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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 9 mai 2024

Le trou bleu le plus profond du monde !

Logique : C’est l’ascension…
 
Et comme je poursuis ma « purge » de news scientifiques que je collecte assidûment pour vous – qui de toute façon êtes soit « en pont », ou bien « punis » à assurer la continuité de l’activité laborieuse du pays – ces billets n’ont guère d’importance : Ils ne sont pas assidument lus, non plus…
Tant pis pour tout le monde : Ce n’est pas bien grave !
 
1 – Donc, le trou bleu le plus profond du monde… et de loin serait avec plus de 274 mètres de profondeur, le Taam Ja’, situé dans la baie de Chetumal au Mexique au large du Yucatan. En fait c’était le second jusqu’à ce que récemment, il ne reprenne la première place sur le podium.
En effet, de nouvelles mesures révèlent qu’il serait beaucoup plus profond qu’on ne l’imaginait jusque-là !
 
Je vous raconte (c’est palpitant) : Lors de sa découverte en 2021, le Taam Ja’ avait été catégorisé comme second trou bleu le plus profond du monde. La profondeur de ce gouffre sous-marin situé dans la baie de Chetumal au Mexique avait en effet été estimée à 274 mètres (pour une centaine de mètres de diamètre) le positionnant alors juste derrière le célèbre « Dragon Hole » découvert en mer de Chine méridionale en 2016.
Mais à la suite d’une nouvelle mission d’exploration (et non pas d’excavation), il semble qu’il faille revoir ce classement.
En décembre 2023, une expédition océanographie a en effet plongé une sonde au cœur du Taam Ja’ dans le but de mesurer l’évolution de divers paramètres physiques au cours de la descente comme la température, la pression et la conductivité électrique.
Ces données sont transmises en temps réel à la surface via un câble reliant la sonde CTD au navire océanographique.
Or, lorsque la sonde a atteint les – 274 mètres sous la surface, les scientifiques se sont vite rendu compte qu’ils étaient encore loin du fond !
Ils ont donc continué à descendre l’appareil de mesure, jusqu’à une profondeur 420 mètres !
Et encore, la sonde a été limitée par sa propre profondeur opérationnelle et non parce qu’elle avait atteint le fond. De fait, le Taam Ja’ est désormais indubitablement le trou bleu le plus profond du monde (et de loin), avec une profondeur maximale encore inconnue.
 
Dans l’article publié dans la revue Frontiers in Marine Science qui relate l’information, les « chercheurs-qui-ont-trouvé » expliquent que la profondeur initiale de ce trou bleu avait été estimée grâce à l’utilisation d’un échosondeur, une technique de mesure qui utilise la vitesse des ondes réfléchies pour calculer la distance du fond.
Comme d’un sonar, mais uniquement dirigé vers le bas…
Mais c’est une technique inappropriée dans ce cas, car trop sensible aux fortes fluctuations de la densité de l’eau que l’on observe dans cet environnement bien spécifique.
Par ailleurs, les données acquises lors de cette incroyable descente suggèrent également que le Taam Ja’ doit être connecté avec tout un réseau de galeries le reliant à l’océan. En effet, les cénotes (ou gouffres, avens ou dolines) de ce type possèdent normalement des conditions de température et de salinité bien distinctes du reste de l’environnement océanique, du fait de l’isolement de cette masse d’eau. Or, au-delà de 400 mètres de profondeur dans le Taam Ja’, les scientifiques ont noté que ces conditions rejoignaient celles de l’océan, suggérant une connexion avec le domaine océanique ouvert…
 
Tout comme les gouffres terrestres, ces trous bleus fascinent et intriguent. Ces mystérieuses cavernes sous-marines parfaitement circulaires ressemblent en effet à des bouches géantes de monstres marins s’ouvrant sur un monde inconnu.
Ainsi des trous bleus ont été observés dans plusieurs océans ou mers, notamment aux Caraïbes ou aux Bahamas, où les eaux cristallines les rendent facilement repérables depuis le ciel.
Et la plus grande structure de la sorte se trouvait jusque-là en mer de Chine méridionale. Découvert en 2016, le « Dragon Hole » s’enfonce en effet verticalement sur plus de 300 mètres de profondeur.
 
D’une façon générale, ces dolines sous-marines sont situées sur les plateaux calcaires peu profonds qui bordent de nombreuses côtes, et c’est bien l’action de l’eau qui a produit ces étranges structures, tout comme leurs équivalents terrestres.
La plupart des trous bleus se sont d’ailleurs formés durant les derniers âges glaciaires, alors que ces plateaux calcaires étaient encore émergés.
Petit à petit, l’eau a rongé la roche tendre, formant un réseau karstique et créant ces avens.
La montée du niveau des mers, (parce que ce n’est pas un phénomène nouveau) à la suite de la fonte des glaces (probablement dû à un réchauffement global pas dû à l’activité humaine), il y a 11.000 ans, a alors submergé ces cavernes, qui gisent désormais à quelques mètres sous la surface des océans.
 
Du coup les trous bleus restent encore très mal connus. Pour mieux comprendre leur formation et les conditions de vie qu’ils présentent, l’équipe de scientifiques a donc pu plonger au cœur du Taam Ja’. Et ils ont relevé une composition chimique de l’eau de mer unique, qui résulte de la condition confinée de ce milieu, à l’abri de l’action des vagues qui mélange habituellement les différentes couches d’eau.
L’absence de lumière entraîne également l’inexistence d’organismes photosynthétiques. Ainsi, avec la profondeur, la température chute et la salinité augmente, tandis que le taux d’oxygène diminue drastiquement.
Les parois de ce trou bleu sont cependant peuplées de nombreuses colonies bactériennes adaptées à cet environnement particulier.
 
Les « trous bleus » s’avèrent donc être de formidables endroits pour étudier le développement de la vie dans des conditions hostiles, notamment sur d’autres planètes (couvertes d’océans tumultueux…) de notre Système solaire…
 
2 – Pour en rester dans le domaine de l’eau liquide, il me faut revenir aux inondations qui ont submergé Dubaï avec des orages ultra-violents.
Immédiatement, tout le monde aura parlé d’ensemencement des nuages : C’est l’époque qui veut ça ! On trouve des complots partout !
C’est vrai qu’il y en a, mais c’est plus subtile qu’une tempête, parce que ça ne doit pas se voir pour ne pas pouvoir être dénoncé !
 
L’encensement, c’est une manipulation locale du climat qui consiste à ajouter de minuscules particules à un nuage afin de donner à l’humidité quelque chose à quoi se lier pour former des gouttelettes. Progressivement, ces gouttelettes fusionnent et deviennent suffisamment lourdes pour tomber sous forme de pluie.
En théorie, les nuages « ensemencés » produiraient ainsi davantage de gouttelettes susceptibles de tomber sous forme de pluie.
 
Est-ce qui s’est passé à Dubaï ?
Eh bien non : Tout le monde s’accorde à affirmer que l’ensemencement des nuages n’est vraisemblablement pas à l’origine de ces inondations jamais vues à Dubaï.
D’abord et tout simplement parce qu’aucun vol, aucune expérience, n’a pu prouver l’efficacité de l’ensemencement.
C’est impossible.
Il n’existe en effet pas de nuage parfaitement identique auquel comparer le résultat de l’ensemencement d’un nuage précédent. Il est donc nécessaire d’effectuer un grand nombre de missions et de mesurer sans ensemencer la moitié d’entre elles.
De quoi créer un ensemble de données pour l’expérience elle-même (nuages ensemencés) et son contrôle (nuages non ensemencés).
Or, l’analyse statistique des résultats d’expériences passées pour le moins rigoureuses ont démontré qu’après plusieurs années d’essais, les taux de précipitations de certaines tempêtes ont été modifiés, mais que jamais il a été possible de prouver qu’un seul orage avait bien été modifié !
 
De plus, tôt dans la matinée du 16 avril on a pu commencer à faire état de pluies sans précédent. Ces informations provenaient de Bahreïn et de Dubaï.
Certaines parties de la péninsule arabique ont reçu ensuite 18 mois de précipitations en 24 heures ce jour-là.
L’aéroport de Dubaï ressemblait d’ailleurs plutôt à un port en eau douce.
C’étaient en fait le résultat des ingrédients d’une tempête parfaite.
 
Car ce qui maintient normalement les anciens déserts au sec, tels que ceux de la péninsule arabique, c’est la descente persistante et intense de l’air – tout le contraire de ce qui est nécessaire à la pluie.
L’air descendant est très sec, car il provient de la partie supérieure et froide de l’atmosphère. S’il est comprimé et réchauffé lors de sa descente, et arrive près de la surface comme dans un sèche-cheveux.
Sous cette couche d’air, en particulier dans les déserts proches des océans chauds, l’évaporation est abondante, mais cette humidité est maintenue captive par l’air descendant qui arrive du dessus.
Autrement dit, c’est un chaudron dont le couvercle est bien en place et ça fait un désert où il ne pleut pratiquement jamais.
 
Mais ce 16 avril 2024, le couvercle de la marmite a été soulevé par un courant-jet de haute altitude inhabituellement éloigné du Sud. En fait, deux courants-jets, le jet subtropical et le jet polaire, ont uni leurs efforts & forces pour interrompre provisoirement la circulation de l’air importé plus frais.
L’air descendant – et le couvercle du chaudron au passage – avaient disparu dans cet effort conjugué…
Pendant ce temps, un flux d’air chargé d’humidité arrivait en accéléré du Nord de l’océan Indien tropical et convergeait vers le désert. Les températures du point de rosée au-dessus des Émirats arabes-unis étaient alors similaires à celles que l’on trouve normalement dans les forêts tropicales du bassin du Congo !
Dans ces conditions, les orages se développent très rapidement et, dans ce cas, c’est un type particulier d’orage qui a dégorgé au-dessus du pays, un système convectif de méso-échelle, qui s’est formé et s’est maintenu pendant de nombreuses heures.
Les données satellitaires infrarouges ont d’ailleurs montré qu’il avait une taille comparable à celle de la « Gauloisie-olympique ».
 
Conclusion : La puissance, l’intensité et la mise en place d’une telle tempête sont difficiles à comprendre. Cependant, l’émergence d’analyses qui attribuaient les fortes pluies à l’ensemencement des nuages auront fait le tour du monde.
Un journal britannique à grand tirage a même insinué que l’Université de Reading, un vivier d’expertise météorologique, était responsable de ces intempéries.
Or, il s’avère que les Émirats arabes-unis mènent justement depuis plusieurs années un projet d’ensemencement des nuages, baptisé en anglais « UAE Research Program for Rain Enhancement Science ».
Leur approche consiste à tirer des fusées contenant des sels hygroscopiques (qui attirent l’eau) à partir d’avions dans les nuages cumuliformes (en forme de cumulus) chauds.
 
L’idée est de favoriser la pousse et la croissance des gouttelettes de nuages et donc les précipitations. Les grosses gouttelettes tombent plus facilement.
Leurs essais d’ensemencement ce jour-là aurait-il donc pu créer un énorme système de tempête de la taille de la « Gauloisie-olympique » ?
Soyons clairs, ce serait comme une brise qui arrêterait un TGV lancé à pleine vitesse. Surtout qu’aucun vol d’ensemencement n’était prévu ce jour-là…
Les nuages épais et de grande taille qui se sont formés le 16 avril n’étaient donc pas la cible de l’expérience.
 
Ce qui reste toutefois intéressant, c’est que les mêmes humains, « éveillés », ont encore du mal à accepter que le fait de balancer 2.400 milliards de tonnes de carbone (le total de nos émissions depuis l’ère préindustrielle, soit 2,4 x 1015 kg, sans décompter tout ce qui est tombé depuis au fond des océans) dans une atmosphère qui pèse 5,29 x 1018 kg (soit seulement 2.204 fois plus…) puissent avoir une incidence sur le climat d’une planète qui pèse 5,98 x 1024 kg (à la dernière pesée).
Certains en sont persuadés et inventent des taxes punitives, d’autres rigolent compte-tenu des proportions engagées, mais il en reste encore à imaginer qu’un pistolet à sels hygroscopiques de quelques dizaines de kilos puisse si facilement faire tomber en un jour l’équivalent de 18 mois de pluie sur une région grande comme une partie de l’Europe…
On aura tout de même mesuré 25 cm de flotte en une journée !
Ça les aura impressionnés, suppose-je…
 
Enfin passons : Comme quoi, le gens sont merveilleux, quand ils s’y mettent !
 
Pour compléter votre viaduc, demain, Jean-Marc prend le relai et moâ je me consacre à l’écriture des chapitres du prochain « roman d’été » !
Bonne journée à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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