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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 6 mai 2024

« Paris-olympique » bondé durant les JO 2024 ?

Tu veux rigoler, j’espère ?
 
On ne vous le dira pas, mais déjà on vous annonce qu’il y a plein de places gratuites à gagner sur à peu près n’importe quelle spécialité sportive du muscle hypervitaminé, qu’ils ne savent même plus quoi en faire.
J’ai même vu des pubs d’entreprises de conciergerie qui te promettent monts-&-merveilles à la carte pour quelques roupies de sansonnet !
C’est dire…
Toute la billetterie n’aurait pas été vendue alors qu’ils nous avaient organisé une vaste manœuvre laissant supposer une gigantesque pénurie de places disponibles : C’était probablement histoire de faire payer cher à quelques gogos qui auraient pu être frustrés de ne pas « en être » alors que ça se passe « chez-eux ».
Même ma « nichée » s’est laissée piégée par le procédé : Elle rapplique en ville la veille de leur journée olympique, alors qu’une autre partie retarde son départ pour « honorer de sa présence » des places de stades payées un bras…
Si j’ai ma « nichée » au complet en Balagne plus d’un jour ou deux, j’aurai du bol pour cet été…
 
Il faut vous dire qu’avec tous ces avertissements, de quelques élus prétentieux annonçant que ça va être le bordel, que les prix des tickets de métro seront dissuasifs, que les risques d’attentat sont élevés, qu’il faudra quatre heures pour passer les contrôles, qu’on manque de personnel de sécurité, qu’on n’est pas sûr qu’il y aura de la place pour tout le monde, qu’il n’y a pas de plan B, que la ville sera en état de siège, qu’on pourra pas loger tout le monde, etc…, je fais partie des premiers à déguerpir le plus tôt possible, loin, loin, loin, et au moins jusqu’en Balagne… justement !
Avec le raisonnement qu’à mon âge avancé, les moments historiques, j’en ai déjà eu ma part avec notamment ma descente en « Titine-amphibie[1] » jusqu’à Berlin pour casser le mur un jour lointain de la Saint-Sylvestre.
J’en garde toujours un souvenir ému (et quelques cailloux), mais j’ai dormi dans un parking parce que le 4 étoiles que j’avais retenu avait revendu ma chambre plusieurs fois avant que je n’arrive !
Le lendemain, je repassais à l’Ouest pour gueuletonner en « Teutonnie-réunifiée ».
Alors, les grands moments de joie collective… pas pour moâ et c’est comme ça que les deux dernières manifs’ que j’ai faites, c’était celle contre l’antisémitisme du Palais Bourbon à celui de Catherine Médicis et le précédent, contre le décret « Mort-anneau » pour défendre mes « petites-crèches »…
C’est vous dire que j’évite les liesses collectives depuis toujours !
 
De toute façon, il y a juste 12 ans, la capitale anglaise avait déjà été désertée pendant les Jeux. Il faut dire aussi qu’on attendait un attentat de Ben-Laden, ou devant venger son exécution au Pakistan, et la munition prévue était un petit bricolage nucléaire qui aurait tout de même fait quelques dégâts et frappé les esprits : Une façon comme une autre de faire éclore le règne d’Allah sur ses créatures mécréantes en faisant se « lever le soleil à l’Ouest » (tout dans la symbolique…) comme il est prévu des « signes majeurs » qui annonceront son avènement dans les livres mahométans…
Heureusement, « Ahmed-le-diabolique », s’il a failli réussir avec sa bombe bricolée, il aura sombré dans la manche[2] grâce à « Charlotte ».
Là, cette année, la menace terroriste n’est plus nucléaire, mais elle sera instrumentalisée par d’autres mahométans, probablement des « tchétchènes » alliés de « Poux-tine » : Les discours des uns et des autres ne laissent hélas plus de doute et toute « la bagarre » pour les services de sécurité, sera de contrer ces attaques, y compris cybernétiques, qui vont débouler en rangs serrées sur le pays.
Je vous raconterai ça dans le « Tome II » dont la mise en ligne est prévue à l’occasion de l’été 2025… si je suis encore vivant à ce moment-là.
C’est déjà dans le scénario originel : Il ne me restera plus qu’à l’adapter aux circonstances que la presse vous rapportera cet été !
 
En attendant, si l’une des principales craintes de nombreux Parigots à l’approche des Jeux olympiques restent les transports en commun qui pourraient être bondés, dans l’hypothèse où ils fonctionnent correctement, naturellement (il ne devrait pas y avoir de grève sur le moment, mais probablement bien plus des piratages), les commerces saturés et les rues inondées de touristes entre le 26 juillet et le 11 août, tout cela reste très hypothétique et tout le monde s’y prépare déjà.
Sauf que, s’il reste difficile d’apporter une réponse tranchée à moins de trois mois du coup d’envoi des JO, on doit pouvoir déjà se baser sur plusieurs mesures et recommandations des autorités et du gouvernement pour prévoir à quelle sauce vous allez devoir être mangés.
 
Si on résume rapidement, il est ainsi fortement conseillé aux Franciliens de réduire au maximum leurs déplacements ou du moins de les adapter, de surtout privilégier la marche et le vélo quand ils le peuvent, et de partir en vacances à ce moment-là ou bien de télétravailler le plus possible : Charmante perspective…
« Avec les visiteurs olympiques, la fréquentation sera équivalente à celle d’un mois d’octobre. C’est plus qu’un été mais dans des proportions que nous savons gérer », prédisait par ailleurs déjà en septembre dernier « Jean-Casse-Tête », le PDG de la RATP qui rapporte ce qu’en disaient ses services, le même qui aura été remplacé par « Lili-Bête-Borgne » à Matignon, alors qu’elle avait dirigé la Régie-Autonome des transports parigots durant des années avant lui : Un échange standard de fauteuil en quelle que sorte…
 
Or, pour avoir un élément de comparaison probant, on peut surtout observer comment Londres, lors des JO de 2012, avait vécu l’événement estival.
Certes, la capitale de l’empire britannique (sur lequel le soleil ne se couche jamais) reste bien plus vaste que son homologue « Gauloisienne-olympique ».
Quinze fois plus grande en superficie intra-muros (1.572 contre 105 km²) et quatre fois plus peuplée (8,8 millions contre 2,1 millions d’habitants).
Mais c’est sans compter l’agglomération francilienne…
Malgré tout, la majorité des sites olympiques il y a 12 ans y étaient concentrés dans ce que l’on peut considérer comme un premier cercle, au centre de la mégapole, équivalent à la taille de Paris plus sa première couronne.
Pour les JO de 2024, c’est d’ailleurs dans ce dernier périmètre que seront concentrés 90 % des sites.
Les épreuves de surf ayant été délocalisées à l’autre bout de l’univers…
 
Et quand on revient une douzaine d’années en arrière, le constat avait été frappant à l’époque : Les JO avaient transformé Londres en une ville fantôme, vidée de ses flegmatiques habitants et promeneurs, ce que personne n’avait alors imaginé.
Si la capitale anglaise avait ainsi attiré 100.000 visiteurs par jour pendant ces JO-là… la ville accueille normalement 300.000 touristes étrangers et 800.000 provinciaux anglais quotidiennement !
C’est vous dire…
C’est mieux que Venise et sans que ça ne se remarque : Le trafic reste habituellement dense mais fluide.
En 2012, si la foule était bien présente au parc olympique à Stratford, dans l’Est de la ville, où étaient concentrés une bonne partie des sites dont leur stade olympique tout neuf, le centre de la capitale a, lui, été particulièrement déserté.
Et bien des « locaux-autochtones » se sont surpris à traverser leurs grandes artères désertes ou presque.
 
C’est que le Maire de Londres en 2012, un certain « BoJo » pas encore « brexiter » avait lui aussi, comme « Sœur-Âne » et « Valy-Pète-Cresse », demandé en amont aux habitants et touristes « hors JO » de s’éloigner de la ville pendant l’événement et de privilégier le télétravail, exactement comme le font aujourd’hui nos autorités « gauloisiennes-olympiques » qui s’affolent !
Probablement parce qu’à force de vouloir ficher tout le monde avec des QR Code pour mieux vous tracer, nos flics redoutent de ne pas y parvenir totalement…
Bref, une demande de modération un peu trop suivie à la lettre à Londres, qui a fait le désespoir de nombreux commerces, restaurants et attractions touristiques, et qui a même poussé le « Premier sinistre » du moment, « David-Camé-Rhône », après une semaine de Jeux, à supplier les Londoniens de « revenir dans la capitale pour dépenser dans les boutiques et les restaurants »…
Trop drôle : C’est que les recettes de la TVA (un truc qu’on leur a exporté sans redevance à payer) s’effondraient !
Pas bon pour le royal Trésor de sa très gracieuse Majesté de l’époque.
 
Les restaurateurs ont ainsi déploré une baisse d’activité de 40 % sur la période, selon la British Hospitality Association. Certains avaient gonflé volontairement leur stock en prévision d’un afflux massif de clients surcomplémentaire et, catastrophe, ils n’ont parfois eu d’autre choix que de jeter une quantité importante de produits et marchandises périssables.
Notez, que c’était avant leur « Brexit » : Ils pouvaient envisager de refaire facilement leurs stocks… mais tout de même, ça fait de la peine et mal à la trésorerie…
 
Parmi d’autres chiffres, pêle-mêle, validant ce constat sans appel on avait noté – 40 % de tickets vendus dans les transports en commun, – 35 % de fréquentation sur les sites touristiques, – 30 % de clients payant pour les taxis, – 15 % de trafic automobile, le tout à l’avenant…
Alors que « Jupiter » espère encore faire une croissance de + 3 % avec l’effet « JO », je ne vous raconte pas les déceptions à prévoir…
D’ailleurs, à London, les couloirs de circulation réservés spécialement pour leurs JO n’ont finalement pas servi à grand-chose.
Seuls les hôtels ont logiquement tiré leur épingle du jeu, avec un taux d’occupation de 89 %, loin de la saturation complète, soit une augmentation de 5 à 6 points par rapport à l’année précédente, selon l’étude la plus sérieuse sur le sujet.
« En fait, nous constatons des réservations conformes à un bon été à Londres », tempérait à l’époque InterContinental Hôtels, qui compte les enseignes Crowne Plaza ou Holiday Inn.
 
En réalité, quasiment uniquement intéressé par les épreuves sportives, le public des JO de Londres n’avait donc pas la même activité que celui présent d’ordinaire l’été, qui se rue sur les grands sites touristiques, les musées, les boutiques et les restaurants.
Un scénario qui n’est finalement pas à exclure pour « Paris-olympique-2024 ».
D’autant plus qu’il faut aussi mettre dans la balance les frais déjà conséquents qu’implique le « tourisme olympique » : Billets d’épreuves parfois très onéreux, réservations d’un logement face à des propriétaires qui en profitent pour gonfler au maximum les prix, sans oublier les transports et le fameux ticket de métro rehaussé à 4 euros le bout !
À force de laisser tout le monde se goinfrer au passage sans contrepartie véritable, finalement on tue la poule aux œufs d’or !
 
« Il manque deux catégories de personnes », constatait en 2012 l’association des attractions touristiques de Londres : « La première, ce sont les touristes qui viennent à Londres fréquemment, et qui préfèrent éviter la cohue.
La deuxième, ce sont les Londoniens et Britanniques qui pensaient que les transports en commun allaient être bondés (…)
C’est ironique mais en ce moment c’est la meilleure période pour visiter nos sites touristiques parce que les files d’attente sont moins longues et les horaires d’ouverture sont rallongés. »
Gag, finalement…
« On a implicitement demandé à ces gens de se tenir à l’écart et c’est ce qu’ils ont fait », résumait sobrement de son côté le directeur général de l’Association des voyagistes européens (ETOA). Comme le million et demi de personnes qui se rendaient tous les jours à la City, ou dans d’autres quartiers de la capitale, et qui ont passé quinze jours à télétravailler… brillant ainsi par leur absence !
 
À la lumière de cet éclairage londonien, pouvons-nous désormais envisager un « Paris-olympique » fantôme fin juillet ?
Une question qui reste encore impossible à trancher, surtout quand on sait que l’office du tourisme de la capitale s’attend à l’arrivée de 15 millions de touristes pendant les Jeux olympiques et paralympiques (une projection très hypothétique, parce que je ne sais pas où ils vont pouvoir tous crécher).
15 millions d’un coup, ça fait tout de même beaucoup pour une ville qui ne compte que 2 méga-parigots et 12 millions de « franciliens »…
Mais ce qui est sûr, c’est que les témoignages de « Gauloisiens-franciliens » qui vont « fuir » la ville, qui se débrouillent pour télétravailler ou qui seront même mis aux congés forcés par leur entreprise ne cessent d’affluer à l’approche des Jeux.
Autant de personnes, en définitive, qui ne seront pas présentes dans les rames de métro ou de RER.
 
D’ici que ces jeux-là soit une « nouvelle faillite » de « nos sachants » qui sachent tout de tout mieux que tout le monde en prévoyant des retombées phénoménales et en tout cas « positives à milliards », ne se finissent pas en flop financier comme toutes les éditions précédentes depuis tant d’années (où on ne compte pas tout pour faire semblant), il n’y a pas loin…
Après tout, les Hellènes n’ont toujours pas fini d’écraser les conséquences des coûts des jeux d’Athènes… d’il y a 20 ans. Ils ont pourtant été largement aidés par l’UE qui en a profité pour leur demander des efforts considérables qu’ils refusaient de fournir, même par référendum, et allant jusqu’à emmener « Tsitsi-passe » (leur « Mes-Luches » à eux) au pouvoir au palais Maxímou (leur Matignon à eux)…
Bis repetita ou seulement une « malédiction des jeux » ?
 
Vous verrez bien : Moâ, de toute façon je m’exile cet été sur mes plages désertées connues des seuls autochtones (et quelques mouflons de passage) !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Une bagnole qui ne supportait pas l’humidité qu’il fallait mettre les mains dans le cambouis pour lui en changer les bougies tous les matins d’hiver pour qu’elle veuille bien démarrer…
[2] Cf. « Les enquêtes de Charlotte », « Parcours olympiques », le seul ouvrage historique qui vous rapporte l’épisode dans son entier, des montagnes afghanes jusqu’aux abords des falaises anglaises en passant notamment par Toulouse et l’épisode de Mohamed Merah et bien d’autres…

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