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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 11 février 2024

Question existentialiste entre toutes…

Pourquoi nos jeunes font-ils moins l’amour ?
 
Alors que notre « Jupiter » national veut remuscler à lui tout seul la natalité du pays, en ayant omis de joindre l’acte à la parole…, que les grands champions de l’expansionnisme viril que sont les chinois et les russes pour reluquer les territoires de quelques-uns de leurs voisins, sont en décroissance démographique, que les peuples vieillissent tous à assumer leur « transition démographique » comme au Japon  où elle est bien avancée, il paraîtrait que nos jeunes à nous, comme les leurs, ne savent plus faire de gamins…
Ce n’est pourtant pas compliqué : Tu prends une prise mâle et une prise femelle, tu les imbriques, tu les encastres, tu les mets sous tension et tu laisses passer le courant.
 
Justement, la dernière enquête de l’Ifop lève le voile sur les raisons d’une « récession sexuelle ». Abstinence, concurrence des écrans, asexualité, transsexualité, homosexualité…
Quid ?
La baisse du taux de natalité de notre pays (constatée par « Lyne-sait » 2024) suscite le débat sur les causes de la baisse des naissances, et peu d’observants éclairés se sont jusqu’ici penchés sur l’activité sexuelle des « Gauloisiens-olympiques ».
Et encore, heureusement qu’on a pu encore impatrier quelques « doudous » qui aiment ça pour compenser un peu…
(J’en connais une qui en est à son 9ème mari, son 15ème gamin et elle est grand-mère déjà 5 fois… ça aide les « politiques natalistes » !)
 
Ils en sont tous à imaginer de nouvelles aides étatiques, régionales ou locales pour donner envie aux jeunes de « se reproduire », mais c’est à mon sens une autre façon de justifier qu’il faut t’en piquer encore un peu plus dans ta poche, parce qu’on sait que les « politiques natalistes » n’ont jamais bien marché… sauf « exception culturelle ».
L’Ifop, qui a mené pour l’entreprise de sex-toys Lelo une enquête intitulée « Sex recession : les Français font-ils moins l’amour ? », révèle pour la première fois des résultats mis en perspectives historiques.
Et ça devient passionnant, mais confirme aussi ce dont on se doutait un peu.
 
Toutefois, ils ne sauraient – dans un pays à forte prévalence contraceptive – expliquer à eux seuls le déclin de la natalité. Cette étude rappelle d’abord que « l’Hexagonie » n’échappe pas au phénomène de « récession sexuelle » observé ces dernières années dans plusieurs pays occidentaux (États-Unis, Grande-Bretagne, Japon, comme quoi l’Occident va au-delà du pacifique…).
Mais elle offre, de surcroît, un éclairage sur les raisons de cette « apathie sexuelle ».
 
Car les chiffres le claironnent : Les « Gauloisiens-olympiques » font moins l’amour que par le passé. Ils témoignent même d’un recul sans précédent en la matière !
Quel dommage…
Toute une réputation mondiale acquise durement au fil des générations qui s’effondre d’un coup…
(Tristesse insondable…)
Et c’est jusqu’à atteindre le taux annuel le plus bas en cinquante ans : La proportion de nos concitoyens ayant eu une relation sexuelle au cours des douze derniers mois (vous êtes assis, vous avez capeler votre ceinture de sécurité ?), tombe à 76 %, contre 83 % pendant l’année 1970.
Et ceux qui s’y adonnent le font moins souvent, puisque 43 % d’entre eux rapportent avoir un rapport sexuel par semaine, contre 58 % en 2019.
Un par semaine… quelle misère !
Et après on s’étonne que nous soyons les champions de la consommation d’anxiolytiques !
Quand je pense que j’ai appris que le grand « Victor Hugo » faisait « 9 assauts » des charmes de son Adèle H. par nuit…
Et entretenait des relations avec une flopée de maîtresses…
 
Pire : Si cette baisse de l’activité sexuelle affecte l’ensemble de la population, la jeunesse est l’une des catégories les plus touchées, souligne par ailleurs cette étude.
Mais qu’est-ce qu’ils attendent ?
Une journée sans orgasme, c’est une journée à jamais perdue… pour toujours, m’insurge-je !
En effet, plus d’un quart des 18-24 ans (28 %) confient ne pas avoir eu de rapports dans l’année écoulée et c’est cinq fois plus qu’en 2006, où ils n’étaient alors que 5 %.
Peut-être aussi y’a-t-il moins de vantards…
Car c’est une observation « contre-intuitive », souligne d’ailleurs ce rapport « quand on sait que les jeunes étaient jusque-là les plus actifs et les plus en recherche de partenaires ».
Oui, parce que passé un certain âge… on a parfois d’autres préoccupations, comme celle de boucler les fins de mois en assumant les prélèvements obligatoires qu’on vous met sur le râble !
Alors que jeune, ça je m’en foutais d’aller chercher des sous : Ils arrivaient tôt ou tard…
(Plutôt tard que tôt et en avance, d’ailleurs, mais bon… ça explique que j’ai passé une grande partie de ma vie « dans le rouge »).
En revanche, les « hormones poussaient » : Il ne suffisait pas d’en promettre (comme chez les « ritales »)…
 
D’autant que l’abstinence reste subie pour nombre de « Gauloisiens-olympiques » : 63 % des célibataires inactifs indiquent ne pas rencontrer de partenaires suffisamment « attractifs » et 49 % ne pas trouver de partenaire susceptible de vouloir avoir des rapports avec eux…
Il faut dire que quand tu vois leurs tronches avinées (ou défoncées à l’extasie), ou grêlées d’acnée, forcément, ça ne donne pas forcément envie…
Alors que j’ai pu noter que les « jeunes demoiselles » (qui doivent avoir les mêmes problèmes d’hormone) font souvent des efforts de maquillage et de toilettage pour apparaître en public sous leur meilleur aspect…
Forcément, que pour passer des heures à se préparer à sortir, elles en deviennent plus qu’exigeantes : Je comprends !
Mais cette récession sexuelle s’inscrit aussi plus largement dans un contexte de désintérêt pour le sexe.
Ils sont comme ça nos jeunes : Ils croient probablement qu’ils sont nés dans les choux ou les roses par la magie des cigognes, je suppose…
 
Pour preuve – et contrairement aux idées reçues –, les célibataires n’ont pas le monopole de l’abstinence sexuelle : Les résultats obtenus par l’institut révèlent, en effet, qu’une personne en couple sur quatre (soit 16 % des 65 % de « Gauloisiens-olympiques » en couple) déclare ne pas ou ne plus avoir d’intimité physique avec leur moitié à eux.
Ça fait beaucoup qui ne sont ensemble que pour écraser les coûts fixes à deux plutôt que seul…
 
Et cette enquête de pointer enfin son premier concurrent : Les écrans !
Là on savait : Les gens ne savent plus lire, alors ils regardent ce que déversent les écrans.
Mais pas seulement, puisque c’est hypnotique !
« Une majorité de jeunes ont déjà préféré au sexe certains loisirs numériques comme une série Netflix, un jeu vidéo ou du porno », commente le directeur du pôle Politique de l’Ifop.
Quelque 50 % des hommes et 42 % des femmes reconnaissent en effet avoir déjà renoncé à un rapport sexuel pour regarder une série ou un film.
Quels kons…
 
Ce désintérêt ne touche d’ailleurs pas seulement les jeunes.
Il est aussi particulièrement marqué chez les femmes, dans la vie desquelles la place du sexe dégringole au fil du temps.
Moâ, ça, j’ai toujours su : La gaudriole, d’accord, jusqu’à un certain point, mais une fois qu’elle est féconde, les tétées de 2 heures ou 4 heures du matin, ça contrarie sévèrement la libido, même la mieux entrainée !
Comme le révèlent les chiffres, seules 62 % déclarent aujourd’hui y accorder de l'« importance », contre 82 % en 1996.
Leurs meks ne savent plus les faire rêver, leur couper la respiration par tétanie orgasmique insoutenable : Tout se perd !
Ou alors, ils ne savent pas réanimer…
 
Un détachement tel que 54 % d’entre elles – contre 44 % en 1981 – se déclarent ouvertes à l’idée d’une relation purement platonique.
L’horreur…
Pour nombre d’entre elles, « la sexualité n’est plus indispensable à la vie de couple », observe-t-on.
Une désaffection qui tient aussi de la « dissociation croissante entre conjugalité et sexualité », souligne-t-on également.
De fait, si 52 % des femmes de 18-49 ans confient encore faire l’amour « sans en avoir envie », elles étaient 76 % en 1981.
Du beurre à des cochons… qui ne sont même plus assez cochonnes !
Mais depuis au moins une génération…
Avouez que le paradoxe interpelle à plus d’un titre…
 
« Les rapports non désirés y demeurent fréquents mais le sexe dans le couple est aujourd’hui plus centré sur la notion de consentement et de désir mutuels… », note à ce titre un spécialiste.
C’est vrai que quand tu touches une femme, tu te demandes tout de suite si tu ne vas pas subir le sort de mes tranches de bacon, balancée par la fenêtre par solidarité avec le mouvement « #BalanceTonPorc »…
« #MeToo » aura probablement fait du bien aux femmes harcelées dans la vie, mais s’il s’agit de faire signer une « clc[1] » à chaque fois que tu as envie de t’envoyer en l’air, ça n’est pas très encourageant
 
Autre phénomène passé au crible de l’enquête : L’asexualité revendiquée.
Pour cause : 15 % des « Gauloisiennes-olympiques » et 9 % des « Gauloisiens-kouillus » déclarent ne ressentirent aucune attirance sexuelle pour autrui.
Ce qui reste curieux, mais bon, il faut de tout pour faire un monde…
« Une affirmation d’orientation jusque-là méconnue (comme l’asexualité) qui favorise elle aussi une forme de ‘‘désengagement sexuel’’ », analyse un spécialiste.
À mon sens, une certaine réticence à s’engager dans une relation forcément nouvelle qui peut faire peur, ou bien être le résultat d’harcèlements répétitifs et déplacés dont ceux-là (surtout celles-là d’ailleurs, semble-t-il) auraient été victimes avant tout éveil aux choses sexuelles…
 
Aussi, « après les années 1990-2000 et l’image d’une société hypersexualisée (publicité, communication, cinéma…) » qui ont rendu dingues les islamistes à vouloir recouvrir de sacs à patates leur femmes, « les années 2020, portées par les écrans, l’abstinence choisie, et l’absence pure de désir, pourraient bien marquer le début d’un « nouveau cycle » », en conclut-on.
Un cycle dans lequel « le sexe n’est plus essentiel au bonheur ».
Qu’est-ce qui l’est au juste ?
Je note pour ma part que l’Angleterre Elisabethéenne avait, par son pudibondisme castrateur, envoyé toute une génération, sinon deux, se frotter aux « choses de la vie » à travers un empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais…
Il fallait que jeunesse se passe et quand les « hormones poussent » et que le cheptel local n’est pas intéressé par « la chose », on exporte plus facilement ses gènes fougueux vers des « pouliches » moins farouches.
En bref, grâce à ça, ils ont construit un empire.
 
Semble-t-il, même si cette étude ne reflète jamais que la « Gauloisie-olympique », comme il s’agit d’un mouvement planétaire de « transition démographique » entamé depuis quelques années, voire une ou deux décennies, il est probable que plus personne ne pourra refabriquer de pareils empires…
À quoi donc sert-il que quelques-uns, parmi les moins vigoureux du point de vue démographique, s’essayent à vouloir contrôler des territoires toujours plus grands ?
C’est pour le moins contre-productif.
Et épuisant.
À en oublier le slogan des soixant’huitards californiens qui aura fait le tour de la planète : « Faites l’amour, pas la guerre » !
 
À moins que justement, comme leurs femmes sont des chiantes caractérielles à ne plus vouloir faire des gamins, ils espèrent que l’herbe est plus verte dans le champ du voisin…
Ce qui justifie qu’on claque un pognon monstrueux pour aller occire son voisin en toute bonne conscience.
Je peux vous dire, ils ne vont pas être déçus…
 
J’essayais d’être un brin optimiste, allant jusqu’à envisager de payer de ma personne pour engrosser quelques âmes esseulées,
Mais finalement, même pas !
C’est désespérant au bout du compte, mais c’est là probablement l’avenir de la planète : On n’aura pas besoin d’un embrasement généralisé qui détruirait l’humanité pour réduire la quantité de nos polluants qui la salope, sans pour autant renoncer à notre façon de vivre.
Il suffira seulement, par les progrès techniques à venir, de rendre cette dernière compatible avec les ressources de la planète et limiter, tout doucement, les populations à naître.
On peut l’espérer.
 
Alors bonne fin de week-end à toutes et tous malgré tout !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
[1] https://flibustier20260.blogspot.com/2016/05/reprise-du-post-du-23-mai-2011.html

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