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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 23 juin 2020

150 propositions = 71 contraintes nouvelles !

Je vous laisse découvrir les initiatives à venir pour le climat :
 
17 fois le mot « interdire », 10 fois le mot « obligatoire », pour 1 fois « obliger », 9 fois il est question de « réduire », 7 fois de « renforcer », 6 fois de « limiter », 5 fois de « taxer », 4 fois « d’imposer », 3 fois le mot « contrôle », 2 fois il est causé de « contraindre », autant de « sanction », une fois de « réguler », une fois de « coercition », une fois « réquisition », une fois « quota » et une fois de « restriction », plus la création d’une taxe de 4 % sur les dividendes distribués de plus de 10 millions d’euros par les entreprises !
 
Conclusion immédiate : Tu donnes un semblant de pouvoir à 150 citoyens tirés au sort, et ils en deviennent « fachos-en-herbe » à vouloir te pourrir un peu plus la vie (pourtant si courte et déjà tellement pénible).
Voilà franchement l’extraordinaire !
Et il y en aura eu aucun pour t’inventer un truc sympa : L’avenir de la planète en passe forcément par te vous faire chier caguer toujours plus et toujours plus fort…
Décidément invivables, mes contemporains.
Ils sont vraiment mûrs, après avoir été mis en « garde-à-vue » durant 55 jours chez eux, pour passer sous la houlette de la « peste bonde ».
À désespérer…
 
Je vous lasse juge :
 
Ajout dun nouveau deuxième alinéa au préambule : « La conciliation des droits, libertés et principes qui en résultent ne saurait compromettre la préservation de lenvironnement, patrimoine commun de lhumanité ».
Ajout dun troisième alinéa nouveau à larticle 1er : « La République garantit la préservation de la biodiversité, de lenvironnement et lutte contre le dérèglement climatique ».
Contraindre les propriétaires occupants et bailleurs à rénover de manière globale d’ici à 2040.
Obliger le changement des chaudières au fioul et à charbon dici à 2030 dans le neuf et le rénové.
Déployer un réseau harmonisé de guichets uniques.
Système progressif daides avec prêts et subventions pour les plus démunis.
Contraindre les espaces publics et les bâtiments tertiaires à réduire leur consommation d’énergie.
Inciter les particuliers à réduire leur consommation d’énergie.
Inciter à limiter le recours au chauffage et à la climatisation dans les logements, les espaces ouverts au public et les bâtiments tertiaires.
Définir une enveloppe restrictive du nombre d’hectares maximum pouvant être artificialisés.
Interdire toute artificialisation des terres tant que des réhabilitations ou friches commerciales sont possibles dans lenveloppe urbaine existante.
Prendre des mesures coercitives pour stopper les aménagements de zones commerciales périurbaines.
Protéger les espaces naturels, les espaces agricoles périurbains et les forêts périurbaines. Sassurer dune gestion durable des forêts.
Faciliter les changements d’usage des terrains artificialisés non occupés.
Faciliter les réquisitions de logements et bureaux vacants.
Une prime pour les établissements leur permettant datteindre les objectifs de la loi Egalim.
Proposer un bonus de 10 centimes par repas pour les petites cantines bio et locales pour les aider les trois premières années de leur transition.
Créer un «observatoire de la restauration collective ».
Mettre en place un organisme de contrôle pour assurer la bonne mise en œuvre de la loi Egalim.
Étendre les dispositions de la loi Egalim à la restauration collective privée à partir de 2025.
Étendre la liste des produits éligibles aux 50% définis par la loi aux agriculteurs en transition vers le bio, et aux produits à faible coût environnemental.
Aider à la structuration des filières afin quelles arrivent à faire reconnaître des produits de qualité.
Valoriser les produits issus de circuits courts, locaux et à faible coût environnemental.
Atteindre 50 % d’exploitations en agroécologie en 2040.
Inscrire dans la loi et le PSN : «Développer lagriculture biologique».
Augmenter la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) sur les engrais azotés.
Diminuer lusage des pesticides, avec une interdiction des produits CMR, et une diminution de l’usage des produits phytopharmaceutiques de 50% d'ici à 2025. Interdire les pesticides les plus dommageables pour l’environnement en 2035.
Inscrire dans la loi et le plan stratégique national (PSN) : «Aider à la structuration de la filière des protéagineux», «Aider au maintien des prairies permanentes», « Interdire le financement dimplantation de nouveaux élevages qui ne respectent pas les conditions d'agroécologie et de faibles émissions de gaz à effet de serre ».
Accompagner les éleveurs vers une restructuration de leurs cheptels pour améliorer la qualité de production.
Réformer lenseignement et la formation agricole.
Transformer lattribution des aides à lhectare vers des aides à lactif agricole.
Mettre en place un mécanisme de suivi de l’atteinte de la performance climat du plan stratégique national.
Intégrer les dispositions concernant le développement de lagroécologie au plan stratégique national.
Améliorer la connaissance des poissons pour mieux définir les quotas et éviter la surpêche.
Poursuivre les efforts de limitation de la pêche dans les zones et pour les stocks fragiles, et affermir les contrôles sur linterdiction de la pêche en eau profonde.
Développer les fermes aquacoles raisonnées et respectueuses de lenvironnement.
Protéger la capacité des océans à stocker du carbone.
Diminuer les émissions de gaz à effet de serre dues à la pêche et au transport maritime en poursuivant la modernisation de la flotte de bateaux.
Renégocier le CETA (Comprehensive economic and trade agreement) au niveau européen pour y intégrer les objectifs climatiques de laccord de Paris.
Demander au gouvernement de défendre une certaine politique commerciale européenne: Inscrire le principe de précaution dans les accords, inscrire le respect des engagements de l’accord de Paris comme objectifs contraignants.
Demander au gouvernement de défendre certaines positions auprès de l’OMC: Prendre en considération les accords de Paris dans les négociations, sanctionner les États récalcitrants, inclure les clauses environnementales dans les négociations.
Mieux informer le consommateur en renforçant la communication autour du PNNS (plan national nutrition santé) et réformer le PNNS en PNNSC (programme national nutrition santé climat).
Interdire la publicité sur les produits proscrits par le PNNS.
Concevoir une solidarité nationale pour permettre aux ménages modestes d’avoir accès à une alimentation durable.
Réformer les labels en supprimant les labels privés et en mettant en place un label pour les produits issus de lagriculture agroécologique.
Informer les consommateurs du degré de transformation des produits, notamment via un étiquetage obligatoire et la mise en place d’une charte éthique agroalimentaire.
Informer rapidement et de manière obligatoire sur les accidents alimentaires.
Interdire limportation des produits qui font usage d'auxiliaires technologiques proscrits par l’Union européenne.
Interdire progressivement lusage des auxiliaires de production et des additifs alimentaires sous cinq ans.
Taxer les produits ultra-transformés à forte empreinte carbone et faible apport nutritionnel.
Mettre en place des chèques alimentaires pour les plus démunis à utiliser dans les Amap ou pour des produits bio.
Adopter une loi qui pénalise le crime d’écocide pour sauvegarder les écosystèmes.
Développer puis mettre en place un score carbone sur tous les produits de consommation et les services.
Rendre obligatoire laffichage des émissions de gaz à effet de serre dans les commerces et lieux de consommation ainsi que dans les publicités pour les marques.
Interdire la publicité des produits les plus émetteurs de GES, sur tous les supports.
Réguler la publicité pour limiter les incitations quotidiennes et non choisies à la consommation.
Mettre en place des mentions pour inciter à moins consommer.
Mettre en place progressivement une obligation du vrac dans tous les magasins et l’imposition d’un pourcentage aux centrales d’achat.
Mettre en place progressivement un système de consigne de verre jusqu’à une mise en place généralisée en 2025.
Favoriser le développement les emballages biosourcés compostables.
Remplacer une part de la taxe denlèvement des ordures ménagères (TEOM) par des modalités favorisant les comportements écoresponsables.
Modifier le code de l’éducation pour une généralisation de l’éducation à l’environnement et au développement durable (EEDD).
Renforcer les modalités d’éducation à lenvironnement et au développement durable en en faisant une mission transversale des enseignants.
Sensibiliser la population en reliant compréhension de lurgence climatique et passage à laction.
Contrôler et sanctionner plus efficacement les atteintes aux règles en matière environnementale.
Renforcer et centraliser l’évaluation et le suivi des politiques publiques en matière environnementale.
Inciter à utiliser des moyens de transport doux ou partagés, notamment pour les trajets domicile-travail, en généralisant le forfait mobilité durable.
Réduire les incitations à lutilisation de la voiture en réformant le système dindemnité kilométrique de limpôt sur le revenu.
Inciter à utiliser des moyens de transport doux ou partagés.
Créer des parkings relais.
Interdire les centres-villes pour les véhicules les plus émetteurs de gaz à effet de serre.
Augmenter les montants du Fonds Vélo de 50 à 200millions deuros par an pour financer des pistes cyclables.
Généraliser les aménagements de voies réservées aux véhicules partagés et aux transports collectifs sur les autoroutes et voies rapides.
Réduire la vitesse sur autoroute à 110km/h maximum.
Réduire la TVA sur les billets de train. Généraliser les mesures tarifaires attractives.
Développer un plan dinvestissement pour moderniser les infrastructures, les matériels roulants et les gares pour en faire des pôles multimodaux.
Développer les autoroutes de fret maritime (et fluvial), sur des trajets déterminés.
Imposer un suivi régulier de la formation des chauffeurs à l’écoconduite.
Imposer aux constructeurs de poids lourds dadopter la même filière énergétique dans leur recherche et développement.
Sortir progressivement des avantages fiscaux sur le gazole, en échange de compensations pour les transporteurs pour lachat de poids lourds neufs plus propres.
Inciter, par des obligations réglementaires et fiscales, au report partiel vers d’autres moyens de transport de marchandises moins émetteurs.
Favoriser le transport de marchandises sur des circuits courts par une modulation de la TVA.
Interdire lusage des moteurs polluants lors des arrêts dans les ports.
Mettre à disposition les moyens dalimenter en électricité les navires à quai pour permettre une réduction des émissions liées à lusage des moteurs.
Agir sur la réglementation internationale pour encadrer les émissions des gaz à effet de serre des navires.
Augmenter le bonus pour les véhicules peu polluants.
Renforcer fortement le malus sur les véhicules polluants et introduire le poids comme un des critères à prendre en compte.
Interdire dès 2025 la commercialisation de véhicules neufs très émetteurs, les véhicules anciens pouvant continuer de circuler.
Moduler les taxes sur les contrats dassurance en fonction de l’émission de CO2 pour encourager les véhicules propres.
Permettre laccès à des véhicules propres en développant la location de longue durée.
Proposer des prêts à taux zéro, avec la garantie de l’État, pour l’achat d’un véhicule peu émetteur.
Créer des vignettes vertes à positionner sur les plaques dimmatriculation pour les véhicules les plus propres et donnant accès à des services particuliers.
Prévoir un plan de formation pour les garagistes, et plus largement de la filière «pétrole», pour accompagner la transformation progressive du parc automobile.
Renforcer les plans de mobilité en les rendant obligatoires pour les entreprises.
Favoriser les plans interentreprises et intra-entreprise dans le cadre des plans de mobilité.
Favoriser des nouvelles modalités dorganisation du travail.
Mettre en place un portail unique permettant de savoir à tout moment quels sont les moyens et dispositifs existants sur un territoire pour se déplacer.
Développer un projet dunification des titres de transport ou de carte multimodale.
Intégrer les citoyens aux autorités organisatrices de la mobilité à toutes les échelles.
Adopter une éco-contribution kilométrique (pour le transport aérien).
Organiser progressivement la fin du trafic aérien sur les vols intérieurs d'ici à 2025, uniquement sur les lignes où il existe une alternative bas carbone satisfaisante en prix et en temps.
Interdire la construction de nouveaux aéroports et lextension des aéroports existants.
Taxer davantage le carburant pour laviation de loisir.
Promouvoir lidée dune éco-contribution européenne.
Garantir que lensemble des émissions qui ne pourraient être éliminées soient intégralement compensées par des puits de carbone.
Soutenir la R&D dans le développement dune filière biocarburants pour les avions.
Augmenter la longévité des produits et réduire la pollution à la conception.
Faire respecter la loi sur linterdiction de lobsolescence programmée.
Rendre obligatoires la possibilité de réparation des produits manufacturés qui sont vendus en France, la disponibilité des pièces détachées d’origine pendant une durée définie. Mettre en place et à proximité des filières et ateliers de réparation, et rendre accessibles les services après-vente.
Rendre obligatoire le recyclage de tous les objets en plastique dès 2023.
Supprimer tous les plastiques à usage unique dès 2023, développer le recyclage des autres matières.
Durcir et appliquer la réglementation sur la gestion des déchets.
D’ici à 2025, tout soutien à linnovation doit sinscrire dans une logique de sortie dun modèle basé sur le carbone.
Réglementer lutilisation de l’épargne gérée par la Caisse des dépôts et consignations et les banques pour financer des investissements verts.
Les entreprises qui distribuent plus de 10 millions deuros de dividendes annuels participeront à leffort de financement collectif de la transition écologique, à hauteur de 4% du montant des dividendes distribués, chaque année.
Mettre en place les modalités de financement par loi ou décret avec un emprunt d’État dédié au financement de la transformation des entreprises.
Accompagner les salariés et les entreprises dans la transition.
Créer une nouvelle gouvernance de la transition des emplois et compétences au niveau national et régional.
Réduire le temps de travail sans perte de salaire dans un objectif de sobriété et de réduction de gaz à effet de serre.
Élargir le périmètre de reporting au secteur financier, renforcer les obligations de rapportage au secteur de la finance.
Bonus pour les entreprises ayant une évolution positive. Conditionner les aides publiques à l’évolution positive du bilan gaz à effet de serre.
Renforcer les clauses environnementales dans les marchés publics.
Protection des écosystèmes et de la biodiversité.
Ajustement carbone aux frontières de lUE et prise en compte les enjeux de redistribution pour éviter de peser sur les ménages les moins favorisés.
Amélioration de la gouvernance territoriale/régionale (volet « sobriété numérique »…)
Participation des citoyens, entreprises locales, associations locales et collectivités locales aux projets énergies renouvelables (EnR).
Développer lautoconsommation.
Accompagner l’évolution du numérique pour réduire ses impacts environnementaux.
 
Je vais vous dire, avec tout ça, la planète est déjà sauvée.
Mais vous, vous sombrerez dans la « crétinerie renforcée »…
Eux y sont déjà.
Sauf seulement deux qui n’ont pas participé au vote final sur les 150…
Malades, empêchés ou seulement lucides ?

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