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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 31 mai 2024

Jean-Marc s’inquiète…

Germaine, son épouse…
 
… a une amie imaginaire depuis peu.
Elle l’appelle parfois à voix haute « Tu viens Médée ! »
Évidemment, Jean-Marc fait semblant de rien : Ils ne connaissent personne qui s’appelle Médée…
 
L’histoire du notaire…
Une vieille enfin revenue :
Une vieille demoiselle se présente chez un notaire pour enregistrer l’acte d’achat de sa maison récemment et définitivement acquise.
Le notaire la reçoit, l’invite à s’assoir et fait venir son principal clerc :
« Veuillez, s’il vous plait, ouvrir la chemise de mademoiselle, examiner son affaire et si ses règles ne s’y opposent pas, faites une décharge pour qu’elle entre en jouissance immédiatement… »
On n’a toujours pas rattrapé la vieille-fille…
 
Vie de couple.
Germaine se plaint en passant l’aspirateur dans le salon alors que Jean-Marc est affalé dans le canapé, une canette dans une main, la zapette dans l’autre :
« Ras le bol ! J’en est marre de devoir tout faire dans cette maison.
J’ai vraiment l’impression d’être Cendrillon… »
Réaction de Jean-Marc :
« Je te l’avais bien dit qu’avec moi ça serait un conte de fées ! »
 
Jean-Paul maîtrise l’anglais :
Douille housse pic n’glisse ? (Do you speak english…)
Ail ou radis ? (All ready…)
Débile… (The bill)
Qu’on gratte tous les jeunes ! (Congratulations !)
Ma queue perd son alcool ! (Make a personnal call !)
Mords mon nez ! (More money !)
Marie qui se masse ! (Merry Christmas !)
Oui Arlette ! (We are late !)
C’est que ça pèle… (Sex appeal…)
Dix nourrisses raidies (Dinner is ready)
Mais dîne Franzt (Made in Fance)
Ahmed a l’goût d’tripe (I made a good trip)
Deux bouts d’chair (The butcher)
Il se pique Germaine (He speaks german)
Youssef vole ma femme au lit ! (You saved all my family !)
Un petit beurre, des touilloux ! (Happy birthday to you !)
Je ne vous ferai pas l’injure de surtraduire…
 
Il suit aussi des cours de « novlangue » :
On ne dit pas un employé, mais un collaborateur…
On ne dit pas l’entreprise, mais nous !
On ne dit pas réfléchir mais brainstormer.
On ne dit pas diriger, mais prendre le lead.
On ne dit pas rémunération, mais gratification.
On ne dit pas chiant, mais challenging.
On ne dit pas le plus tôt possible, mais ASAP.
On ne dit pas un essai, mais un draft.
On ne dit pas je bosse uniquement là-dessus, mais je suis fulmine sur le projet.
On ne dit pas je dois passer un appel, mais j’ai un call.
On ne dit pas un retour, mais un feedback.
On ne dit pas tous les deux, mais en one to one.
On ne dit pas voir ensemble, mais débriefer.
On ne dit pas c’est mon patron direct, mais c’est mon N+1.
On ne dit pas faire le boulot de quelqu’un d’autre, mais être force de proposition.
On ne dit plus fayot, mais corporate.
On ne dit pas je fais ce qu’on me dit de faire, mais j’applique le process.
On ne dit pas c’est le bordel, mais il n’y a pas de journée type.
On ne dit pas j’ai des tâches qui n’ont rien à voir avec mon poste, mais les tâches sont variées, on ne s’ennuie pas…
On ne dit pas j’attends qu’on me die OK, mais j’attends la validation.
On ne dit pas je suis concentré(e), mais je suis focus.
On ne dit plus j’ai beaucoup de boulot, mais je suis overbooké. Ou je suis en PLS…
On ne dit pas j’ai piqué les idées du concurrent, mais j’ai fait un benchmark.
On ne parle pas de charges sociales, mais de rémunérations différées.
On ne dit pas les choses qui vont mal, mais les axes d’amélioration.
On ne dit jamais c’est décevant, mais en-dessous des attentes !
On évite de dire c’est la merde, mais plutôt c’est touchy !
On ne dit pas il a été licencié, mais il a souhaité donner une nouvelle orientation à sa carrière…
On ne dit pas plan social, mais nouvelle aventure…
 
Dumè, en grande discussion avec un gendarme qui sort son carnet à souche :
« — Papier du véhicule, permis de conduire…
Voilà, voilà… Qu’est-ce que j’ai fait…
Je ne vous ai pas vu vous arrêter au stop, là-bas…
Oh ça… vous devriez éviter de boire pendant votre service, brigadier ! »
 
Marie-Christine, une charmante amie de Marie-Chantal qui rapporte à Germaine sa dernière stupidité :
« Elle dit comme ça qu’elle remercierait bien le monsieur qui a inventé l’électricité, car sans lui il aurait fallu regarder la télévision à la chandelle… »
 
Et aussi quelques bizarreries du « francilien-natif », langue officielle (et constitutionnelle, art. 2, al. 1er) de la « Gauloisie-olympique » :
Nous portions leur portions…
Les poules du couvent couvent…
Mes fils ont cassé mes fils…
Il est à l’Est…
Je vis ces vis…
Cet homme est fier : Peut-on s’y fier ?
Avant, nous éditions de belles éditions…
Je suis content qu’ils content ces contes à Monsieur le Comte qui ne fait que ses comptes toute la journée…
Il convient qu’ils convient leur ami…
Ils ont un caractère violent : Ils violent leurs promesses.
Notre intention est que nous intentions ce procès !
Ils négligent leurs devoirs. Moâ je suis moins négligent qu’eux !
Ils résident chez un résident parisien.
Les cuisiniers excellent à faire ces mets excellents…
Savez-vous que ces poissons affluent à cet affluent ?
 
Jean-Marc rapporte qu’un jour, une femme dit à Gandhi :
« Je suis amoureuse de vous ! »
Gandhi lui répond alors : « C’est bien d’honneur et je ne mérite pas votre amour.
Mais mon frère derrière vous, qui est plus jeune et plus beau que moi, oui ! »
La femme se retourne et regarde derrière elle sans voir personne…
« Si vous étiez vraiment amoureuse de moi, vous n’auriez pas regardé en arrière ! »
Cassée la grosse… de Lille à Biarritz, et sans passer par Nice !
 
Jean-Paul se plaint à Jean-Marc :
« — J’ai mis un temps fou pour me rendre à Melle, dans les Deux-Sèvres… Le bus n’avançait pas dans les encombrements…
Note que c’est normal : Il est réputé pour être mou le car à Melle ! »
 
Germaine philosophe en compagnie de Marie-Chantal :
« Tu sais, il faut aussi voir qu’un mari, c’est avant tout l’homme qui te soutient dans tous les problèmes que tu n’aurais pas eus si tu ne l’avais pas épousé ! »
 
Les deux mêmes, d’entrée :
« — Comment va ton mal de tête, ma chère Germaine ?
Très bien ! Il est parti au travail ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun devant un verre de bière, à médire sur leurs contemporains :
« — Franchement… tu n’as pas l’âge de faire ça !
J’ai surtout plus l’âge qu’on me dise ce que je dois faire… »
 
Les mêmes, un peu plus tard :
« Remarque, il vaut mieux un pullover qui moule qu’une moule qui pue l’ovaire ! »
 
Jean-Marc, le soir chez lui, à sa Germaine :
« — Tu as simulé ?
Mais non ! Qu’est-ce que tu veux que je foute de six mulets ? »
 
Jean-Marc qui drague une minette en boîte de nuit :
« Tu crois en l’amour au premier regard, ou je dois repasser une deuxième fois devant toi ? »
 
Jean-Paul et Jean-Marc, un autre soir, dans le même bar :
« — Moi, je commence à me sentir vieux… J’ai mal partout et ça ne passe pas dans la journée…
Ah bé moi, c’est l’inverse : Je me sens comme un bébé !
Comment ça ?
Bé, j’ai plus de cheveux, je n’ai pas de dents et je fais pipi dans ma culotte ! »
 
Les mêmes, encore plus tard :
« Finalement, je me fiche pas mal que certaines personnes ne pensent pas comme moi.
Au point où on en est, si elles pensent, c’est déjà ça ! »
 
Marie-Chantal et Germaine :
« — Et toi, comment fais-tu pour que les hommes te regardent ?
Moi, très chère… je m’assied toujours à côté d’une moche…
Ah… C’est pas con, ça. Mais ça ne doit pas être toujours facile… »
 
Remarque de militaire :
« Si tu ne réussis jamais rien du premier coup, alors le saut en parachute n’est pas fait pour toi ! »
 
Autre remarque… universelle :
« Embrasser une femme sur le front, c’est de la protection…
L’embrasser dans le cou, c’est du désir !
Sur la bouche, c’est passionnel !
Devant son mari, c’est du courage… »
 
Une autre :
« Ah si seulement on pouvait épiler tous ceux qui sont de mauvais poil… »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« Marre des filles qui me parlent de cunnilingus !
Je ne suis pas météorologue : je n’y connais rien en nuage ! »  
 
Marie-Chantal chez son gynécologue :
« — Ça ne va pas du tout docteur… Je n’arrête pas de trouver des timbres du Costa-Rica sur mes tampons !
Montrez voir ?
J’en ai apporté…
Mais… mais, ce ne sont pas des timbres !!!
Et c’est quoi d’après vous ?
Ce sont des étiquettes de bananes ! »
 
Germaine à Marie-Chantal :
« — Je ris en pensant à ma mère…

Un jour elle m’a dit qu’elle me souhaitait d’avoir des enfants deux fois plus chiants que j’ai été.

Mais c’était sans réaliser qu’elle devrait aussi les garder tôt ou tard ! »
 
Jean-Marc achetant un nouveau lit avec Germaine et arrêtant son choix sur un système de matelas d’eau encastré dans les montants…
« — Je vais remplir ce lit d’eau de mer !
D’eau de mer ? Mais quelle idée. Et pourquoi d’eau de mer ?
Oui, de l’eau de mer… Comme ça on peut espérer qu’il y aura plus de chance pour que ta moule s’ouvre plus souvent ! »
 
« À propos », lance Germaine à Jean-Marc.
« — Quoi ?
Tu te souviens de quand tu es allé à la pêche la dernière fois ?
Oui pourquoi ?
Parce que ta truite a appelé hier : elle est enceinte ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, passablement éméché se quittent sur un malentendu :
« Je suis désolé de t’avoir blessé en te traitant de con.
Je pensais que tu le savais déjà ! »
 
Bon début de week-end (ce soir) à toutes et à tous !
 
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Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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