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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 5 février 2024

Pourquoi parle-t-on de Khmers verts pour désigner nos « écololos » ?

La réponse du « soutier du grenier »
 
Celui qui commence ses billets quotidiens pas « mes chers impertinentes, chers impertinents ! ».
C’est un « bobo-rural » qui vit en Normandie, pas très loin d’une ville moyenne pour bénéficier des tous les attraits des milieux urbains, mais pas comme Cochet, qui vit lui au fin fond de la Bretagne et aurait tendance à finir « survivaliste-isolé » : « Charles Sana(thorium) » vit et travaille dans son grenier : Il y fait « économiste » ou quelque chose comme ça (je n’ai pas trop bien compris quoi au juste).
Mais il est de temps à autre assez drôle, parfois « innovant » avec des analyses quelquefois pertinentes, … même pour un impertinent !
Et celui-là de rappeler récemment quelques « incontournables » historiques.
 
Il en dit que « l’histoire est passionnante, l’histoire est souvent terrifiante, et trop souvent elle s’oublie. Il faut savoir et faire savoir. Je vais d’abord reprendre cette brève histoire des Khmers rouges et vous y verrez le rôle fondamental des communistes français et d’une gauche française qui ont marqué notre pays pendant des décennies et continuent à la marquer de son empreinte ».
Sera-ce croustillant ?
 
D’après lui, tout commence par un rêve, un rêve que beaucoup caressent dans notre pays, pensant ainsi pouvoir vivre du travail des autres en réalité, et revendiquant plus un droit à la paresse qu’une réelle égalité[1].
« Lisez cette histoire du Cambodge et vous allez voir à quel point cela doit raisonner en vous et vous verrez à quel point des Khmers rouges aux Khmers verts c’est exactement le même héritage intellectuel et les mêmes dangers qui nous guettent. »
Ce pov’ pays des khmers, une partie de la Cochinchine où beaucoup des membres de ma famille (la Corse) ont pu travailler. Mon parrain a même fait son sujet de thèse à « l’ékole coloniale » sur ce pays.
J’ai ma « tata-exemplaire » (je l’appelais comme ça, parce qu’elle ponctuait toutes ses affirmations par un « Je te donne un exemple… » pour qu’on comprenne mieux ce qu’elle voulait exprimer…) y aura fait un très long séjour avant de rentrer en Balagne y finir sa vie.
Elle avait appris à aimer ce pays, ses paysages, ses habitants et je plongeais dans ses yeux bleus-clairs avec délice quand ils pétillaient d’en parler.
Un régal quand elle parlait « petit-nègre » à son jardinier, éduquée qu’elle était à être respectueuse même des indigènes…
 
Mais revenons au propos de « Charles » : « Saviez-vous qu’un jour, un pays a réellement mis fin au capitalisme ? »
C’était un lieu sans argent, sans propriété, sans inégalités, basé sur une saine agriculture vivrière… où le collectif subvenait aux besoins de la communauté.
Un matin, le 17 avril 1975, des soldats vêtus de noir et d’un foulard rouge, entrent dans Phnom Penh.
La plupart des habitants sont confiants, voir enthousiastes : Ces jeunes idéalistes se battent pour le peuple, une vie rurale, la fin des inégalités.
Ils connaissent souvent certains de leurs membres, et il y a beaucoup de femmes dans leurs rangs.
Mais très vite, leur agressivité et leur mépris interrogent : Ordre leur a été donné de ne toucher personne, sinon à la pointe du fusil.
D’appartements en appartements, ceux qu’on appelle khmers rouges ordonnent aux habitants de fuir au plus vite : Bientôt, les États-Unis bombarderaient la ville.
Et si ce mensonge ne suffisait pas (les « ricains » étaient partis loin déjà, à la façon afghane d’ailleurs quelques décennies plus tard), la force est employée.
En 48 heures, deux millions de personnes doivent quitter leurs logements, dans l’urgence et dans des conditions désastreuses.
Les malades sont tirés des hôpitaux, sans assistance médicale. Leurs familles en sont réduites à pousser lits ou brancards de fortune sous un soleil de plomb.
Et les plus faibles sont achevés sur place.
 
Les voitures sont réquisitionnées et tout bien de valeur confisqué.
Un mot revient sans cesse dans la bouche des soldats : Dollars, dollars, qui a des dollars ?
La stupeur envahit ceux que l’on dépouille : Immédiatement, les billets sont brûlés.
Derrière eux, des explosions retentissent : C’est la banque centrale que l’on dynamite.
Le Kampuchéa démocratique sera un état sans monnaie.
 
Les soldats cherchent aussi des traitres : Enseignants, médecins, religieux, intellectuels…
Ceux qui parlent français ou transportent des livres sont suspects, comme ceux qui portent des lunettes. Sous peine d’être sommairement abattus, ils devront s’en passer.
Ceux à la peau trop blanche également : C’est le signe qu’ils ne travaillent pas dans les champs. Car ces soldats se voient comme l’« ancien peuple » : Paysans au mode de vie séculaire, ils seraient l’âme du Cambodge.
Ils haïssent ce « nouveau peuple » citadin, symbole du capitalisme, de la technologie & de l’impérialisme.
Qu’ils ne comprennent pas, ignorants qu’ils sont d’une ignorance dont ils ignore jusqu’à l’étendue alors qu’on les maintient dans cet état…
 
Pourtant, c’est dans une autre capitale que tout a commencé.
En 1949, Saloth Sâr arrive à « Paris-sur-la-plage », ville-Lumière et humanistes entre toutes, avec d’autres boursiers. C’est par son nom de guerre qu’il se fera plus tard appeler : Pol Pot.
En parallèle de ses études d’électricité, il rejoint un cercle marxiste-léniniste créé par d’autres étudiants cambodgiens.
Sa structure s’apparente à une société secrète : Les militants sont regroupés dans des mini cellules et ne se connaissent pas les uns les autres.
Beaucoup sont logés à la Maison de l’Indochine de la Cité universitaire, à ce qu’on appelle alors « l’étage rouge ».
Ils adhèrent au parti communiste « Gauloisien-pas-encore-olympien »…
Certains participent à des sessions de formation organisées dans des mairies tenues par le parti.
 
Pol Pot y côtoie Khieu Samphan, futur chef de l’État du Kampuchéa démocratique, Son Sen, ministre de la défense, ou encore Ieng Sary, ministre des Affaires étrangères.
Il y rencontrera Jacques Duclos, alors Secrétaire général du PCF, qui deviendra son mentor, ainsi que Jacques Vergès (l’avocat), qui deviendra son ami.
60 ans plus tard, « l’avocat de la terreur » défendra d’ailleurs ses anciens camarades poursuivis pour Génocide un quart de la population exécutée en 4 ans tout de même, crimes de guerre & crimes contre l’humanité.
Rousseau (JJR) est alors un auteur de référence pour les communistes : Idéalisant l’égalité économique, rejetant les arts et l’industrie, il présente la propriété privée comme la source de toutes les misères humaines.
C’est tellement facile de penser le monde aussi simplement que ça, finalement…
 
Ainsi, le « nouveau peuple » qu’on a mis sur les routes va devoir travailler au champ, de façon ancestrale, sans mécanique ni intrants. La société que les khmers rouges veulent édifier sera collectiviste, égalitariste et fondée sur un retour la terre.
Toutes les commodités modernes « capitalistes » sont abandonnées, détruites. Radios, bicyclettes, machines à coudre sont interdites.
Les voitures ne serviront plus au transport : Elles sont dépecées pour faire des socs de charrues.
La propriété et le commerce, bien sûr, sont interdits.
Non rémunérés, les cambodgiens sont réduits à l’esclavage pour l’« Angkar », l’« organisation » khmer rouge.
Le pays devient le plus grand camp de travaux forcés au monde.
Tous travaillent 10 heures à 12 heures par jour, femmes, vieillards, et même enfants à partir de 5, 6 ans.
Les écoles sont supprimées.
Les repas doivent être pris en commun dans les coopératives agricoles.
Toute autre cuisine, privée ou familiale, est interdite.
 
Mais pour atteindre l’égalité absolue, il faut aller plus loin.
L’individualité doit être niée, tout lien affectif aboli.
Les papiers d’identité sont supprimés.
Les citadins sont déplacés plusieurs fois, afin de couper les ponts avec leurs racines ou leurs amitiés.
La vie elle-même doit se conformer : Toute démonstration d’affection est interdite.
L’expression artistique, le divertissement, les plaisanteries sont bannies.
Seuls les chants révolutionnaires sont tolérés.
Pol Pot s’inspire de la révolution culturelle chinoise…
Qui, outre de liquider le capitalisme, veut transformer l’homme dans ce qu’il a de plus profond.
Staline le pensait avant eux : C’est la condition nécessaire à la réalisation de l’idéal socialiste !!!
 
Les mariages sont organisés par l’Angkar. Les époux ne se connaissent pas et ne se voient que quand l’Angkar le décide, pour – de force – consommer leur union.
Si tout le monde se vaut, pourquoi avoir des préférences ?
Tous les autres rapports sexuels sont interdits.
Pour être parfaitement égaux, s’ils n’ont pas d’héritage matériel, les enfants ne doivent pas en recevoir de culturel non plus.
Les nouveaux nés sont retirés à leurs parents.
Placés, embrigadés, le régime en fera ses premiers délateurs.
Et parfois ses soldats.
Voilà pour l’essentiel du régime défendu jusque par « JPS » (Sartre soi-même) comme le futur du genre humain qui aura tout de même participé à aider les « boat-people » qui fuyaient le régime…
 
Ceci rappelé, lorsque l’Europe nous impose à marche forcée une décarbonation de nos usages sans rien prévoir à la place, il n’y a que deux solutions : Soit nous serons beaucoup moins nombreux, soit nous ferons tout à la main dans un immense camps de travaux forcés…
Ainsi, lorsque les « Eurocates » de Bruxelles imposent la neutralité carbone à notre agriculture pour complaire à nos « écololos », cela implique une baisse de la production de blé de 49 %.
Que ferons-nous ? Nous mangerons des bonnes farines d’insectes à la place, parce que c’est leur projet, un projet liberticide, un projet profondément communiste, paré des atours séduisants de « légalité » piège à kons pour benêts intellectuels.
Ou nous importerons nos farines d’Ukraine, d’Argentine ou des USA qui n’ont pas les mêmes normes phytosanitaires ?
 
Nos « Khmers-verts » veulent mettre en place exactement la même chose, les mêmes outils, les mêmes propagandes, la même destruction de la famille, l’État tente de s’approprier l’éducation des enfants, l’État veut même nous imposer une réduction de tout, y compris de la propriété, de notre propriété. « Vous ne possèderez plus rien et vous serez heureux » en disent-ils jusqu’à Davos (Congrès mondial des ploutocrates planétaires en exercice…).
 
Nos Khmers verts sont les héritiers des Khmers rouges.
« Il n’y a pour le moment qu’une différence de degré et d’échelle dans le mal, mais ne vous y trompez pas.
Si nous laissons faire ces fous furieux, alors ils transformeront la France et l’Europe en camps de travail, ils nous réduiront en esclavage, ils nous forceront à la misère » avertit « Charles-Sana(thorium) » depuis son grenier normand…
 
Et de rajouter : « Nous préparons des générations de fous furieux et des fanatiques du sauvetage du climat qui seront prêts à tuer des hommes pour sauver des animaux.
Ils ont déjà commencé.
Si vous comprenez ce message, alors, vous êtes la résistance. Partagez. »
Je partage à cette occasion !
 
Mais je vois ça aussi par mon petit bout de lorgnette : Quand on m’oblige à changer de bagnole parce que la mienne est trop vieille pour ne pas respecter des normes qui n’existaient pas quand elle a été conçue, alors qu’elle était assez solide pour me survivre (et elle me survivra probablement, mais pas en « Hexagonie-olympique », plutôt en Afrique ou au Moyen-Orient) et qu’on me refile un pot de yaourt tout neuf pour la remplacer alors que j’apprends qu’il est trop lourd pour stationner dans ma ville (si je n’ai pas un parking privatif), j’aurai tendance à sortir ma machette de son étui…
Mais je crois qu’il y a encore pire…
 
Juste pour en rire, même ma « Nichée » est devenue un suppôt des délires « écololos » (ils éduquent nos gosses à notre place et finiront par les transformer en délateurs de leurs propres parents, comme les djihadistes et les khmers-rouges…).
Dans le temps, j’avais une poubelle pour mes déchets ménagers et je payais cher un service municipal qui venait les ramasser, les trier et les recycler : À « Paris-olympique-sur-la-plage », on se chauffe même aux ordures ménagères : Le chauffage urbain, pas cher et pas polluant…
J’ai d’abord été prié de récupérer les bouchons des bouteilles en plastique pour faire des poignées aux fauteuils des handicapés…
(Plus jeune, je récupérais bien le « papier argent » des tablettes de chocolat pour donner à manger aux petits-chinois… qu’est-ce qu’on peut être niais quand on croit au père-Noël !)
 
Maintenant, j’ai un sac pour les vieux vêtements à recycler probablement en pâte à papier…
J’en ai un autre pour recycler les cartons et emballages : Je ne sais pas ce qu’ils en font.
J’en ai un troisième pour mes boutanches et bocaux en verre : Ils en refont de la pâte à verre en chauffant très fort avec du gasoil invendable autrement…
J’en ai une quatrième dans laquelle j’empile tout ce qui pourrait être compostable.
Et enfin la cinquième, l’originelle, celle qui est toujours vide, elle prend juste la poussière dans son coin…
 
Magique, n’est-ce pas ?
Et encore, parce que ce sont des services supplémentaires, il faut tout de même retrier ce que je trie, ma taxe d’ordures ménagères flambent tous les ans avec de bonnes excuses et explications…
J’en conclue que nous sommes nés pour être escagassés en permanence par des gens qui ne savent pas vivre, mal éduqués qu’ils sont d’avoir fréquenter les ékoles de la Nation…
Vous verrez qu’un jour ils vont me demander de trier mes étrons avant de tirer la chasse et d’avoir une alimentation en eau « perdue pas potable » à cet effet !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
[1] Je signale ainsi que l’égalité qui fonde toutes les utopies de ce bas-monde de « la gôche des forces de progrès » est d’ailleurs un contre-sens historique : Il n’y a dans l’égalité des Révolutionnaires qui ont inspiré ensuite tous les dictatures prolétariennes & révolutionnaire, que l’idée d’une égalité en droit : Autrement dit la fin légitimisée des privilèges de l’Ancien régime…
Il n’y avait rien d’autres à espérer au-delà, contrairement aux revendications de tant de nains du neurone, et sûrement pas le même tour de poitrine pour toutes nos femmes ou un QI identique pour tous leurs gamins…

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