Naufrage d’un palace.

C’est l’histoire de cette dame…
 
… Qui, pour ses 75 ans, s’offre un beau cadeau d’anniversaire :  Passer une nuit dans un hôtel de luxe avec plein d’étoiles sur la côte !
Le lendemain matin, elle descend pour payer sa note.
L’employé à la réception lui tend alors une note de 1.700 €.
La dame est stupéfaite :
« Oh là là, mais c’est très cher, c’est bien trop cher, c’est même exorbitant !
Certes, votre hôtel est bien tenu et luxueux, mais la nuit ne vaut pas les 1.700 € qu’elle coûte, croyez-moi l En outre, je ne n’ai même pas pris de petit déjeuner.
Alors ? »
L’employé répond :
« — Madame, 1.700 €, c’est le prix standard incluant le petit déjeuner que vous auriez pu prendre.
— Très bien, vous le prenez sur ce ton, alors, appelez-moi le Directeur ! », dit-elle.
Ce dernier arrive à la réception et, déjà prévenu par l’employé, lui annonce :
« — Madame, cet hôtel possède une piscine, un spa et un centre de conférences tout équipé, cela fait partie de notre standing.
— Mais je ne les ai pas utilisés », répond-elle.
« Peut-être », dit le Directeur, « mais vous le pouviez, ils étaient là, à votre disposition et vous pouviez en profiter ! »
Il continue encore en précisant que l’hôtel présente également chaque soir un spectacle pour les clients de l’hôtel et qu’elle aurait pu y assister.
« Mais je n'y suis pas allée ! » insiste-t-elle.
« Vous pouviez en profiter, tout comme pour l’ensemble de nos prestations » insiste le Directeur.
Au bout d'un moment, elle se décide enfin à payer avant de partir et tendit au Directeur un chèque de… 200 € !
Celui-ci, surpris, lui dit :
« — Mais Madame, votre chèque n’est que de 200 € !
— C’est vrai, mais je vous ai facturé 1.500 € pour avoir couché avec moi », dit-elle en souriant.
« Mais Madame, je n’ai pas couché avec vous ! » s’exclame le Directeur très offusqué !
Elle répond alors fièrement :
« Ah c’est bien dommage, j’étais là, et vous auriez pu en profiter ! »
 
Inventaire des arrêtés municipaux délirants relevé pour vous par Jean-Marc :
— Ivry-la-Bataille, pour l’arrêté du 1^er septembre 2022 « interdisant la chute de pierres et autres éboulements de terrain » n° 2022-09-02.
— Beaurevoir, pour l’arrêté du 10 juillet 2022 « portant déchéance du titre de duc à Jean de Luxembourg, dit Arrêté Jeanne d’Arc ».
— Sauveterre, pour l’arrêté du 1^er septembre 2022 « portant interdiction de se rendre à une autre manifestation que « Sauveterre fête ses vins » le dernier week-end de Juillet » n° DG033_01092022.
Mention spéciale pour les trois arrêtés suivants :
— Saint-Lambert-la-Potherie, pour l’arrêté du 12 septembre 2022 « interdisant aux sangliers de jouer sur le stade de football de la commune » n° A-2022-83.
— Calais, pour l’arrêté du 13 septembre 2022 « règlementant la cohabitation entre les usagers, le Dragon de Calais et les autres créatures fantastiques sur le Front de Mer ».
— Joinville-le-Pont, pour l’arrêté du 23 juin 2022 « portant obligation du port de baskets le jeudi 23 juin 2022 à l’occasion de la journée olympique et paralympique » n° 119-2022.
 
Quelques définitions diverses (et souvent reprises par ailleurs) :
- Être au bout du rouleau : Situation inconfortable surtout quand on est aux toilettes.
- Facebook : Le seule endroit où tu parles à un mur, comme au mur des lamentations, mais sans être ridicule.
- GPS : Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin.
- Autobus : Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après que quand on est assis dedans.
- Taser : Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant entre la police et la jeunesse.
- Mozart : Célèbre compositeur que l’on écoute le plus souvent dans les pizzeria car on sent bien que la mozzarella…
- Sudoku : Qui a le Sud au kul a la tête au Nord.
- Porte-clés : Invention extraordinaire qui permet de perdre toutes ses clés en une seule fois au lieu de les perdre une à une !
- État : Système mafieux le mieux organisé de tous les temps…
- Cravate : Accessoire vestimentaire servant à indiquer la direction du cerveau chez l’homme.
- Carla Bruni : Blanche-neige moderne ayant une préférence pour l’un des 7 nains : Grincheux.
- Maison-Blanche : Aura été la Baraque noire !
Voiture : Invention géniale qui permet d’avoir 200 chevaux sous le capot et un âne au volant !
- Parents : Deux personnes adultes qui t’apprenne à parler et à marcher pour ensuite te dire de t’assoir et de fermer ta gueule !
- Titeuf : Qui sort d’une TitePoule…
- Orteil : Appendice qui sert à détecter les pieds de table…
- Égalité des sexes : Nouveau concept inventé par les hommes pour ne plus payer le restaurant…
 
Germaine et Jean-Marc :
« — Faire du sport, arrêter de fumer, boire moins, manger moins, arrêter de faire la fête… Tu as pris toutes ces bonnes résolutions en « même temps^® » ?
— Je me suis dit que dans le tas, il y en aura bien une que je tiendrai toute l’année ! »
 
C’est l’histoire de ce toubib qui reçoit en consultation une femme et son bébé.
Il ausculte le bébé sous toutes les coutures.
Il le pèse et constate que son poids est en-dessous de la normale pour son âge et sa taille.
Il demande alors si l’enfant est nourri au sein ou au biberon…
« Au sein ! » lui répond la femme…
« D’accord ! Je peux vous demander de retirer votre soutien-gorge, s’il vous plait, madame ? » demande le médecin.
Ce que la dame fait sans hésitation.
Il procède alors à une auscultation de la poitrine de la femme.
Il presse, malaxe, soupèse, palpe et tient fermement chacun des deux seins.
Une fois qu’il a fini, la femme se rhabille et le médecin explique son diagnostic :
« — Je comprends pourquoi cet enfant est si mince : Vous n’avez pas de lait !
— Je le sais bien ! » lui répond la dame. « Je suis la grand-mère de ce chérubin, mais je ne regrette pas d’être venue… »
 
C’est l’histoire de Jean-Marc qui arrive à Poitiers. C’est une ville qu’il ne connaît pas et il s’est égaré dans un quartier qu’il connaît encore moins.
La rue est déserte.
Seul un homme, debout sur une échelle, est en train d’accrocher autour de sa porte des objets que Jean-Marc identifie peu à peu comme étant des presse-purée.
Aux pieds de l’échelle se trouve d’ailleurs une brouette pleine de presse-purée.
Partout sur la maison, des presse-purée sont accrochés.
Il y en a sur les volets, la gouttière, les balcons.
Jean-Marc s’approche de l’accrocheur fou.
« — Pardon, monsieur !
— Quoi, qu'est-ce qu'il y a ? » riposte l’homme en sursautant sur son échelle comme une grenouille dans un micro-ondes.
« — Excusez-moi de vous déranger dans votre travail de plantage de presse-purée, je suis perdu.
— Ce n’est pas un travail de plantage de presse-purée », réplique l’homme. « C’est de la protection.
— De la protection contre quoi ? » demande alors timidement Jean-Marc un peu surpris.
« — C’est pourtant clair », hurle l’autre en haut de son échelle ! « Je plante des presse-purée pour éloigner les girafes.
— C’est évident », répond Jean-Marc qui n’a pas du tout envie de contrarier un fou.
« — Mais vous êtes sûr qu’il y a des girafes dans la région ?
— Vous en doutez ?
— Oui, parce que là, je n’en vois pas une seule.
— Évidemment », crie l’homme sur son échelle ! « Avec tous les presse-purée que j'ai posé ce serait dommage ! »
 
Une « revenue » de loin :
Jean-Marc rentre chez lui à 2 heures du matin complètement déchiré.
Il claque la porte d’entrée, allume toutes les lumières, fait un boucan d’enfer, vomit dans le couloir, renverse le guéridon qui supporte l’urne funéraire de l’aïeul de Germaine qui en répand ses cendres tout autour dans les gravats et va s’écrouler dans son lit.
Le lendemain matin, il se réveille et trouve sur son chevet un verre d’eau avec de l’aspirine, chaussons au pied du lit.
Il sort de la chambre, le vomit a été nettoyé.
Les dégâts ont été retirés.
Il se traîne la bouche pâteuse, les cheveux lui faisant mal au crâne et trouve sa femme tout sourire en train de lui préparer un petit-déjeuner de champion.
Jean-Marc est totalement tétanisé : Il aurait dû essuyer un ouragan de reproches et là rien alors il demande :
« — Pourquoi toutes ces attentions ?
— Bé hier, quand tu m’as réveillée en t’écroulant sur le lit, j’ai voulu te déshabiller.
— Tu ne te souviens plus ?
— Non. Qu’est-ce qu’il s’est passé ?
— Tu m’as violemment repoussée en hurlant : Lâche-moi salope, chui marié !!! »
Dans l’originale, c’était le fiston qui racontait à son père…
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une bière :
« — Est-ce que tu crois que les footballeurs font comme nous quand on regarde un match à la télé ?
— Qu’est-ce que tu veux dire ?
— On râle bien quand ils ratent une passe ou un tir. Est-ce qu’eux hurlent quand ils nous regardent travailler au bureau rater une photocopie aussi facile ? »
 
Les mêmes :
« C’est quand on est dans le noir qu’il faut appeler une ampoule à Led ! »
 
« On dit parfois d’un chien qu’il ne lui manque que la parole.
Eh bien moi je connais un paquet de gens à qui il ne manque que la muselière ! »
 
Devant une énième bière :
« — Sais-tu ce que c’est que la moitié de tout ?
— De tout quoi ?
— De tout…
— Bé non, je ne sais pas !
— 3 mètres seulement !
— Tu rigoles ? 3 mètres serait la moitié de tout ?
— Bé oui !
— Et comment ça ?
— Parce que le tout est de s’y mettre…
— … »

La serveuse :
« — Comment avez-vous trouvé votre steak, Monsieur ?
— J’ai regardé à coté de mes frites et il était là !
— … »
 
Dumè me demande de vous préciser qu’en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » aussi, « un homme a fait griller des Knacki au barbecue.
Mais on ne peut pas en parler.
Parce que c’est l’homme Herta… »

Bon week-end à toutes et à tous !
 
I³
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !