Claudia Goldin glorifiée pour…
ses travaux sur les inégalités salariales genrées.
J’avoue que je suis à la fois « bluffé » et
rassuré : Rassuré parce qu’on savait depuis longtemps les raisons des
inégalités sexuelles en matière de rémunération salariale dans le monde du
labeur.
Mais étonné qu’on en fasse un « prix Nobel ».
Cependant l’Académie a souligné que les recherches de la Miss économiste « ricaine » avaient « fait progresser la compréhension de la situation des femmes sur le marché du travail ».
Admettons…
Personnellement, je n’ai pas fait de travaux de recherches pointues pour comprendre ce qui sautait déjà à mes yeux de « junior » en entreprise…
Elle était d’ailleurs déjà la grande favorite en 2022.
Mais elle aura été devancée par le trio Ben Bernanke, Douglas Diamond et Philip
Dybvig, autrement dit l’ancien président de la Fed, la banque centrale « ricaine »,
et ses compatriotes Douglas Diamond et Philip Dybvig, pour leurs travaux sur
les crises financières et les banques.
Car ils ont « significativement amélioré notre compréhension du rôle des banques dans notre économie, particulièrement durant les crises financières, ainsi que la façon de réguler les marchés financiers », avait annoncé le jury Nobel.
Simple : Il suffisait de balancer de l’argent gratuit dans les rouages, quitte à faire flamber l’inflation, qu’on sait maîtriser en rendant coûteux les découverts !
(J’ai assez été racketté durant mes « années galères » pour avoir rapidement compris ça…)
« Une importante découverte de leurs
recherches a été de montrer pourquoi éviter l’effondrement des banques est
vital », a souligné le comité de l’Académie suédoise des sciences
chargé de décerner le prix.
Douglas Diamond et Philip Dybvig avaient quant à eux développé des modèles théoriques montrant pourquoi les banques existent et pourquoi leur rôle dans la société les rend vulnérables à la rumeur sur leur effondrement imminent.
Leurs travaux ont notamment débouché sur le modèle Diamond-Dybvig sur les paniques bancaires autoréalisatrices. « Si un grand nombre d’épargnants se ruent simultanément à leurs banques pour retirer de l’argent, la rumeur peut devenir une prophétie autoréalisatrice », soulignait alors le jury Nobel.
En bref, les désastres monétaires, c’est d’abord dans la tête…
Rien de nouveau sur la planète finance, finalement.
Pour Claudia, il est tout d’abord à noter son angle d’étude,
très particulier, qui fait la part belle à l’analyse historique et
individualisée.
Elle y fait apparaître, à travers de très longues enquêtes temporelles sur les XXème et XXIème siècles, des différences de rémunération basées sur les actions et les comportements individuels.
Selon elle, quand bien même les différences puissent être expliquées par de la discrimination sexiste, des écarts en matière d’études voire de productivité, ce qui compte essentiellement, c’est l’investissement consenti pour obtenir le meilleur salaire possible.
Un raisonnement de pur libéralisme économique…
Dans son livre (Career and family – Women’s
century-long journey toward equity, paru en 2021), Claudia Goldin analyse
différents groupes de travailleuses américaines et montre que le niveau d’études
ou l’accès au travail pèse moins sur les écarts de rémunération que le temps
accordé à l’entreprise.
C’est exactement ça…
Autrement dit, toutes choses égales par ailleurs (compétences, niveau de formation, etc.), s’il y a une différence au niveau de la paie avec les hommes, cela s’expliquerait tout simplement par un moindre investissement, subi ou voulu, des femmes sur le marché du travail.
Le salarié corvéable et taillable à merci, week-end, soirée et nuitée compris, il faut aller le chercher chez les « Kouillus » et, sauf exception (la main droâte « d’Élan-Must » qui dormait entre les rangées de strapontin sur son lieu de travail et lourdée depuis…) pas vraiment chez les « poulies-fendues » qui ont notamment charge de famille…
Et puis elles sont nombreuses à ne pas supporter la moindre pression, s’imaginant tout de suite être cibles d’ignobles harcèlements (alors qu’elles sont pour la plupart imbaisables), pour cause de charmes incendiaires qu’elles mettent parfois des plombes à enflammer devant leur table de maquillage et leur armoire à tenues… « idoines ».
Notez que c’est comme ça qu’on les apprécie aussi (et elles le savent…)
Car, dans la mesure où elles privilégieraient leur rôle de mère dans une société encore marquée par le sceau du patriarcat, elles offriraient moins de temps à leur employeur, voire à leur travail, et obtiendraient donc une plus faible rémunération que leurs collègues masculins.
Raisonnement « kukul-la-praline ».
Si c’était si simple, mais même pas !
Claudia Goldin appuie sa démonstration sur la
comparaison de plusieurs groupes et sur des temporalités différentes.
Constat : Les femmes ayant eu accès à l’université sont mieux rémunérées que celles d’une autre époque, victimes de discrimination genrée et n’ayant pas, ou plus difficilement, eu accès à des études longues.
Les plus qualifiées sont toutefois à leur tour moins bien payées si elles ont des enfants, puisqu’elles font alors généralement le choix d’un investissement dans leur famille plutôt que dans une carrière.
« Les entreprises récompensent non seulement la compétence, mais aussi une forme extrême “d’assiduité” au travail : la capacité de travailler de très longues heures, à des heures indues, de pouvoir être contacté à toute heure, d’être là pour voir des clients, même le soir, etc. », affirmait la professeure d’économie Hélène Rey à propos de Claudia Goldin dès 2014.
Les femmes seraient donc moins bien payées parce qu’elles n’auraient pas les moyens de s’investir autant que les hommes, peu ou moins confrontés à la responsabilité des tâches ménagères et du foyer.
Il n’y a pas que ça : Car libérées de leur « tâches
ménagères » durant leurs études, nos femmes succombent souvent à leur
envie de maternité…
Et sauf à passer à côté de leur vie de femme, ça, ça demande du temps. C’est chronophage à souhait.
Alors que la paternité ne nécessite pas de s’investir autant, ce qui libère les énergies pour autre chose et notamment l’entreprise (qui fournit travail & labeur et paye en fin de mois [ou de semaine chez les « ricains »]).
C’est là que se fait la différence, à l’entrée assumée et maturée de l’âge adulte, et le gap qui se crée à ce moment-là n’est plus rattrapable par la suite…
La solution, selon l’économiste nouvellement nobélisée
?
Bé juste l’action des pouvoirs publics en faveur des égalités parentales, des congés parentaux aux aides familiales.
Il faut donner autant de chances aux deux parties de s’engager à la fois dans le monde professionnel et dans la vie familiale, afin d’éviter que les inégalités se maintiennent.
Autrement dit un abaissement forcé vers le moins « performant »…
Qui n’a pas que des inconvénients.
Même si c’est parfois compliqué de se lever au milieu de la nuit pour rentrer à temps rencontrer sa « Nichée » avant qu’elle ne s’endorme…
Sauf qu’une fois ces égalités de dotation actées, l’écart
de salaire serait directement imputable aux acteurs.
L’analyse de Claudia est donc entièrement basée sur la responsabilité individuelle : Si les femmes gagnent moins que les hommes, à compétences et CV similaires, c’est parce qu’elles ne s’investiraient pas assez, qu’elles privilégieraient leur vie familiale et qu’elles ne pourraient pas assumer autant de temps de travail.
Là, c’est sans surprise : Cette vision est depuis longtemps défendue et retenue par l’Académie suédoise.
Le comité soutient une économie libérale, orthodoxe, à visée individualiste et individualisante.
Mais de là à nobeliser une personne qui verse de l’eau à son moulin dogmatique…
Un monde rêvé où les destins et les statuts seraient directement décidés par les individus, responsables et maîtres de leur destin, alors que chacun sait que c’est nettement plus compliqué que ça et que trop souvent, c’est la vie qui choisit pour vous.
Le dogme sous-jacent est que dans un monde libre à la concurrence quasi parfaite, les méritants seraient récompensés et les perdants blâmés.
Et où les inégalités seraient finalement légitimées par les choix individuels.
Autrement dit, le monde défendu par Claudia fait
référence à la vision d’un autre économiste américain, Gary Becker, récompensé
du prix Nobel en 1992 pour son analyse de la micro-économie par le prisme des
comportements humains : Selon lui, l’ensemble de nos actes, de nos
actions, de nos décisions seraient décidés selon un calcul coût-avantage
réfléchi et maximisé : Les relations familiales, amicales, de couple, le
mariage, etc.
Toutes nos relations interpersonnelles seraient ainsi établies parce que considérées comme bénéfiques pour notre propre statut : Nous nous marions, nous avons des enfants et des amis non parce que cela nous fait du bien, mais par intérêt économique et pécuniaire.
L’exemple le plus connu (et toujours cité) est celui de l’anniversaire : Lorsque nous offrons un cadeau à un ami, ce ne serait pas par altruisme ou par générosité, il s’agirait plutôt d’un investissement puisque nous espérons à notre tour en recevoir un le jour de notre anniversaire.
Franchement, faut-il être kon pour avoir des raisonnements pareils !…
Moâ, quand je fais un cadeau, c’est pour faire plaisir. Ça me fait plaisir de faire plaisir, sans ça je ne le fais pas.
Et je n’attends aucun retour…
Pour en revenir à Claudia Goldin, si les femmes
gagnent moins que les hommes ce n’est pas parce qu’elles subissent les diktats
de la société patriarcale discriminante, mais parce qu’elles consentent à un
investissement professionnel moindre.
Les décisions individuelles seraient ainsi prises selon un rationnel calcul coût-avantage.
Combien cela me rapporterait-il d’avoir un enfant ?
Gagnerais-je plus à renoncer à en avoir ?
À rester plus longtemps au travail ?
À investir dans mes compétences ?
Qu’on y croie ou non, ce nouveau Nobel vient encore une fois valider cette vision très particulière de l’économie qui reste complètement fausse.
Si nos femmes font des enfants, c’est qu’elles en ont une urgente envie.
Et on les comprend : On ne vit qu’une fois et le boulot passe après.
En revanche, si les femmes sont en général moins bien payées
que les hommes (à formation et compétences égales), c’est probablement parce qu’elles
font passer leurs marmots avant les urgences d’entreprise, ces imprévus qui
deviennent impondérables et qui vous pourrissent la vie (vespérale, parfois
nocturne et souvent sociale).
Alors, ce sont leurs meks qui prennent le fusil et les pelles et se retroussent les bras de chemise pour assumer à faire « tourner la boutique », les mains dans la gadoue et le cambouis pour assurer les payes de tout le monde à la fin du mois : Eux sont disponibles et assument, en principe, leurs responsabilités en toutes occasions.
Les autres se font lourder pour faute grave.
Vous en trouver plein des comme ça : Ils font un « burn out » !
Bien commode pour cacher l’incompétence du moment, cette dénomination médicale.
Et c’est de l’observation assidue de choses vécues.
ses travaux sur les inégalités salariales genrées.
Mais étonné qu’on en fasse un « prix Nobel ».
Cependant l’Académie a souligné que les recherches de la Miss économiste « ricaine » avaient « fait progresser la compréhension de la situation des femmes sur le marché du travail ».
Admettons…
Personnellement, je n’ai pas fait de travaux de recherches pointues pour comprendre ce qui sautait déjà à mes yeux de « junior » en entreprise…
Car ils ont « significativement amélioré notre compréhension du rôle des banques dans notre économie, particulièrement durant les crises financières, ainsi que la façon de réguler les marchés financiers », avait annoncé le jury Nobel.
Simple : Il suffisait de balancer de l’argent gratuit dans les rouages, quitte à faire flamber l’inflation, qu’on sait maîtriser en rendant coûteux les découverts !
(J’ai assez été racketté durant mes « années galères » pour avoir rapidement compris ça…)
Douglas Diamond et Philip Dybvig avaient quant à eux développé des modèles théoriques montrant pourquoi les banques existent et pourquoi leur rôle dans la société les rend vulnérables à la rumeur sur leur effondrement imminent.
Leurs travaux ont notamment débouché sur le modèle Diamond-Dybvig sur les paniques bancaires autoréalisatrices. « Si un grand nombre d’épargnants se ruent simultanément à leurs banques pour retirer de l’argent, la rumeur peut devenir une prophétie autoréalisatrice », soulignait alors le jury Nobel.
En bref, les désastres monétaires, c’est d’abord dans la tête…
Rien de nouveau sur la planète finance, finalement.
Elle y fait apparaître, à travers de très longues enquêtes temporelles sur les XXème et XXIème siècles, des différences de rémunération basées sur les actions et les comportements individuels.
Selon elle, quand bien même les différences puissent être expliquées par de la discrimination sexiste, des écarts en matière d’études voire de productivité, ce qui compte essentiellement, c’est l’investissement consenti pour obtenir le meilleur salaire possible.
Un raisonnement de pur libéralisme économique…
C’est exactement ça…
Autrement dit, toutes choses égales par ailleurs (compétences, niveau de formation, etc.), s’il y a une différence au niveau de la paie avec les hommes, cela s’expliquerait tout simplement par un moindre investissement, subi ou voulu, des femmes sur le marché du travail.
Le salarié corvéable et taillable à merci, week-end, soirée et nuitée compris, il faut aller le chercher chez les « Kouillus » et, sauf exception (la main droâte « d’Élan-Must » qui dormait entre les rangées de strapontin sur son lieu de travail et lourdée depuis…) pas vraiment chez les « poulies-fendues » qui ont notamment charge de famille…
Et puis elles sont nombreuses à ne pas supporter la moindre pression, s’imaginant tout de suite être cibles d’ignobles harcèlements (alors qu’elles sont pour la plupart imbaisables), pour cause de charmes incendiaires qu’elles mettent parfois des plombes à enflammer devant leur table de maquillage et leur armoire à tenues… « idoines ».
Notez que c’est comme ça qu’on les apprécie aussi (et elles le savent…)
Car, dans la mesure où elles privilégieraient leur rôle de mère dans une société encore marquée par le sceau du patriarcat, elles offriraient moins de temps à leur employeur, voire à leur travail, et obtiendraient donc une plus faible rémunération que leurs collègues masculins.
Raisonnement « kukul-la-praline ».
Si c’était si simple, mais même pas !
Constat : Les femmes ayant eu accès à l’université sont mieux rémunérées que celles d’une autre époque, victimes de discrimination genrée et n’ayant pas, ou plus difficilement, eu accès à des études longues.
Les plus qualifiées sont toutefois à leur tour moins bien payées si elles ont des enfants, puisqu’elles font alors généralement le choix d’un investissement dans leur famille plutôt que dans une carrière.
« Les entreprises récompensent non seulement la compétence, mais aussi une forme extrême “d’assiduité” au travail : la capacité de travailler de très longues heures, à des heures indues, de pouvoir être contacté à toute heure, d’être là pour voir des clients, même le soir, etc. », affirmait la professeure d’économie Hélène Rey à propos de Claudia Goldin dès 2014.
Les femmes seraient donc moins bien payées parce qu’elles n’auraient pas les moyens de s’investir autant que les hommes, peu ou moins confrontés à la responsabilité des tâches ménagères et du foyer.
Et sauf à passer à côté de leur vie de femme, ça, ça demande du temps. C’est chronophage à souhait.
Alors que la paternité ne nécessite pas de s’investir autant, ce qui libère les énergies pour autre chose et notamment l’entreprise (qui fournit travail & labeur et paye en fin de mois [ou de semaine chez les « ricains »]).
C’est là que se fait la différence, à l’entrée assumée et maturée de l’âge adulte, et le gap qui se crée à ce moment-là n’est plus rattrapable par la suite…
Bé juste l’action des pouvoirs publics en faveur des égalités parentales, des congés parentaux aux aides familiales.
Il faut donner autant de chances aux deux parties de s’engager à la fois dans le monde professionnel et dans la vie familiale, afin d’éviter que les inégalités se maintiennent.
Autrement dit un abaissement forcé vers le moins « performant »…
Qui n’a pas que des inconvénients.
Même si c’est parfois compliqué de se lever au milieu de la nuit pour rentrer à temps rencontrer sa « Nichée » avant qu’elle ne s’endorme…
L’analyse de Claudia est donc entièrement basée sur la responsabilité individuelle : Si les femmes gagnent moins que les hommes, à compétences et CV similaires, c’est parce qu’elles ne s’investiraient pas assez, qu’elles privilégieraient leur vie familiale et qu’elles ne pourraient pas assumer autant de temps de travail.
Là, c’est sans surprise : Cette vision est depuis longtemps défendue et retenue par l’Académie suédoise.
Le comité soutient une économie libérale, orthodoxe, à visée individualiste et individualisante.
Mais de là à nobeliser une personne qui verse de l’eau à son moulin dogmatique…
Un monde rêvé où les destins et les statuts seraient directement décidés par les individus, responsables et maîtres de leur destin, alors que chacun sait que c’est nettement plus compliqué que ça et que trop souvent, c’est la vie qui choisit pour vous.
Le dogme sous-jacent est que dans un monde libre à la concurrence quasi parfaite, les méritants seraient récompensés et les perdants blâmés.
Et où les inégalités seraient finalement légitimées par les choix individuels.
Toutes nos relations interpersonnelles seraient ainsi établies parce que considérées comme bénéfiques pour notre propre statut : Nous nous marions, nous avons des enfants et des amis non parce que cela nous fait du bien, mais par intérêt économique et pécuniaire.
L’exemple le plus connu (et toujours cité) est celui de l’anniversaire : Lorsque nous offrons un cadeau à un ami, ce ne serait pas par altruisme ou par générosité, il s’agirait plutôt d’un investissement puisque nous espérons à notre tour en recevoir un le jour de notre anniversaire.
Franchement, faut-il être kon pour avoir des raisonnements pareils !…
Moâ, quand je fais un cadeau, c’est pour faire plaisir. Ça me fait plaisir de faire plaisir, sans ça je ne le fais pas.
Et je n’attends aucun retour…
Les décisions individuelles seraient ainsi prises selon un rationnel calcul coût-avantage.
Combien cela me rapporterait-il d’avoir un enfant ?
Gagnerais-je plus à renoncer à en avoir ?
À rester plus longtemps au travail ?
À investir dans mes compétences ?
Qu’on y croie ou non, ce nouveau Nobel vient encore une fois valider cette vision très particulière de l’économie qui reste complètement fausse.
Si nos femmes font des enfants, c’est qu’elles en ont une urgente envie.
Et on les comprend : On ne vit qu’une fois et le boulot passe après.
Alors, ce sont leurs meks qui prennent le fusil et les pelles et se retroussent les bras de chemise pour assumer à faire « tourner la boutique », les mains dans la gadoue et le cambouis pour assurer les payes de tout le monde à la fin du mois : Eux sont disponibles et assument, en principe, leurs responsabilités en toutes occasions.
Les autres se font lourder pour faute grave.
Vous en trouver plein des comme ça : Ils font un « burn out » !
Bien commode pour cacher l’incompétence du moment, cette dénomination médicale.
Mais ce constat ne vaut pas, à mon sens, un prix Nobel,
même d’économie.
À croire que l’économie n’a de « science » que le mot dont on affuble les observations accumulées au fil des siècles.
Mais l’affirmer, c’est un peu comme pisser dans un violon en espérant qu’il danse la polka : Pourtant c’est ce que ce prix décerné en grandes pompes tous les ans aurait tendances à démontrer…
Car il vaut au moins aussi bien que quelques « IG Nobel », finalement…
Des faux « Nobel », rien de mieux.
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE
PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN
LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN
AGENT « NON RUSSE » !
À croire que l’économie n’a de « science » que le mot dont on affuble les observations accumulées au fil des siècles.
Mais l’affirmer, c’est un peu comme pisser dans un violon en espérant qu’il danse la polka : Pourtant c’est ce que ce prix décerné en grandes pompes tous les ans aurait tendances à démontrer…
Car il vaut au moins aussi bien que quelques « IG Nobel », finalement…
Des faux « Nobel », rien de mieux.
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