Mais on peut comprendre ce qui n’est pas dit !
Bé oui, même si nous ne sommes pas nés « supérieurs » à
certains, c’est-à-dire, ni aux Russes (qui nous écrasent par leur intelligence
« hors normes ») ni aux « feujs » (seuls élus du Créateur
sur cette planète) ni aux « terroristes mahométans » (éclairés par
leur divin à eux) ni même aux « ricains » (capables de voter pour
« McDo-Trompe » qui se fout éperdument de tous les autres) et encore
moins aux chinois (pour n’avoir pas les yeux bridés), parfois il nous arrive à
additionner deux plus deux…
Bon d’accord, souvent le résultats n’est pas le même d’un « sachant » à l’autre, mais ça, c’est la faute à leur ékole, l’« Enâ » (verlan de « Âne » comme chacun le devine).
Il n’empêche…
Je ne peux qu’être étonné d’une convergence qui ne saute pas aux yeux
immédiatement. Des blindés d’une douzaine de pays de l’Otan, des drones, des
lance-roquettes entassés devant une foule enthousiaste qui se pressait la
semaine dernière pour admirer les « trophées » rapportés d’Ukraine et
exposés au parc de la Victoire (du 9 mai chez eux) de Moscou, avec un mélange d’admiration
et de patriotisme pour les héros partis la fleur au fusil dénazifier les « cousins
ukrainiens » qui ne demandaient rien…
On y trouvait ainsi un char « ricain » Abrams sérieusement endommagé, un Leopard 2 « teuton » pas vraiment en meilleur état, ou encore un AMX-10 « Gauloisien-olympique » encore sur ses roues.
Objectif : « Montrer que, comme pendant la Grande Guerre patriotique, la Seconde Guerre mondiale (face aux Nazis), nos combattants résistent (aujourd’hui), face à l’Occident et sa technologie, et gagnent ».
De toute façon, « Poux-tine » est un « gagneur ». Un « grand
démocrate » et un « gagneur », même vu par les occidentaux et
pas seulement « Mes-Luches » et ses sbires énucléés…
Bé oui, souvenez-vous, quand un opposant se fait assassiner sous ses fenêtres, ce n’est pas lui. Quand Navalny meurt en Sibérie, c’est de mort naturelle. Quand le tsar organise un référendum dans un pays qu’il visite, la population enthousiaste vote pour que surtout il reste !
C’est comme pour le gazoduc de la Mer Baltique, ce serait lui le cocu de l’affaire, la victime acharnée du seul peuple impérialiste connu sur cette planète…
Même « Marinella-tchi-tchi » l’aura aimé, « Zézé-Amour » lui ouvrirait les frontières de la « Gauloisie-olympique » pour le laisser y remettre de l’ordre et « Deux-par-deux » envisagerait de se réfugier à Moscou si on lui retire sa légion d’honneur…
C’est vous dire combien on se fout de nous, finalement.
Parce que derrière ces préparatifs de l’anniversaire du 9 mai (chez nous
demain, le 8), chez eux la fête de la Victoire sur Hitler dont « Poux-tine »
a fait un marqueur essentiel de la puissance enfin retrouvée de la Russie, de
nombreux visiteurs semblaient apprécier le parallèle.
Et puis il y a « Jupiter » qui s’épanche chez les « brexiters » et annonce que la troupe sera engagée si le front cède en Ukraine face à une déferlante russe (qu’on nous annonce mais ne voit pas venir), car « l’objectif reste que Poutine ne doit pas gagner » cette guerre faite à ses « cousins ukrainiens »… Effectivement, s’il la gagne, plus rien ne l’arrêtera jusqu’à Brest et Gibraltar.
Mais il ne dit pas non plus qu’il doit la perdre…
Nuance, n’est-ce pas !
En conséquence de quoi, il y a convergence : Ce conflit est probablement
loin d’être terminé.
« On ne parle pas d’un an, ni de deux, ni de cinq. C’est pour très longtemps », prédit un visiteur moscovite. « Si on considère que ça dure déjà depuis une trentaine d’années (depuis la fin de l’URSS), ça ne peut pas se terminer comme ça ».
Il a raison le kamarade moscovite : Pour éviter l’effondrement économique, comme en 1989, date de la fin du retrait de la troupe d’Afghanistan et début de l’effondrement politique de l’URSS, la Russie doit forcément prolonger la guerre en Ukraine le plus longtemps possible.
Car, nonobstant, les annonces triomphantes sur la croissance russe, en
augmentation de 3,6 % en 2023 d’après le Service fédéral des statistiques de l’État
russe (Rosstat), il semble que ce bilan s’explique essentiellement par… la
guerre en Ukraine.
Selon un professeur d’économie à l’université de Lancaster (Nord-ouest de l’Angleterre) dans une tribune résumée par le média « ricain » en ligne Business Insider, il énonce sa conclusion qui est sans appel : Que la Russie gagne ou perde, son économie ne résistera pas à la fin du conflit !
Il faut qu’il dure le plus longtemps possible.
C’est probablement pour cette raison qu’il n’y a pas eu de fin dès le
début, et que les poussées vers l’Ouest restent mesurées malgré les efforts et
moyens consentis.
« Le paiement de la solde des militaires, les munitions, les chars, les avions et les indemnisations pour les soldats morts et blessés contribuent tous aux chiffres du produit intérieur brut (PIB) », résume ce prof’.
« Pour le dire simplement, la guerre contre l’Ukraine est désormais le principal moteur de la croissance économique de la Russie. »
Premièrement, la Russie manque de travailleurs pour les activités non liées à la défense, vu que l’effort de guerre cannibalise l’essentiel de la main-d’œuvre.
Le nombre d’emplois non pourvus atteint cinq millions (on devrait leur envoyer nos chômeurs), ce qui conduit à une flambée des salaires (dans l’espoir d’attirer des candidats, alors que chez nous, il faut qu’ils menacent de faire grève, juste menacer… pour obtenir ce qu’ils veulent !).
L’autre truc qui flambe en Russie, c’est l’inflation : + 7,4[1]
%, alors que la Banque centrale de Russie visait + 4 %, avec un impact direct
sur le pouvoir d’achat des Russes.
Le retour au ticket de rationnement n’est pas qu’une vue de l’esprit…
Le 14 décembre 2023, « Vlad » en personne s’était même excusé à la télévision après la hausse du prix des œufs qui avait atteint plus de 40 % en un an…
Troisièmement, les investissements étrangers dans le pays se sont effondrés à 8,7 milliards de dollars (environ 8,13 milliards d’euros, contre un niveau normal 4 à 5 fois supérieur ces dernières années) durant les trois premiers trimestres 2023.
Enfin, n’oublions pas les sanctions internationales, un véritable « nœud coulant » qui isole le pays du système économique international et l’étouffe par suffocation lente.
Pour toutes ces raisons, Moscou n’aura probablement pas les moyens d’administrer et de sécuriser tout ou partie de l’Ukraine et aura déjà fort à faire avec ses propres problèmes (infrastructures, pauvreté, etc.).
Sauf à opter pour une vassalisation totale de la Russie au bénéfice de la Chine (qui reste à mon sens une vue de l’esprit des anglo-saxons).
En effet, « un enlisement prolongé (du conflit) pourrait être la
seule solution permettant à la Russie d’éviter un effondrement économique total »,
conclut le prof’ british…
Le régime russe n’a par conséquent aucune raison de mettre fin à la guerre et de s’exposer à cette éventualité économique.
Il ne peut donc, très logiquement, « se permettre ni de gagner la guerre ni de la perdre parce que son économie est désormais entièrement orientée vers la poursuite d’un conflit long et toujours plus meurtrier. »
Convergence de point de vue d’avec une ancienne responsable de la banque
centrale russe et désormais chercheuse dans une analyse publiée par le magazine
géopolitique américain Foreign Affairs la semaine dernière.
Elle, elle remaeque que pour la première fois depuis la fin de l’URSS, les dépenses militaires russes, qui représentent désormais un tiers du budget de l’État, dépassent les dépenses sociales (un cinquième du budget), lesquelles incluent notamment les salaires et retraites des fonctionnaires, ainsi que l’ensemble des aides sociales.
Par ailleurs, analyse-t-elle, l’industrie de la défense pèse de plus en plus lourd par rapport aux autres secteurs de l’économie, dont elle « siphonne » les travailleurs, engendrant un taux de chômage « anormalement bas » de 2,9 %, contre 4 % à 5 % avant l’invasion de février 2022.
En conséquence, les autres entreprises russes font face à une pénurie de main-d’œuvre et de travailleurs qualifiés.
Nombre de ces derniers ayant déjà fui à l’étranger au lendemain de l’invasion (ce qui est le cas aussi en Ukraine), « Poux-tine » préparerait d’ailleurs en secret l’envoi sur son territoire d’un demi-million de travailleurs Nord-coréens.
Là où Londres envoie ses « illégaux au Rwanda… et « Giorgina-Mélodie » les siens en Albanie…
(Décidément, quelle époque !…)
« Vladimir Poutine fait face à un impossible trilemme. Son triple défi
étant le suivant : il doit financer la guerre contre l’Ukraine, maintenir le
niveau de vie de sa population et sauvegarder la stabilité macroéconomique »,
décrypte-t-elle. « La réalisation des premier et deuxième objectifs
nécessitera des dépenses plus élevées, alimentant l’inflation et empêchant la
réalisation du troisième objectif. »
Et ce constat est partagé par la présidente de la Banque centrale de Russie, Elvira Nabioullina, qui a pointé en décembre 2023 le risque de surchauffe de l’économie russe, laquelle « connaît une croissance très rapide parce qu’elle utilise presque toutes les ressources disponibles ».
Alors donc, si je comprends bien ce qu’on veut nous expliquer, c’est que
le Russe s’est engagé dans une « escalade mesurée » avec son « opération
spéciale militaire », en tout cas si ce n’était pas recherché, il s’y retrouve
coincé : Soit il gagne dans les semaines qui viennent et ça va être une catastrophe
économique et sociale, soit il recule et perd, et ça va être une catastrophe
économique, sociale et politique…
D’un autre côté, je note pour ma part que depuis le 5 avril 1917 (je n’étais pas né, mais je me souviens tout de même…) le seul pays au monde qui sait faire la guerre ailleurs que sur son territoire et, qu’il la perde ou la gagne, se débrouille pour se faire payer après coup, ça reste les USA !
Car à chaque fois, la guerre aura donné un coup de fouet à son économie
qui désormais domine l’économie mondiale et de loin…
Alors qu’un siècle avant, c’était tout juste une province anglaise qui refusait de payer ses impôts à la couronne britannique…
Autrement dit, Washington a également intérêts à ce que ce conflit se prolonge.
Soit celui-là, soit celui du Moyen-Orient : Et c’est à l’électeur « ricain » de choisir en novembre prochain.
On peut même dire qu’on connait déjà son choix : Il ne laissera pas tomber les « cousins » israéliens et il sait pertinemment que la stratégie générale de son pays reste d’épuiser le plus possible et le plus longtemps possible Moscou avant d’engager le fer pour défendre Taïwan et la Corée du Sud (et leurs puces).
Alors quand « Jupiter » la ramène, il me fait parfois penser à
la mouche du coche…
Sans lui, les choses sont déjà écrites, mais il ne peut pas s’empêcher d’y apporter sa touche, histoire de dire qu’il existe !
Merveilleux ce gars-là…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] 3,6 % de croissance, dont 7,4 % d’inflation, ça fait – 3,8 ù en volume : On va droit vers des pénuries à ce rythme-là…
Bon d’accord, souvent le résultats n’est pas le même d’un « sachant » à l’autre, mais ça, c’est la faute à leur ékole, l’« Enâ » (verlan de « Âne » comme chacun le devine).
Il n’empêche…
On y trouvait ainsi un char « ricain » Abrams sérieusement endommagé, un Leopard 2 « teuton » pas vraiment en meilleur état, ou encore un AMX-10 « Gauloisien-olympique » encore sur ses roues.
Objectif : « Montrer que, comme pendant la Grande Guerre patriotique, la Seconde Guerre mondiale (face aux Nazis), nos combattants résistent (aujourd’hui), face à l’Occident et sa technologie, et gagnent ».
Bé oui, souvenez-vous, quand un opposant se fait assassiner sous ses fenêtres, ce n’est pas lui. Quand Navalny meurt en Sibérie, c’est de mort naturelle. Quand le tsar organise un référendum dans un pays qu’il visite, la population enthousiaste vote pour que surtout il reste !
C’est comme pour le gazoduc de la Mer Baltique, ce serait lui le cocu de l’affaire, la victime acharnée du seul peuple impérialiste connu sur cette planète…
Même « Marinella-tchi-tchi » l’aura aimé, « Zézé-Amour » lui ouvrirait les frontières de la « Gauloisie-olympique » pour le laisser y remettre de l’ordre et « Deux-par-deux » envisagerait de se réfugier à Moscou si on lui retire sa légion d’honneur…
C’est vous dire combien on se fout de nous, finalement.
Et puis il y a « Jupiter » qui s’épanche chez les « brexiters » et annonce que la troupe sera engagée si le front cède en Ukraine face à une déferlante russe (qu’on nous annonce mais ne voit pas venir), car « l’objectif reste que Poutine ne doit pas gagner » cette guerre faite à ses « cousins ukrainiens »… Effectivement, s’il la gagne, plus rien ne l’arrêtera jusqu’à Brest et Gibraltar.
Mais il ne dit pas non plus qu’il doit la perdre…
Nuance, n’est-ce pas !
« On ne parle pas d’un an, ni de deux, ni de cinq. C’est pour très longtemps », prédit un visiteur moscovite. « Si on considère que ça dure déjà depuis une trentaine d’années (depuis la fin de l’URSS), ça ne peut pas se terminer comme ça ».
Il a raison le kamarade moscovite : Pour éviter l’effondrement économique, comme en 1989, date de la fin du retrait de la troupe d’Afghanistan et début de l’effondrement politique de l’URSS, la Russie doit forcément prolonger la guerre en Ukraine le plus longtemps possible.
Selon un professeur d’économie à l’université de Lancaster (Nord-ouest de l’Angleterre) dans une tribune résumée par le média « ricain » en ligne Business Insider, il énonce sa conclusion qui est sans appel : Que la Russie gagne ou perde, son économie ne résistera pas à la fin du conflit !
Il faut qu’il dure le plus longtemps possible.
« Le paiement de la solde des militaires, les munitions, les chars, les avions et les indemnisations pour les soldats morts et blessés contribuent tous aux chiffres du produit intérieur brut (PIB) », résume ce prof’.
« Pour le dire simplement, la guerre contre l’Ukraine est désormais le principal moteur de la croissance économique de la Russie. »
Premièrement, la Russie manque de travailleurs pour les activités non liées à la défense, vu que l’effort de guerre cannibalise l’essentiel de la main-d’œuvre.
Le nombre d’emplois non pourvus atteint cinq millions (on devrait leur envoyer nos chômeurs), ce qui conduit à une flambée des salaires (dans l’espoir d’attirer des candidats, alors que chez nous, il faut qu’ils menacent de faire grève, juste menacer… pour obtenir ce qu’ils veulent !).
Le retour au ticket de rationnement n’est pas qu’une vue de l’esprit…
Le 14 décembre 2023, « Vlad » en personne s’était même excusé à la télévision après la hausse du prix des œufs qui avait atteint plus de 40 % en un an…
Troisièmement, les investissements étrangers dans le pays se sont effondrés à 8,7 milliards de dollars (environ 8,13 milliards d’euros, contre un niveau normal 4 à 5 fois supérieur ces dernières années) durant les trois premiers trimestres 2023.
Enfin, n’oublions pas les sanctions internationales, un véritable « nœud coulant » qui isole le pays du système économique international et l’étouffe par suffocation lente.
Pour toutes ces raisons, Moscou n’aura probablement pas les moyens d’administrer et de sécuriser tout ou partie de l’Ukraine et aura déjà fort à faire avec ses propres problèmes (infrastructures, pauvreté, etc.).
Sauf à opter pour une vassalisation totale de la Russie au bénéfice de la Chine (qui reste à mon sens une vue de l’esprit des anglo-saxons).
Le régime russe n’a par conséquent aucune raison de mettre fin à la guerre et de s’exposer à cette éventualité économique.
Il ne peut donc, très logiquement, « se permettre ni de gagner la guerre ni de la perdre parce que son économie est désormais entièrement orientée vers la poursuite d’un conflit long et toujours plus meurtrier. »
Elle, elle remaeque que pour la première fois depuis la fin de l’URSS, les dépenses militaires russes, qui représentent désormais un tiers du budget de l’État, dépassent les dépenses sociales (un cinquième du budget), lesquelles incluent notamment les salaires et retraites des fonctionnaires, ainsi que l’ensemble des aides sociales.
Par ailleurs, analyse-t-elle, l’industrie de la défense pèse de plus en plus lourd par rapport aux autres secteurs de l’économie, dont elle « siphonne » les travailleurs, engendrant un taux de chômage « anormalement bas » de 2,9 %, contre 4 % à 5 % avant l’invasion de février 2022.
En conséquence, les autres entreprises russes font face à une pénurie de main-d’œuvre et de travailleurs qualifiés.
Nombre de ces derniers ayant déjà fui à l’étranger au lendemain de l’invasion (ce qui est le cas aussi en Ukraine), « Poux-tine » préparerait d’ailleurs en secret l’envoi sur son territoire d’un demi-million de travailleurs Nord-coréens.
Là où Londres envoie ses « illégaux au Rwanda… et « Giorgina-Mélodie » les siens en Albanie…
(Décidément, quelle époque !…)
Et ce constat est partagé par la présidente de la Banque centrale de Russie, Elvira Nabioullina, qui a pointé en décembre 2023 le risque de surchauffe de l’économie russe, laquelle « connaît une croissance très rapide parce qu’elle utilise presque toutes les ressources disponibles ».
D’un autre côté, je note pour ma part que depuis le 5 avril 1917 (je n’étais pas né, mais je me souviens tout de même…) le seul pays au monde qui sait faire la guerre ailleurs que sur son territoire et, qu’il la perde ou la gagne, se débrouille pour se faire payer après coup, ça reste les USA !
Alors qu’un siècle avant, c’était tout juste une province anglaise qui refusait de payer ses impôts à la couronne britannique…
Autrement dit, Washington a également intérêts à ce que ce conflit se prolonge.
Soit celui-là, soit celui du Moyen-Orient : Et c’est à l’électeur « ricain » de choisir en novembre prochain.
On peut même dire qu’on connait déjà son choix : Il ne laissera pas tomber les « cousins » israéliens et il sait pertinemment que la stratégie générale de son pays reste d’épuiser le plus possible et le plus longtemps possible Moscou avant d’engager le fer pour défendre Taïwan et la Corée du Sud (et leurs puces).
Sans lui, les choses sont déjà écrites, mais il ne peut pas s’empêcher d’y apporter sa touche, histoire de dire qu’il existe !
Merveilleux ce gars-là…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] 3,6 % de croissance, dont 7,4 % d’inflation, ça fait – 3,8 ù en volume : On va droit vers des pénuries à ce rythme-là…
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