Avant-propos.
Seulement voilà, si « les dieux ont quelques desseins sérieux », l’explication ne me convient pas non plus.
Bonjour à toutes et tous !
Juste un petit billet pour vous prévenir que demain,
je ne serai plus derrière mon écran à surveiller de loin en loin les turbulences
des marchés, de l’actualité mondiale, économique et politique, et autres publications
des posts du mois d’août qui vont suivre.
Pourtant on entre dans la période où les grecs vont
savoir enfin comment ils vont finir par être digérés, après avoir été avalés
tout-vifs, alors que les américains se réunissent avec les européens pour leur
apprendre comment fermer une banque en une nuit : Eux, ils ont l’expérience
pour en avoir déjà fermé près de 500 par le passé tout en évitant les « bank-run »
dévastateurs…
Et puis planent toujours ces menaces d’embrasement
locaux et mondiaux : Tout le
monde est désormais prêt à en découdre.
En fait, je suis déjà parti vers Portoferraio depuis
hier, en principe sous voile, pour vérifier que mon poste d’amarrage y est
toujours disponible, et pour rapprocher mon voilier de la
« Corsica-Bella-Tchi-tchi », où je compte passer un peu plus du mois
qui va s’ouvrir, « caché » entre mon maquis, ses effluves
incomparables et extraordinaires, ses paysages hors-normes, parmi « mes
cousins » également hors-normes, loin des touristes qui pullulent sur le littoral ;
et la côte occidentale, la plus « riche » et colorée de ses manteaux verts,
kakis, ocres et rouge-sang des hautes « montagnes dans l’eau »
offerts à celui qui passe les mirer, entre marine
d’Elbo, Girolata, Porto
et ses calanques de Piana.
Elles n’ont rien d’extraordinaires depuis la mer. Mais
je vais « pousser » jusqu’à Turghio, le golfe de Topiti et Curio,
ceux de Chiuni et de Peru avant d’arriver à Cargèse dans le golfe de Sagone,
plus au sud.
De toute façon, il me faudra arriver à Ajaccio avant
la fin du mois pour y poser « ma nichée » sur l’avion du retour et
probablement, je retournerai à Portoferraio par le sud, le Golfe de Valinco et Roccapina, la
baie de Figari, Bonifacio, une
escale obligatoire à Palombaggia, sauf
s’il y a trop de monde, pour un retour en Italie début septembre seulement.
Des grandes vacances, quoi !
Ce n’est pas que je n’irai pas moi-même faire
« trempette » sur des plages inaccessibles autrement qu’à dos d’âne,
par la mer ou en « tas-de-boue-à-roulette » tout-terrain, à la
rencontre de « ma » méduse qui patiente depuis l’année dernière dans
ses élans énamourés pour ma barbaque…
Mais j’ai du mal à supporter les plages italiennes,
largement sous-dimensionnées, quelle que soit leur dimension, telles que les
« ritaux » s’y entassent, s’emboîtent systématiquement, tête contre
pieds, parfois à s’empaler les uns sur les autres, occupant chaque mètre carré
disponible.
Parcourir les quelques mètres qui séparent sa
serviette, qu’on retrouve de toute façon piétinée à son retour, pour aller se
rafraîchir par une bonne baignade, relève du parcours du combattant pour éviter
de faire jouer sa police d’assurance en responsabilité civile !
Au moins, sur « mes » plages, on peut encore
circuler aisément et poser son double-quintal/double-mètre sans risquer d’être
envahi inopportunément.
Quoique, il reste des endroits infréquentables…
Au programme, d’abord Bastia, visite de courtoisie à
quelques « cousins » à l’aller.
Puis détour au village, où il faut viser les
dégradations annuelles des tombeaux, murets et autres plantations, avec étapes
diverses dans le maquis où je constate les mêmes usures du temps qui passe sur
mes « cruttiu » épars.
Puis, accueil de « ma nichée » en Balagne, par contournement du
Cap Corse – où j’espère que le chauffe-eau fonctionnera après un hiver
difficile – et enfin la « petite-virée » nautique que je lui avais
promise l’année dernière.
S’il fait beau et que la mer n’est pas trop formée,
« ma nichée » va revenir avec des étoiles plein les yeux sur le
continent : De quoi tenir une année pleine !
Pour en revenir à « Mains invisibles II »,
naturellement, c’est la suite de « Mains
invisibles » où on avait laissé « Charlotte » à La
Valette après des tribulations invraisemblables qui se sont déroulées sur une
période de deux années pleines, de juillet 2012, où il venait de déjouer
un attentat à l’arme nucléaire sur la soirée d’inauguration des JO de Londres
(hasard
ou nécessité, puisque l’attentat n’a finalement pas eu lieu), jusqu’au mois de
juillet 2014 où un putsch a également été déjoué par ses soins le 14 juillet
sur la place de la Concorde…
Partant de l’idée rapportée de Platon par mon
« beauf’ », celui qui fait philosophe dans la vie et grec dans le
civil, que « L'homme n'est qu'un
jouet inventé par Dieu » et plus précisément que : « L'homme, comme je l'ai dit plus haut, n'est
qu'une marionnette inventée par Dieu » (Lois, VII, 803c), voire que : «
Chacun des êtres animés est un jouet
ingénieux, sorti de la main des dieux, soit qu'ils l'aient composé pour
s'amuser, soit qu'ils aient eu quelque dessein sérieux » (Lois, I, 644d),
il n’est finalement vraisemblablement rien de hasardeux.
Même l’aléa total !
Ce qui finalement ressort assez bien, et avec le recul
nécessaire, de ces tribulations relatées pour vous sous la forme romanesque d’une
« nouvelle ».
Il ne peut pas en aller autrement : Il s’agit
vraiment de l’actualité du moment, mais qui ne peut pas, ne doit pas être
révélée crûment telle qu’elle s’est déroulée et que vous pouvez d’ailleurs
contrôler par vous-mêmes.
Sauf que son véritable éclairage que je vous en fais affolerait bien trop
les institutions de mon pays (qui n’ont pas besoin de ça) et qu’il vaut mieux
pour tous « romancer » ces aspects-là.
Au moins, le doute persiste pour tout le monde.
C’est comme ça : Moi, j’y tiens à nos
institutions, même si elles sont servies par des « moins que rien »
et qu’elles peuvent nettement être améliorées !
Parce ce qu’elles sont les meilleures depuis bien
longtemps et que je suis né avec.
Seulement voilà, si « les dieux ont quelques desseins sérieux », l’explication ne me convient pas non plus.
D’abord parce que je suis né « papiste »,
c’est comme ça aussi, et donc monothéiste.
Il y a peut-être un Dieu, éventuellement créateur du
tout, mais pas « des dieux ».
Ou alors, ils se font passer pour tels pour imposer
quelques destinées et autres « règles du vivre ensemble », comme
on dit actuellement, depuis un olympe quelconque.
Par ailleurs, vous le savez, je suis en contact depuis
de nombreuses années avec « l’Ami-Râle ».
Il a une double qualité assez exceptionnelle, en plus que de plaider
inlassablement pour son projet de « grands voiliers » à destination
de la jeunesse, c’est d’avoir croisé un OVNI au-dessus de Paris, avec contact
radar au sol pour confirmation, s’il vous plait, et d’être à l’origine du premier roman en ligne
relatif au détournement des milliards de la Division
Daguet par le président (et quelques-uns) de l’époque, « Opération
Juliette Siéra ».
L’explication la plus cohérente possible de ce fameux
détournement que les autorités de mon pays ne veulent toujours pas traiter,
alors que tous les ministres concernés depuis ont écrit noir sur blanc
qu’aucune somme n’a jamais été encaissée en dédommagement des opérations
koweïtiennes.
Il se trouve qu’elles ont été versées, payées par les
pays du golfe…
Et actuellement remboursées par le Irakiens sous
l’égide de l’ONU qui les a validées.
C’est du sérieux en barre et compact.
Alors, si ce n’est pas un aveu d’arsouillerie,
qu’est-ce donc ?
Sa double qualité de « témoin privilégié »,
OVNI et arsouilleries, le font avancer, « cogiter » sur la place de l’homme
dans l’univers (vaste thème…) et il reste très au fait d’observations d’OVNI à
travers le monde.
Notamment avec les survols ayant commencé à se
densifier depuis octobre 2014 d’engins circulant librement au-dessus de sites « sensibles »
qui mettent en émois divers les armées, la gendarmerie et les autorités d’une façon
générale.
Pour lui, et pour beaucoup d’autres, notre
civilisation est « sous surveillance » aliène en vue d’observer ou de
neutraliser – ils ne savent pas vraiment – une ou des déflagrations nucléaires
considérées comme fort probables.
Neutraliser, je doute : Il y a eu des tirs
récents, notamment au
Yémen, de munitions nucléaires tactiques contre des installations
rebelles.
Les pixels blancs de saturation de la vidéo en
témoignent comme autant de particules à haute énergie, ce qui est impossible à
obtenir avec du TNT classique ou autre, bien sûr.
Et rien ne les a empêchés, même pas des aliènes !
Donc, la notion de « police galactique », ou
de civilisations « bienveillantes » n’est qu’un leurre de l’esprit
qui vise seulement à se rassurer, en pense-je.
De toute façon, pour vous en convaincre, ces « gendarmes-galactiques »
auraient pu, ils auraient dû éviter au moins les deux dernières guerres mondiales
et leurs avatars locaux qui persistent à gâcher ma bonne humeur naturelle jusqu’à
nos jours, l’une entraînant l’autre, le massacre inutile de millions et de
millions de personnes, et l’entrée dans l’âge du nucléaire de l’humanité toute
entière et ses menaces de suicides collectifs auto-exterminateurs.
Ce qui n’a pas été le cas, jusque dans Tchernobyl ou
Fukuchiyama.
Or, si ce n’est pas ça, c’est que c’est donc autre
chose.
C’est justement exactement ce que je vous propose de
vous expliquer dans cette « suite », au moins toute autant « rassurante »,
même si elle est iconoclaste et ahurissante.
Et qui a le mérite de rester cohérente, comme toujours
avec l’actualité des 12 derniers mois, et d’être dans la droite ligne de mon
précédent opus.
Parfois, j’ai la tête dure et des idées fixes.
Comprenne qui pourra, mais c’est comme ça et je ne
vais pas en changer à mon âge avancé.
Pour le reste, c’est un récit « un peu » décousu.
Je le reconnais volontiers : J’écris au fil des kilomètres, selon l’inspiration
du moment (et de l’actualité qui vient conforter le récit, comme pour le
confirmer : Un « effet » déjà identifié précédemment, un peu
comme si « on » m’inspirait avant de confirmer).
Vous verrez sur la fin !
Car la question est simple : Comment aurai-je pu
imaginer, de, disons entre décembre 2014 et janvier 2015, à la mi-juin dernier,
l’encyclique papale « Laudato si » (« Loué sois-tu ») ?
Comment aurai-je pu également penser que Bill Gates
(loué sois-tu, toi et tes équipes pour Windows, Excel et Word…) allait dégager
un milliard de dollars de sa propre fortune pour préfinancer le développement
de centrale à neutrons rapides, décision annoncée à la mi-juillet 2015 ?
Quoique dans son cas, l’idée lui est tombée sur le
coin du neurone en 2010.
Justement une époque où je mettais en ligne le second
vol du Nivelle 001 (un prototype qui n’existe pas, hors mon imagination pourtant si pauvre)
appelant deux types de successeurs.
Qui naturellement se précisent cette année.
Des « prémonitions » impossibles, alors même
que je n’y crois pas moi-même une seule seconde.
Et pourtant, tout cela a pu être écrit avant que l’information
ne tombe et il m’a suffi de « corriger » et de préciser récemment.
Assez extraordinaire, une fois de plus…
Mais là, cette année j’ai aussi voulu « innover » :
Une promesse faite à moi-même !
Un défi personnel.
Écrire au féminin…
Bé je vous jure que ce n’est pas si facile que ça !
J’ai ramé près de six mois pour écrire, réécrire,
enrichir, modifier, les trois premiers chapitres.
Et encore, je n’en suis pas vraiment satisfait,
tellement ça reste « passablement médiocre » à mon goût.
Mais bon, comme je reste avant tout un « plumitif »,
vous me pardonnerez donc de vous en apporter une preuve supplémentaire !
Parce que se glisser dans la peau d’une « poulie-fendu »
quand on est un « couillu » (ah l’altérité sexuelle !), jusqu’à
en décrire des sensations féminines intimes, avec des mots et sans pour autant
verser dans le porno, mais tout juste « l'érotique-chaud » (on reste correct et bienséant sur ce blog…), et bien c’est
à la limite de mes capacités.
Il a fallu que je me viole moi-même, figurez-vous, et
pas une fois seulement.
À vous d’en juger dès demain et les jours suivants.
Pour l’heure, comme je vous le dis d’entrée, je suis
en mer et pas forcément à portée de réseau internet (alors ne dékonnez pas avec vos commentaires), même si je me suis équipé,
cette année.
On verra bien si « ça passe » ou non !
Bien à vous et bonne lecture quand même à toutes et tous !
I3
Il y a quelque chose d’effrayant…
RépondreSupprimerUne simple évaluation, assez sommaire, des dernières découvertes du satellite Kepler, qui recherche les « exo-planètes », permet d’estimer qu’il y a une civilisation humaine par milliard d’étoiles !...
C’est-à-dire que nous ne trouverons pas de planète semblable à la Terre, avec une espèce qui nous ressemble, à moins de 3.000 années-lumière.
Le développement est ici :
http://euroclippers.typepad.fr/exopolitique/2015/05/echos-du-cosmos-ii.html
En voyageant 3.000 années à la vitesse de la lumière (juste au-dessous), et en choisissant la bonne étoile, nous pourrons vraisemblablement rencontrer une espèce nous ressemblant !...
Avec la technologie actuelle, nous ne sommes pas prêts de découvrir les civilisations galactiques les plus proches, sauf celles qui nous semblerons d’authentiques "monstres" !...
Et là, on peut compter sur une centaine d’espèces, et peut-être même nettement plus…
Ce qui permet de réaliser que la « conquête spatiale » sera plutôt une « découverte spatiale » de longue haleine et on se demande, de plus, pour quelles raisons des civilisations viendraient faire la « police » chez nous…
Après tout, on est si loin d’eux !...
Aussi, j’attends avec curiosité votre roman « Mains invisibles II », et ses développements temporels, parce que là il y a peut-être une explication à l’inexplicable, à l’inconcevable !...
Bien à vous !...
« L’Ami-râle »
P.S. Pour l’été 2015, je reprends sur le blog « Alerte-éthique » le roman « Mains invisibles » de l’été dernier, et sur le « Blog des sciences exopolitiques » le roman « Paradoxes temporels » de l’été 2008.
"L'explication" arrivera au dernier chapitre, le 2 septembre.
SupprimerD'ailleurs, il s'agit d'une énième rencontre de "Haddock" et "Charlotte"...
Je vous mets en scène !
Sans votre autorisation...
Mais il y en aura deux autres tout au long du roman : Une première au-dessus de l'Algérie, où vous croisez avec Charlotte et Matilda, votre second Ovni et une autre où vous co-pilotez le nivelle 002 hors de l'atmosphère pour un vol balistique suborbital de 30.000 Km.
Je vous signale que votre épouse sera à bord...
Pour les reprises, j'ai vu ça, effectivement.
Bonne continuation : y'a du taf !
Et puis, bonne route et bon vent !...
RépondreSupprimerMerci !
SupprimerJe viens d'arriver à Portoferraio :
Le Wifi 4G+ nomade, ça fonctionne bien, mais à condition d'être en vue d'une terre.
Croisière délicieuse, jusque là !
Magnifique !