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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 26 octobre 2023

Se pose-t-on les bonnes questions ?

La place du terrorisme en Palestine…
 
A-t-on déjà oublié que c’est l’antisémitisme européen qui est à l’origine de la création d’Israël ?
On peut discuter à l’infini sur le bien-fondé de la création d’un État confessionnel, sur les ruines d’un territoire sous protectorat britannique dans l’entre-deux-guerres, mais il n’empêche, Israël, sans être une théocratie, est tout de même une nation confessionnelle, par essence.
Et de toute façon, quand ce sont des anglo-saxons qui s’occupent du bonheur d’autrui, forcément, partout et à toute époque, ça se termine en catastrophe sanguinolente.
C’est comme ça. Alors un de plus ou un de moins, n’est-ce pas…
D’autant qu’il faut noter que les non-anglo-saxons ne sont pas meilleurs à ce jeu-là : C’est juste un constat.
 
Le territoire palestinien aura longtemps une terre d’accueil bien malgré lui de la diaspora juive en exil, financée par des coreligionnaires « ricains » tel qu’après la seconde guerre mondiale et la découverte de ce qui aura été un choc de la « solution finale », il devenait impératif, en conscience, d’accorder une terre aux juifs.
Je dirai plutôt un vaste ghetto dépotoir, sans ressource naturelles et tant qu’à faire sur des terres squelettiques (il n’y a toujours pas d’eau sur la partie orientale du pays : Un caprice météorologique…)
Sauf que là où ils ont colonisé et créé leurs Kibboutz (sur le modèle du Kolkhose de Vladimir Ilitch Oulianov d’ailleurs, ou inversement : Bref, c’était dans l’air…), ça aura pu fleurir dès que les colons se sont retroussés les manches.
Et, par ailleurs, quelle que soit la conviction laïque que l’on puisse avoir, force est de constater que dans le monde il y a des religions, que la religion juive est l’une d’entre elles, et que c’est contraints et forcés par l’antisémitisme européen que des Juifs ont fondé l’État d’Israël sur les lieux saints du Christianisme.
 
La création de cet État a déplacé 400.000 Palestiniens en 1948. Un nombre est peu contestable.
Ces Palestiniens qui, pour la plupart, ne possédaient à l’époque ni passeport ni papiers, qui n’avaient pas de réelle « nationalité » au sens moderne du terme, étaient des Arabes qui parlaient la même langue, avaient les mêmes coutumes, et une culture proche de celle de leurs voisins, aujourd’hui séparés par des frontières artificielles.
 
Ok, mais alors, pourquoi les « frères arabes » de ces Palestiniens n’ont-ils jamais voulu accueillir cette population somme toute marginale par rapport à la taille de leurs États et de leurs populations ?
Alors que, historiquement après la guerre d’Algérie, les « Gauloisiens-métropolitains » ont bien recueilli un million de réfugiés qui n’avaient bien souvent jamais mis les pieds en « Gauloisie-native », avec une culture qui était probablement plus éloignée de celle des « métros » que la culture et le mode de vie des Palestiniens ne l’étaient de celles de leur voisins égyptiens, syriens, libanais ou jordaniens. Les palestiniens d’origine déplacés l’ont été dans des camps de réfugiés !
En Jordanie (chez des « cousins ») avec un seul fleuve à franchir, ou dans le Sinaï, parmi les bédouins : Cruel…
Le fait est que les Palestiniens aient été parqués dans des camps au lieu d’être assimilés par leurs frères arabes.
Et même si la « Gauloisie-impériale » avait décidé de parquer ses réfugiés Nord-africains dans des camps, pieds-noirs et harkis confondus, la terre entière aurait, à juste raison, crié au scandale.
Ce qu’il ne s’est pas gêné de faire.
Mais pas pour les palestiniens déplacés…
Curieux, et ça devrait nous interroger.
 
Si le rejet des Palestiniens par leurs voisins immédiats n’a pas été critiqué par les autres nations arabes, c’est que l’exode du peuple palestinien a provoqué la naissance d’un bouc émissaire, Israël, extrêmement pratique pour les dirigeants de ces pays.
Et les pays arabes ont systématiquement joué la politique du pire : Ils n’ont jamais voulu trouver une solution problème palestinien, parce que la diabolisation d’Israël leur a constamment servi à détourner leurs opinions publiques des vrais problèmes internes à leurs États : Corruption, échec économique, socialisme rampant et j’en passe.
 
L’ennemi extérieur, bien identifié, responsable de tous les maux des pays arabes, c’est alors Israël. Une forme d’antisémitisme né du sionisme juif.
Que la misère et l’absence de libertés soient criantes dans ces pays, peu importe, puisque régulièrement, l’attention de la population est accaparée par le conflit israélo-palestinien.
De l’Arabie saoudite au Maroc, le peuple est focalisé sur les Juifs qui « colonisent la terre arabe ».
Depuis 50 ans les ploutocraties arabes utilisent ainsi Israël comme bouc émissaire : C’est un constat.
Les Palestiniens sont maintenus dans la misère. Les aides européennes ne parviennent pas à leurs destinataires, détournées par un pouvoir palestinien corrompu, mais inconditionnellement soutenu par les dictatures arabes.
Les richissimes Saoudiens, les émirats, le Koweït, ne lèvent pas le petit doigt pour aider leurs frères, sauf pour les armer ou pour financer des écoles coraniques obscurantistes.
Il faut dire qu’ils ont applaudit Saddam Hussein durant l’été 1990, que ça aura marqué les esprits au point de faire trembler les pétromonarchies locales jusqu’à se faire expulser des émirats dès après l’invasion du Koweït.
Dès lors, la situation leur permet à merveille de focaliser la contestation en dehors de leurs frontières.
 
Si l’on se penche sur les dictatures arabes et musulmanes qui utilisent de façon récurrente Israël comme la cause directe ou indirecte des malheurs de leurs peuples, on trouve une vingtaine d’États : Iran, Irak, Afghanistan, Pakistan, Arabie Saoudite, Émirats, Koweït, Oman, Syrie, Jordanie, Liban, Égypte, Yémen, Soudan, Algérie, Tunisie, Libye et, dans une moindre mesure depuis quelque temps, le Maroc, qui totalisent 800 millions d’habitants sur une superficie de 15 millions de km², trois fois la taille de l’Europe politique.
Israël, ce sont environ 9 millions d’habitants et une superficie de 21.000 km², un lilliputien qui fait à peine trois départements Gauloisiens.
Ces chiffres donnent la mesure de la grotesque disproportion entre la vision subjective du problème vu par les peuples arabo-musulmans, et sa réalité démographique et territoriale.
 
Cette existence d’un État juif a également servi aux pays arabes à se débarrasser des Juifs sur leur territoire.
Sous le double couvert de la décolonisation et du sionisme naissant, après-guerre, les pays arabes ont chassé 700.000 Juifs de chez eux !
Ainsi, les Juifs d’Algérie, du Maroc, de Tunisie et d’Égypte, dont les origines remontaient à l’Inquisition, ou parfois même bien avant, et qui n’avaient rien à voir avec les colons européens, ont émigré contraints et forcés vers l’Europe (en majorité), mais également vers les Amériques, en Australie ou en Israël.
Le Maroc a vu sa population juive passer de 250.000 à 4.000 habitants en 40 ans.
L’Égypte a vu sa population juive passer de 80.000 habitants en 1947 à moins de 10 habitants, aujourd’hui terrés dans le quartier Copte du Caire.
En Algérie, les juifs sont passés de 140.000 à moins de 1.000.
Au Liban, c’est de 7.000 à moins de 1.000.
En Tunisie de 110.000 à moins de 5.000 (et ce ne sont pas les meilleurs, puis-je affirmer pour en connaître quelques-uns).
Quant à l’Irak, s’ils étaient 120.000, ils ne sont désormais moins de 400 et pire en Libye : De 30.000, il n’y en a plus aucun.
Vous saisissez le problème ?
Je vous donne ces chiffres avec quelques réserves toutefois : Ils sont difficiles à collecter, de sources pas forcément sûres ni même officielles et de toute façon personne n’en parle jamais, ne serait-ce que pour s’étonner (avant que de s’indigner), y compris dans la presse d’opinion nationale (chez les trolls et dans les « fakes-news » Poux-tiniennes. Et bien sûr même pas chez les « insoumis »).
Mais à part ça, c’est moâ qu’on accuserait presque d’être antisémite…
 
Et je me rends compte que mon antisionisme embryonnaire, finalement, doit faire enrager mes potes mahométans : Je leur coupe l’herbe sous les pieds sans le savoir : Ils ne peuvent pas rivaliser avec les seuls 400.000 palestiniens déplacés qui de toute façon vivent en Cisjordanie ou dans l’enfer de la bande de Gaza, chez eux, eux.
Mais c’est un autre débat.
Alors que mes « potes feujs », m’écoutent gentiment : De toute façon, eux ont décidé de ne pas migrer et se sentent bien vieillir en « Gauloisie-laïque »…
 
Parce que signalons que certaines sources font état d’un million de juifs chassés de chez eux après-guerre, uniquement dans les pays arabo-musulmans.
Loin d’être volontaires, ces départs ont été provoqués par des brimades, des humiliations, l’interdiction de leurs commerces ou de leurs activités, quand il ne s’agissait pas de menaces physiques pures et simples : Les nazis ne sont pas nécessairement ukrainiens, finalement…
 
Du statut de « dhimmi », citoyen de seconde zone, octroyé par les musulmans à tous les non musulmans, les Juifs ont profité de la colonisation européenne pour retrouver des droits.
Puis, ils ont tout perdu lors de la décolonisation.
Une grande partie de leurs biens a été vendue au rabais ou confisquée à leur départ.
Ils ont été littéralement « dépouillés », volés, dévalisés : La valise ou le cercueil…
Et relevons au passage que cette population, chassée de ses terres et de ses maisons, n’a pas commis d’actes terroristes en représailles, et que la notion de « droit au retour » violente et armée n’a jamais été à son ordre du jour.
Notons également que les petits-enfants de ces Juifs expulsés de leurs pays ne s’auto-proclament pas non plus « réfugiés » par hérédité…
 
Les deux sources majeures de la détresse et de la misère palestinienne seraient donc, d’une part, l’antisémitisme, d’autre part, l’utilisation cynique par les gouvernements du monde arabo-musulman de ce problème palestinien qu’ils ont largement contribué à entretenir.
Bien entendu, d’autres facteurs interviennent dans ce théâtre d’opération d’une immense complexité.
Il ne faut pas nier l’attitude d’Israël dans les territoires occupés et l’exaspération qui en résulte.
Il faut aussi considérer, d’une façon encore plus générale, les bouleversements induits par la pénétration inexorable de l’économie de marché dans les vieilles structures claniques du monde islamique.
 
L’islamisme radical, forme de rejet violent de l’ordre spontané capitaliste et libéral propre à la nature humaine, complique encore cet imbroglio moyen-oriental en trouvant des soutiens et des ramifications dans toute la sphère anticapitaliste (nos gôchistes aveuglés par leurs dogmes).
C’est pourtant clair : Les jeunes Palestiniens se trompent donc d’adversaires, leurs voisins et coreligionnaires se moquent d’eux, les méprisent et les maintiennent dans la misère et le désespoir depuis des décennies.
Les vrais amis du peuple palestinien devraient être plus critiques à l’égard des ploutocraties arabes qui maintiennent le statu quo pour conserver leur pouvoir et/ou tenter de faire oublier leurs turpitudes : C’est facile d’avoir sous la main et d’armer des futurs martyrs qui n’ont d’autres choix que faire le coup de feu dans les rave-parties et les kibboutz de leurs voisins.
 
De la chair à canon, c’est tout que les palestiniens valent aux yeux des gouvernements musulmans : Un constat.
J’avoue que j’ai presque honte d’énoncer ce genre de vérité, d’autant que la plupart de mes « potes musulmans » ne sont pas comme ça, j’en suis certain.
Même si chez quelques-uns, ils ont forcément quelques « cousins » qui font le djihad avec enthousiasme…
Mais si personne ne le dit, qui le révélera ?
Et comment comprendre les choses autrement ?
À vous de me dire, sans haine ni violence…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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