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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 22 octobre 2023

Bêtes de sexe !

Et autres découvertes scientifiques…
 
1 ― Il s’agit de nos amies les punaises de lit : On en parlait encore la semaine dépassée. Eh bien figurez-vous qu’elles mériteraient d’être prises comme référence : Plus de 200 rapports par jour, un pénis perforant que les mâles plantent absolument partout (dans le vagin des femelles parfois, mais aussi dans le dos, l’abdomen, les pattes « ou directement dans le cœur » de leur partenaire), des éjaculations phénoménales (en équivalent humain : 30 litres de sperme à chaque orgasme) : Délirant !
C’est d’ailleurs ce qui fait mal quand elles vous dévorent dans votre sommeil !
 
Nos kamarades LGBT+HPI++ devraient également en faire des figures héroïques de leurs fantasmes assumés, parce que… ces « petites-bêtes » du bon-dieu ont une absolue non-discrimination dans la sélection des camarades de jeux !
« 50 % des rapports des punaises sont homosexuels, 30 % sont hétérosexuels et 20 % se font avec des insectes différents qu’ils confondent avec des congénères » nous assurent les spécialistes.
Dites à l’araignée au-dessus de votre lit et au cafard qui rampe en-dessous de se méfier…
 
2 ― Où l’on découvre que le soutien-gorge moderne n’est pas une invention récente…
En 1929, des fouilles de la villa romaine du Casale en Sicile mettent en évidence une mosaïque datant du IVème siècle après J.-C., représentant des femmes romaines athlètes en bikini !
Mais si : Foin du « Burkini » imposée à nos belles musulmanes.
Par conséquent, avant d’arriver au soutien-gorge à la pointe du confort, du charme et de l’esthétisme que l’on connaît aujourd’hui, les femmes ont, au cours de l’histoire, expérimenté de nombreux autres modèles, moins élaborés.
 
Dans les œuvres de la Grèce antique, comme l’Iliade écrite par Homère, les historiens repèrent des références à ce qui semblerait être les ancêtres des « soutifs » : La déesse Aphrodite y est dépeinte en train d’enlever une « gaine curieusement brodée » de son sein. Dans la pièce de théâtre Lysistrata signée Aristophane, une femme porte un « strophion », dont la traduction littérale signifierait « bandeau pour les seins ».
Au IVème siècle après J.-C., les mosaïques découvertes représentaient des femmes romaines athlètes : Leurs seins sont couverts par un vêtement que les chercheurs pensent être un « amictorium », un vêtement de lin ressemblant à un maillot de bain.
Pour cette raison, la fresque est par la suite renommée « Femmes en bikini ».
 
Mieux, en 2008, des archéologues découvrent quatre soutiens gorge en lin datant du XVème siècle dans une chambre du château de Lengberg, en Autriche.
En plus d’être des « chefs-d’œuvre de travail de par le grain du tissu », ces vêtements prouvent que les soutien-gorge à bonnets ont été inventés bien plus tôt que ce que l'on pensait jusqu’alors (XIXème siècle).
 
Mais alors, qui a donc inventé le soutien-gorge tel qu’on le connaît aujourd’hui et qu’on aime à le dégrafer ?
Trois théories s’affrontent.
Certains louent la « Gauloisienne » Herminie Cadolle, une commerçante des années 1880 qui, après avoir coupé un corset en deux, aurait vendu le premier soutien-gorge de l’histoire.
D’autres pensent à Olivia Flynt, la couturière ayant imaginé le haut « Flynt Waist », remplaçant le corset, qui est breveté en 1873.
Autre possibilité : L’inventrice serait Caresse Crosby, à l’origine de la « corslette », pièce destinée à soutenir la poitrine dans des vêtements transparents ou dos nu, qui obtient elle aussi un brevet en 1914.
 
À partir des années 1930, les soutiens gorge remplacent les corsets.
Leur apparence évolue progressivement avec l’ajout de bonnets standardisés et de bretelles réglables.
Et en 1968, la mode c’est aux soutiens gorge « push-up » : Ils sont associés à la sexualité féminine et définissent les normes de beauté. En signe de protestation, les féministes les enlèvent et les jettent à la poubelle.
Les années 1970 marquent l’arrivée de la brassière de sport : Deux coureuses s’inspirent du « Jock strap », et créent le « Jogbra ». Le sous-vêtement de sport reste cependant tabou jusqu’en 1999, où la footballeuse américaine Brandi Chastain rentre dans l’histoire en enlevant son maillot pour célébrer la victoire de son équipe lors de la Coupe du monde féminine.
Les photos d’elle en brassière, au milieu du terrain, font le tour du monde !
Depuis, la pièce de lingerie que toutes les femmes – ou presque – ont dans leur placard continue d'évoluer : En 2022, l’armée américaine présente des prototypes d’une nouvelle brassière, qu’elle compte intégrer prochainement aux uniformes militaires féminins…
 
3 ― C’est comme pour les chasseurs : Il y a les bons et les mauvais… bailleurs !
Un bon chasseur, c’est un chasseur qui épaule, vise et tire et un mauvais chasseur c’est celui qui épaule, vise et tire, mais lui est mauvais.
Un bon bailleur, c’est celui qui baille et qui fait ainsi bailler au moins trois personnes autour de lui. Un mauvais bailleur n’en fait bailler aucun.
Mais, question hautement scientifique, pourquoi bâiller peut devenir ainsi contagieux ?
 
Eh bien, lorsque quelqu’un bâille à proximité de nous, nous avons souvent l’impression de perdre le contrôle de notre corps : Nos mâchoires se séparent involontairement, sous l’effet d’une force invisible. Le simple fait de penser au bâillement peut en provoquer un.
Or, jusque-là personne ne sait exactement ce qui déclenche cette réaction automatique.
Des « trouveurs » proposent pourtant quelques théories.
 
Pour comprendre le caractère contagieux des bâillements, il est important de comprendre ce qui les provoque : En moyenne, nous bâillons vingt fois par jour (parfois sans même s’en rendre compte).
Selon une première hypothèse, cela serait simplement un moyen pour le cerveau de réguler sa température interne.
Une seconde affirme que le bâillement augmente la vigilance, ce qui est logique étant donné que nous le faisons généralement lors des transitions comportementales – entre le sommeil et l’éveil, entre la position assise et l’activité physique.
Certains « trouveurs » suggèrent enfin que la façon dont le bâillement déforme le visage et le cou peut stimuler l’artère carotide, augmentant ainsi le rythme cardiaque et stimulant notre attention.
Et puis ma Grand-mère (celle de mon cimetière : Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2018/05/aujourdhui-cest-lascension.html), une « trouveuse » qui s’ignorait comme telle, m’aura affirmé qu’on baille parce qu’on commence à avoir faim…
 
Oui mais pourquoi bâiller est-il contagieux ?
Là encore, plusieurs théories qui se recoupent : Le bâillement communicatif pourrait s’inscrire dans une adaptation évolutive visant à synchroniser le comportement du groupe. « Imaginez un groupe d’hommes préhistoriques, veillant toute la nuit sur des prédateurs et des ennemis. Si l’un d’entre eux commence à s’assoupir, il est probable que les autres s’endorment également. Lorsque la première personne bâille, cela incite tous les autres à faire de même, ce qui accroît la vigilance et la sécurité du groupe », nous affirme-t-on.
Certaines recherches indiquent par ailleurs un lien avec l’empathie : Une étude réalisée en 2020 a montré que les gens sont plus susceptibles d’avoir un bâillement communicatif lorsqu’ils sont avec leur famille et leurs amis. Et plus les liens sont étroits, plus les bâillements sont profonds.
Admettons…
Une dernière théorie soutient que ce fait est le produit des neurones miroirs, qui s’activent à la fois lorsque nous effectuons une action nous-mêmes et lorsque nous voyons quelqu’un d’autre la faire.
 
Quelle que soit la raison précise, le phénomène semble fortement lié à la socialité. Chez les animaux, seules les espèces très intelligentes et très sociales, comme les primates, bâillent en réaction à leurs congénères.
D’où la conclusion hâtive suivante : Plus on est intelligent, plus on baille…
Si vous êtes un bon bailleur, c’est que vous êtes entouré de gens supérieurement intelligents.
Dans le cas contraire, si on veut rester logique, c’est que vous êtes entouré de kons…
Comme quoi… vous-même en êtes un pour vous entourer de pareils détritus du neurone, mais passons !
 
Moa, qui reste assez bien isolé tout au long de la journée (question de concentration), je baille non pas quand je suis fatigué (quoique…) mais quand j’oublie de respirer profondément : Car bailler sert d’abord à ventiler mes délicates alvéoles pulmonaires.
Une façon comme une autre d’oxygéner mon unique neurone en fonction.
Mais ce que j’en dis ou rien… n’est-ce pas !
 
C’était le quart d’heure « scientifique » (et passionnant) de ce blog.
Bonne fin de week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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