Mort d’Alexeï Anatolievitch Navalny
« Vlad » et Alexeï auront été au bout de
leurs utopies : L’un en laissant mourir à petit-feu son opposant de 47 ans
après avoir tenté de le faire empoisonner ; l’autre en revendiquant son
sort jusqu’à en perdre la vie au fin fond de la nuit polaire et sibérienne,
impuissant qu’il aura été à faire s’ouvrir les yeux de ses compatriotes sur les
« prétentieux », aux égos gonflés à l’hélium, qui, forts de leurs
invraisemblables fatuités, les gouvernent encore jusqu’à ce que mort s’ensuive !
Lutter contre le « national-populisme », quelle vaine arrogance, surtout avec les moyens des « démocraties » !
Dont on sait désormais toutes les faiblesses…
Fondateur de la Fondation anti-corruption (FBK), Navalny
est connu pour son opposition au président encore en exercice.
Déjà en 2020, il est victime d’une tentative d’assassinat par empoisonnement au « Novitchok » et est soigné en « Teutonnie-impériale ». De retour en Russie, il est immédiatement placé en détention dans un camp de travail.
En janvier 2022, son nom est inscrit sur la liste des personnes terroristes par l’organisation fédérale russe de contrôle des transactions financières.
Il est à nouveau condamné, en mars 2022, à neuf années d’internement en régime sévère et en août 2023, sa peine est portée à 19 ans par « le fait du prince ».
C’est que les opposants à « Vlad-Poux-tine »
ont une fâcheuse tendance : Ils meurent inopinément.
Quelques dates : Le 5 décembre 2011, « Poux-tine », alors « premier sinistre » de « Mevdevdev », sort grand vainqueur (près de 50 % des voix) des élections législatives.
Les résultats en sont contestés et des manifestations monstres se déroulent à Moscou.
Alexeï Navalny sort de sa condition d’avocat russe d’origine ukrainienne inconnu au bataillon avec un slogan : « Une Russie sans Poutine ».
Crime de lèse Tsarisme…
Il est aussitôt emprisonné et créé sa fondation anticorruption la même année.
Dis huit mois plus tard, Navalny est condamné, en
juillet 2013 pour corruption, un procès dénoncé comme politique par l’Union
européenne et les associations de défense des droits de l’Homme.
Il se présente néanmoins comme candidat aux municipales de septembre de Moscou et axe sa campagne sur la dénonciation des migrants et de la politique poutinienne.
Sergueï Sobianine, proche du chef du Kremlin, est cependant réélu au premier tour.
Le résultat est contesté et donne lieu à une médiatisation importante d’Alexeï Navalny.
Je rappelle à cette occasion qu’il ne s’oppose pas à l’annexion de la Crimée : Il est né russe-ukrainien.
Mais plus tard il s’opposera à l’opération spéciale militaire.
Le 13 décembre 2016, Alexeï Navalny se présente à
l’élection présidentielle en décembre 2016.
Funeste intention…
Plusieurs procédures judiciaires sont lancées contre lui et il fait plusieurs séjours en prison.
Il axe sa campagne autour de la dénonciation de la politique de « Vlad-Poux-tine », de sa volonté de réformer l’État et la Justice russe, et de se rapprocher de l’Occident : Suicidaire… Je n’aurai pas fait ça comme ça, si j’avais été à sa place !
Sa candidature est retoquée avant même d’en débattre : Trop dangereux pour l’unité du pays, peut-on en penser…
Le 20 août 2020 il est hospitalisé en urgence dans une
unité de soins intensifs à Omsk.
Son entourage soupçonne très rapidement une tentative d’empoisonnement.
On saura plus tard que les soupçons se porte sur des agents du GRU qui ne savent toujours pas (depuis Skripal), manipuler avec efficacité un poison qui n’existe pas : Le Novitchok (formule : C5H8Cl2F2NO3P) : Encore une arme prétendument « invincible ».
Il est finalement exfiltré vers Berlin pour y être soigné.
Le 17 janvier 2021, il prend l’avion pour la Russie où il est immédiatement arrêté.
Deux jours plus tard, il publie des informations qui prouvent, selon lui, que « Vlad-Poux-tine » possède un vaste patrimoine financier, ainsi que des goûts de luxe, comme tous les mafieux et autres dictateurs de son espèce, en songe-je.
Vendredi 16 février 2024, après son transfert fin 2023
dans une colonie pénitentiaire de l’Arctique, aux conditions climatiques
particulièrement rudes, il est déclaré par mort par les autorités russes. Mort
naturelle, d’épuisement, malgré les soins prodigués durant plus d’une heure par
les équipes d’urgentistes soi-disant déplacées sur place.
Fin d’une vie, début d’un feuilleton…
Officiellement, « le condamné Navalny s’est
senti mal après une promenade, perdant presque immédiatement connaissance »,
ont annoncé les autorités pénitentiaires russes dans un communiqué repris par
RIA Novosti.
Le personnel médical de l’établissement est immédiatement arrivé et une équipe médicale d’urgence a été appelée.
Probablement que « des punis » qui ont fait de grosses konneries, parce que l’élite médicale évite probablement les conditions de vie les plus difficiles.
« Toutes les mesures de réanimation nécessaires ont été prises, mais n’ont pas donné de résultats positifs. Les médecins urgentistes ont confirmé le décès du condamné. Les causes du décès sont en cours d’établissement. »
On s’en fout, des causes du décès !
C’EST LE DÉCÈS LUI-MÊME QUI EST UNE INJURE À L’AVENIR.
L’avenir du régime, ça là, on ne se fait pas de souci, mais l’avenir du peuple russe qui va devoir supporter la responsabilité de laisser liquider son avenir par quelques dictateurs vieillissants, tel que sa jeunesse devra en supporter la honte d’avoir eu des parents incapables de dire « stop » !
Plus jamais ça…
C’est la Norvège qui réagit à ce décès : Selon la
diplomatie norvégienne, il ne fait aucun doute que le gouvernement russe « porte
une lourde responsabilité » dans la mort de cet opposant politique.
Et les autres accumulés depuis des décennies, alors ?
Déjà passé par pertes et profits ?
« Il vient d’être brutalement assassiné par le
Kremlin », affirme le président letton.
« Quelle que soit votre opinion sur Alexeï Navalny en tant qu’homme politique, il vient d’être brutalement assassiné par le Kremlin. C’est un fait et c’est quelque chose qu’il faut savoir sur la vraie nature du régime actuel de la Russie », aura déclaré le président letton Edgars Rinkevics, sur « Twister » qui se sent en première ligne depuis qu’une première ministre balte est poursuivie par un mandat d’arrêt russe, via Interpol…
« Poutine doit rendre des comptes pour ses
crimes », proclame Volodymyr Zelensky en tournée européenne pour
obtenir des sous.
« Il est évident pour moi que (Alexeï Navalny) a été tué comme des milliers d’autres qui ont été torturés à mort à cause d’une seule personne, Poutine, qui ne se soucie pas de qui va mourir tant qu’il conserve sa position », aura déclaré le président ukrainien lors d’une conférence de presse commune avec le chancelier « Olaf-tout-Schuss » à « Berline-on-Sprée ».
« Sa mort dans une prison russe et la fixation
et la peur d’un seul homme ne font que souligner la faiblesse et la corruption
au cœur du système que Poutine a construit » analyse « Tonio-Bling-Kan »
en marge de la Conférence de Munich sur la sécurité.
« La Russie est responsable de cette situation » et c’est tout son peuple qui en portera les stigmates pour des générations et des générations.
Une condamnation à perpétuité, en somme…
« Le régime russe » pour « seul responsable » de la mort de l’opposant russe, dans sa prison de l’Arctique, donc sous sa responsabilité, où il purgeait sa peine de 19 ans de prison (pour délit d’opinion politique), a réagi « Charlos-Michou », le président du Conseil européen.
On nous fait savoir que « Poux-tine » aura
été « informé », « que dans le centre pénitentiaire N°3, le
prisonnier Navalny A.A. s’est senti mal après une promenade (… et) les causes
de la mort sont en train d’être établies », par le service
pénitentiaire fédéral russe (FSIN).
L’équipe de l'opposant russe a de son côté fait savoir ne pas avoir été mis au courant de sa mort. Un avocat est pourtant en route vers la prison où il était détenu.
« Alexeï Navalny a payé de sa vie sa
résistance à un système d’oppression. Sa mort en colonie pénitentiaire nous
rappelle la réalité du régime de Vladimir Poutine », a réagi de son
côté notre « sinistre des Affaires étrangères », « Steph-C’est-ajourné ».
« Vladimir Poutine craint toute concurrence », a dénoncé le chef de l’administration pénitentiaire ukrainienne.
On avait appris 25 décembre 2023, par ses proches, qu’on n’avait plus de nouvelles depuis près de trois semaines, depuis la colonie pénitentiaire de Kharp, dans l'Arctique russe. Les Etats-Unis s’étaient alors dits « profondément inquiets » du « sort » et des « conditions de détention injustes ».
Pour moâ, c’était déjà plié : Le pays ne peut pas générer deux Soljenitsyne à seulement quelques décennies d’écart.
Un par siècle, c’est déjà beaucoup pour eux, même si on a changé de siècle (et même de millénaire).
Sa condamnation à 19 ans de prison pour « extrémisme[1] » devait
être purgée dans une colonie à « régime spécial », la catégorie d’établissements
où les conditions de détention sont les plus rudes et qui sont d’ordinaire
réservés aux condamnés à perpétuité et aux détenus les plus dangereux, de ceux
qu’on ne voulait même pas comme viande à hacher sur le front en Ukraine chez
les Wagner…
Flûte, qu’est-ce que c’est que ce peuple qui n’a
aucune honte à reconduire son dictateur qui ne respecte même pas ses propres adversaires
d’opinion ?
Sont-ils si pleutres alors que le régime démontre tous les jours un peu plus ses propres faiblesses qui lui font si peur ?…
On marche sur la tête finalement : Sont-ils bien qualifiés pour s’autoriser à « redresser » les soi-disant « torts » de leurs voisins (et accessoirement ceux du reste du monde) ?
Jusque-là, je plaignais mes « petits-kamarades-popovs ».
Mais là je suis au bord de l’écœurement (au bord seulement), parce que tout ça, c’est tellement inutile finalement…
Quand donc mes contemporains s’en rendront-ils compte ?
S’il vous plait, dites-moâ…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE
PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN
LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN
AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
[1] Au moins du temps de Staline, les opposants on les soignait dans les hôpitaux psychiatriques : Il fallait être fou pour s’opposer au « socialisme scientifique » (puisque c’était scientifique…)
Lutter contre le « national-populisme », quelle vaine arrogance, surtout avec les moyens des « démocraties » !
Dont on sait désormais toutes les faiblesses…
Déjà en 2020, il est victime d’une tentative d’assassinat par empoisonnement au « Novitchok » et est soigné en « Teutonnie-impériale ». De retour en Russie, il est immédiatement placé en détention dans un camp de travail.
En janvier 2022, son nom est inscrit sur la liste des personnes terroristes par l’organisation fédérale russe de contrôle des transactions financières.
Il est à nouveau condamné, en mars 2022, à neuf années d’internement en régime sévère et en août 2023, sa peine est portée à 19 ans par « le fait du prince ».
Quelques dates : Le 5 décembre 2011, « Poux-tine », alors « premier sinistre » de « Mevdevdev », sort grand vainqueur (près de 50 % des voix) des élections législatives.
Les résultats en sont contestés et des manifestations monstres se déroulent à Moscou.
Alexeï Navalny sort de sa condition d’avocat russe d’origine ukrainienne inconnu au bataillon avec un slogan : « Une Russie sans Poutine ».
Crime de lèse Tsarisme…
Il est aussitôt emprisonné et créé sa fondation anticorruption la même année.
Il se présente néanmoins comme candidat aux municipales de septembre de Moscou et axe sa campagne sur la dénonciation des migrants et de la politique poutinienne.
Sergueï Sobianine, proche du chef du Kremlin, est cependant réélu au premier tour.
Le résultat est contesté et donne lieu à une médiatisation importante d’Alexeï Navalny.
Je rappelle à cette occasion qu’il ne s’oppose pas à l’annexion de la Crimée : Il est né russe-ukrainien.
Mais plus tard il s’opposera à l’opération spéciale militaire.
Funeste intention…
Plusieurs procédures judiciaires sont lancées contre lui et il fait plusieurs séjours en prison.
Il axe sa campagne autour de la dénonciation de la politique de « Vlad-Poux-tine », de sa volonté de réformer l’État et la Justice russe, et de se rapprocher de l’Occident : Suicidaire… Je n’aurai pas fait ça comme ça, si j’avais été à sa place !
Sa candidature est retoquée avant même d’en débattre : Trop dangereux pour l’unité du pays, peut-on en penser…
Son entourage soupçonne très rapidement une tentative d’empoisonnement.
On saura plus tard que les soupçons se porte sur des agents du GRU qui ne savent toujours pas (depuis Skripal), manipuler avec efficacité un poison qui n’existe pas : Le Novitchok (formule : C5H8Cl2F2NO3P) : Encore une arme prétendument « invincible ».
Il est finalement exfiltré vers Berlin pour y être soigné.
Le 17 janvier 2021, il prend l’avion pour la Russie où il est immédiatement arrêté.
Deux jours plus tard, il publie des informations qui prouvent, selon lui, que « Vlad-Poux-tine » possède un vaste patrimoine financier, ainsi que des goûts de luxe, comme tous les mafieux et autres dictateurs de son espèce, en songe-je.
Fin d’une vie, début d’un feuilleton…
Le personnel médical de l’établissement est immédiatement arrivé et une équipe médicale d’urgence a été appelée.
Probablement que « des punis » qui ont fait de grosses konneries, parce que l’élite médicale évite probablement les conditions de vie les plus difficiles.
« Toutes les mesures de réanimation nécessaires ont été prises, mais n’ont pas donné de résultats positifs. Les médecins urgentistes ont confirmé le décès du condamné. Les causes du décès sont en cours d’établissement. »
On s’en fout, des causes du décès !
L’avenir du régime, ça là, on ne se fait pas de souci, mais l’avenir du peuple russe qui va devoir supporter la responsabilité de laisser liquider son avenir par quelques dictateurs vieillissants, tel que sa jeunesse devra en supporter la honte d’avoir eu des parents incapables de dire « stop » !
Plus jamais ça…
Et les autres accumulés depuis des décennies, alors ?
Déjà passé par pertes et profits ?
« Quelle que soit votre opinion sur Alexeï Navalny en tant qu’homme politique, il vient d’être brutalement assassiné par le Kremlin. C’est un fait et c’est quelque chose qu’il faut savoir sur la vraie nature du régime actuel de la Russie », aura déclaré le président letton Edgars Rinkevics, sur « Twister » qui se sent en première ligne depuis qu’une première ministre balte est poursuivie par un mandat d’arrêt russe, via Interpol…
« Il est évident pour moi que (Alexeï Navalny) a été tué comme des milliers d’autres qui ont été torturés à mort à cause d’une seule personne, Poutine, qui ne se soucie pas de qui va mourir tant qu’il conserve sa position », aura déclaré le président ukrainien lors d’une conférence de presse commune avec le chancelier « Olaf-tout-Schuss » à « Berline-on-Sprée ».
« La Russie est responsable de cette situation » et c’est tout son peuple qui en portera les stigmates pour des générations et des générations.
Une condamnation à perpétuité, en somme…
« Le régime russe » pour « seul responsable » de la mort de l’opposant russe, dans sa prison de l’Arctique, donc sous sa responsabilité, où il purgeait sa peine de 19 ans de prison (pour délit d’opinion politique), a réagi « Charlos-Michou », le président du Conseil européen.
L’équipe de l'opposant russe a de son côté fait savoir ne pas avoir été mis au courant de sa mort. Un avocat est pourtant en route vers la prison où il était détenu.
« Vladimir Poutine craint toute concurrence », a dénoncé le chef de l’administration pénitentiaire ukrainienne.
On avait appris 25 décembre 2023, par ses proches, qu’on n’avait plus de nouvelles depuis près de trois semaines, depuis la colonie pénitentiaire de Kharp, dans l'Arctique russe. Les Etats-Unis s’étaient alors dits « profondément inquiets » du « sort » et des « conditions de détention injustes ».
Pour moâ, c’était déjà plié : Le pays ne peut pas générer deux Soljenitsyne à seulement quelques décennies d’écart.
Un par siècle, c’est déjà beaucoup pour eux, même si on a changé de siècle (et même de millénaire).
Sont-ils si pleutres alors que le régime démontre tous les jours un peu plus ses propres faiblesses qui lui font si peur ?…
On marche sur la tête finalement : Sont-ils bien qualifiés pour s’autoriser à « redresser » les soi-disant « torts » de leurs voisins (et accessoirement ceux du reste du monde) ?
Mais là je suis au bord de l’écœurement (au bord seulement), parce que tout ça, c’est tellement inutile finalement…
Quand donc mes contemporains s’en rendront-ils compte ?
S’il vous plait, dites-moâ…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
[1] Au moins du temps de Staline, les opposants on les soignait dans les hôpitaux psychiatriques : Il fallait être fou pour s’opposer au « socialisme scientifique » (puisque c’était scientifique…)
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