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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 21 mai 2024

Après avoir fêté l’Esprit Saint

Redescendons sur Terre…
 
Pour une fois, on va parler d’un sujet sérieux… Le suicide !
Et plus particulièrement celui des vieux, parce que je me sens concerné du fait de mon âge devenu, à ma grande surprise, déjà « avancé »…
En « Gauloisie-olympique », c’est environ 9.000 personnes qui se suicident chaque année, soit tout de même 25 morts par jour, trois fois plus que de morts sur nos routes…
Mais ça n’intéresse pas vraiment la presse « aux ordres » capable de répondre au doigt et à l’œil aux diktats de la sécurité routière et des « écolologistes » qui exècrent la bagnole (outil de liberté)…
 
Et encore, ça, ce sont ceux qui réussissent car on dénombre 685 tentatives de suicide quotidiennes, soit 200.000 par an !
Énorme, non ?
De plus, on estime que ces chiffres sont sous-estimés de 10 % environ, du fait de sous déclarations ne prenant pas en compte les « accidents », notamment les conduites à risques ou le « syndrome de glissement », décrit comme un état de grande déstabilisation somatique et psychique d’évolution gravissime, spécifique des personnes âgées.
Je l’ai vu plusieurs fois : D’abord, mon grand-père mort d’avoir refusé de se lever, un jour comme ça, sans raison. Il s’est laissé mourir.
Mon « cousin » Igino, qui ne mangeait plus délaissé par ses trois gamines, toutes trois toubibs…
Mon « pote » le Lillois, débordé par l’effondrement de l’immeuble dans lequel il habitait depuis 40 ans…
Ma « cousine » Calvaise, victime collatérale sans dégâts d’un incendie, également débordée par les démarches administratives assurantielles…
 
La tendance serait cependant à la baisse dans toutes les classes d’âge, à l’exception notable de celle des personnes âgées. Ainsi, au-delà de la classe d’âge des 70-75 ans, 3.000 morts par suicide sont annuellement enregistrés, ce qui représente 30 % de l’ensemble des suicides.
Considérable…
Signalons que 75 % des décès par suicide concernent les hommes de plus de 65 ans. Pour eux, le ratio tentative de suicide/suicide abouti est proche de 1, car ils utilisent des moyens violents (pendaison, arme à feu, précipitation sous un train ou défenestration : Combien de fois j’y ai pensé…).
Bref, ils se ratent moins que les petits inexpérimentés…
 
En dépit de ces chiffres alarmants, le phénomène du suicide des personnes âgées est bien souvent invisibilisé ou banalisé, et reste de toute façon tabou. Dans notre société utilitariste valorisant l’autonomie et la performance, la grande vieillesse est souvent assimilée à la décrépitude du corps et de l’âme, aux pertes cumulées, dont celle du rôle social.
Ce regard sociétal assigne les personnes âgées à disparaître de la scène, à perdre leur estime d’elles-mêmes et à se sentir devenir un fardeau.
Or, la plupart du temps, les idées suicidaires des personnes âgées sont le signe d’une difficulté à faire face à une accumulation de difficultés de la vie quotidienne (inadaptation de la ville aux déplacements, « illectronisme », néologisme décrivant un « illettrisme numérique », autrement dit des difficultés dans l’utilisation de base des outils numériques, la saturation administrative invasive, etc.).
Les problématiques psychiques constituent également une explication du passage à l’acte : 70 % des suicidants souffrent de dépression (on le serait à moins quand on voit ce qu’est devenu notre pays…), tout comme les difficultés somatiques (douleurs, les incapacités fonctionnelles…).
Et je dois dire qu’avec l’âge qui avance et ne fait pas de cadeau, passer ses journées à « avoir mal » sans espoir d’amélioration, tellement ça dure longtemps, ce n’est vraiment pas des plus gais…
 
On peut encore citer comme facteurs de risque l’isolement, le veuvage, la perte de relations sociales et familiales, l’accès difficile au système de soins (800.000 personnes en affection longue durée sont sans médecins traitants), la perte d’autonomie, l’institutionnalisation (d’après une étude du CREDOC 2018 seul 18 % des personnes âgées consentent de leur plein gré à entrer en Ehpad : On comprend les 82 % autres…), ou encore les situations de maltraitance, la précarité financière, les deuils, et enfin, le sentiment d’inutilité, donc de perte de sens.
« Inutilité », c’est le mot clé du suicidant âgé.
Une véritable castration sociale qui s’accompagne en plus d’une dégradation financière angoissante…
Je peux en témoigner !
 
Mais le plus souvent, quand elles disent vouloir mourir, les personnes âgées signifient surtout qu’elles veulent cesser de souffrir physiquement ou psychiquement.
Et la prise de médocs analgésiques n’est qu’un remède provisoire : Pour l’heure, je préfère avoir mal plutôt que de me farcir des opiacés genre Tramadol… qui vous transforment en légume plus ou moins rapidement et finissent par vous provoquer des arrêts cardiaques : Un suicide comme un autre !
Et d’enjeu sanitaire, le suicide des personnes âgées devient désormais un enjeu sociétal. Dans un tel contexte, mettre en avant le « libre choix » en faveur du suicide assisté, qui est en quelque sorte un « suicide sur prescription médicale », ou de l’euthanasie (le médecin injecte alors le produit létal : En fait, ils endorment durablement et profondément… Je sais, je l’ai vu faire sur ma « Môman-à-moâ »), au prétexte que la demande serait déjà là, pose la question jusque devant le Législateur.
Qui légifère assez maladroitement, comme un aveugle : Des « jeunots » en pleine santé décident de la façon de faire mourir leurs aînés souffreteux, je trouve ça extraordinaire…
 
Il est vrai qu’à un moment donné, certaines personnes peuvent se retrouver dans une impasse existentielle. C’est alors qu’elles décident de mettre fin à leurs jours au motif que « je ne veux pas déranger et être un poids pour mes enfants. Vivre comme ça, ce n’est pas une vie… »
Mais en même temps le candidat rajoute en général : « J’aimerais quand même bien les revoir, mes enfants et mes petits-enfants aussi. C’est eux le sel de la vie. »
Et oui, tout ça pour ça, cette part d’éternité de son génome que sont les descendants…
Ma « Môman-à-moâ », elle voulait seulement remettre ses pieds dans du sable et les tremper dans la mer…
On s’est relayé avec ma petite-sœur (celle que si elle n’existait pas, il faudrait quand même l’inventer), tant qu’elle aura pu…
 
Rappelons que le suicide n’est pas un droit, mais une liberté, en principe garantie par l’article 4 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
Le suicide est en général considéré comme la dernière expression de la liberté de l’individu. Je ne suis pas bien sûr : Un meurtre reste de la pleine compétence du Code pénal…
Mais de toute façon la liberté de choisir du suicidant peut, dans la réalité, être entravée du fait d’une souffrance psychique intolérable, que seul le projet suicidaire viendra apaiser.
Se suicider est alors, avant tout, un drame personnel, familial et sociétal.
Dans de tels cas, les demandes explicites d’euthanasie sont très rares et cèdent dès qu’une prise en charge adéquate est mise en place.
Il est du devoir de chacun d’aider une personne qui tente de se suicider, et plus particulièrement du médecin qui, en responsabilités (éthique, humaine, juridique au civil, au pénal [non-assistance à personne en danger] et ordinale) se doit de mettre tout en œuvre selon les données actuelles de la science, mais sans obstination déraisonnable, pour prendre en charge les suicidants.
 
La prévention des conduites suicidaires des personnes âgées passe par le repérage de la crise suicidaire et par l’évaluation du risque. Dans ce contexte, les programmes de prévention du risque suicidaire, notamment pour les personnes âgées, ne sont pas assez connus.
Dans ses recommandations de bonnes pratiques concernant la prise en compte de la souffrance psychique de la personne âgée, la Haute Autorité de Santé (HAS) liste plusieurs points à surveiller : La verbalisation explicite d’idées suicidaires dont les modalités sont assez précises… L’expression d’un sentiment de culpabilité ou de faute impardonnable, la rédaction d’une lettre d’adieu ou d’un testament, un refus brutal de communication ou des aides habituellement reçues et acceptées, une amélioration brutale et inexpliquée de l’humeur, un niveau d’angoisse inhabituel, une alcoolisation inhabituelle…
(Pour moâ, ce serait plutôt une absence inaccoutumée de consommation éthylique… de toute façon, sans ma ration, je deviens joyeusement dépressif !)
 
Parmi les points de vigilance, la HAS souligne que « pour certaines personnes âgées, le passage à l’acte a lieu très peu de temps après la survenue de l’élément déclencheur. La rapide dégradation de l’état de la personne laisse alors peu d’opportunités d’observation des signes suicidaires. »
Ce qui n’est pas faux : Il suffit parfois d’un rien…
La HAS indique aussi que « les préoccupations liées à la mort peuvent être un sujet très fréquemment abordé par les personnes âgées. Si ces propos restent isolés, ils ne traduisent pas systématiquement une réelle volonté de se donner la mort mais plutôt une préoccupation sur la fin de leur vie. »
Voilà donc la raison pour laquelle je vous en parle alors que le monde est encore en ébullition de toutes parts !
Et puis parfois, avec le syndrome du « cœur-brisé », on ne parle même plus de suicide pour aller dans le sens de la HAS…
 
À ce sujet, on assiste à une demande sociétale forte de faire évoluer les conditions de fin de vie, à l’instar des 75,6 % des votant de la convention citoyenne se positionnant en faveur d’une aide active à mourir, les fous, comme si à la sortie des ronds-points, il n’y avait rien de plus urgent !
Et ce, dans un contexte où la loi « grand-âge » a été abandonnée et où l’accès aux soins palliatifs peine à être déployé sur tout le territoire : Rappelons qu’aujourd’hui, on manque de lits et d’unités de soins palliatifs où 50 % des besoins ne sont pas couverts.
Pour en avoir fréquenté, franchement, même luxueux, ce sont des endroits qui regroupent une population de soignants qui n’ont pas forcément tout bien rangé dans leur tête…
Mais peut-on leur en vouloir ?
 
Dans l’avis 139 du CCNE, c’est au nom du respect de la liberté, de la fraternité et du devoir de solidarité que la société se dit prête à confier aux seuls médecins, dont pourtant le rôle est en principe de soigner, d’écouter toujours, de guérir parfois mais surtout d’accompagner les plus vulnérables, la mise en place du suicide assisté. Et, si la personne ne le peut pas, d’une euthanasie, pour leur meurtre légalement autorisé…
D’une situation singulière et personnelle, on voit ainsi se dessiner une volonté sociétale de maîtriser l’immaîtrisable, en médicalisant ce qui fonde notre humanité : La vieillesse et la mort.
On voit tellement de chose étrange, quand on vieillit… celle-là en plus, pourquoi pas ?
Une société juste et éthique doit-elle permettre aux personnes âgées de se suicider si c’est leur choix ?
S’agit-il encore d’un choix, quand on se sent devenir un fardeau ?
Permettez-moi de ne pas avoir d’avis arrêté…
 
Si je reste dans la catégorie des « seniors » susceptibles de vouloir en finir avec ce calvaire qu’est de vivre… même si j’ai encore quelques projets de vous faire quelques posts, juste pour le plaisir, et terminer un roman qui me sort par les yeux actuellement, c’est qu’il faut que je m’occupe pour parvenir à finir de marier « ma nichée » !
Après, ma succession est prête… et le déluge pourra passer que ça ne me fera plus ni chaud ni froid, naturellement, bien profond que je serai enterré.
Mais j’avoue aussi qu’actuellement l’idée d’avancer les échéances m’a passé. Pourtant, Dieu seul sait combien de fois ça m’aura traversé l’esprit dans les moments de galères insurmontables !!!
Autrement dit, à force, j’ai domestiqué l’idée et le suicide des vieillards ne m’interroge plus.
En revanche, celui des jeunes, notamment de ceux qui ne savent pas encore ce qui les attend, ça m’angoisse…
D’autant mieux que je sais mieux qu’eux de quoi il retourne pour y être passé avant eux.
 
Ainsi, une étude de la Drees et de Santé publique vient d’ailleurs de souligner la « dégradation de la santé mentale » des jeunes femmes, davantage que chez les jeunes hommes et les personnes plus âgées.
Là, forcément, ça m’interpelle !
Les hospitalisations pour tentative de suicide ou automutilation ont progressé « de façon brutale et inédite » chez les adolescentes et les jeunes femmes en une quinzaine d’années, décrit cette étude publiée ce 16 mai.
« En cohérence avec les observations de terrain et les résultats d’enquête alertant sur une dégradation de la santé mentale des adolescentes et des jeunes femmes, le taux d’hospitalisation pour geste auto-infligé progresse de façon brutale et inédite dans cette population », constate la Drees après un travail sur la période 2007-2022.
 
En 2022, près de 85.000 personnes ont été hospitalisées au moins une fois, en médecine et chirurgie ou en psychiatrie, en lien avec un geste auto-infligé (tentative de suicide, scarifications, brûlures, coups contre un mur…).
Près de deux sur trois (64 %) étaient des filles ou des femmes.
Les habitants des communes plus défavorisées étaient aussi les plus touchés.
Commencée entre 2015 et 2019, avant la pandémie de « Conard-virus », la progression des hospitalisations d’adolescentes et jeunes femmes s’est interrompue en 2020, avant de repartir en 2021 de façon « nettement plus importante ».
En 2022, les niveaux se sont stabilisés comparé à 2021 chez les 10-14 ans et ont continué à augmenter chez les 15-24 ans « de façon moins marquée ».
En médecine et chirurgie, la moyenne des taux d’hospitalisations pour geste auto-infligé a progressé de 71 % en 2021-2022 comparé à 2010-2019 chez les filles de 10-14 ans, de 44 % pour les 15-19 ans, de 21 % chez les 20-24 ans. L’envolée en psychiatrie a été encore plus importante : + 246 % pour les 10-14 ans, + 163 % pour les 15-19 ans, + 106 % pour les 20-24 ans.
Inquiétant : Que manque-t-il à nos jeunes, ceux nés avec le millénaire, pour se faire peur ainsi aussi profondément ?
Leurs parents auraient été-t-ils traumatisés autant que ça par le changement de millénaire et les peurs stupides qui y étaient accrochées ?
 
Deux tiers des hospitalisations des adolescentes et jeunes femmes pour geste auto-infligé sont liées à des intoxications médicamenteuses volontaires, devant des lésions infligées par un objet tranchant et des gestes encore plus violents.
Pour 2023, d’autres données montrent qu’en médecine et chirurgie, les hospitalisations ont encore augmenté pour les patientes de 10 à 14 ans et de 20 à 24 ans, mais se sont tassées près du niveau de 2022 pour les 15-19 ans.
En psychiatrie, la hausse s’est poursuivie, mais pour toutes les classes d’âge et les deux sexes, pouvant découler « pour partie d’une amélioration du codage statistique dans ces établissements ».
Curieux, l’influence des stats sur la vie des gens…
 
L’envolée des hospitalisations pour tentatives de suicide ou automutilations chez les jeunes filles et femmes, avec un pic autour de l’âge de 15 ans, ne se retrouve ni chez les adultes plus âgés ni chez les garçons et jeunes hommes.
À l’inverse, ces hospitalisations ont baissé en continu depuis 2010 chez les hommes et femmes de 30-55 ans, comme par « un effet de génération des personnes nées dans les années 1970 et 1980, qui feraient moins de passages à l’acte que leurs aînés aux mêmes âges ».
Chez les garçons et jeunes hommes de 10-24 ans, ces hospitalisations ont connu une stabilité sur une quinzaine d’années à des niveaux bien inférieurs à ceux des jeunes filles. Et il n’y a pas eu d’augmentation particulière des hospitalisations liées à des comportements à risque (agressions physiques, accidents de transport, prises de toxiques), possible « pendant masculin à l’augmentation des gestes auto-infligés chez les filles ».
 
Aussi, devant le phénomène, un conseil national de la refondation (CNR) sur la santé mentale, promis par « Jupiter », aura lieu en juin et juillet, avec « une attention particulière portée à la santé mentale des jeunes », a indiqué début mai le ministère délégué à la santé.
Les vieux, on s’en fout déjà, figurez-vous !
Ça et cette idée que nos jeunes-femmes ne se « reproduisent » pas assez, (dixit le même « Jupiter »), n’y aurait-il pas une large angoisse de la vie ?
Il est vrai qu’avec un belliqueux comme « Poux-tine » ou même un « McDo-Trompe » le doigt au-dessus de leur bouton nucléaire, ça ne donne pas vraiment envie de passer des années à élever des gamins pour qu’ils finissent en chair à canon !
C’est un destin finalement assez désolant…
Alors que quand on a appris à vieillir, ce serait tout de même plus logique, de ce que j’en pense…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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