Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 29 mai 2024

Lui s’en contre-cogne le coquillard…

Car la république lui paye son logement !
 
Le clos et le couvert et même les couverts et ce qu’il y a dans l’assiette… les draps, l’électricité, le chauffage, les déplacements, les assurances (obligatoires, pour tout le monde sauf justement pour l’État qui est son propre assureur), les taxes foncière et ordures ménagères…
En bref, se loger, ce n’est pas son problème, alors il peut s’en contre-cogner jusqu’aux roubignoles, finalement.
Et puis de toute façon, il a les clés, avec le personnel qui va avec, de « La lanterne », celles de Brégançon et encore quelques autres demeures, tel que ça reste exceptionnel quand il ouvre la maison de « Bibi », sa légitime à lui, seulement les jours d’élection… (et non pas les joules d’érection…)
En revanche, pour l’ensemble des citoyens de ce pays et les « professionnels » du bâtiment, c’est la galère.
On vous le dit depuis des décennies et rien n’y change.
 
Mais aujourd’hui, je me fais le relai d’un « petit-kamarade », qui a commencé par être « un client » (et puis nous avons sympathisé : Il se reconnaîtra), qui faisait dans le ragréage de chapes de béton… à la truelle rotative.
Les gamins de « sa nichée à lui » ne reprendront pas son affaire : Ils préfèrent faire fonctionnaire dans le civil. Un métier sûr, ça, fonctionnaire.
Plus on en plante et plus il pousse des taxes et des impôts…
 
Le « monde d’après », ça se confirme, ce sera un gros tiers de fonction publique (nationale, territoriale et hospitalière), qui fonctionne tant bien que mal, deux tiers d’entreprises qui payent le premier (et qui du coup donne à manger à tout le monde), dont une moitié dite de proximité, assises sur ses « niches locales » pour fournir le nécessaire aux laborieux là où ils habitent, et l’autre moitié qui fait « vendeur-debout », pour devoir aller à la pêche au client tous les jours, qui souvent se cache par monts & par vaux, jusqu’à hors des frontières et qu’il faut aller servir sur place… d’où des délocalisations parfaitement logiques.
Et enfin, un quatrième tiers, de l’épaisseur d’un trait, mais à très forte valeur ajoutée et par essence transnationale qui recrute ses clients partout dans le monde en quelques clics et beaucoup de savoir-faire…
Ces entreprises-là n’ont pas de patrie et ne cherchent même pas à se poser ici ou ailleurs en fonction du vent.
Alors, le bétonnage de nos vertes prairies pour y loger confortablement les laborieux qui votent, pensez bien que cette « élite éliteuse-là », elle n’en a rien à cirer.
Tout comme notre « Jupiter » national.  
 
D’où le mot d’humeur du président fondateur de l’Institut du Management des Services Immobiliers, qui désespère : La situation de la production de logements dans notre pays est tout simplement terrible !
Ce qui n’est pas faux, puisque ça a toujours été, mais là, c’est encore plus caricatural après la crise du « Conard-virus » qui aura tout figé, puis le « pognon de dingue® » déversé qu’il faut désormais payer avec des taux d’intérêt qui auront anesthésié bien des projets de construction en cours…
Alors, je relaye…
 
Tous les indicateurs, qu’ils soient dans le rouge ou non, plongent : Les ventes, les délais de réalisation, les mises en chantier, les permis de construire délivrés, sont à des niveaux d’étiage jamais connus.
Le troisième, les mises en chantier, est d’ailleurs l’indicateur absolu depuis qu’il existe en « Gauloisie-olympique » une politique du logement, et depuis que ces politiques sont incarnées par des ministres, ils sont jugés sur cette performance.
En année glissante, on compte que ce pays livre en moyenne 283.000 logements par an. À la fin des années 80, sa production était à ce niveau et 300.000 constituait un cap.
Mais les « Gauloisiens-olympiques » étaient alors 18 millions de moins.
Vous noterez qu’on crie comme toujours à la catastrophe, mais si depuis la fin de la guerre (1945) on a vraiment construit ne serait-ce que 300.000 logements par an, on devrait compter 23,7 millions de logements, plus le stock préexistant…
De quoi faire disparaître les villages de tentes Quechua de nos bords de chemin…
 
Sauf que… bé on ne sait pas entretenir le parc existant faute de moyens financiers, de blocage de loyer et autres mesures « bienveillantes » et qu’on change de « normes » tous les 10 ans, réputant insalubres et inhabitables des dizaines de milliers de logements qui étaient jusque-là bien utiles.
Et puis les effets de la décohabitation, des séparations, des recompositions des ménages, et de la mobilité professionnelle dessinent aujourd’hui une société qui bouge bien plus vite que celle de 1980, avec la nécessité d’un parc résidentiel plus large et mieux réparti.
On l’a déjà signalé jusqu’ici même en pointant même l’absence de cohérence des politiques d’aménagement du territoire et des contraintes d’équipements en réseaux divers qui vont avec.
 
En bref, ce qui se passe en matière de construction a normalement de quoi inquiéter au plus haut point. Mais l’autorité publique, celle qui se mêle de tout et met tant de barrages réglementaires à l’accès à la propriété, alors même qu’elle claque « pognon de dingue® » en incitations et cadeaux fiscaux, ne semble pas s’en inquiéter.
En la matière, il faut être précis et ne pas faire de procès à l’emporte-pièce : On entend à cet égard des critiques mal ciblées. Ainsi, on ne peut pas dire qu’il n’y ait pas d’actions pour le logement, tendant à améliorer le marché et à corriger ces dysfonctionnements.
On ne peut pas dire non plus du coup qu’il n’y ait pas de politique du logement, au sens où aucune ligne directrice ne serait identifiable.
 
Mais cette politique, plus que par le passé, se compose entre des initiatives du gouvernement, avec des projets de loi, et des initiatives parlementaires, assez souvent trans-partisanes et soutenues sinon encouragées par le gouvernement.
Et on peut citer, pêle-mêle dans l’actualité la plus récente, le texte pour le logement abordable, les retouches réglementaires multiples pour revoir le DPE ou MaPrimeRénov’, les propositions de loi pour mieux encadrer les locations meublées de courte durée, pour favoriser la transformation de bureaux en logements, pour améliorer le Haut conseil de stabilité financière, etc. qui se superposent aux lois SRU, Duflot et autres (et ils sont nombreux à y avoir laissé leur nom pour des prunes), mais aussi aux acteurs locaux que sont les maires qui ont la main sur les permis de construire, les PLU, quitte à assumer des contentieux administratifs qui figent les situations rencontrées durant des années…
 
Actuellement, le gouvernement et le Parlement ont même rarement autant travaillé pour le logement.
Au fond, on pourrait plutôt leur reprocher une activité incessante que l’inaction, et les exégètes des textes ont fort à faire… comme les instances chargées de formuler des avis avant que les textes ne soient stabilisés, tels le Conseil national de l’habitat, le Conseil supérieur de la construction et de l’efficacité énergétique ou encore le Conseil national de la transaction et de la gestion immobilières.
Ces assemblées consultatives ne se sont probablement jamais autant réunies !
 
Pourtant, le marché n’a jamais eu si peu de vigueur. Les transactions sur les logements existants, grâce à la variable d’ajustement des prix, parviennent à garder du souffle, mais elles ont perdu plus d’un quart de leur volume.
Le neuf vit une descente aux enfers que rien ne semble pouvoir interrompre ni même ralentir pour le moment : Toute une génération va jouer aux Tanguy…
Le problème est clair et les promoteurs comme les constructeurs de maisons individuelles le savent : Désormais, sans aides assez puissantes pour resolvabiliser la demande, parce que le prix structurel des logements neufs est trop élevé pour les revenus de la plupart des ménages, ceux-là mêmes qui se tiennent aujourd’hui éloignés de l’acquisition…
 
Et l’effondrement de la demande solvable entraîne de facto une réduction des opérations pour l’avenir : Les promoteurs d’immeubles collectifs et les constructeurs de maisons individuelles n’ont plus d’avenir.
On pourrait y être indifférent au sommet de l’État si l’on n’assistait, avec l’asphyxie dont ils sont victimes, jusqu’à en trépasser pour beaucoup, à la destruction de l’appareil « Gauloisien-olympique » de production de logements.
Le futur est désormais largement obéré, non pas conjoncturellement, mais bien pour plusieurs années.
 
« Jupiter » et son « sinistre des Finances » pourraient sauver le logement de ce naufrage, et pourtant les remèdes ne sont pas administrés.
Booster le prêt à taux zéro, en l’ouvrant notamment à la maison individuelle, rétablir l’aide personnelle au logement pour l’accession, et concevoir un régime fiscal attractif pour les investisseurs, voilà ce qu’il faudrait faire.
Oser sans doute deux milliards pour en récolter dix au bas mot dans les 24 mois qui suivent, mais non, rien, nada, ensemble vide.
Il faut bien se rendre compte qu’aucune supplique n’infléchit nos dirigeants de haut rang.
Le « sinistre du logement » est un avocat de la cause et il ajoute sa voix à celles des acteurs professionnels, mais sans succès.
Le projet de loi de finances pour 2025 risque d’être étique – sans « h », ce qui signifie qu’il sera probablement squelettique – pour le logement, au mieux maigrelet.
 
Pourquoi ? On sait que « Jupiter » ne veut pas de mal à l’immobilier, il n’en veut plus tel qu’il est… sans avoir créé au cours des dernières années les conditions qu’il soit différent.
Même si l’immobilier (logements comme locaux d’activité) est le seul actif matériel qui manque au pays, qui est peu financé par les banquiers et qui paye en plus cette relique barbare qu’est l’Impôt sur les Grandes Fortunes (plusieurs fois rebaptisé pour faire passer la pilule)… vite atteintes par effet de rareté…
La complexité et le poids de la fiscalité notamment, ont embarrassé la construction, et il lui faut se réinventer tous les jours dans la souffrance.
 
Cette fois-ci aura-t-elle même la force de muter, d’apprendre à bâtir autrement, à reconstruire sur l’existant, à utiliser des terrains naguère dédaignés, avec d’autres matériaux et d’autres process ?
« Jupiter », à l’évidence, veut la purge du secteur, le « grand soir » des promoteurs et des constructeurs. Ils sont déjà si peu nombreux à avoir fait le tour de leur métier, entre la prospection du foncier jusqu’à la fin de la prescription décennale (entre 15 et 20 ans d’efforts par projet)…
Il semble avoir une sorte d’approche esthétique de la politique budgétaire du logement : Pas de dépenses qui créeraient un effet d’aubaine !
Il ne soigne plus, attendant des organismes qu’ils soient forts d’eux-mêmes, sains et autonomes de la collectivité… qui croyait jusqu’alors devoir assister et compenser.
 
« Jupiter » ne fait pas de politique du logement comme la filière le croit encore, il invente un eugénisme de la politique du logement.
Le secteur professionnel va en mourir guéri.
Car la preuve reste à administrer que le patient peut vivre sans les aides naguère nécessaires…
Enfin, le secteur a-t-il tellement péché qu’il lui faille expier ?
De quoi les producteurs sont-ils coupables ?
Ils ne sont pas exempts de reproches, certes.
Ils auraient pu mieux faire sur tous les plans, sans doute, mais autres temps autres mœurs… et autres contraintes politiques.
 
Les décideurs publics passés, eux aussi et de bonne foi le plus souvent, ont logé de nombreux ménages « Gauloisiens-olympiques ». Mais la situation actuelle correspond à une dégradation.
Le président de la République aura beau présenter tous les bilans qu’il voudra de son action pour le logement, on en retiendra l’asthénie de la production.
Qui plus est, elle se double aujourd’hui d’un ralentissement de la rénovation écologique, de nature à permettre de mobiliser le parc existant et à compenser un moindre niveau de production.
Rien ne va plus.
Les indicateurs rustiques de production s’imposeront toujours, têtus, et ceux-là sont exécrablement et tendanciellement désespérants.
 
À la clé, également, la chute des rentrées fiscales pour le pays, la baisse de la croissance, des plans de licenciements qui vont coûter à la collectivité même si on réduira les droits des chômeurs, une fois de plus.
On perd surtout des compétences qu’on aura du mal à retrouver et à former par la suite (suivre l’exemple de l’industrie nucléaire obligé de faire venir des techniciens des USA pour des réparations « classiques » en chaudière…)
Un bien sombre tableau pour un double quinquennat, qui jette une ombre épaisse sur tous les efforts non budgétaires déployés par le « sinistre », les « députacrouilles » et les locataire du palais du Luxembourg pour améliorer le logement au pays.
Juste, peut-être, parce qu’au sommet de l’Olympe, on pense qu’il faut que l’organisme sécrète lui-même ses anticorps et cesse de dépendre des aides ?
Une bonne idée qui va faire des morts…
 
Une volonté de sevrage que le pays et ses familles sont en train de payer le prix fort. Sans doute que la conviction présidentielle va au-delà : La destruction entraînera la création d’autres acteurs et d’autres pratiques.
Schumpeter nous l’a enseigné… Et « Jupiter » en est un lecteur.
Il devrait peut-être également relire Maurice Allais, qui théorisait l’équilibre économique général, ou l’Abbé Pierre, sur le lien entre gouverner et loger le peuple.
Deux intelligences tricolores au rayonnement mondial.
 
Car la « Gauloise-olympique » devrait avoir l’ambition d’une politique du logement inspirante pour la planète entière, ce qui fut longtemps le cas, efficace, généreuse et porteuse de richesse.
Dans la vie, il n’y a pas que les jeux olympiques et la baignade dans la Sequana…
 


 
Enfin, passons, mais soyons clairs : On se plaint que nos « djeuns’ » ne font pas assez de gosses !
Je voudrais vous y voir à copuler à la belle étoile faute d’avoir les moyens de vous loger…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire