Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 27 février 2024

Manger plein de viande pour soutenir nos éleveurs…

Et encore plus de charcuterie !
 
C’est ce que j’ai retenu de l’ouverture de la « plus grande ferme » de « Gauloisie-olympique »…
Tant pis pour vos artères, vos reins et votre foie : Le système de soins, le meilleur du monde et que la « Terre entière nous envie », vous remettra sur pied sans problème !
C’est une des mesures pour soutenir l’élevage tricolore qui ont été dévoilées au lendemain de l’ouverture du Salon de l’agriculture.
Mais de qui se moque-t-on au fait ?
Comme si l’agriculture se résumait à l’élevage de viande sur patte, que les fruits ça n’existait pas, pas plus que la pêche et encore moins la culture du soja et des marrons-glacés et quelques liqueurs haut placées dans l’échelle d’alcoolémie…
 
Et on en a fait pourtant fait tout un plat, plus un « plan » intitulé « plan gouvernemental de reconquête de notre souveraineté sur l’élevage », qui a été présenté par le ministère de l’Agriculture aux syndicats agricoles et aux interprofessions lors du Salon dont l’inauguration a été chahutée par des heurts autour de la venue de « Jupiter », puis de « Gaby-le-magnifique » (qui croisaient « J’ordonne-le-Bordel-là ») venu ramasser les morceaux.
« Produire ce que nous consommons. Cette ambition sera assumée comme la ligne directrice du réarmement des politiques publiques autour de l’élevage », expliquent les « sachants-trisomiques » du ministère.
« Réarmement »… J’en rigole encore…
 
Nos producteurs agricoles ont toujours été soutenus à coup de subventions parce qu’ils votent. Subventions qui, vous n’espérez pas y échapper, sont financées par ceux qui ne votent pas contre mais payent des fonctionnaires qui se démerdent, directement ou indirectement à vous faire acheter votre pitance (avec des sous déjà taxés) plus chère que pas possible pour entretenir, au moins partiellement la « pénurie » de bouffetance, à coup de normes et de contrôles !
Du coup, nos éleveurs ne savent plus faire d’agriculture à prix concurrentiel et se font bouffer la laine sur le dos depuis des décennies par plus malins qu’eux.
Car n’allez pas me dire que les éleveurs de poulets « teutons » sont plus mieux géniaux que les nôtres, ni que les ukrainiens savent faire un meilleur champagne que les nôtres.
Non, la différence, ce sont juste les coûts de production.
Et à ce jeu-là, même sans les aides (et subventions = nos impôts) européennes Kiev peut même nourrir l’Afrique entière pendant que nous on a du mal à payer une baguette de pain à 1,20 €…
Sans subvention, on s’adapte, avec, on crée de telle distorsion dans les moyens de production que ça en devient invivable pour tout le monde.
Je peux déjà vous dire, qu’à ce jeu-là, ça durera moins que ça a duré…
 
Outre que les « agrikuls » votent plutôt « ultra-droâte », ce qui est mal vus par les « autistes-acéphales » de la « Jupitérie », ce plan répondrait « à un enjeu de souveraineté » (c’est le concept à la mode) et à « un enjeu environnemental » (autre concept incontournable du moment).
Sauf que l’élevage, il est déjà responsable de 12 % des émissions de gaz à effet de serre à l’échelle mondiale (le truc qui énerve les climatologues qui ne savent toujours pas que les fameux GES plongent dans les profondeurs de la planète à nourrir le plancton, au lieu de grimper à des altitudes où il fait « serre & froid »), selon l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
Probablement qu’en « Gauloisie-olympique », un peu moins, mais ce n’est pas la question : Il faut nourrir toujours plus de bouches, en commençant par la collecte de lait à materniser, puisque nos femmes ne veulent plus allaiter.
 
D’ailleurs, elles ne veulent plus faire de gosses et c’est tout juste si elles aiment encore se faire tendrement engrosser, tellement les nouvelles générations s’y prennent comme des kuls…
Or, le gouvernement souhaite réduire ses émissions pour redonner goût à l’avenir à ces « milléniums », tout en maintenant la taille du cheptel.
Drôle n’est-ce pas : On fait quoi, on congèle les carcasses surnuméraires pour des jours meilleurs ?
On a bien subventionné l’arrachage de nos vignobles, alors pourquoi pas les « vaches à lait » ?
 
C’est ainsi que parmi les mesures annoncées, dont une partie n’est pas nouvelle, mais dont le gouvernement s’est engagé à « accélérer leur mise en œuvre » (parce que hein, ça traine dans les couloirs des ministères), on y retrouve comme par miracle une enveloppe de 150 millions d’euros finançant un nouvel avantage fiscal et social à créer de toutes pièces pour les éleveurs bovins, plus le déploiement d’une offre de 400 millions d’euros de prêts garantis par l’État à partir du mois de juillet et encore un soutien annuel à hauteur de 30 millions d’euros pour l’investissement en agroéquipements contribuant à diminuer les émissions de gaz à effet de serre…
 
Des mesurettes, bien sûr, par rapport aux enjeux et aux besoins, mais ça va payer des machines neuves (fabriquées en « Teutonnie » ou chez les « Ricains ») et les fins de mois chez les « plus crevards » du monde paysan.
Voilà ce que c’est que d’avoir voulu maintenir le régime fiscal du forfait agricole.
(Qui consiste à rapporter au mètre carré le plus petit bénéfice de la plus petite exploitation la plus miséreuse d’une activité sur un territoire donné…)
Alors que si on était passé au régime fiscal « réel », même simplifié, les exploitants auraient pu faire des déficits fiscaux les mauvaises années…
Passons.
 
Par ailleurs, le décret visant à protéger les dénominations utilisées pour les aliments d’origine animale, par exemple, en interdisant les termes comme « steak végétal » ou « jambon végan » (alors qu’on a bien des tourteaux de soja à tartiner, de la viande à herbe et des poissons à sushi à la poudre de perlimpinpin…) sera publié « avant la fin du mois de février », assure le ministère de l’Agriculture, répondant ainsi à une revendication de longue date des acteurs de la filière de l’élevage et de la boucherie-charcuterie.
Attends, parce qu’avoir des bovins qui mangent de l’herbe et des granulés certifiés bio, ça va en remettre dans l’assiette ?
 
C’est comme si les uns et les autres sont encore capables de croire que le consommateur serait un kon qui ne sait pas lire les étiquettes de ce qu’il achète…
Si j’ai envie de manger un steak de soja, boire un coup de lait de coco, je sais où les trouver.
Il n’y a que « ma Nichée » qui croyait, petite et pas encore « finie », que les poissons ça poussait déjà tout carrés et panés sur les arbres…
 
Il faut vous dire aussi qu’un premier décret, publié en juin 2022, avait été konnement suspendu en référé par le Conseil d’État.
Les juristes, parfois… je te vous jure : Passons !
Or, le gouvernement souhaite redorer l’image de la consommation de viande, n’en déplaise à « Cendrine-Rousse-Eau » et les « écololos-bobos-urbains » (les mêmes qui ne supportent pas les odeurs de purain, le son des cloches et des coqs à la campagne) qui ne « doit pas être stigmatisée », assurant par la même occasion que « la réduction de la taille de notre cheptel d’élevage en France (…) ne saurait constituer un objectif de politique publique ».
Et là, vlan, on va claquer 3 millions d’euros de nos impôts pour faire une campagne de communication visant à promouvoir les métiers agricoles !
Je te jure : Entre l’armée qui a du mal à recruter, les cheminots qui ne parviennent pas à se recycler à la campagne parce qu’ils ne supportent les « cadences infernales » de la SNCF, il y a du boulot à faire dans les têtes…
 
Ceci dit, il y en a qui se prennent par la main au lieu de faire le coup de poing à « Paris-olympique » sur les CRS (qui n’ont pas pu reprendre l’exploitation du père…) entre deux beuveries d’exposants et se mettent à réfléchir.
En 1999, on trouvait 120.000 exploitations laitières. « A priori on serait 45.000 aujourd’hui. Et en 2010, il avait été annoncé par le Haut Conseil de la coopération agricole qu’on ne serait plus que 35.000 en 2025 » l’année prochaine, quoi…
Mais c’est parfois avec des années de retard quant au mental : « Comme toutes les autres entreprises, on a des charges. Toutes les autres entreprises font ce bilan de charge là et calculent le prix où ils peuvent vendre le produit. Nous, c’est à l’inverse ; on a un prix au consommateur et après chacun prend sa marge et après il reste le reste à l’agriculteur. Mais ce n’est pas logique, ce n’est pas dans ce sens-là qu’il faut le penser. »
Naturellement : Mais c’est juste l’effet d’avoir été biberonné aux subventions !
 
Parce que la PAC garantissait un prix plafond et équilibrait les exploitations avec une subvention.
Maintenant, les prix du lait ont tellement baissé à l’étranger que les prix plafonds européens sont devenus « plancher » dans la zone euro et du coup tout le monde est « hors sol » avec des prix locaux d’ici devenus astronomiques.
On ne vend plus de lait de vache à viande que chez nos fromagers (et encore, ils font un effort) : Le reste est importé tellement c’est devenu moins cher.
Tout ça parce que les subventions vont plutôt aux céréaliers « qui assurent la souveraineté alimentaire »… et président le principal syndicat des métiers de l’agriculture : Il n’y a pas de hasard, points barre !
Alors que nos « agrikuls » ont cru que ça durerait encore des générations comme ça et n’ont pas fait l’effort de s’adapter…
 
Alors ils ont raison de dire que : « On est venus pour dire qu’on va crever. J’ai fait 5 h de route pour ça ! ».
Et d’expliquer pourquoi leur colère ne retombera pas, malgré les annonces du gouvernement.
Si au cours de la discussion, « Jupiter » s’est dit favorable à la mise en place de « prix planchers » pour protéger les revenus des agriculteurs, je ne sais pas qui va les payer.
Si ce n’est vous, c’est donc l’État, qui ira vous le refacturer à travers l’impôt ou l’emprunt public.
 
C’est pour cette raison que « J’ordonne-le-Bordel-là », plane tranquillement au-dessus de la mêlée. Il en dit non sans plaisir qu’il s’agit d’une réponse qui ressemble à une « dérive schizophrénique assez inquiétante et dangereuse au regard de (la) fonction (présidentielle). Probablement, il tombe dans une forme de complotisme, de paranoïa qui est le propre de tous extrêmes ».
C’est dire s’il se moque et boit du petit-lait…
 
C’était en réponse aux propos de « Jupiter » où il avait déclaré qu’il y avait « des gens qui sont là avec un projet politique qui est de servir le Rassemblement national, de faire demain ou après-demain une haie d’honneur aux dirigeants du Rassemblement national et de mener une campagne politique ».
Bé oui, un « national-populiste » fait feu de tout bois, pardi : C’est son seul talent.
Avec celui de ne jamais faire ce qu’on attend de lui, si on en croit ses promesses, irréalistes face « au mur de réalités ».
Le chef de l’État ciblait ainsi et aussi sans les nommer une partie de la Coordination rurale, troisième syndicat agricole dont les cadres entretiennent des liens avec le « Air-haine ».
 
C’est que la Coordination rurale porte des idées souverainistes et antiécolologiques, très proches du discours du « Air-Haine ». « J’ordonne-le-Bordel-là » réfute pourtant tout lien particulier avec cette organisation : « Je n’ai pas de lien particulier ou de lien d’intérêt avec la Coordination rurale », assure-t-il, balayant l’idée d’avoir sur sa liste aux européennes des agriculteurs du syndicat. « Ce n’est pas prévu », déclare-t-il.
Il affirme même « entretenir des liens » avec toutes les centrales du secteur et prévoit de rencontrer lundi les représentants des principaux syndicats, « que ce soit la Coordination rurale, mais aussi la FNSEA ».
« Les agriculteurs n’ont pas besoin du RN pour être mécontents de leur condition de travail » et « nous ne sommes pas à l’origine de la colère qui gronde aujourd’hui », fait-il valoir, rejetant la responsabilité sur la politique menée par « Jupiter » et ses prédécesseurs.
Tellement facile…
 
La veille, « Jupiter » avait sorti que le « parti du Frexit (et) maintenant, c’est des transformistes du Frexit », visant directement son opposition d’extrême-droâte.
« Je vais vous dire s’il n’y a pas d’Europe, il n’y a pas d’agriculture », a-t-il martelé.
Euh, ce serait plutôt, historiquement, l’inverse, mais bon, je sais être né kon, donc je ne la ramène pas trop…
Pour s’en rendre compte, il faudrait que quelques-uns de nos sachants aillent gratter la terre du côté de Valmy et jusqu’à Verdun : Ils découvriront encore ces champs parsemés de débris qui remontent à la surface au fil du temps.
(À moins que ce soient les sols qui s’épuisent et s’érodent…)
 
« Pourquoi mentir ? (…) La sortie de l’UE est-elle dans mon programme ? », fait mine de questionner le Président du « Air-haine ».
« Lorsqu’il nous accuse de défendre la décroissance, après valoir voté le Green Deal, la baisse du nombre de cheptels, l’interdiction de la moitié de produits phytosanitaire d’ici 2050, c’est lui qui soutient la décroissance ».
Bref, bonne querelle mais mauvais script de la part de « Jupiter ».
Et scénario qui tutoie la nullité, finalement…
 
Tout ça pour un morceau de barbaque à 25 euros le bout dans le premier restaurant venu… Que je n’en ai pas mis assez de côté pour assurer mes brochettes au BBQ sur mes vieux jours…
 
Et puis je rappelle à tous ceux-là que des gens meurent tous les jours pour contenir les démons russes (soutenus par le « Air-Haine », « Zézé-amour » au moins un temps et toujours par « Mes-luches », la clique des « National-populistes ») sur leur territoire les empêchant de « déferler jusqu’à Cap Finisterre »…
Au-delà, c’est un autre continent qui restera encore plus isolé et désolé qu’il ne le souhaite… mais qui ne manque pas, du Nord au Sud, ni de viande ni d’herbe à viande…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire