie de pneumonie, qui rend
malade tout le monde, les jeunes comme les vieux, et qui tue tout le monde mais
plus les vieux, mais pas que.
Restez chez vous (mais surtout allez bosser, c’est important), c’est la
seule façon de contenir ce virus monstrueux.
Prenez-le au sérieux. L’ennemi est redoutable.
En restant chez vous, vous nous donnerez le temps de fabriquer des
masques, des blouses de protection, des respirateurs » etc.
Au moins ça aurait été cohérent et les gens auraient compris pourquoi rester
chez eux au lieu d’aller contaminer les campagnes dans leurs résidences
secondaires est primordial.
Car mettre une amende ne leur fera pas prendre conscience de la gravité de
la situation sanitaire qui oblige même une loi « d’état d’urgence »
votée dans… l’urgence !
Au lieu de cela, « Jupiter » m’aura fait marrer un grand coup en
vous expliquant qu’il fallait sortir, mais pas trop loin, et téléphoner à mémé
et surtout pas au 15, les urgences…
Je n’ai plus de « mémé » à surveiller, je ne lui téléphone plus :
Là où elle est, les réseaux ne « passent » pas !
Pathétique et très inquiétant.
On attendait tous la réaction au « coup de téléphone de 4 heures du
matin » annonçant une catastrophe en pleine nuit.
Ils auront eu tous le leur, « Mythe-errant » (qui fonce au
Koweït), « Le Chi » (qui file à New-York par le premier avion),
« Bling-bling » (qui fait barrage de sa chétive corpulence en Géorgie)
et même « Tagada-à-la-fraise-des-bois » (qui aura réagi en convoquant
un G 80 place de la République à la Bastille…).
Je repose la question : Est-ce que la « Jupitérie » y
survivra ?
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