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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 29 octobre 2023

Sujets scientifiques d’importance : Le sexe !

La connaissance progresse sur ce point… si délicat
 
I ― Pour commencer, au moins 8 points qui devraient changer votre perception de ce sujet. Pourtant, encore aujourd’hui, le sexe reste tabou : Le sujet est peu poussé lors des cours d’éducation sexuelle au lycée, et nombreux sont ceux qui rechignent à l’aborder avec leur partenaire. Résultat, les idées reçues et les désinformations sur la sexualité et le désir sont monnaie courante.
« Il y a tellement de mythes qui circulent, et ils peuvent causer beaucoup de dégâts », assure une professeure de psychologie spécialisée dans la sexualité à l’Université de Floride.
Et pour y remédier, un groupe de sexologues dresse la liste des mythes liés au sexe qu’elles souhaiteraient voir disparaître.
 
De nombreux adolescents pensent que « tout le monde le fait », ce qui les pousse à avoir des relations sexuelles alors qu’ils ne se sentent pas prêts. Ce mythe peut également donner l’impression aux personnes engagées dans une relation à long terme qu’elles sont les seules à connaître des périodes avec moins de libido, alors qu’elles ne font qu’expérimenter les fluctuations naturelles du désir.
« Une personne sur trois déclare ne pas avoir eu de rapports sexuels avec quelqu’un au cours de l’année précédente », confie la directrice du centre de santé sexuelle de l’Université de l’Indiana. Une étude observe d’ailleurs une diminution de l’activité sexuelle globale ces dernières années.
Les scientifiques attribuent ce déclin à l’augmentation des sextos, de la pornographie en ligne, ainsi qu’à la diminution de la consommation d’alcool chez les jeunes.
Personnellement, j’aurai plutôt tendance à observer qu’à notre époque de « boomer », il y avait surtout beaucoup plus de vantard que chez la génération « Z »…
Mais ce n’est pas un avis « scientifique ».
 
Par ailleurs, la plupart des gens auraient tendance à s’enferment dans des « scripts sexuels », qui véhiculent l’idée qu’un rapport doit commencer par des préliminaires et se terminer par une pénétration.
Or, les préliminaires sont souvent sautés et la pénétration n’est pas forcément l’objectif.
D’ailleurs certains dénonce : « Dans la plupart des films, les femmes ont des orgasmes rapides et fabuleux après une pénétration, et les préliminaires n'en sont que le prélude. »
Et ce raisonnement contribue à perpétuer l’écart de plaisir qui existe depuis longtemps entre les hommes et les femmes lors de relations hétérosexuelles : 75 % des hommes affirment avoir eu un orgasme lors de chaque rapport qu’ils ont eu au cours du mois précédent, contre 33 % des femmes.
Bé oui, c’est compliqué les orgasmes de femmes… Et puis elles peuvent simuler plus facilement qu’un kouillu.
Une autre enquête révèle que 18 % des femmes ont eu un orgasme grâce à la seule pénétration, tandis que 37 % déclarent avoir eu besoin en plus d’une stimulation clitoridienne externe.
Comme quoi…
 
Autre chose : « La sécheresse vaginale touche davantage les femmes âgées, mais elle peut survenir même chez les plus jeunes ». 17 % des femmes âgées de 18 à 50 ans souffrent de sécheresse vaginale pendant les rapports sexuels, contre plus de 50 % après la ménopause.
Elle peut aussi survenir pendant l’allaitement, à cause de médicaments, ou de certaines contraceptions.
« Les vagins ne sont pas des forêts tropicales », ironise un spécialiste, tout en précisant que la plupart de ses patientes ont déjà utilisé au moins une fois du lubrifiant : « Nous pouvons être excitées ou amoureuses sans pour autant parvenir à être suffisamment lubrifiées » en disent-elles…
 
Bien que le lubrifiant aide certaines femmes à éprouver plus de plaisir pendant les rapports sexuels, ces derniers ne sont pas censés être douloureux.
Or, 75 % des femmes ont déjà eu des rapports sexuels douloureux au cours de leur vie.
Une « trouveuse », chercheuse dans le bien-être sexuel des femmes, partage : « De nombreuses femmes pensent, à tort, que la douleur pendant ou après un rapport sexuel est le signe d’une bonne sexualité. »
Les konnes…
Elle ajoute même : « Les personnes qui souffrent d’un trouble de la douleur sexuelle ont souvent eu un premier rapport douloureux, puis elles ont continué à ressentir des douleurs au niveau des organes sexuels ou de la vulve.
Elles restent trop longtemps dans cette situation, sans réaliser qu’il s’agit d’un problème. »
Et contrairement aux idées reçues, les hommes sont eux aussi touchés par ce fléau.
Si vous ressentez une quelconque douleur pendant un rapport sexuel, allez donc consulter un ex-carabin (ou le rebouteux du quartier).
 
Autre mythe qui circule : « L’écart de désir est le problème numéro 1 que je traite dans mon cabinet, et je peux vous assurer que celui qui a le plus de désir n’est pas toujours un homme » affirme un clinicien sexologue. « À cause de ce mythe, les hommes éprouvent souvent un sentiment de honte face à leur manque de désir et se sentent obligés de toujours prendre l’initiative », précise-t-il.
« S’il est vrai que les hommes se masturbent davantage que les femmes, ce n'est pas pour autant que les femmes n’ont pas de désir sexuel, ou que les hommes en ont toujours », informe de son côté une thérapeute.
Je ne peux pas enrichir la science sur ce sujet : Jamais eu besoin de me masturber car j’ai toujours su avoir à disposition une partenaire dont je savais allumer le désir quand mon « nerf honteux » se mettait à phosphorer…
C’est un peu la « dictature du gland », en somme. Mais on vit très bien sous son joug !
 
Pour parler d’autres choses, sachez que les sexologues identifient deux types de désir : Le désir spontané, qui consiste à avoir envie de faire l’amour à l’improviste, et le désir réactif, qui se manifeste en réponse à des stimuli, comme le toucher.
Une psychologue bienfaitrice de l’humanité tente de normaliser le désir « non spontané ». Elle le compare au fait d’aller à la salle de sport quand on n’en a pas envie : « Vos endorphines commencent à circuler, vous vous sentez vraiment bien et, après coup, vous êtes content d’y être allé. »
Je ne peux pas approuver : Je ne vais jamais en salle de sport depuis mes années lycée.
Mais il est vrai qu’il est possible de faire l’amour sans désir spontané, à condition qu’il y ait volonté et consentement : Là, je peux en témoigner, mais il faut savoir « motiver » le partenaire désigné…
À la recherche d’une solution, de nombreuses personnes à ne s’adonner à ce genre d’activité que tard dans la nuit, lorsqu’elles sont fatiguées ou distraites ― et encore, si elles prennent le temps de le faire (ou imbibée).
Alors programmer une relation sexuelle pourrait favoriser leur désir, l’attente contribuant à amplifier l’excitation.
C’est possible.
Personnellement, je préfère l’improvisation de la pulsion du moment…
 
Autre idée reçue décourageante : « Les jeunes hommes pensent qu’ils ne devraient pas souffrir de troubles de l’érection, tandis que les hommes plus âgés sont convaincus que l’éjaculation précoce disparaît avec l’âge et l’expérience ».
Que nenni !
Les troubles de l’érection ― incapacité constante à obtenir ou à maintenir une érection ―, s’ils auraient tendance à augmenter avec l’âge, touchent tout de même 8 % des hommes dans leur vingtaine et 11 % dans leur trentaine.
Les pôv’…
20 % des hommes âgés de 18 à 59 ans déclarent souffrir d’éjaculation précoce.
Là, c’est kon…
Le spécialiste déplore que « nous en restions aux mythes selon lesquels les hommes souffrant d’éjaculation précoce sont mauvais au lit ou sexuellement égoïstes. »
De même, des études prouvent que beaucoup d’hommes s’inquiètent de la taille de leur pénis. Pourtant, du côté de la gent féminine, nombreuses sont celles qui assurent ne pas préférer un pénis particulièrement grand.
De toute façon, trop grand, elles en disent que ça fait mal.
Trop gros, ça ne les gêne pas.
Mais j’en connais une qui se plaignait des 5 centimètres de son mari (au maximum de ses efforts) : Dilatée par ses grossesses, elle ne sentait plus rien et s’en désolait…
 
II ― Autre information vitale (pour l’espèce homo sapiens-sapiens), tombée cette semaine : Les humains ne seraient pas au sommet de la chaîne alimentaire !
 
Pour la grande majorité des citadins, il reste très rare de croiser un ours ou un tigre. À part lors d’une visite au zoo local. Comme ils ne font pas partie de la vie quotidienne de nombreuses personnes, l’idée que ces animaux puissent être des prédateurs mangeurs d’hommes peut sembler difficile à imaginer, explique Discover Magazine.
 
Un anthropologue a qualifié d’« étrange prise de conscience » le fait que l’être humain ne se trouve pas toujours au sommet de la chaîne alimentaire, même s’il n’est pas souvent en position de proie.
Et des scientifiques ont utilisé des données mondiales pour analyser les habitudes de consommation de tous les êtres vivants.
Du coup, ils ont découvert que non seulement l’humain n’est pas le dernier maillon de la chaîne alimentaire, mais qu’il n’en est même pas très proche.
 
En général, les scientifiques utilisent cinq niveaux trophiques pour décrire la chaîne alimentaire : Les producteurs primaires sont les créatures vivantes qui produisent leur propre énergie et n’en consomment pas d’autres, comme les plantes ; les consommateurs primaires sont ceux qui mangent ces producteurs primaires ; les consommateurs secondaires sont généralement des carnivores et des omnivores ; les consommateurs tertiaires sont des carnivores qui s’attaquent à d’autres espèces carnivores ; et les consommateurs quaternaires, eux, sont les prédateurs suprêmes qui n’ont aucun prédateur dans leur habitat naturel.
Or, l’être humain n’appartient pas à cette dernière catégorie.
Nous sommes, en réalité, au même niveau trophique que les anchois et les cochons…
 
Les grands prédateurs n’existent pas dans de nombreux écosystèmes. Le sommet de la chaîne alimentaire est donc relatif à un écosystème spécifique.
Par exemple, le développement humain et l’agriculture ont perturbé certains écosystèmes. Dans les zones urbaines et suburbaines, le déplacement des principaux prédateurs a permis à d’autres animaux de s’emparer de la première place. Ainsi, les rapaces sont souvent les premiers prédateurs.
Même si l’humain n’est pas proche du sommet de la chaîne alimentaire, il a tendance à vivre dans des écosystèmes où les mangeurs d’hommes ne sont pas présents.
Probablement les effets d’un instinct de prudence plus développé…
Ainsi, vous aurez noté que le rugissement d’un lion reste redouté de toute la savane.
Or, le lion, qui n’a peur d’aucune autre espèce animal, redouterait la voix de l’homme : Plus que prudent.
Nous, quand on entend d’autres humains à proximité, on ne s’enfuit même pas : Pourtant, l’homme est un loup pour l’homme, c’est bien connu !
 
Bref, être jugé équivalent à un anchois (je n’aime pas les anchois et les anchoïades), je trouve ça assez drôle (tel que je partage volontiers l’information).
En revanche être assimilé à un cochon, vue la teneur de la première partie de ce billet, je ne peux pas le nier…
Presque un titre de gloire, finalement !
 
Bonne fin de week-end à toutes et tous !
Rappelez-vous, vous avez la chance de vivre une heure de plus (la seule fois de l’année) en ce jour de changement d’heure…
Profitez-en !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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