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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 13 octobre 2023

Les idiotes de Jean-Marc

C’est l’histoire de…
 
Jean-Marc et Jean-Paul qui sont dans un autobus et voient monter une bonne sœur en béquille avec une jambe dans le plâtre.
L’un d’eux lui demande ce qui s’est passé.
Elle répond qu’elle a glissé en entrant dans son bain et s’est cassé la jambe.
À ce moment-là, il se retourne vers son copain et lui demande :
« Dis, c’est quoi un bain ? »
Et l’autre de répondre :
« Je ne sais pas, je ne suis pas baptisé… »
 
Le petit Jean-Marc est chez le dentiste.
Sa maman, qui l’accompagne, le supplie :
« Sois sage Jean-Marc… Fais comme le docteur : Ouvre la bouche et fait Aaaaaaaah, pour qu’il puisse enlever ses doigts… »
 
Jean-Paul est en train d’installer sa nouvelle imprimante.
Mais il reçoit continuellement de son ordinateur le message :
« Ne voit pas l’imprimante ! »
Après de maints efforts sans succès, il décide de téléphoner le numéro du support technique de l’imprimante, se plaignant qu’il reçoit continuellement le message que l’ordinateur ne voit pas l’imprimante.
Il dit au technicien :
« J’ai même placé l’imprimante devant la web cam de l’ordinateur, et il continue à me dire qu’il ne la voit pas. »
 
Dans le Grand Nord, un crime a été commis.
L’inspecteur interroge un suspect :
« Que faisiez-vous pendant la nuit du 15 novembre au 3 avril ? »
 
Une « classique » déjà cent fois rapportée :
Germaine a acheté une armoire chez Ikea et a décidé de la monter toute seule, sans attendre son mari.
Elle regarde bien le plan et se met à l’ouvrage.
Une heure plus tard, voilà, c’est fait.
Mais en bas, dans la rue, un autobus passe.
Le sol vibre, et l’armoire se met à trembler, et la voilà par terre !
Germaine ne s’avoue pas vaincue : Elle reprend le montage, en suivant bien les étapes une après l’autre, elle ajoute même un point de colle ici et là…
Une heure plus tard, voilà, c’est terminé, mais l’autobus qui fait la navette est revenu, et de nouveau le sol vibre, l’armoire tremble, tremble et paf, elle s’effondre à nouveau.
Exténuée elle appelle le service après-vente Ikea.
On lui envoie aussitôt un technicien.
En arrivant, celui-ci dépose sa sacoche, laisse son mégot dans le cendrier et déclare :
« Bien, voyons ça, je vais refaire le montage et nous verrons ce qui se passe. »
Il assemble normalement et, en un quart d’heure, l’affaire est réglée.
« ― Eh bien, elle est très bien cette armoire, où est le problème ?
 ― Attendez un peu que le bus passe, et vous verrez… »
Le bus passe effectivement, le sol vibre, l’armoire tremble, et finit par tomber en miettes.
« J’aurai le dernier mot ! » dit le technicien, et il recommence le montage, mais avec de la colle super forte, des vis supplémentaires, de grands coups de marteau… Et le bus, qui continue son service, passe dans la rue, le sol vibre, l’armoire tremble, tremble, tremble et vlan, elle se retrouve en mille morceaux.
Le technicien se fâche :
« C’est pas possible ! J’en aurai le cœur net. Je vais tout remonter normalement, et je vais me mettre à l’intérieur pour voir ce qui se passe quand ça vibre. »
Ce qu’il fait en un gros quart d’heure.
Et c’est à ce moment-là que Jean-Marc, le mari de Germaine rentre du travail.
Il voit la sacoche, le mégot, et demande à sa femme :
« Tu me trompes, j'en suis sûr maintenant. À qui est cette sacoche ? Et ce mégot ? Tiens, et cette armoire, c’est nouveau ! Ton amant est là-dedans, je le sais ! »
Et il ouvre l'armoire.
« ― Alors, qu’est-ce que vous foutez là, vous ?
― Ben, vous n’allez pas me croire, mais j’attends l’autobus… »
Dans l’originale, le technicien se dévêt partiellement, tellement ils transpire sous la tâche…
 
Encore une « revenue » :
Au cours de la compétition pour le titre de Miss Monde, on pose une question aux candidates pour tester leur capacité à faire face à une situation gênante.
« ― Miss Angleterre, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
― Nous l’appelons un gentleman.
― Pourquoi ?
― Parce qu’il se lève quand il voit une lady.
― Miss États-Unis, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
― Eh bien, je dirais qu’aux États-Unis qu’il est comme un rideau.
― Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
― Parce qu’il retombe quand l’acte est terminé.
― Miss Espagne, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
― L’organe mâle dans notre pays est exactement comme notre taureau.
― Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
― Parce qu’il charge chaque fois qu’il voit une ouverture.
― Miss France, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
― Eh bien, je dirais que dans notre pays on l’appelle une rumeur.
― Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
― Parce qu’il court de bouche en bouche.
― Miss Suisse, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
― Eh bien, je dirais qu’il est comme un banquier à l’opéra.
― Qu’est ce qui vous fait dire ça ?
― Il veut toujours entrer en vitesse et sortir un quart d’heure avant la fin du spectacle.
― Miss Sénégal, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
― Eh bien, je dirais qu’il est comme un paysan.
― Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
― C’est parce qu’il travaille nuit et jour.
― Miss Grèce, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
― Eh bien, je dirais qu’en Grèce il est comme un voleur.
― Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
― Parce qu’il aime entrer par la porte de derrière.
― Miss République Tchèque, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
― Eh bien, je dirais qu’il est comme une Lada.
― Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
― Il a l’air robuste mais ne tient pas la route.
― Miss Canada, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
― Je dirais qu’il est comme le gouvernement.
― Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
― Il agit peu et il est vite remplacé. »
Et moi j’ai entendu dire à « Paris-sur-la-plage » :
« Ah ! Si les mâles pouvaient avoir la capacité de s’en servir aussi longtemps qu’ils ont la capacité d’en parler… »
 
Histoires vraies, rapportées par Jean-Marc :
― Un Italien de 82 ans qui a pris du viagra a tellement effrayé sa femme qu’elle a appelé la police.
 
― La police de Pegli, en Italie, mène une enquête sur un couple qui fait passer des nuits blanches à ses voisons parce qu’ils font, très bruyamment, l’amour de cinq à six fois par nuit.
Des bêtes de sexe !
Les voisins n’en peuvent plus car chaque séance dure au moins une bonne trentaine de minutes. Puis c’est le calme…
Et ça recommence !
Ils ont même déposé devant le juge plusieurs enregistrements sonores pour confirmer leurs dires.
Le juge, très ébranlé, a demandé à la police de fouiller l’affaire…
 
― Une Berlinoise a porté plainte contre une agence gouvernementale après qu’on lui eut offert un poste de… prostituée.
Une jeune femme, âgée de 25 ans, a reçu une lettre où on lui offre un poste de barmaid et qu’elle doit contacter le propriétaire.
Sur le site web, elle a découvert qu’elle devait, en plus être une spécialiste dans les baisers brûlants et les massages torrides.
Selon le Tagesspiegel, l’agence gouvernementale s’est excusée car on ne connaissait pas les extras du métier.
Il n’est pas illégal, en « Teutonnie », d’offrir un poste de prostituée, mais il faut bien détailler l’offre d’emploi, ce qui n’était pas le cas.
Les fonctionnaires se défendent en disant que la femme n’était pas obligée d’accepter le poste.
 
― Un « Teuton », qui a emprunté 10.000 € à sa mère pour faire allonger son pénis demande à être remboursé puisque son pénis est désormais difforme et… plus petit.
« Il a la forme d’un triangle » dit Walter Schmidt, « depuis qu’un des implants s’est déplacé. »
« Épais à la base, il est très pointu à l’extrémité, ce qui fait que les condoms ne tiennent pas » dit-il.
L’opération a mal tourné et le Munichois de 26 ans est retourné à l’hôpital trois jours après l’opération car son pénis était infecté.
Il a été hospitalisé pendant deux semaines, absent de son travail pendant six semaines et, depuis l’opération, il boîte et souffre beaucoup.
Depuis il exige d’être remboursé…
 
― Le pauvre Parkeet Manjhi a été hospitalisé à Mumbai, en Inde alors que quatre femmes l’ont battu après avoir coupé et mutilé son pénis.
« J’allais à la toilette, a-t-il déclaré à la police, quand une femme m’a appelé. Je me suis avancé pour voir ce qu’elle voulait et c’est alors que d’autres femmes sont sorties du sous-bois.
Elles m’ont demandé de faire l’amour avec elles, j’ai refusé, et elles m’ont attaqué et coupé le pénis. Puis je me suis évanoui… ».
C’est la troisième fois en deux ans que des femmes attaquent un homme et lui coupent le pénis dans la région de l’Uran, en Inde.
 
Entre-temps, les bières aidant, Jean-Marc se fait philosophe :
 
« Les liens du mariage, c’est ça. Une grosse corde bien attachée pour s’étouffer ensemble. »
 
« Ce qui noie quelqu’un, ce n’est pas le plongeon, mais le fait de rester sous l’eau ».
 
« La meilleure façon d’échouer ?
Abandonner avant d’avoir réussi ! »
 
« Mesure tes forces d’après tes aspirations et non tes aspirations d’après tes forces. »
 
Encore une « revenue » pour la route (et pourtant j’en élimine beaucoup en ce moment…) :
C’est l’histoire d’un paysan qui est dans un troquet en train de boire au beau milieu de la journée.
Jean-Marc le voit et lui demande :
« ― Hé ! Pourquoi tu es là en train de te saouler par une belle journée comme aujourd’hui ?
― Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
― Qu’est-ce qui t’arrive de si grave ?
― Ben, tu vois, ce matin, j’étais dans l’étable en train de traire ma vache.
À la fin, la vache a donné un coup avec sa patte gauche sur le seau et l’a renversé.
― Ça n’a pas l’air si grave que ça…
― Ouais, mais y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
― Qu’est-ce qui s’est passé d’autre ? »
Le paysan continue :
« ― Là, j’ai décidé d’attacher la patte gauche de la vache au poteau pour ne pas qu’elle recommence.
― Et puis ?
― Ben, je me suis rassis et j’ai recommencé à la traire.
Quelques minutes plus tard, elle a donné un coup sur le seau avec sa patte droite.
― Encore ?
― Ben oui… Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
― Alors, qu’est-ce que t’as fait ?
― J’ai décidé d’attacher la patte droite sur l’autre poteau pour ne pas qu’elle recommence. Là, elle ne pouvait plus donner de coup de patte puisque les deux étaient attachées de chaque côté.
― Et ça a marché ?
― Ben, je me suis rassis et j’ai recommencé à la traire. Tout allait bien, jusqu’à ce que la maudite vache donne un coup de queue et renverse le seau encore une fois.
― Ouai, ça n’allait pas bien !
― Non monsieur. Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
― Alors qu’est-ce que t’as fait ensuite ?
― Ben là, je n’avais plus de corde proche, alors j’ai enlevé ma ceinture pour attacher sa queue sur un poteau pour ne pas qu’elle recommence.
Comme je venais de finir d’attacher la queue, mon pantalon est tombé.
― Et alors… ?!
― Ben, c’est à ce moment que ma femme est entrée dans l’étable…
Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer… »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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