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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 8 mai 2024

Pendant que certains fêtent dans la liesse générale…

… la reddition nazie et la fin des combats en Europe…
 
… alors que d’autres poursuivent avec acharnement de détruire et tuer son prochain, que ce soit en Europe, justement, ou au fond de la Méditerranée, j’en profite pour aborder trois graves sujets…
 
1 – Tout d’abord, il faut reconnaître que nos « écololos » sont totalement passés à côté, mais on vient seulement de le subodorer, l’affaiblissement de l’énergie noire dans laquelle nous baignons sans le ressentir, risque tout simplement de conduire à un effondrement de l’univers tout entier !
C’est dire que la santé des « petits-zoziaux » et des « petites-fleurs », on n’en aura bientôt plus rien à battre, tout comme vos pets à effet de serre !
 
C’est une étude menée par l’équipe chargée du projet Dark Energy Spectroscopic Instrument (DESI) et détaillée dans Quanta Magazine qui suggère que l’expansion de l'univers serait en train de ralentir, contrairement à ce que l’on pensait jusque-là.
À l’occasion sa quatrième année d’activité, DESI est un instrument scientifique qui permet d’analyser la lumière et de cartographier plus de 40 millions de galaxies lointaines. Et cela doit contribuer à l’étude de la nature et de l’évolution de l’énergie noire, qui composerait 68 % de l’univers.
L’énergie noire, c’est une notion introduite par Einstein en 1917 afin de compléter sa théorie de la relativité qui restait bancale sans. Il s’agirait seulement d’une force répulsive qui s’exercerait contre la force gravitationnelle.
Or en 1998, deux scientifiques ont mis en évidence son rôle dans l’expansion de l’univers : Selon leur théorie, il serait en train de grandir de plus en plus vite.
Ce phénomène a été schématisé par le modèle mathématique « Lambda CDM », ou modèle de concordance, qui doit permettre de le prédire.
 
Mais, les observations de DESI ont été combinées à trois cartes récentes de supernovas (l’explosion lumineuse marquant la mort d’une étoile) et au fond diffus cosmologique (un rayonnement électromagnétique très homogène observé sans origine spécifique).
Là, les scientifiques ont remarqué que les prédictions du modèle de concordance différaient très légèrement de leurs données.
Or, si cette divergence est confirmée par de futures observations, l’énergie noire serait donc bien en train de s’affaiblir au cours du temps, ralentissant l’expansion de l’univers !
Et dans cette hypothèse catastrophique, en fin de compte, l’univers commencerait à se contracter sous l’effet de la force gravitationnelle !
Et sa disparition ne serait donc pas la conséquence d’un « Big Rip » (« grand déchirement » en francilien-natif), mais d’un « Big Crunch », c’est-à-dire qu’il s’effondrerait sur lui-même.
C’est vous dire que la perspective ne me rend pas spécialement joyeux en ce jour de liesse populaire…
 
Toutefois, les observations de DESI ne seraient pas assez solides pour permettre de confirmer véritablement l’affaiblissement de l’énergie noire : L’introduction de nouvelles données à la carte des galaxies pourrait peut-être infirmer cette théorie. En tout cas, les prochaines années devraient être déterminantes pour l’astrophysique, si l’appel à soutenir le versement de subvention (avec mes impôts) est entendu par les « sachants »…
 
2 – Ensuite, les chasseurs d’exoplanètes de l’agence spatiale américaine ont identifié la première planète « flottante » ou errante !
Une planète sans étoile… le drame, vous ne vous rendez même pas compte : Plus de lumière, de chaleur, de saison, de « petits-zoziaux » et de « jolies-fleurs » à défendre pour nos « écololos » !
 
Cette découverte a été présentée le 17 avril dernier dans une étude de l’université de Cornell et est à mettre au crédit de la mission tess (ou transiting exoplanet survey satellite) de la NASA. Il s’agit d’un petit télescope spatial lancé le 18 avril 2018 et dont le but est de rechercher des exoplanètes.
Ce nouvel objet découvert est une planète errante qui contrairement aux planètes classiques qui orbitent autour des étoiles, errent dans l’espace interstellaire sans attache gravitationnelle à une étoile. De quoi intriguer les chercheurs, puisque ces objets mystérieux remettent en question la compréhension des systèmes planétaires.
 
Notez que la première planète errante semble être « cha 110913-773444 », découverte en 2004 grâce au grâce au télescope spatial infrarouge spitzer. Par la suite, plusieurs objets interstellaires ont été observés (« cfbdsir 2149-0403 », « pso j318.5-22 », etc.) : Ce n’est pas que ce soit courant, mais ça pourrait être « non-exceptionnel ».
En octobre 2022, l’agence spatiale européenne (esa), découvrent plus de cinq cents objets flottants pouvant potentiellement appartenir à la catégorie des planètes flottantes grâce au télescope James Webb. Malgré cela, elles restent très difficiles à observer.
En effet, ces planètes « flottantes » sont froides (elles ne dégagent pas beaucoup de chaleur) et très discrètes. Elles sont donc très difficiles à repérer pour les astronomes car elles se fondent dans le ciel et ne réfléchissent pas de lumière. Pour contourner ce problème, les scientifiques ont mis au point une technologie, le microlensing. Une technologie qui permet d’observer les déformations de l’espace-temps que causent des exoplanètes, des quasars ou d’autres objets interstellaires.
La NASA compare cela à la bosse qu’une boule de bowling fait lorsqu’elle est posée sur un trampoline !
Concrètement, lorsqu’une planète passe devant une étoile, sa gravité va légèrement agir sur la dispersion de la lumière de l’étoile. C’est en étudiant ce phénomène que les chercheurs ont pu découvrir plusieurs corps stellaires et même estimer leur masse.
 
En attendant, pour cette nouvelle exoplanète, sa masse serait particulièrement élevée. En prenant en compte une certaine marge d’erreur, les chercheurs estiment qu’elle est potentiellement 10 fois supérieure à celle de la terre. Pour avoir des informations plus précises sur ce genre de planètes (et d’autres objets interstellaires), un télescope devrait être lancé dans les prochaines années et il sera équipé d’instruments spécialisés pour explorer les planètes à l’aide de microlentilles gravitationnelles.
 
Ce qui amène à se poser des questions stupides comme celle-ci : Pourrait-on vivre sur une planète qui trace aveuglément sa route sans attache ?
La réponse est sûrement non, mais maintenant on a au moins une planète candidate pour ceux qui voudraient essayer.
Ces planètes errantes ne l’ont pas toujours été. Si les plus massives se sont vraisemblablement formées toutes seules sans rien demander à personne, les plus petites, celles de la taille de la terre, ont été éjectées de leur orbite.
Et selon une autre étude révélée en octobre 2023, ces planètes désormais en freelance seraient plus nombreuses que celles qui, disciplinées, continuent à orbiter sagement.
 
Notre univers grouillerait donc de planètes solitaires et tristounes qui demeurent, paradoxalement, extrêmement difficiles à détecter. À ce jour, trois planètes de ce type ont été identifiées. Et celle qui nous intéresse aujourd'hui serait la première d'une masse planétaire comparable à celle de la terre.
Outre sa taille, son indépendance ne lui interdit pas d’avoir une atmosphère grâce à sa propre gravité, d’avoir des océans, de l’activité volcanique ou d’avoir des lunes. Ce serait d’ailleurs le cas de 5 % des planètes sorties de leur orbite.
Lunes qui régulent d’éventuelles marées, bref tout ce qu’il faut pour en faire une destination de vacances acceptable… même si on n’y bronzerait sûrement pas beaucoup.
Reste aussi à savoir combien de temps ce dernier objet céleste gardera son statut de planète : Certains spécialistes considèrent que ces astres, qui se forment seuls comme des étoiles, sont des « naines brunes » et que celles qui ont quitté leur orbite ont perdu leur statut de planète.
Un drame tel que celui qui a touché Pluton – déclassée depuis 2006 en « planète naine » et retirée outrageusement de notre système solaire par quelques « sachants » – est déjà dans les tuyaux…
 
Bref, le transiting exoplanet survey satellite (tess), ce télescope spatial destiné à identifier les planètes en dehors de notre système solaire a permis de recenser plus de 5.000 exoplanètes plus étonnantes les unes que les autres, mais difficilement habitables.
Là encore, nous n’aurons pas l’opportunité d’y déménager même dans un lointain futur (et nonobstant l’épuisement de l’énergie noire ci-avant signalé), mais on ne peut s’empêcher d’imaginer la vie palpitante qu’on pourrait mener sur ces planètes sans soleil, avec des hivers qui durent des millénaires, des nuits interminables et l’idée que tout peut s’arrêter du jour au lendemain faute d’énergie…
 
3 – Enfin, plus proche et à notre échelle, je voulais vous signaler une certitude qu’il n’est pas trop difficile à anticiper : La saison des ouragans s’annonce sans précédent cette année, avec deux fois plus de phénomènes que de coutume à prévoir !
C’est ce que nous raconte un des plus célèbres climatologues du monde, Michael Mann, qui annonce la possibilité de connaître jusqu’à 39 phénomènes cycloniques entre juin et novembre : C’est plus du double d’une année classique !
 
La saison des ouragans débute habituellement à partir du 1er juin dans l’Atlantique Nord, et plusieurs universités américaines viennent de publier leurs pronostics. En dehors de quelques différences mineures, les différentes prévisions se rejoignent : La saison cyclonique 2024 sera explosive !
Mais ça, les « écololos » auraient pu nous le dire…
Notre éminent climatologue en charge de l’étude des ouragans pour l’université de Pennsylvanie, estime ainsi que la saison à venir sera responsable du plus grand nombre de phénomènes cycloniques jamais connu dans l’océan Atlantique Nord !
Il annonce 27 à 39 phénomènes cycloniques entre juin et novembre, avec une moyenne de 33 : Du jamais-vu depuis le début des prévisions !
C’est effectivement plus du double d’une année classique (14 à 15 en moyenne), et plus que le record de 2020 (30 phénomènes enregistrés).
Et moâ, j’attends de voir ce que ça va donner en Balagne : Pour l’heure, l’eau de la mer reste fraîche…
 
Et ce nombre prévisionnel d’ouragan sans précédent est calculé à partir des différents paramètres présents dans l’atmosphère et les océans. Et cette année, deux paramètres vont à coup sûr mener à une saison cyclonique historique : La chaleur record de l’océan Atlantique qui persiste depuis un an et demi et l’arrivée de la phase climatique « La Niña » à partir du mois de juin justement.
Si « El Niño » diminue le risque de développement des ouragans, comme c'était le cas lors de la saison 2023, « La Niña » a l’effet inverse.
Mais à partir de septembre, l’évolution de « La Niña » reste très incertaine, et si cette phase naturelle se mettait à faiblir, alors les prévisions cycloniques seraient revues à la baisse… mais pas de beaucoup, compte tenu de la chaleur hors norme de l’eau déjà constatée.
Dans tous les cas, Michael Mann prévoit tout de même une trentaine de phénomènes.
Rappelons que ce sont justement les prévisions de son équipe qui se sont révélées être les plus proches de la réalité en ce qui concerne la saison record de 2020.
Même s’il est resté « sec » sur l’ouragan qui aura décroché la statue de « Notre-Dame de-la-Serra » à Calvi…
 
Vous voilà prévenus…
Je vous souhaite, à toutes et à tous, une bonne journée de commémoration : On se retrouve devant le monument aux morts le plus proches…
 
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Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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