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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 20 mai 2024

Vous l’ignoriez…

Ce défaut qui serait la marque des meilleurs leaders…
 
1 – C’est un vilain défaut, un peu honteux !
Dans l’imaginaire collectif, un bon leader se doit d’être charismatique, énergique, à l’aise, beau, grand et intelligent pour être à sa place sur le devant de la scène. Bref, d’avoir toutes les caractéristiques d’une personnalité extravertie !
Ce n’est donc pas un hasard si les postes de direction sont souvent trustés par des profils correspondant à ces critères…
Ainsi, une étude menée chez « les ricains » aura montré que 65 % des leaders interrogés considèrent l’introversion comme un obstacle pour accéder à des fonctions de leadership : On a tous le travers de préférer des clones de soi-même…
Mais d’un autre côté, comme tous se considèrent comme irremplaçables, c’est une quête impossible, à moins d’aller chercher dans les cimetières : Pour deux raisons.
Nos « modèles », pour être idéalisés sont déjà morts et il est bien connu que les être irremplaçables gisent dans les cimetières…
Seuls 6 % estiment que les introvertis sont plus efficaces que les extravertis dans ces rôles.
Admettons…
Pour ma part, je n’ai pas d’opinion fermement arrêtée : Je m’en fiche, finalement. Il y a les bons, et puis les moins bons.
Parfois les « franchement mauvais » : Mais ceux-là je les évite.
 
Pourtant, surprise (au moins pour les béotiens), une étude publiée dans la prestigieuse revue Academy of Management Journal, qui est l’œuvre de trois « trouveurs-ricains » (Adam Grant [Wharton School], Francesca Gino [Harvard] et David Hofmann [University of North Carolina]) remet en question cet apparent avantage des leaders extravertis !
Ah…
En effet, en combinant une étude de terrain dans des franchises de pizzerias et une expérience en laboratoire, ils sont parvenus à une conclusion renversante pour quelques-uns : Les équipes menées par des leaders peu extravertis obtiennent de meilleurs résultats que celles dirigées par des leaders très extravertis, mais à condition que les employés aient eux-mêmes un comportement proactif (prise d’initiatives, remise en question du statu quo, etc.).
 
C’est l’histoire de la « place du combiné téléphonique »…
J’adore cet épisode répété de ma vie de dirigeant social : Tu déboules dans un bureau quelconque pour faire connaissance, le premier jour de ton arrivée. Le gars (ou la dame) t’explique avec empressement, pour être débordé toute la journée, tout l’intérêt de ses tâches absolument essentielles au bon fonctionnement de toute l’entreprise, naturellement, pour finalement en être un pivot irremplaçable et tu lui demandes pourquoi son téléphone est à droite de sa planche de travail, à côté de son stylo !
C’est une manie des droitiers…
Car quand ils téléphonent, ils ne peuvent plus prendre des notes, ils ne peuvent plus utiliser une machine à calculer et il faut qu’ils changent de main pour composer un numéro, etc.
Bon, le téléphone, c’est anecdotique, mais on peut faire ça avec n’importe quoi : Pourquoi trois pelures de papiers, pourquoi l’existence de ce fichier si de toute façon il ne sert jamais, etc…
 
Bref, ce qui tombe sous le sens à des personnes qui auraient dirigé des équipes autres que de « sachants prétentieux », comment expliquer scientifiquement ce phénomène des introvertis qui ne sont pas extravertis ?
Selon les auteurs, les leaders extravertis (surtout ceux atteints de mégalomanie à mon sens), par leur côté dominant et leur volonté d’être sous le feu de tous les projecteurs, ont tendance à moins bien accepter que leurs subordonnés prennent des initiatives qui bousculent leur autorité.
À l’inverse, les leaders plus introvertis, davantage dans l’écoute et moins directifs, sont plus réceptifs aux comportements proactifs de leurs employés.
Cela crée un climat favorable à l’engagement et à la performance collective.
Ou, autrement dit, c’est dans les armées du globe tout entier où on trouve le plus de sectaires psychorigides qui supportent mal de ne pas être obéit au doigt et à l’œil…
Même s’ils ne sont pas spécialement extravertis, même chez les sous-offs’, « bas du front » sous leur képi…
Passons.
 
L’étude « ricaine » montre ainsi que l’introversion, loin d’être un handicap, peut constituer un véritable atout pour un leader, en particulier dans un contexte où l’on attend de plus en plus des employés qu’ils soient force de proposition.
Et je vous assure que ce n’est jamais gagné d’emblée, loin de là…
Ou alors il faut laisser les rênes sur l’encolure à des tarés qui se prennent pour les rois du pétrole et passer derrière eux pour recoller les pots cassés avant de décider de les jeter sur le pavé, quand ce n’est pas encore trop tard et reste possible.
Ce qui n’est pas toujours le cas quand ce sont des « fils de » ou des « soutenus par leur syndicat »…
Les qualités généralement associées aux introvertis, comme la capacité de réflexion, l’écoute et l’humilité, s’avèrent en réalité précieuses pour tirer le meilleur parti des équipes, qu’ils en disent.
Quand la situation d’une entreprise, de pizza ou de « boulot de 12 », le permet.
(Je vous le dis, ils n’ont pas eu grand-monde à gérer sous leur responsabilité, ces « trouveurs-là »…)
 
En fait, le « bon patron », c’est celui qui sait s’entourer des « bonnes personnes », placées « au bon endroit » et qui sait les retenir à moindre coût.
Et pour ça, vous n’avez pas besoin d’être extraverti ou introverti : Juste équipé d’un peu de bon sens et juste ce qu’il faut de tripes pour prendre quelques risques calculé de vous tromper…
 
Mais je n’ai jamais prétendu non plus être « un bon leader »…
Bien au contraire, en pense-je…
Vous le savez, mes réussites passées sur ce plan-là sont, de mon point de vue au moins, l’effet des trois tiers de Voltaire : (Beaucoup de) travail (un gros tiers à la Pagnol), (un peu de) talent (un trait devrait suffire) et (énormément de) chance…
L’effet combiné de mon « syndrome de l’imposteur et de l’effet Dunning-Kruger »…
 
2 – Je l’ignorais, alors que j’en suis un partisan convaincu : La sieste serait une habitude dangereuse pour la santé.
Diable !
J’adore la « petite sieste », surtout quand elle est « coquine » : Ça revigore la bête et l’esprit pour le reste de la journée, la soirée et la nuit suivante comprise…
C’est comme d’un rituel de l’après-midi qui pimente la journée, aide parfois à la digestion des lourds déjeuners d’affaire et permet de travailler jusqu’à tard, alors qu’il n’y a plus personne pour venir vous emmerder à vous suivre dans ce rythme d’enfer dès la fin de l’après-midi.
 
Vos « collaborateurs » sont en général trop épuisés : Vous avez juste une ou deux heures pour finir de les écœurer de leur journée avant qu’ils ne déguerpissent épuisés, pendant que vous, vous avez pu récupérer et pouvez aborder votre troisième (demie) journée en pleine forme !
Oui, il y en a une de 6 heures à 9 heures, quand personne n’est là pour vous gâcher votre bonne humeur matinale, qui se termine par un tour général des ateliers et bureaux à régler les problèmes d’intendance du « petit-personnel » et qui se finit par une réunion de direction autour d’une table et d’un copieux apéritif méridien…
La seconde moitié commence sur le coup des 13/14 heures par une « petite-sieste » si possible « coquine » avec une « volontaire attractive » et, celle-ci terminée, la seconde demi-journée se poursuit jusqu’à 20/21 heures, dont au moins 3 heures où on peut travailler avec ses pairs et correspondants « en direct » sans passer par leur secrétaire.
Là, on peut traiter des choses vraiment importantes…
Et la troisième commence par un « dîner de travail en ville » en début de soirée et se termine par une nuit récupératrice de 5 à 6 heures de dormition bien méritée.
Celle-là, qu’elle soit ou non « accompagnée » vous permet de compléter votre temps de repos.
Mais il paraît que ce n’est pas bon pour le cœur !
 
J’en suis désolé, mais ça explique peut-être la présence d’une demi-douzaine de stents et quelques « ballonnets » dans mes trois artères coronaires personnelles (j’allais écrire « coraniques »…).
Je ne sais pas, et dans le doute, je persiste depuis…
 
Dormir trop ou pas assez ne serait finalement pas bon pour la santé.
Et c’est un avis scientifique qui semble avoir fait consensus dans la communauté académique des sciences (& des arts)…
Mais ce serait différent pour ce qui est des siestes que bon nombre d’entre nous s’autorise durant l’après-midi pour compenser après une nuit agitée ou pour entrecouper une journée chargée…
 
Sauf que là, les avis sont plus divergents.
Deux études parues le même jour mais dans deux publications différentes ont analysé les effets sur la santé des siestes.
Bien que différentes dans leur méthodologie, ces dernières arrivent hélas au même constat : Les personnes qui font la sieste ont plus de risques d’avoir des problèmes de santé, notamment cardiovasculaires.
Aïe-aïe-aïe !
 
La première étude a été faite par l’American Heart Association et publiée dans la revue qu’elle édite elle-même.
Elle s’est basée sur des recherches suédoises qui collectent des données de santé depuis les années 60.
En comparant un groupe de personnes au profil similaire, ceux qui font une sieste d’une durée comprise entre 1 et 30 minutes ont un risque accru de développer un problème cardiovasculaire.
Et le risque est le plus élevé chez les personnes qui dorment moins de 7 heures par nuit et qui font des siestes de plus de 30 minutes durant la journée…
Vous voilà prévenus…
Toutefois, les scientifiques ont observé la même tendance chez les personnes qui dorment suffisamment la nuit (entre 7 et 9 heures) et sans faire de sieste, mais celle-ci n’a pas pu être confirmé statistiquement.
Donc, hein… pas vraiment convaincant !
 
Et une autre étude avait observé que les siestes étaient aussi délétères pour la santé chez des personnes qui dorment moins de 6 heures par nuit !
Là, on peut comprendre : C’est le manque de sommeil nocturne qu’il faudrait peut-être incriminer.
Le véritable responsable des risques de maladie cardiovasculaire semble alors être le manque de sommeil la nuit – un déficit que les siestes, qui ne remplacent pas un cycle de sommeil complet, ne semblent pas combler.
La deuxième étude, publiée dans Hypertension, fait état d’un risque accru d’hypertension et d’AVC chez des sujets d’âge moyen qui font la sieste durant la journée.
Notez que… bon, faire la sieste la nuit…
 
Paul Leeson, professeur de cardiologie à l’université d’Oxford, se montre quant à lui plus que prudent face à ces résultats : « Mais ça peut être juste une coïncidence. Il pourrait y avoir d’autres problèmes de santé pour expliquer pourquoi une personne dort plus durant la journée et pourquoi elle a un risque accru de maladie cardiaque ».
J’en suis bien d’accord : On a des problèmes cardiaques pour des tas de raisons, une mauvaise alimentation, une hygiène de vie déplorable et surtout parce qu’on travaille trop et parfois trop mal… je veux dire dans des conditions épuisantes.
D’ailleurs, bien souvent, dans ces conditions déplorables, on en finit la journée totalement fatigué et on « tragédise » sa fin de vie complètement usé…
 
De plus, le mécanisme biologique qui expliquerait cette association entre sieste et risques de maladie cardiovasculaire n’est de toute façon pas connu à ce jour.
Je dirais même plus que, dans cette affaire, il me semble qu’on confonde la cause et les conséquences en une inversion qui me permet de dire que « ces trouveurs-là » devraient prendre quelques repos bienvenus pour avoir les idées plus claires.
(Mais je ne suis pas leur patron…)
Parce que tout cela reste éminemment suspect à mon neurone.
 
D’autant que d’abord, une bonne sieste réparatrice, c’est justement un cycle complet, rapide, mais complet de sommeil : Il faut pouvoir se réveiller en plein rêve !
Et alors, quand le rêve est érotique, je ne vous raconte pas le bonheur…
Que la sieste ait été ou non « coquine » au préalable, d’ailleurs.
 
Et puis, une sieste sous un parasol étendu sur une plage (donc pas « coquine » par respect pour les populations mineures et les gens-d’arme de passage), ou à l’ombre d’un figuier (en principe, ça rend fou à la longue) dans une chaise longue à écouter le vent dans les feuilles ou les vagues qui viennent mourir sur la grève, ça vaut franchement la peine d’y perdre un peu de son temps et de sa jeunesse.
Bref, je vous y encourage, même si aujourd’hui, c’est la « journée de solidarité » pour les vieux…
 
Où les vieux, dont je suis devenu au fil du temps, vous regardent bosser pour cotiser une journée de plus en se disant que finalement, on vous et on nous en aura raconté des konneries dans ce pays qui mérite probablement mieux…
 
Bonne fin de journée à toutes et à tous et bonne fin de « pont » pour ceux qui avaient posé quelques congés : C’est le dernier du mois. Le prochain sera pour le jeudi 15 août…
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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