Une greffe d’organe changerait la personnalité du
receveur !
Selon Futurism, qui reprend les résultats d’une étude
publiée dans la revue Transplantology, les transplantations d’organes
pourraient entraîner des conséquences insoupçonnées.
L’idée que la personnalité du donneur puisse être transmise au receveur via l’organe greffé a souvent été considérée comme un mythe.
Mais cette nouvelle analyse, menée par une équipe de recherche de l’Université du Colorado, viendrait pourtant valider cette fable !
Parmi les quarante-sept participants à l’étude, 89 % d’entre
eux ont signalé des modifications de leur personnalité à la suite de leur
opération. Et ce, quel que soit le type d’organe reçu. « Ces changements
comprenaient des modifications des préférences en matière de nourriture, d’intimité
et même d’activités professionnelles », précise Futurism.
Six des patients interrogés ont témoigné de changements dans leurs préférences sexuelles : Certains ont affirmé avoir vu leur vie sociale et sexuelle s’améliorer après l’intervention.
D’autres auraient vécu des épisodes spirituels ou religieux (qui ne sont pas réputés pour améliorer la qualité des orgasmes ni leur fréquence…).
Enfin, un bon nombre d’entre eux ont pointé du doigt des effets négatifs, comme de l’anxiété ou de la dépression.
On ne voit pas pourquoi, ces receveurs-là ne verraient pas leur vie bouleversée par les progrès incessant de la médecine qui réalise des miracles inimaginables…
Même moâ-même, avec mes stents, je ne vois plus la planète et ses habitants de la même façon après qu’avant.
Bon, vous me direz que c’est normal : J’ai aussi arrêté de fumer… (sans grossir démesurément, cette fois-ci).
Alors, hein, d’autant que cette étude comporte des
limites et ces transformations peuvent effectivement être expliquées d’une
autre manière. « Beaucoup de ces changements pourraient résulter d’une
amélioration de la santé physique après une intervention chirurgicale plutôt
que d’un transfert de personnalité du donneur au receveur », a déclaré le
professeur clinicien coauteur de l’étude.
Ça tombe sous le sens…
De plus, l’échantillon de personnes interrogées est
relativement petit. Et dans leur article, les scientifiques avancent que les
résultats pourraient être dus à un biais de sélection lors du recrutement :
En effet, ils indiquaient explicitement chercher des personnes ayant subi des
changements de personnalité à la suite d’une transplantation.
Si ces résultats intriguent, des recherches supplémentaires seraient surtout bienvenues si elles trouvent leur financement… une fois de plus !
Et puis les organes imprimés en 3D, comme cette trachée, pourraient en tout cas remédier à ces modifications.
Quant aux futures greffes de porcs génétiquement modifiés, je ne vous raconte pas l’état de la cuisine du receveur après coup…
On ne l’imaginait pas non plus, mais des
poches de méthane mystérieuses apparaissent sur Mars en pleine nuit.
En mission sur Mars depuis 2012, le rover Curiosity a
effectué une découverte pour le moins déconcertante : Il a constaté qu’à la
surface de la Planète rouge, de mystérieuses poches de méthane apparaissaient
la nuit, avant de disparaître le jour.
Depuis des années, grâce à un outil nommé Sample
Analysis at Mars (SAM pour les intimes), il a pu régulièrement détecter des
concentrations significatives de ce gaz, parfois quarante fois supérieures aux
chiffres habituels.
Et cette nouvelle est particulièrement intrigante, car jusqu’ici, les scientifiques semblent incapables de déterminer quelles peuvent être les origines de ces vastes bulles de gaz, comme l’explique la NASA dans un article maison.
Il faut dire que sur Terre, le méthane est produit par des êtres vivants, ce qui alimente forcément tous les fantasmes : Et s’il y avait une vie extraterrestre et souterraine sur Mars, hein ?
Bien entendu, tout cela n’est que pure supputation et
il est fort probable que la vérité soit ailleurs. Mais puisqu’il est
fondamental d’en avoir le cœur net, le planétologue qui a fait l’annonce pour la NASA, aura réalisé
une série d’expérimentations au niveau du cratère Gale.
D’une largeur de 155 kilomètres, ce site bien connu des passionnés de Mars avait notamment servi de lieu d’atterrissage pour Curiosity, lors de son arrivée le 6 août 2012.
Et dans ses premières conclusions, ce « savant » attribue la formation de ces poches de méthane à des fluctuations de température et de pression de l’air, qui auraient ensuite causé la formation de bulles de gaz, protégées par une couche de sel solide.
Le chercheur de la NASA et son équipe ajoutent que cette fameuse couche salée aurait pu être fendue par Curiosity lors de l’un de ses passages dans le cratère, ce qui pourrait expliquer que du méthane ait commencé à s’évaporer en grandes quantités.
Ce qui est agaçant, parce que le méthane est aussi un puissant gaz à effet de serre !
Mais cette théorie n’explique nullement pourquoi le gaz apparaît à ce rythme, pointant son nez la nuit pour aller ensuite se cacher ensuite en journée.
En fait il est peu probable que l’on dispose à court
terme d’informations supplémentaires. En effet, SAM n’a pas la possibilité de
multiplier les prélèvements, puisqu’il ne peut en effectuer qu’un nombre limité
(non précisé par la NASA) chaque année.
« Les analyses du méthane consommant beaucoup de ressources, il nous faut donc être stratégiques à propos de quand nous décidons d’y procéder », résume le principal responsable de ce précieux outil d’analyse sur Mars.
Mais tout de même, ce serait invraisemblable que partout ou l’espèce humaine pose ses pattes, même par procuration, se déclenche des mécanismes à réchauffement climatique !
On en reste d’ailleurs stupéfait ! 2023 aura enregistré
une mortalité catastrophique chez les manchots empereurs en raison de la fonte
record de la banquise…
Le même effet du réchauffement climatique que sur
Mars, mais en plus dramatique pour toute une espèce, là où on nous faisait pleurer
avec les ours polaires.
Eh bien non, ce sont les manchots qui n’auraient pas le temps de s’adapter…
Car c’est bien la deuxième plus grande perte de poussins depuis le début des relevés satellitaires...
Les données indiquent qu’un cinquième des colonies a
subi un échec de reproduction quasi-total ! Les prévisions suggèrent que
la population totale du manchot empereur pourrait diminuer de 99 % d’ici la fin
du siècle si les émissions de gaz à effet de serre continuent d’augmenter !
Salaud de « chinetoques » et de « ricains », nos principaux pollueurs, puisque c’est nous qui achetons leurs bagnoles électriques dont ils ne veulent déjà plus…
C’est que la banquise côtière est essentielle à la
survie de l’espèce des manchots empereurs (Aptenodytes forsteri, et non
pas « Foresti »), servant de plateforme de reproduction, de mue des
poussins et aussi d’alimentation.
Ils constituent notamment l’espèce de manchot qui se reproduit le plus au Sud de la planète, formant de grandes colonies sur la banquise entourant les côtes de l’Antarctique.
Leur cycle de reproduction unique rend du coup l’espèce particulièrement vulnérable à la perte de banquise liée au réchauffement climatique.
En effet, pour que les poussins puissent développer un
plumage imperméable à la fin de l’été de sorte à résister aux températures
glaciales des eaux antarctiques, les manchots adultes se reproduisent au cours
de la saison la plus froide (jusqu’à – 50 °C) et la moins ensoleillée de
l’année. La proximité avec la mer permet également aux adultes d’accéder plus
facilement à la nourriture pendant la période de couvaison, qui peut durer
jusqu’à neuf semaines.
Après l’éclosion, les oisillons sont élevés entre fin juillet et mi-août, jusqu’à ce qu’ils perdent leur duvet.
La stabilité de la banquise est donc essentielle pour que les poussins puissent achever leur mue avant leur départ (généralement entre la mi-décembre et début janvier), c’est-à-dire la période où ils commencent à nager en mer et à se nourrir seuls.
Si la banquise fond et se désagrège trop tôt, imaginez bien que la quasi-totalité de la couvée des colonies risque de se noyer ou de geler…
Or, au cours des sept dernières années, l’étendue de
la banquise estivale en Antarctique a diminué de façon inquiétante. Les étés
2022 et 2023 ont connu des baisses record, étant notamment les premières années
à enregistrer une superficie de banquise inférieure à deux millions de
kilomètres carrés depuis le début des relevés satellitaires.
En 2022, la fonte excessive et prématurée de la banquise a conduit au premier échec de reproduction majeur enregistré chez ces manchots empereurs.
Même que les experts du British Antarctic Survey (BAS) rapportent de nouvelles données concernant l’état actuel des colonies, où les niveaux de banquise en 2023 ont été nettement inférieurs à ceux de toutes les années précédentes.
« À mesure que le continent se réchauffe, nous voyons la glace se briser plus tôt, entraînant une mortalité plus élevée des poussins.
Avec moins de poussins survivants dans de nombreuses
colonies, il est probable qu’avec le temps, un certain nombre de sites de
reproduction actuels deviennent intenables et que la population globale diminue », explique
dans un communiqué du BAS l’auteur principal de la nouvelle étude.
Que j’en reste navré, figurez-vous…
D’un autre côté, il y aura plus à becqueter pour les survivants…
Ces résultats ont été publiés récemment dans la revue
Antarctic Science, justement à l’occasion de la journée mondiale des manchots.
(Et oui, il y en a une…)
Pour évaluer l’étendue des impacts de la perte rapide de banquise sur les colonies de manchots empereurs, il a été utilisé les données du satellite Sentinel-2 du programme Copernicus. Ce dispositif offre une haute résolution temporelle en capturant des images de la côte antarctique plus d’une fois par semaine.
Et ses archives remontent à 6 ans, à compter de 2018.
La résolution spatiale du satellite est de 10 mètres, ce qui permet de suivre l’emplacement des colonies par le biais de la coloration brune que laissent leurs excréments sur la banquise (les pollueurs cagueux…).
Si la banquise se désagrège avant la période d’envol des poussins, on peut considérer que l’échec de reproduction de la colonie est très élevé, voire total.
Les analyses du chercheur ont montré que la diminution
record de la banquise en fin d’année 2023 a entraîné la perte de presque tous
les poussins dans un cinquième des colonies du continent.
Sur les 66 colonies répertoriées et rassemblant près d’un quart de millions de manchots, 14 ont enregistré un échec de reproduction impliquant des dizaines de milliers de poussins.
Bien que les pertes soient inférieures à celles de la saison 2022 (qui a enregistré des échecs de reproduction dans 19 colonies), il y aurait globalement une tendance croissante de perte de poussins au cours de la dernière décennie.
Si cela se poursuit, la population totale de l’espèce pourrait diminuer de 99 % d’ici la fin du siècle, nous affirme-t-on !
On ne les retrouvera plus que dans les zoos.
En d’autres termes, si la tendance actuelle
d’augmentation des émissions de gaz à effet de serre se poursuit, l’espèce
pourrait être quasi éteinte d’ici 2100 : Une de plus !
D’un autre côté, les pertes ont probablement été moins graves que celles de 2022 parce que les colonies durement touchées alors ont fait preuve d’une étonnante résilience : Il faut pouvoir rester optimiste…
Certaines se sont tout simplement déplacées pour trouver des banquises côtières plus stables, tandis que d’autres se sont reproduites sur des icebergs ou des banquises flottant non loin des côtes.
Selon les auteurs « le fait que nous observions ces
adaptations dans les colonies les plus touchées nous donne un certain espoir
que les oiseaux puissent réagir à leur environnement changeant et se déplacer
pour trouver une banquise plus stable ».
Tout comme les ours polaires (qui nous auront tant fait pleurer avec ces clichés sortis de leur contexte)…
Néanmoins, il ne s’agit que d’une solution temporaire et ces oiseaux restent considérablement limités en nombre d’adaptations qu’ils peuvent effectuer, aura-t-il été précisé.
Une perte dramatique de la banquise antarctique pourrait ainsi être fatale pour l’espèce entière…
Euh, notez que sans vouloir être pessimiste à outrance,
on nous explique depuis des décennies qu’il en irait de même pour nous-mêmes.
On aura même annoncé la fin des abeilles et des pollinisateurs, donc des fruits et légumes dans nos contrées…
J’aime bien les prophètes de malheur : Ils font peur aux petits-enfants et font rire leurs parents…
Bonne fin de pont à toutes et à tous : Un petit
effort, et vous aurez droit à un « viaduc » aussi long que comme
jamais dans quelques jours !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
L’idée que la personnalité du donneur puisse être transmise au receveur via l’organe greffé a souvent été considérée comme un mythe.
Mais cette nouvelle analyse, menée par une équipe de recherche de l’Université du Colorado, viendrait pourtant valider cette fable !
Six des patients interrogés ont témoigné de changements dans leurs préférences sexuelles : Certains ont affirmé avoir vu leur vie sociale et sexuelle s’améliorer après l’intervention.
D’autres auraient vécu des épisodes spirituels ou religieux (qui ne sont pas réputés pour améliorer la qualité des orgasmes ni leur fréquence…).
Enfin, un bon nombre d’entre eux ont pointé du doigt des effets négatifs, comme de l’anxiété ou de la dépression.
On ne voit pas pourquoi, ces receveurs-là ne verraient pas leur vie bouleversée par les progrès incessant de la médecine qui réalise des miracles inimaginables…
Même moâ-même, avec mes stents, je ne vois plus la planète et ses habitants de la même façon après qu’avant.
Bon, vous me direz que c’est normal : J’ai aussi arrêté de fumer… (sans grossir démesurément, cette fois-ci).
Ça tombe sous le sens…
Si ces résultats intriguent, des recherches supplémentaires seraient surtout bienvenues si elles trouvent leur financement… une fois de plus !
Et puis les organes imprimés en 3D, comme cette trachée, pourraient en tout cas remédier à ces modifications.
Quant aux futures greffes de porcs génétiquement modifiés, je ne vous raconte pas l’état de la cuisine du receveur après coup…
Et cette nouvelle est particulièrement intrigante, car jusqu’ici, les scientifiques semblent incapables de déterminer quelles peuvent être les origines de ces vastes bulles de gaz, comme l’explique la NASA dans un article maison.
Il faut dire que sur Terre, le méthane est produit par des êtres vivants, ce qui alimente forcément tous les fantasmes : Et s’il y avait une vie extraterrestre et souterraine sur Mars, hein ?
D’une largeur de 155 kilomètres, ce site bien connu des passionnés de Mars avait notamment servi de lieu d’atterrissage pour Curiosity, lors de son arrivée le 6 août 2012.
Et dans ses premières conclusions, ce « savant » attribue la formation de ces poches de méthane à des fluctuations de température et de pression de l’air, qui auraient ensuite causé la formation de bulles de gaz, protégées par une couche de sel solide.
Le chercheur de la NASA et son équipe ajoutent que cette fameuse couche salée aurait pu être fendue par Curiosity lors de l’un de ses passages dans le cratère, ce qui pourrait expliquer que du méthane ait commencé à s’évaporer en grandes quantités.
Ce qui est agaçant, parce que le méthane est aussi un puissant gaz à effet de serre !
Mais cette théorie n’explique nullement pourquoi le gaz apparaît à ce rythme, pointant son nez la nuit pour aller ensuite se cacher ensuite en journée.
« Les analyses du méthane consommant beaucoup de ressources, il nous faut donc être stratégiques à propos de quand nous décidons d’y procéder », résume le principal responsable de ce précieux outil d’analyse sur Mars.
Mais tout de même, ce serait invraisemblable que partout ou l’espèce humaine pose ses pattes, même par procuration, se déclenche des mécanismes à réchauffement climatique !
Eh bien non, ce sont les manchots qui n’auraient pas le temps de s’adapter…
Car c’est bien la deuxième plus grande perte de poussins depuis le début des relevés satellitaires...
Salaud de « chinetoques » et de « ricains », nos principaux pollueurs, puisque c’est nous qui achetons leurs bagnoles électriques dont ils ne veulent déjà plus…
Ils constituent notamment l’espèce de manchot qui se reproduit le plus au Sud de la planète, formant de grandes colonies sur la banquise entourant les côtes de l’Antarctique.
Leur cycle de reproduction unique rend du coup l’espèce particulièrement vulnérable à la perte de banquise liée au réchauffement climatique.
Après l’éclosion, les oisillons sont élevés entre fin juillet et mi-août, jusqu’à ce qu’ils perdent leur duvet.
La stabilité de la banquise est donc essentielle pour que les poussins puissent achever leur mue avant leur départ (généralement entre la mi-décembre et début janvier), c’est-à-dire la période où ils commencent à nager en mer et à se nourrir seuls.
Si la banquise fond et se désagrège trop tôt, imaginez bien que la quasi-totalité de la couvée des colonies risque de se noyer ou de geler…
En 2022, la fonte excessive et prématurée de la banquise a conduit au premier échec de reproduction majeur enregistré chez ces manchots empereurs.
Même que les experts du British Antarctic Survey (BAS) rapportent de nouvelles données concernant l’état actuel des colonies, où les niveaux de banquise en 2023 ont été nettement inférieurs à ceux de toutes les années précédentes.
« À mesure que le continent se réchauffe, nous voyons la glace se briser plus tôt, entraînant une mortalité plus élevée des poussins.
D’un autre côté, il y aura plus à becqueter pour les survivants…
(Et oui, il y en a une…)
Pour évaluer l’étendue des impacts de la perte rapide de banquise sur les colonies de manchots empereurs, il a été utilisé les données du satellite Sentinel-2 du programme Copernicus. Ce dispositif offre une haute résolution temporelle en capturant des images de la côte antarctique plus d’une fois par semaine.
Et ses archives remontent à 6 ans, à compter de 2018.
La résolution spatiale du satellite est de 10 mètres, ce qui permet de suivre l’emplacement des colonies par le biais de la coloration brune que laissent leurs excréments sur la banquise (les pollueurs cagueux…).
Si la banquise se désagrège avant la période d’envol des poussins, on peut considérer que l’échec de reproduction de la colonie est très élevé, voire total.
Sur les 66 colonies répertoriées et rassemblant près d’un quart de millions de manchots, 14 ont enregistré un échec de reproduction impliquant des dizaines de milliers de poussins.
Bien que les pertes soient inférieures à celles de la saison 2022 (qui a enregistré des échecs de reproduction dans 19 colonies), il y aurait globalement une tendance croissante de perte de poussins au cours de la dernière décennie.
Si cela se poursuit, la population totale de l’espèce pourrait diminuer de 99 % d’ici la fin du siècle, nous affirme-t-on !
On ne les retrouvera plus que dans les zoos.
D’un autre côté, les pertes ont probablement été moins graves que celles de 2022 parce que les colonies durement touchées alors ont fait preuve d’une étonnante résilience : Il faut pouvoir rester optimiste…
Certaines se sont tout simplement déplacées pour trouver des banquises côtières plus stables, tandis que d’autres se sont reproduites sur des icebergs ou des banquises flottant non loin des côtes.
Tout comme les ours polaires (qui nous auront tant fait pleurer avec ces clichés sortis de leur contexte)…
Néanmoins, il ne s’agit que d’une solution temporaire et ces oiseaux restent considérablement limités en nombre d’adaptations qu’ils peuvent effectuer, aura-t-il été précisé.
Une perte dramatique de la banquise antarctique pourrait ainsi être fatale pour l’espèce entière…
On aura même annoncé la fin des abeilles et des pollinisateurs, donc des fruits et légumes dans nos contrées…
J’aime bien les prophètes de malheur : Ils font peur aux petits-enfants et font rire leurs parents…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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