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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 22 mai 2024

J’en aurai appris un excellente !

La saison touristique est menacée en « Corsica-Bella-Tchi-tchi »
 
Quoi ? Ah que ? Est-ce que par hasard l’autocrate Ilham Aliyev, fils de son dictateur de père, grand ami de la « Gauloisie-olympique » depuis qu’il aura récupéré le Haut-Karabagh par la grâce des drones turcs qui auront fait plier l’armée arménienne détruite comme au tir au pigeon, s’occuperait de libérer Ajaccio, Bastia et Corti des forces d’occupation tricolores comme il sait si bien le faire en Kanaky-délibérée ?
Menaçant ainsi de faire fuir le touriste, bien évidemment…
 
J’imagine alors très bien les kanaks devenir des réfugiés politiques de mes « cousins-natios », si par hasard l’armée « Gauloisienne-olympique » rend aux Caldoches la maîtrise des territoires où ils se présentent comme étant « chez eux »…
Ou inversement, d’accueillir des Caldoches si l’Azerbaïdjan débarque de façon impromptue avec l’appui des troupes russes et chinoises pour faire appliquer l’ordre international nouveau qu’ils appellent de leurs vœux !
La saison serait également foutue, toutes les places touristiques réquisitionnées pour accueillir ce beau monde, après l’avoir fait pour les Syriens et même les Ukrainiens.
Sans même rappeler les harkis et « Pedi-neri » d’antan.
 
Et de devoir alors monter à la hâte des convois « d’Exodus » depuis Nouméa en passant par Bakou pour venir se heurter à la « Légion étrangère » stationnée en Balagne…
C’est sûr que la perspective va faire fuir le touriste l’été prochain !
À en menacer durablement la saison touristique de mes cousins m’assurent-ils…
Remarquez, moâ, ça ne me gêne pas trop : Il y aura moins de monde sur mes plages et criques réputées inaccessibles (pour être bordées de maquis lui-même inaccessible), et moins je serai dérangé à l’ombre de mon parasol !
 
En fait, pas du tout : Je passe quelques coups de téléphone et je me rends compte qu’Ilham Aliyev, tout le monde s’en fout sur « mon caillou », celui de mes ancêtres à moa. Le discours est tout autre.
« La saison touristique ? Le moins que l’on puisse dire, c’est que le début est très poussif. » Au moment où la plupart des établissements touristiques ouvrent leurs portes, on constate partout et non sans crainte un certain « retard à l’allumage ».
Une partie de « ma Nichée » qui y aura fait un détour à l’occasion des ponts du mois de mai pour ouvrir la bicoque et m’éviter d’avoir à m’éreinter (depuis que je me suis viandé en septembre dernier sur un grain de raisin, j’ai le nerf sciatique qui fait des siennes à la première occasion…), elle aura pris les devants.
 
C’est que les vacances de Pâques et les ponts de mai qui lancent traditionnellement l’avant-saison dans l’île ont été désespérément calmes : Ma nichée en témoigne.
C’est tout juste s’il y avait des échoppes ouvertes…
« Pour le moment, on a atteint 60 % de remplissage au maximum », observe le vice-président de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih) de « Corsica-Bella-Tchi-tchi ». « On ne sent pas de frémissement. »
Et les professionnels du tourisme ont des raisons d’être inquiets. En effet, dans l’île, ce secteur pèse très lourd : 39 % du produit intérieur brut (PIB), selon « Lyne-sait » tout, contre 7 % pour la moyenne nationale (hors « Paris-olympique » cet été, je suppose…).
Un levier de 3,5 milliards d’euros qui fait de l’Île-de-Beauté la région de « Gauloisie-olympique » la plus dépendante de cette activité.
Et sur place, ils ont besoin de ça, parce qu’il n’y a pas de pétrole et pas grand-chose d’autre, hors des administrations pléthoriques (qui poussent et prospèrent bien au soleil)…
 
Déjà que la saison 2023 avait été compliquée, marquée par un net recul touristique, un ressenti qu’une étude de « Lyne-sait » était venue confirmer en décembre dernier : La fréquentation estivale a en effet enregistré une baisse de 8,1 % par rapport à 2022. Autrement dit, une perte de… 824.000 nuitées dans les hôtels, campings et autres hébergements collectifs de tourisme.
Oui mais alors ? Quid ?
Il y avait bien eu l’année de sortie du « Conard-virus », il y a bien eu la défaite des arméniens, il y avait bien eu l’offensive Russe sur son voisin-proche (et néanmoins « cousin »), mais là, qu’est-ce qui se passe ?
Les événements en Nouvelle-Kanaky ?
 
Pas du tout, même mon « autre gardien », celui qui a un pied ici et un pied là-bas, il n’a pas pris son billet de retour de séjour estival l’hiver dernier (qu’est-ce qu’il a dû s’emm… avec des commerces qui ferment à 17 heures et la nuit qui tombe un peu plus tôt pour être très à l’Est de la « Gauloisie-métropolitaine-olympique »…)
« Venir en Corse est tout simplement inabordable »
Pour lui, c’est en revenir…
Avec 102.200 passagers de moins qu’en 2022, le trafic de voyageurs a été lui aussi en repli de 1,5 %.
Ils sont moins nombreux à venir, ils restent moins longtemps, c’est que c’est trop cher sur place, non ?
Et l’été 2024 s’annonce tout aussi difficile, à en croire lesdits professionnels.
En cause : Le développement des « meublés de tourisme » via les plateformes comme Airbnb, en forte progression, et aussi les directives de l’Agence du tourisme de la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » qui a décidé de ne plus promouvoir la destination sur la haute saison pour limiter la sur-fréquentation de l’île, au profit d’une « désaisonnalisation ».
Un coup à faire monter la pression chez les « natios » et entrainer des difficultés financières à ceux qui payent leurs impôts locaux et financent ainsi les offices du tourisme…
 
Pire, pour les acteurs de la filière, l’origine du mal est surtout à rechercher dans les conséquences de cette politique restrictive : Le prix des transports, pardi !
C’est vrai que pour le même prix, on peut aller jusqu’à New-York…
Avec des variantes tarifaires qui, selon la période et l’anticipation de la réservation, mettraient à mal la destination insulaire.
Exemple, près de 300 euros pour un billet aller-retour « Paris-olympique-Bastia-Poretta » en avion au mois de juin, 250 euros le Marseille-Ajaccio ou près de 500 euros pour un Lille-Ajaccio au mois d'août.
Du côté maritime, la traversée sans véhicule ni cabine avoisine les 100 euros par personne.
Quand je passe mon « tas de boue à roulettes », je ne vous dis pas le bras que j’y laisse : Mais bon, je vois bien ma « petite-sœur » (celle que si elle n’existait pas il faudrait l’inventer) qui dépense une fortune pour assurer au moins trois fois par semaine la présence d’un humain à son chat !
Le mien, je l’emmène visiter sa terre de natale, qu’il puisse raconter à ses potes ce qu’est la vie à la « Capitale-olympique »…
 
Or, dans un contexte de tension autour du pouvoir d’achat, les arbitrages des touristes, estiment les professionnels, peuvent avoir pesé sur le choix de la destination, au-delà du type d’hébergement et de la durée du séjour. « Pour de nombreux foyers, venir en Corse est tout simplement inabordable », déplore le gérant, d’un camping à Calvi (Balagne-Haute-Corse).
Président de la Fédération Corse de l’Hôtellerie de Plein-Air, qui regroupe 70 établissements dans l’île, il fait le constat – amer – d’un « obstacle à l’activité touristique ».
« Le coût des transports est plus important pour une famille que la part de l’hébergement et des activités sur place. »
C’est parfaitement exact… et même pour un être solitaire accompagné de son chat !
« Nous ne sommes pas compétitifs par rapport à d’autres destinations en Méditerranée. »
Mais ailleurs, je ne pourrais peut-être pas emmener mon chat, et ça me coûterait une blinde, comme pour ma « petite-sœur », que de faire vider ses crottes par un esclave quelconque…
(Des problèmes de riches, me direz-vous…)
Mais à entendre ledit Président, il faudrait presque que ses clients viennent à lui à l’œil, qu’on les paye même pour venir au moins jusqu’à la porte de son camping, pour qu’ensuite il puisse mieux les rançonner…
 
Il faut aussi dire que si le prix des transports est élevé, c’est parce que l’offre est moindre. Ainsi, pendant l’été 2023, le nombre de sièges proposés dans l’aérien a connu un net recul de 15 %, selon l’Agence du tourisme locale, en raison d’une diminution de l’offre proposée par les compagnies low cost, qui aura été de l’ordre de 33 %.
Les avions ont été obligés de se déporter sur d’autres destinations concurrentes comme la Grèce et les Baléares. « Il y a un déficit d’offre très clair, qui fait mécaniquement monter les prix ».
Typique d’une réflexion idiote qui confond les causes et les effets : « Ils » avaient pourtant dit « pas d’amalgame », mais ça concernait peut-être d’autres sujets…
 
Notez que les compagnies de transport ne sont pas seules en cause.
L’augmentation du nombre de résidences secondaires y est aussi pour beaucoup.
Dans l’île, près de 29 % des logements sont des maisons de vacances, selon ma copine « Lyne-sait » tout.
Un chiffre trois fois supérieur à la moyenne nationale et qui n’est pas sans incidence sur les transports : « On construit de plus en plus de résidences secondaires, ce qui a pour conséquence d’accroître la demande en matière de transports ».
Sauf qu’à entendre les hôteliers, « ce sont des voyageurs qui monopolisent les places dans les avions, au détriment des touristes qui participent davantage à l’activité commerciale. »
Activité commerciale des hôteliers et campings, uniquement, parce que les autres activités, restauration, alimentation, sport & loisirs, transports, elles, elles seraient déjà morts s’il n’y avait que les campeurs pour les faire vivre toute une année…
 
C’est toutefois un sujet de plus en plus inflammable sur l’île, à mesure que l’hôtellerie classique perd du terrain face à la résidentialisation et aux plateformes d’hébergement en ligne.
Signe que la situation inquiète à l’aube de la saison, une réunion de crise doit avoir lieu aujourd’hui à l’initiative de l’Umih et de la chambre de commerce sur l’épineuse thématique des transports.
Avec un objectif clair : « Définir une stratégie pour sortir de l’impasse », mais aussi interpeller les pouvoirs publics, notamment la majorité territoriale « natio » qui peine à définir des orientations claires pour une politique touristique.
 
Ainsi, sous la pression des professionnels et des chiffres déjà en berne, les dirigeants de l’île avaient annoncé, déjà le 18 mai dernier, un partenariat entre l’Agence de tourisme, la Fédération régionale des offices de tourisme et la compagnie Air Corsica. À la clé, un « effort tarifaire » pouvant atteindre jusqu’à 30 % du prix du billet.
C’est vous dire s’ils se gavent le reste du temps… Mais ça paye les ristournes des locaux bénéficiaires de la « continuité territoriale »…
À titre expérimental, sept offices de tourisme bénéficieront de tarifs promotionnels sur les vols opérés par l’avionneur corse sous condition : Le billet devra faire partie d’une « offre touristique globale » articulée autour d’un hébergement éligible – hôtel, camping ou établissement labellisé – pour ne pas favoriser le paracommercialisme.
Une façon de faire mal aux locations saisonnières en meublé des particuliers…
Une mesure d’urgence censée « convaincre toujours plus de visiteurs de venir en Corse », selon le mot de la présidente autonomiste du conseil de surveillance d’Air Corsica qui l’énonce sans rire.
Car c’est à rebours de la logique de « désaisonnalisation » affichée par l’exécutif nationaliste.
 
Bref, ceux-là, il faudrait qu’ils se bougent avant qu’ Ilham Aliyev ne décide de venir y remettre un bon ordre nouveau, celui du monde « Multipolaire international », « l’Ordre nouveau » voulu par le cartel des dictateurs qui sèment, ensemencent, font croître et prospérer le « national-populisme »…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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