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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 27 mai 2024

« Jupiter » fait un petit tour et s’en va !

Je sais, je l’ai vu passer sur mon boulevard…
 
Pas moins de quatre motards qui faisaient la circulation à coups de « deux-tons » impératifs, de vastes gestes de moulin-à-vent et de coups de sifflets stridents.
Tout ça pour laisser filer sans s’arrêter une bonne dizaine de vans blindés et deux équipages de G-men sur leur moto, le flingue dans la poche…
Il était 18 heures ce soir-là, Barbara, et le soleil ne voulait pas aller se coucher…
Bon, s’il y avait deux équipages de voltigeurs, c’est qu’il devait aussi y avoir le « sinistre de l’intérieur & des cultes » et pas seulement « Jupiter » : Leurs locaux professionnels sont voisins…
 
J’ai immédiatement vérifié : Il n’y a pas eu d’attaque cybernétique comme à leur arrivée à Nouméa…
Alors que ça aurait été « Tagada-à-la-fraise-des-bois », du temps où il faisait « capitaine de pédalo » dans le civil, vous pouviez être sûr qu’il aurait plu comme vache qui pisse…
Parce qu’on sait que les trolls et hackers de « Poux-tine » aiment bien venir perturber le bon fonctionnement du Web dans ces moments-là.
Ça aura été le cas à Nouméa, mais chez nous, entre les grèves et les manifestations pro-olympiques, c’est déjà suffisamment le boxon comme ça pour que même des pirates informatiques ne sachent plus qui ni où attaquer !
 
Parce que figurez-vous, je reste étonné que la crise en Nouvelle-Calédonie prenne désormais une dimension géostratégique inédite sur fond de rivalités sino-ricaines en Asie et alors que la « Gauloisie-olympique » veut toujours plus s’affirmer comme une puissance de l’Indopacifique… paraît-il !
Même si la « Caldochie-libre », franchement, ce n’est jamais qu’un caillou (sans jeu de mots) qui traine depuis 40 ans dans les chaussures de tous les gouvernements successifs, qui ont tout de même organisé 3 référendums taillés « sur mesure », c’est-à-dire en sortant jusqu’à plus d’un cinquième des électeurs en droit de voter des listes électorales, pour des scrutins pas du tout « truqués », et ainsi pouvoir se débarrasser de ce « caillou » et qui n’a pas voulu prendre son indépendance offerte sur un plateau…
C’est un comble, parce que quand il s’agit d’en terminer en expliquant que la démocratie élective a ses impératifs, eh bien la « Kanakie-rebelle » se rebelle et fait sa mauvaise tête !
Ils sont fabuleux…
 
On n’est plus à une contradiction près, puisque la liste des dix-sept territoires « non autonomes dans le monde » dressée en 1986 par le Comité spécial pour la décolonisation des Nations Unies mentionne toujours en bonne place la Nouvelle-Calédonie.
Avec la Polynésie (qui n’en veut pas plus, confortablement installée dans son statut de TOM de la République), ce sont même les seules entités de quelque importance, les autres étant des micro-territoires comme Sainte-Hélène ou Pitcairn et ses 42 habitants.
Aux yeux de l’ONU tous ont en commun d’avoir « des populations qui ne s’administrent pas encore complètement par elles-mêmes ».
Et curieusement, s’il y a bien les « Malouines » et Gibraltar sur cette liste, mais on n’y trouve ni la « Corsica-Bella-Tchi-tchi », ni Saint-Pierre & Miquelon…
 
Régulièrement ce comité met en accusation la « Gauloisie-olympique » même si cela ne suscite guère d’émotion à New-York. Mais cela vient rappeler que la crise en Nouvelle-Calédonie n’est pas que tricolore.
En outre, elle prend désormais une dimension géostratégique inédite sur fond de rivalités autour du pacifique, notamment en Asie.
Par conséquent, le voyage de vingt-quatre heures sur le « caillou » du chef de l’État pour tenter de mettre fin aux violences, les plus graves depuis presque quarante ans, témoigne de l’importance de ce qui se joue sur le « Caillou ».
Notez qu’il n’avait même pas tourné les talons, qu’on comptait un décès par mort violente de plus…
 
Aujourd’hui, il semble que la situation est en effet très différente de celle qui prévalait en 1988 quand furent signés les accords de Matignon qui avaient mis fin à des années de violences et de conflit entre les indépendantistes kanaks et les loyalistes « caldoches ».
Un processus à bien des égards exemplaire lancé par « Michou-Rorocard » qui fut complété dix ans plus tard par les accords de Nouméa en 1998.
Un compromis qui se fondait la reconnaissance d’une double légitimité, celle de la population d’origine et celle des descendants des colons le plus souvent « bagnards ou déportés » (en dit la doxa : En fait, des fonctionnaires qui administrait tout ça, les descendants « natifs-locaux » pour le coup des exilés politiques, certes, genre « communards-survivants » envoyés jusque là-bas par la République pas revancharde du tout, mais aussi des commerçants, des artisans, des mineurs, des agriculteurs, des marins…)
Il devait déboucher à terme sur « un destin commun » aussi bien dans une Nouvelle-Calédonie restant dans la République que décidant à l’issue des trois référendums prévus d’une indépendance dans l’interdépendance.
 
Après les trois victoires du « Non » à l’indépendance dans les trois consultations, la cause pouvait sembler entendue.
Les émeutes des derniers jours sur fond de crise économique et sociale sont venues rappeler qu’il n’en est rien. Et « Jupiter » n’y peut rien…
Sauf que lui est tenu par la décision du Conseil constitutionnel saisi de la modification de la constitution autour de la création de « citoyens sans droit de vote », qui avait dit que ça pouvait se faire seulement à condition d’être provisoire…
Or, passé 40 ans, le provisoire en devient durable !
La recherche d’une solution de compromis devient beaucoup plus difficile, y compris en raison d’ingérences étrangères toujours plus explicites : La plupart des autres États insulaires de la zone ont pris fait et cause pour la cause kanake dénonçant comme le Vanuatu « le néocolonialisme » de mon pays.
Alors que l’Australie comme la Nouvelle-Zélande restent très inquiets et ont évacué tant faire ce peut leurs ressortissants.
 
Les griefs des indépendantistes s’accumulent et cela ne sera pas simple pour gérer une sortie de crise. Car, ces kons-là, ils contestent le troisième référendum de 2021 qu’ils ont boycotté avec un certain succès puisque seuls 45 % de la population du « caillou » s’est rendue dans les bureaux de vote !
Tu ne votes pas, c’est ton droit, mais vient pas réclamer de ne pas avoir pu voter, toute de même…
Ou alors, les instituteurs détachés sur le « caillou », ils ne leur auront rien appris !
En fait, ils avaient demandé son report en raison des contrecoups de l’épidémie, ce que l’Élysée refusa : Nous on a bien été voter au premier tour des municipales en pleine crise de « Conard-virus »…
 
Bon, il faut dire que la nomination comme secrétaire d’État de la présidente de la province Sud et chef de file de la coalition des loyalistes dans le gouvernement de « Lili-Bête-Borgne » n’a pas été du meilleur effet. Ça aura exaspéré encore un peu plus les Kanaks estimant que l’État sortait de l’impartialité qui avait été la sienne dès le début du processus.
Et la nouvelle loi sur l’élargissement du corps électoral, qui était restée figée sur ce qu’il était en 1998, a finalement mis le feu aux poudres.
Les Kanaks, à peine 41 %, de la population craignent d’être dilués dans leur propre pays (qui est aussi le mien, mais bon, peu importe…).
Remarquez que les 59 % restant peuvent légitiment se demander comment ils ont encore le droit d’élire des députés censés les représenter en métropole…
 
Mais là où c’est fort drôle, c’est que si les violences des émeutiers se nourrissent avant tout de la situation économique et sociale de l’île et de ce méli-mélo politique absurde, elle ne s’explique aussi que par les ingérences étrangères dénoncées par « Paris-olympique » !
Car il est incontestable que depuis trois ans, plusieurs États attisent le ressentiment des indépendantistes. À commencer par l’Azerbaïdjan, certes bien lointain et sans aucun lien historique avec la région mais qui entend ainsi répondre au fervent soutien de mon pays à l’Arménie.
Je vous l’ai dit par ailleurs, j’ai demandé à mes « cousins » indépendantistes de « Corsica-Bella-Tchi-tchi » s’ils avaient eux-mêmes reçu des fonds, des armes, des munitions et des pains de plastic de Bakou, comme un temps de Kadhafi !
 
Ainsi dès juillet 2023, un peu avant la dernière offensive de l’Azerbaïdjan, mais après plusieurs mois de blocus, le régime autocratique, pour ne pas dire « illibéral » et dictatorial d’Ilham Aliev, fils de son père « dictateur élu » (à la mode Russe), a créé à Bakou un Groupe d’Initiative destiné à combattre « le colonialisme et le néocolonialisme ».
Surtout à Bakou : La décolonisation ça s’impose, naturellement, au moment où fait la guerre à des terroristes dans le Haut-Karabagh…
Mais il vise avant tout des territoires « Gauloisiens-olympiques », la Guyane, la Guadeloupe, la Polynésie et en premier lieu la Nouvelle-Calédonie comme les a énumérés son directeur exécutif Abbas Abbasov, ancien cadre du fonds pétrolier d’État azéri.
On comprend mieux pourquoi notre diplomatie soutient plutôt les Arméniens, dont une partie de la diaspora vit au pays des Lumières…
Et puis le pays est peuplé de Cathos-Arméniens apostoliques… des mécréants pour tout bon muslman.
Aussi, des militants indépendantistes kanaks ont été invités à Bakou et des émissaires Azerbaïdjanais sont venus sur place : Vous savez, les « échanges culturels »…
Le régime d’Aliev est par ailleurs susceptible de jouer le faux nez du Kremlin : Dans les manifestations indépendantistes des derniers mois ont surgi des banderoles aux contenus explicites « Monsieur Poutine, libérez nos colonies » qui rappellent ceux clamés dans le Sahel.
Un vrai gag : On attend l’arrivée des troupes du groupe Wagner et ce sera complet !
 
Toutefois, c’est sans surprise que la principale menace est néanmoins celle de la Chine aussi bien sur le plan économique que stratégique. « Il est dans l’intérêt de Pékin d’encourager des mouvements indépendantistes, pour récupérer des parts de marché ou fragiliser de potentiels adversaires », écrivait dans une étude l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire dès en septembre 2021. Montrant ainsi l’intérêt que porte la République populaire aux petits États insulaires du Pacifique et, tout particulièrement au « Caillou ».
Ce rapport soulignait que les autorités chinoises sont convaincues qu’« une Nouvelle-Calédonie indépendante serait de facto sous influence chinoise ».
Les meks ne doutent de rien…
 
D’ailleurs, la méthode de Pékin est globalement toujours la même et c’est particulièrement évident vis-à-vis des petits États insulaires de la région, Îles Salomon, Vanuatu, Fidji, Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Mais ni encore la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » ni Saint-Pierre & Miquelon…
Il procède d’abord à des prêts très généreux dont le remboursement est de toute façon impossible et donc, dont les gouvernements qui signent deviennent l’otage de Pékin et des colonies de fait.
Sur ce plan, la Nouvelle-Calédonie est particulièrement appétissante offrant les quelque 1,5 million de kilomètres carrés de sa zone économique exclusive avec d’abondantes ressources halieutiques mais aussi les richesses minières de son sous-sol notamment le cobalt et le nickel dont elle est l’un des principaux fournisseurs mondiaux.
Plus quelques terres-rares plus confidentielles propre à quelques « souveraineté » à rechercher…
Bien sûr, nombre de dirigeants indépendantistes assurent ne « pas avoir peur de la Chine car c’est la France, pas elle, qui nous a colonisés ». Et d’accuser dans la foulée les autorités « Gauloisiennes-olympiques » d’instrumentaliser l’influence chinoise pour justifier leur mainmise sur le Caillou.
 
Après tout, la liberté des peuples libres ou nouvellement « décolonisés », ne serait-elle pas de se choisir un nouveau maître pour les réduire à l’esclavage ?
Je ne sais pas : Je pose la question…
En « Corsica-Bella-Tchi-tchi », on pense toujours que les futurs maîtres incontestés de l’Île-de-beauté, ça restera la mafia « ritalienne »…
Reste à choisir laquelle : Calabraise, sicilienne, napolitaine…
Il y a débats… en sourdine.
Quant à Saint-Pierre & Miquelon, personne n’en veut, à part peut-être « Poux-tine » …
Mais Pékin peut très bien envisager de l’acheter, comme « McDo-Trompe » l’avait proposé pour le Groenland encore récemment…
 
La Nouvelle-Kanakie est de toute façon un objectif majeur pour une Chine qui assume de plus en plus ouvertement ses ambitions de grande puissance maritime. Défiant les lois internationales et malgré l’opposition de ses voisins, elle prend le contrôle de ses approches maritimes immédiates.
Désormais elle veut aller plus loin vers le Pacifique sud.
« Aucun des petits États insulaires qui sont sous influence ne dispose des caractéristiques géographiques permettant d’en faire une base interarmées importante alors que la Nouvelle-Calédonie a un excellent port en eaux profondes et des emplacements favorables à l’établissement de grandes installations aériennes et logistiques », relève un chercheur associé à l’Institut Thomas Moore.
Ces atouts avaient pendant la seconde guerre mondiale amené les Américains à choisir la Nouvelle-Calédonie pour installer leur principale base navale pour le Pacifique sud.
Mais souvent, ils opéraient depuis l’Australie…
 
Les autorités « Gauloisiennes-olympiques » sont parfaitement conscientes de ces risques nous assure-t-on. « Si l’indépendance, c’est choisir demain d’avoir une base chinoise ici, bon courage ! » lança « Jupiter » en juillet 2023 lors d’une tournée dans la région visant à évoquer une grande stratégie « Gauloisienne-olympique » pour l’Indopacifique et à dénoncer l’emprise croissante de Pékin.
L’enjeu est d’importance pour mon pays aussi bien pour la crédibilité de sa « diplomatie d’équilibres » que pour son statut de puissance riveraine.
Plus de 90 % de la zone économique exclusive hexagonale, soit près de 9 millions de kilomètres carrés, s’étend dans le Pacifique et l’Océan indien, ce qui permet à mon pays d’avoir le second domaine maritime au monde, mais pas la flotte militaire en conséquence pour en assurer la « souveraineté ».
On compte plus de 1,6 million de « Gauloisiens-olympiques » dans ces territoires, y compris sur le spot olympique de surf !
Or, la Nouvelle-Calédonie est incontestablement l’une des clefs de voûte pour la présence tricolore de cet immense espace.
Cela rend d’autant plus urgente et nécessaire la sortie de crise, même si elle est aussi plus difficile.
 
Autrement dit, ça valait bien un petit déplacement dépaysant à assumer un jet-lag d’enfer (à moins de dormir le jour et travailler la nuit, comme les émeutiers), sans « Bibi » qui n’a plus l’âge pour ces acrobaties, juste pour la frime, parce que de toute façon, il faudra faire avec les « visiteurs » comme avec « Tik-Tak-Tok-Toé », fermer les accès pour éviter la contagion des actions épidermiques de violence…
Et puis commencer par rebâtir ce qui a été cassé et assurer le quotidien, eau, électricité et alimentation.
Tout ça finira par une partition de l’Île, comme à Haïti/Saint-Domingue : Le Sud, à majorité métropolitaine, nombreuse et laborieuse, restant attachée à « Paris-Olympique » d’un côté, et les trois autres régions gagnant leur indépendance sans un rond et avec des exploitations minières déficitaires, à peine capable de produire de quoi se nourrir : C’est sûr, ils auront besoin des chinois pour avoir un peu de riz dans leurs bols, à moins que l’ONU, dans son immense générosité subventionne les conséquences de ses konneries à financer un îlot de pôvreté supplémentaire…
Et puis quelle que part, on gère bien, avec quelques difficultés, la même partition aux Comores : La République est bonne-mère, finalement, du moment que c’est avec le pognon du kon-tribuable !
 
Nous verrons bien…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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