Germaine, l’épouse de Jean-Marc…
… consulte un sexologue.
Après quelques questions, l’homme de
science dit alors :
« Si je comprends bien, votre
équilibre sexuel dépend de certains facteurs… »
Germaine lui fait cette réponse :
« Pas seulement ! Il y a aussi
les employés d’EDF… »
Jean-Marc et Germaine, justement
« – As-tu la clé ?
– Quelle clé ?
– Celle qui ferme ta grande gueule ! »
Germaine, une dame finalement très
BCBG, qui habite un quartier huppé de la côte se rend (avec la grosse Mercédès
de Jean-Marc) chez son médecin.
Elle entre dans le cabinet du médecin
et s’écrie toute affolée :
« – Docteur, c’est affreux,
j’ai été piquée par une guêpe !
– Allons madame, calmez-vous », répond le
médecin. « Ce n’est sans doute pas bien grave.
– Mais enfin docteur, vous ne vous
rendez pas compte, c’est extrêmement… comment dire… c’est horriblement gênant,
voyez-vous…
– Si vous me disiez d’abord où vous
avez été piquée ?
– Ah ça non, n’y comptez surtout pas !
C’est totalement hors de question !
– Mais enfin, je suis médecin, je…
– Non, non-non-non et non ! C’est bien
trop embarrassant… Vous soignez la plupart de mes amies, et si l’une d’elles
apprenait une chose pareille, je serai la risée de tous dans les dîners
mondains. C’est bien simple, je n’oserai même plus sortir de chez moi.
– Mais enfin madame », commence à
s’énerver le toubib, « je suis tenu par le secret professionnel, vous
l’oubliez ? Et puis, du reste, comment voulez-vous que je vous soigne si
j’ignore où cette guêpe vous a piquée ?
– Docteur, vous me jurez que vous n’en
parlerez à personne, pas même à votre épouse ?
– Vous avez ma parole, madame. »
Alors Germaine s’approche de son
médecin et, après avoir jeté un rapide coup d’œil à droite et à gauche pour s’assurer qu’ils sont bien seuls dans la pièce, elle lui murmure tout bas à l’oreille :
« Chez Ikéa ! »
Jeune, Jean-Paul se plaignait à son ami
Jean-Marc :
« – Chaque fois que j’amène une
jeune fille à la maison, elle ne plaît pas à ma mère et le mariage est raté.
– Je vais te donner un truc. Choisis
une fille exactement comme ta mère. Ainsi, tu es sûr qu’elle lui plaira. »
Quelques mois plus tard, ils se
retrouvent :
« – Alors, tu es marié ?
– Hélas, non ! Toujours pas !
– Tu n’as pas suivi mon conseil ?
– Si, j’ai déniché une jeune fille
ressemblant à ma mère. Elle parlait comme elle, marchait comme elle, cuisinait
comme elle… Ma mère l’a tout de suite adorée.
– Alors, pourquoi ne l’as-tu pas
épousée ?
– Mon père ne pouvait pas la sentir ! »
Jean-Paul va voir son meilleur ami, Jean-Marc
:
« – Dis donc, tu te souviens,
quand nous sommes tombés en panne en pleine campagne, l’automne dernier, de la
dame si gentille qui nous a hébergés dans son château ?
– Oui, très bien. Pourquoi ?
– Eh bien, je viens de recevoir une
lettre de son notaire. Tu ne te serais pas introduit en pleine nuit dans sa
chambre pour passer la nuit avec elle ?
– Euh… Tu sais, je ne me souviens pas
très bien. J’avais trop bu…
– Et tu ne lui aurais pas, par hasard,
donné mon nom à la place du tien ?
– C’est bien possible… Tu m’en veux ?
– Non pas du tout ! Elle vient de
mourir et me laisse toute sa fortune… »
Celle-là se passe en Grèce dans la
région des Météores, là où l’on trouve ces monastères perchés tout en haut de
rochers, complètement inaccessibles par les moyens classiques.
Le seul moyen d’accéder au monastère
est de monter dans un panier suspendu qui sera tiré en haut par plusieurs
moines…
Jean-Marc, qui voulait voir
comment c’est là-haut, monte dans la nacelle et se fait treuiller.
À mi-parcours, pris de vertige, il
panique et son regard se porte sur la corde qui tracte la nacelle.
Il remarque qu’elle est usée et qu’elle
commence à s’effilocher.
La voix tremblante, il s’adresse au
moine qui l’accompagne et lui demande si on change souvent la corde.
Et le moine répond :
« À chaque fois qu’elle casse… »
Jean-Marc et Jean-Paul
« – Sais-tu pourquoi les
préservatifs noirs n’ont aucun succès ?
– Non. Et toi ?
– Parce que le noir amincit. »
Le médecin examine Jean-Marc
qui, semble-t-il, en est à ses dernières heures.
Ça ne va pas bien.
« – Ça fait longtemps qu’il
râle comme ça », demande-t-il à sa femme ?
« – Oh oui… Depuis qu’on est
marié. »
Jean-Paul, dont la femme vient d’avoir
des jumeaux, s’inquiète de cette « anomalie » et va consulter un médecin pour
qu’il lui explique les raisons.
À peine le médecin a-t-il ouvert la
bouche que l’homme sort comme un fou et se précipite vers le bureau de poste où
il assomme littéralement les deux préposés à la distribution du courrier.
« Je n’y comprends rien »,
confie le médecin aux policiers qui enquêtent sur cette agression.
« D’ailleurs, quand il s’est
mis dans cet état, je n’avais eu le temps que de lui dire : Voyez-vous, à
l’origine de ce phénomène, il y a deux facteurs… »
L’enquêteur interroge la secrétaire de
direction :
« – Avez-vous une idée sur la
raison qui a pu pousser votre patron à se jeter par la fenêtre ?
– Non, je ne sais pas », dit-elle en
sanglotant. « Il était toujours gentil avec moi. Il y a deux mois, il
m’avait fait cadeau d’un manteau de fourrure, le mois dernier, il m’avait payé
une Porsche et aujourd’hui encore, j’avais eu droit à un solitaire magnifique.
Tenez, regardez, je l’ai au doigt ! Et puis aujourd’hui il m’a demandé ce qui
me ferait plaisir pour que je lui accorde mes faveurs… »
« – Et que lui avez-vous
répondu ?
– Que les autres employés avaient
l’habitude de me donner 100 euros. »
La directrice de l’école primaire,
aperçoit le petit Jean-Marc et d’autres enfants qui se font des grimaces
pendant la récréation.
Elle s’approche d’eux, et sur son ton
habituel très autoritaire, elle leur dit :
« Tu vois Jean-Marc, quand
j’étais petite, on me disait toujours que si continuais à faire des grimaces,
je resterais comme ça ! »
Alors Jean-Marc lui répond :
« Eh bien vous ne pourrez pas
dire que vous n’avez pas été prévenue ! »
Une petite « revenue » ?
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun
devant un demi.
« – Sais-tu pourquoi peut-on
comparer une femme à un ouragan ?
– Non. Toi, tu sais ?
– Oui ! Parce que quand ça arrive,
c’est chaud et humide…
Quand ça repart, tu n’as plus de
maison, plus de chien, plus de voiture… »
Les mêmes :
« – Naturellement, tu ne sais
pas pourquoi les hommes sont forcément plus heureux que les femmes.
– Non.
– Eh bien les hommes sont juste les
gens plus heureux.
Toujours.
Ce sont des créatures simples.
Leur nom de famille ne change pas.
Le garage entier est à eux.
Les mariages se préparent eux-mêmes
sans que ces Messieurs aient à participer à la préparation.
Ils peuvent devenir Président.
Ils ne peuvent jamais être enceinte.
Ils peuvent porter un T-Shirt blanc
dans un parc aquatique sans aucune crainte.
Ils peuvent même ne pas porter de T-shirt
du tout dans un parc aquatique.
Les mécaniciens leurs disent la vérité.
Le monde entier est leur urinoir.
Ils n’ont jamais à conduire jusqu’à une
autre station à essence pour faire pipi parce que les toilettes de la précédente
étaient trop dégueulasses.
Même travail, plus de paye.
Les rides leurs donnent de la personnalité.
La robe de mariée 3.000 € la location d’un
smoking à peine 100 €.
Les gens ne fixent pas leur poitrine
quand ils leur parlent.
Les chaussures neuves ne leurs donnent
pas d’ampoules…
Et ils n’ont qu’une seule humeur, tout
le temps !
Leurs conversations téléphoniques sont
finies en 30 secondes.
Ils savent des choses sur les chars
d’assaut…
Ils n’ont besoin que d’une valise pour
des vacances de cinq jours.
Ils peuvent ouvrir leur propre pot de
confiture.
Le moindre geste agréable de leur part
leur vaut de la reconnaissance.
Si quelqu’un oublie de les inviter,
cette personne peut quand même rester leur ami.
Leurs sous-vêtements coûtent au plus 9
€ pour un paquet de 3.
Trois paires de chaussures sont plus
que suffisantes pour toute une vie.
Ils n’ont presque jamais de problèmes
de bretelles en public.
Ils sont incapables de voir si leurs
vêtements sont froissés.
Tout sur leur visage reste de la même
couleur tout le temps.
La même coupe de cheveux dure des
années, peut-être même des décennies.
Ils n’ont que leur visage à raser.
Ils peuvent jouer avec des joujoux
toute leur vie.
Ils n’ont besoin que d’un seul sac et d’un
seul portefeuille.
Une seule couleur pour toutes les
saisons.
Ils peuvent se promener en short, quel
que soit l’état de leurs jambes…
Ils peuvent s’arranger les ongles avec
un canif de poche.
Ils ont le libre choix concernant le
port d’une moustache.
Ils peuvent faire les courses de Noël
pour 25 personnes en 25 minutes le 24 décembre.
– Ah oui, évidemment !
– Tu dis ça à toutes les femmes qui ne peuvent
pas t’encaisser et à tous les hommes qui seront contents de l’apprendre. »
Une fille fait du stop.
Jean-Marc s’arrête et se penche à
la portière…
« Monte, je ne suis pas un de
ces salauds qui n’embarquent que les belles filles. »
La phrase qui tue :
Elle :
« – Tu peux me la mettre chéri.
J’ai tellement envie de te sentir.
– Mais je suis déjà en toi !
– Ah… Ah oui… Ah bon… Pourtant… »
Ça vaut le « ce n’est pas grave,
je n’ai rien senti » d’Anémone dans « Le père Noël est une ordure »…
Dans un hôpital psychiatrique, un
nouveau docteur est occupé à faire la visite quotidienne.
Il arrive près d’un couple de patients
qui montre un comportement très particulier : Le premier homme est assis à
l’extrémité de son lit tenant un volant imaginaire entre les mains, et imitant
le bruit d’un moteur de camion…
Vroum, vrooom, vroooooom, screech… vroooom…
Le docteur lui demande :
« – Mais que faîtes- vous ?
– Je conduis un chargement de bananes
en Allemagne » répond-il.
Le médecin à peine surpris de la
réponse qu’il vient de recevoir, se retourne vers le voisin d’à côté qui est
occupé à remuer dans tous les sens sous les draps de lit.
Le médecin tire les draps et voit notre
homme nu comme un ver face au matelas avec une superbe érection.
Le médecin demande :
« – Et vous, que faîtes-vous ?
– Moi ? Pendant qu’il livre ses
bananes en Allemagne, j’en profite pour baiser sa femme ! »
Bon week-end à toutes et tous !
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