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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 3 mai 2024

Dans les archives de Jean-Marc…

Il pioche et il en trouve encore des inédites !
 
Quoique là, il me semble qu’il s’agisse d’une vieille revenue :
C’est deux gars qui sont dans le bois lorsqu’une averse intense les surprend.
Ils courent jusqu’à leur voiture.
Une fois sur place, la pluie cesse.
Ils décident quand même de quitter, de peur que l’averse ne reprenne.
Ils boivent de plus en plus de bière et le chauffeur a le pied au plancher sur l’accélérateur.
Soudain, le visage d’un vieil indien apparaît dans la vitre du passager.
Il cogne doucement.
Le gars assis du côté passager pousse un cri !
« AAAhhh ! Regarde ma fenêtre ! Y a la face d’un berger dans ma vitre ! »
Le berger continue à cogner.
Les deux gars roulent toujours, secoués qu’ils sont par les chaos de la route détrempée !!!
Est-ce que ce serait un fantôme ?
« Baisse la vitre et demande-lui ce qu’il veut ! » crie le chauffeur…
« — Qu’est-ce que tu veux ?
Vous n’auriez pas une cigarette ?
Il veut une cigarette !
Dépêche-toi, dukon ! Donne-lui-en une ! »
Le gars fouille nerveusement dans le paquet, les mains tremblantes, sort une cigarette et la tend au berger.
« Vite ! Accélère ! » crie le passager en remontant sa vitre en tremblant de peur.
Le chauffeur écrase le champignon.
Les gars se calment, se détendent et recommencent même à rire de leur frayeur.
« — Qu’est-ce que tu penses de tout ça ?
— Je n’en sais rien… Je ne comprends pas comment il pouvait être là, à côté de l’auto pendant qu’on roulait… en tout cas, il est loin derrière.
Allez, on prend une autre bière ! »
Soudain, encore une fois, « toc toc toc » contre la vitre… le berger est encore là, tout sourire !
« AAAAAAHHHHHH ! C’est encore lui ! » crie le passager : « Il nous a rattrapé ! ».
« Je ralentis : Demande-lui ce qu’il veut maintenant ! »
Le passager baisse sa vitre un peu et demande au berger ce qu’il veut.
« Auriez-vous du feu ? »
Le passager sort son briquet et le donne au vieux.
« Allez ! Vas-y ! ACCÉLÈRE ! »
Le moteur hurle, la boue vole de partout.
Et la bière coule encore.
On se détends dans la voiture, on s’amuse mais il y a beaucoup de nervosité dans l’air.
De l’inquiétude même.
Soudain… « toc toc toc » sur la vitre !
« Oh mon Dieu ! IL EST REVENU ! C’EST ENCORE LUI ! » s’écrie le passager, livide.
« — Que voulez-vous ?
— Ben, peut-être que je pourrais vous aider à sortir de ce trou de boue ? »
 
Jean-Marc : À MA FEMME CHÉRIE …
Durant cette dernière année, j’ai essayé de te faire l’amour 365 fois.
J’ai réussi 36 fois, ce qui est une moyenne d’une fois tous les 10 jours.
Voici donc une liste des raisons pourquoi je n’ai pas réussi plus souvent.
34 fois, les draps étaient propres ;
17 fois, il était trop tard ;
49 fois, tu étais trop fatiguée ;
15 fois, tu as dit qu’il faisait trop chaud ;
3 fois, tu as dit que les voisins pourraient nous entendre ;
22 fois, tu avais mal à la tête ;
7 fois, tu avais un coup de soleil ;
9 fois, tu as dit que ta mère nous entendrait ;
43 fois, tu n’avais pas envie ;
17 fois, tu craignais de réveiller les gamins ;
6 fois, tu écoutais « Chantal Goya » ;
6 fois, tu ne voulais pas être décoiffée ;
16 fois, tu as dit qu’il fallait que tu te lèves de bonne heure ;
36 fois, tu avais tes règles ;
15 fois, tu étais fatiguée ;
Et 34 fois, tu avais des migraines…
Sur ces 36 fois que j’ai réussi, ce n’était pas satisfaisant parce que, 6 fois tu es restée étendue sans bouger, 8 fois tu m’as rappelé d’acheter du veau et des patates, 4 fois tu m’as dit de me dépêcher et d’en finir, 7 fois j’ai dû te réveiller pour te dire que j’avais fini et 1 fois j’ai eu peur de t’avoir fait mal parce que je t’ai senti bouger…
 
Réponse de Germaine :
À mon mari chéri,
Je pense que tu confonds un peu les choses. Voici les vraies raisons à savoir pourquoi tu n’en as pas eu plus que ça.
5 fois, tu es rentré tellement saoul que tu essayais de fourrer le chat ;
36 fois, tu n’es pas entré à la maison ;
21 fois, tu n’as pas pu bander ;
33 fois, tu as joui trop vite ;
19 fois, tu as débandé avant de la mettre dedans ;
10 fois, tu avais des crampes aux orteils ;
38 fois, tu as travaillé trop tard ;
29 fois, tu devais te lever de bonne heure pour aller jouer au golf ;
4 fois, tu t’es battu et on t’a frappé dans les couilles ;
14 fois, tu avais un rhume et ton nez coulait ;
13 fois, tu t’es brûlé la langue avec du café chaud ;
98 fois, tu étais trop occupé à regarder des matchs de foot à la télé ;
6 fois, tu as éjaculé dans ton pyjama en feuilletant une revue pornographique.
Pour les premières fois qu’on était ensemble, la raison pour laquelle je restais étendue sans bouger est parce que tu avais manqué le trou et que tu fourrais les draps.
La fois que tu dis que je te demandais d’acheter du veau et des patates, ce que j’ai dit était : « Me préfères-tu sur le dos ou à quatre pattes ? »
La fois que tu m’as senti bouger était parce que tu avais pété et que je cherchais de l’air.
Et 39 fois où soit tu « étais fatigué », ou bien que tu n’arrivais pas à bander, c’est parce que tu avais fait escale chez la voisine, avait ramené ta secrétaire chez elle, ou tringlais ma copine Marue-Chantal…
P.S. : Tes valises sont prêtes sur le palier…
 
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun devant sa bière, au bar du coin, se posent des colles :
« — Sais-tu qu’est-ce qui est blanc, noir, blanc, noir, blanc, noir ?
— Facile ! Une bonne-sœur qui déboule l’escalier. Tout le monde sait ça !
— D’accord. Peux-tu me dire alors ce qui est noir et blanc et qui fait « hi ! hi ! hi ! » ?
— Euh… je ne sais pas.
— C’est la bonne-sœur qui a poussé l’autre en bas de l’escalier ! »
 
C’est l’histoire des frères Dukonnot, à la tête d’une grosse entreprise, étaient des sales types, corrupteurs et escrocs, mais comme ils étaient immensément riches.
Ils distribuaient les pots de vin à tout le monde pour conserver une image publique acceptable.
En outre, ils se rendaient chaque semaine à l’église pour passer pour de bons chrétiens.
Mais le curé voyait clair dans leur jeu.
L’un des deux frères mourut subitement et le survivant se rendit aussitôt à l’église pour « préparer » l’éloge funèbre de son défunt frère.
Il dit au curé :
« Voilà, je vous fais un chèque de 10.000 € pour restaurer votre paroisse. Mais à une condition, il vous faut dire que mon frère était un saint homme lorsqu’on l’enterrera demain matin. »
Le curé accepte, empoche le chèque et le lendemain, comme convenu, prononce l’éloge funèbre du frère Durand disparu :
« Cet homme était un mauvais garçon.
Il a trahi sa femme à de nombreuses reprises sans jamais aucun remord.
Il avait une mentalité diabolique, des pratiques détestables et se conduisait avec tout le monde comme un bandit de grand chemin.
Mais, comparé à son frère, c’était un saint-homme ! »
 
C’est l’histoire d’une jeune et très jolie femme qui vient réclamer un délai pour le paiement de ses impôts.
Le percepteur, qui louche abondamment sur ses jambes, lui dit :
« Avant toute chose, chère petite madame, sachez bien que, contrairement à ce que l’on croit, au ministère des impôts, il n’y a pas que des incorruptibles. »
 
Un metteur en scène s’extasie :
« —Mais vous êtes une tragédienne née ! Comment avez-vous appris à pleurer ainsi, en bouleversant les spectateurs par vos cris ?
Eh bien, j’ai été longtemps mariée à un petit commerçant.
Et j’ai appris en l’écoutant parler avec les fonctionnaires du ministère des finances… ».
 
Jean-Marc remarque soudainement que son collègue Jean-Claude porte une boucle d’oreille.
Le sachant très… « conservateur/Vieille France », il trouve ce changement surprenant et l’interroge :
« —Je ne savais pas que tu aimais les boucles d’oreilles !
Ça va, n’en fais pas tout un plat, c’est juste une boucle d’oreille », lui répond Jean-Claude, manifestement gêné.
« — Ah tiens ! Et depuis quand tu la portes ?
— Depuis que ma femme l'a trouvée dans notre lit… »
 
D’après Jean-Paul, le snobisme, c’est l’action de s’acheter des choses qu’on n’aime pas avec de l’argent qu’on n’a pas dans le but d’impressionner des gens qu’on n’aime pas…
 
La maîtresse à une de ses élèves qui a un gros bandage autour de la tête :
« — Mais que t’est-il arrivé ?
— Une abeille m’a piquée.
— Mais c’est un bandage énorme pour une piqûre !
— Oui, mais  mon père l’a tuée avec sa pelle… »
 
Une jeune informaticienne qui paramétrait la nouvelle bécane d’un utilisateur, lui demanda quel mot de passe il voulait utiliser pour accéder au réseau.
Voulant taquiner la jeune femme, il lui dit d’entrer « PÉNIS ».
Sans sourciller, elle tapa le mot de passe et elle éclata de rire à la lecture du message d’erreur.
Quel était donc ce message ?
Vous ne trouvez pas ?
Allez un peu d’imagination…
La réponse est : « Mot de passe invalide ! Pas assez long ! »
 
Jean-Marc téléphone à la police.
« — Je reçois des téléphones et des lettres de menace et je voudrai déposer plainte.
— Depuis combien de temps ?
— Quelques mois.
— Soupçonnez-vous quelqu’un ?
— Oui, c’est signé des fonctionnaires du ministère des finances ».
 
Jean-Jacques, se promène à la campagne quand il voit Jean-Étienne, un de ses amis vétérinaire :
« — Salut Jean-Jacques ! Il est tatoué ce chien-là ?
— Bah oué qu’il est à moué ! »
 
« Vous connaissez la blague de l’écluse ?
C’est une sacrée vanne… »
 
Une femme a entendu son hamster femelle chanter cette célèbre chanson dans sa petite cage.
Étonnée, elle a sorti un canif et éventré l’animal pour voir si par hasard, elle n’avait pas avalé un magnéto.
Eh non…
Cette jeune femme ignorait que dans les corps des hamstersdames, y’a des marins qui chantent…
 
C’est l’histoire d’un jeune couple de squelettes arrive à l’hôtel :
« Nous voudrions une belle chambre pour notre nuit de n’os ! »
 
Un mendiant arrête un passant :
« — Pardon, m’sieur, vous n’auriez pas perdu votre portefeuille par hasard ?
— Mais non, heureusement !
— Ben alors, vous allez pouvoir me donner une petite pièce. »
 
Ce qui ne vaut pas celle mettant en scène l’épouse du « Chi », « Bernie-la-choucroute ».
Qui croise un traine-savate sur le quai Conti.
« — Madame, s’il vous plait, je n’ai pas mangé depuis 3 jours !
— Mais mon ami, il faut vous forcer ! »
 
C’est le soir de lHalloween. Un petit garçon se pointe chez un voisin en veston cravate.
« En quoi es-tu déguisé ? » s’étonne le voisin.
« En Monsieur des impôts ! », répond le gamin.
Et il est parti avec 46 % des bonbons sans dire merci !
 
Au cours d’une soirée, un homme va prendre un peu l’air dehors.
Lorsqu’il revient, il a le pantalon trempé.
Son voisin lui demande :
« Il pleut dehors ? »
Et l’autre :
« Non, il y a du vent… »
 
C’est l’histoire d’un navire chargé de victuailles qui vient de heurter un récif en approche de Gaza.
Dans la cale, un camembert dit à un autre :
« Cette fois-ci, nous coulons ! »
 
« Tu connais l’histoire de splash le chat ? » demande Jean-Marc à Jean-Paul
« — Non…
— C’est un chat qui se promène le long d’une flaque d’eau,quand  soudain une voiture passe et splash le chat…
 T’es con ! »
 
C’est l’histoire d’une patate dit à une autre :
« Ouais on va se faire griller à la plage ! »
L’autre :
« Chips alors ! »
 
C’est une jolie petite antenne de télévision qui est tombée amoureuse d’un paratonnerre.
Elle murmure :
« Dis, tu y crois toi, au coup de foudre, toi ? »
 
Bonne fin de semaine à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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