En terrasse, chacun devant une bière
« Tu sais, la religion, c’est comme une bite !
Il n’y a pas de honte à en avoir une.
Ou à en être fier.
Toutefois, on ne la montre pas en public,
On ne l’impose pas aux enfants,
On n’écrit pas les lois avec,
Et on ne pense pas avec ! »
C’est l’histoire de la gomme qui dit au crayon :
« Comment vas-tu, mon ami ? »
Le crayon répond avec colère :
« Je ne suis pas ton ami… je te déteste… »
La gomme lui dit alors avec étonnement et tristesse !!!
« ― Et pourquoi tu dis ça ?
― Parce que tu effaces ce que j'écris…
― Je n'efface que les erreurs, je suis une gomme et c’est mon travail.
― Ce n’est pas du travail.
― Mon travail est aussi utile que le tien.
― Tu as tort et tu es arrogante, car celui qui écrit vaut mieux que celui qui efface…
― Effacer l'erreur équivaut à écrire la bonne chose… »
Le crayon resta silencieux un moment, puis dit avec une certaine tristesse
:
« Mais je te vois diminuer de jour en jour… »
Elle répond :
« Parce que je sacrifie quelque chose de moi-même à chaque fois que j’efface une erreur… »
Le crayon dit d’une voix triste :
« Et je sens que je suis plus petit que je ne l’étais… »
La gomme dit en le consolant :
« Nous ne pouvons profiter aux autres que si nous faisons un sacrifice pour eux… »
Alors la gomme regarda le crayon avec une grande sympathie et dit :
« Me détestes-tu toujours ?… »
Le crayon sourit et dit :
« Comment puis-je te détester alors que le sacrifice nous a réunis… »
Et Jean-Marc de philosopher :
« Chaque jour tu te réveilles… et ta durée de vie diminue d’un jour…
Si tu ne peux pas être un crayon pour écrire le bonheur des
autres, alors sois une gomme douce avec laquelle effacer leurs chagrins et
répandre l’espoir et l’optimisme dans les âmes. »
C’est Jean-Victor, un paroissien dans les 75 ans bien tassés, qui,
accompagné de son épouse, arrive à la messe avec un parapluie alors qu’il fait
beau.
On s’étonne dans l’église, mais à la sortie il pleut.
Le dimanche suivant, le ciel semble pourtant bien à la pluie, mais il arrive sans rien. Et à la sortie il fait grand soleil.
Jean-Michel, accompagné de son épouse Marie-Georgette, lui demande comment il fait pour savoir le temps qu’il va faire.
Jean-Victor explique :
« Avant de partir, ma femme prend ma zigounette, la caresse un peu, la tient verticale et la laisse tomber. Si elle tombe à gauche, il va faire beau. Si elle tombe à droite, il va pleuvoir ! »
Là-dessus, Marie-Georgette, très curieuse, demande :
« ― Mais, si elle ne tombe pas ?
― Eh bien dans ce cas-là, on ne va pas à la messe ! »
C’est l’histoire d’un homme qui se promène dans la jungle.
Tout à coup, il arrive face à face avec un lion.
Il prend ses jambes à son cou et s’enfuit.
Il contourne un arbre, deux arbres, trois arbres, le lion le poursuit toujours.
Il passe à travers un buisson, saute par-dessus un ruisseau et se retourne, complètement essoufflé.
Le lion le poursuit encore.
L’homme reprend sa course mais une branche le fait trébucher.
Il s’affale par terre de tout son long et ferme les yeux, attend la mort.
Il entend des bruits de pas à côté de lui et sent une patte sur son dos.
Puis une voix lui dit :
« Chat ! »
La revenue du moment :
Un vieil homme est sur son lit de mort.
Son fils est à son chevet.
Soudain, une délicieuse odeur de tarte aux pommes lui vient aux narines.
« ― Veux-tu aller m’en chercher un morceau, mon fils ?
― Bien sûr, papa ! »
Il se rend à la cuisine, puis revient vers son père les mains vides en
disant :
« Non. Pas de tarte. Maman a dit que la tarte c’est pour la réception après l’enterrement. »
À l’origine, c’était une histoire corse de Dumè : Elle aura bien plu aussi sur le continent !
C’est l’heure de partir pour l’école. Le petit Jean-Marc traîne
interminablement.
« Qu’est-ce que tu fais ? » lui demande sa mère.
« Je cherche mon cartable pour l’école », répond Jean-Marc.
« Il est là », lui dit sa mère en lui montrant où est le sac d’école.
« Oh ! S’il te plaît, maman, laisse-moi le chercher encore un peu ! »
« Soyez plus sexy, plus audacieuses et vos hommes cesseront de
fréquenter les prostituées.»
Voilà le message que véhicule le prêtre « Ritalien » Oreste Benzi qui dirige une association caritative qui veut convaincre et aider les prostituées à changer de métier.
« Si vous êtes plus sexy », dit le prêtre aux femmes mariées, « si votre vie sexuelle est plus pimentée, plus audacieuse, les hommes cesseront de fréquenter les prostituées et la vie du couple sera préservée. »
Car quatre couples sur dix divorcent en « Ritalie » et, selon le prêtre, c’est parce que la vie sexuelle du couple n’est pas comblée.
Ou à en être fier.
Toutefois, on ne la montre pas en public,
On ne l’impose pas aux enfants,
On n’écrit pas les lois avec,
Et on ne pense pas avec ! »
« Comment vas-tu, mon ami ? »
Le crayon répond avec colère :
« Je ne suis pas ton ami… je te déteste… »
La gomme lui dit alors avec étonnement et tristesse !!!
« ― Et pourquoi tu dis ça ?
― Je n'efface que les erreurs, je suis une gomme et c’est mon travail.
― Ce n’est pas du travail.
― Mon travail est aussi utile que le tien.
― Tu as tort et tu es arrogante, car celui qui écrit vaut mieux que celui qui efface…
― Effacer l'erreur équivaut à écrire la bonne chose… »
« Mais je te vois diminuer de jour en jour… »
Elle répond :
« Parce que je sacrifie quelque chose de moi-même à chaque fois que j’efface une erreur… »
Le crayon dit d’une voix triste :
« Et je sens que je suis plus petit que je ne l’étais… »
La gomme dit en le consolant :
« Nous ne pouvons profiter aux autres que si nous faisons un sacrifice pour eux… »
Alors la gomme regarda le crayon avec une grande sympathie et dit :
« Me détestes-tu toujours ?… »
Le crayon sourit et dit :
« Comment puis-je te détester alors que le sacrifice nous a réunis… »
Et Jean-Marc de philosopher :
« Chaque jour tu te réveilles… et ta durée de vie diminue d’un jour…
On s’étonne dans l’église, mais à la sortie il pleut.
Le dimanche suivant, le ciel semble pourtant bien à la pluie, mais il arrive sans rien. Et à la sortie il fait grand soleil.
Jean-Michel, accompagné de son épouse Marie-Georgette, lui demande comment il fait pour savoir le temps qu’il va faire.
Jean-Victor explique :
« Avant de partir, ma femme prend ma zigounette, la caresse un peu, la tient verticale et la laisse tomber. Si elle tombe à gauche, il va faire beau. Si elle tombe à droite, il va pleuvoir ! »
Là-dessus, Marie-Georgette, très curieuse, demande :
« ― Mais, si elle ne tombe pas ?
Tout à coup, il arrive face à face avec un lion.
Il prend ses jambes à son cou et s’enfuit.
Il contourne un arbre, deux arbres, trois arbres, le lion le poursuit toujours.
Il passe à travers un buisson, saute par-dessus un ruisseau et se retourne, complètement essoufflé.
Le lion le poursuit encore.
L’homme reprend sa course mais une branche le fait trébucher.
Il s’affale par terre de tout son long et ferme les yeux, attend la mort.
Il entend des bruits de pas à côté de lui et sent une patte sur son dos.
Puis une voix lui dit :
« Chat ! »
Un vieil homme est sur son lit de mort.
Son fils est à son chevet.
Soudain, une délicieuse odeur de tarte aux pommes lui vient aux narines.
« ― Veux-tu aller m’en chercher un morceau, mon fils ?
« Non. Pas de tarte. Maman a dit que la tarte c’est pour la réception après l’enterrement. »
À l’origine, c’était une histoire corse de Dumè : Elle aura bien plu aussi sur le continent !
« Qu’est-ce que tu fais ? » lui demande sa mère.
« Je cherche mon cartable pour l’école », répond Jean-Marc.
« Il est là », lui dit sa mère en lui montrant où est le sac d’école.
« Oh ! S’il te plaît, maman, laisse-moi le chercher encore un peu ! »
Voilà le message que véhicule le prêtre « Ritalien » Oreste Benzi qui dirige une association caritative qui veut convaincre et aider les prostituées à changer de métier.
« Si vous êtes plus sexy », dit le prêtre aux femmes mariées, « si votre vie sexuelle est plus pimentée, plus audacieuse, les hommes cesseront de fréquenter les prostituées et la vie du couple sera préservée. »
Car quatre couples sur dix divorcent en « Ritalie » et, selon le prêtre, c’est parce que la vie sexuelle du couple n’est pas comblée.
Notons que le prêtre ne donne pas de conseils aux hommes (Sans doute parce
qu’ils sont parfaits et
libres de toutes maladresses)
Comme les prêtres.
Nous savons tous ça !
C’est l’histoire des trois loubards sur de grosses motos s’arrêtent devant
un relais de routiers et entrent dans le restaurant. À une table, ils avisent
un chauffeur-routier, pas bien épais celui-là, qui vient de finir de déjeuner et fume
tranquillement une cigarette.
Ils s’approchent de lui en roulant des mécaniques.
Le premier lui arrache sa cigarette des lèvres pour l’écraser dans son café.
Le routier ne bronche pas.
Le second prend sa bière et la lui verse sur la tête.
Le routier ne bronche toujours pas, paye et se lève.
Alors le troisième lui fait un croche-pied et le malheureux s’étale de tout son long. Il se relève sans un mot et sort.
Les trois loubards ricanent…
Le premier dit au patron :
« ― Vous avez vu ce minable ? Il ne sait pas éteindre sa clope !
― Ni boire sa mousse », ajoute le second.
Comme les prêtres.
Nous savons tous ça !
Ils s’approchent de lui en roulant des mécaniques.
Le premier lui arrache sa cigarette des lèvres pour l’écraser dans son café.
Le routier ne bronche pas.
Le second prend sa bière et la lui verse sur la tête.
Le routier ne bronche toujours pas, paye et se lève.
Alors le troisième lui fait un croche-pied et le malheureux s’étale de tout son long. Il se relève sans un mot et sort.
Les trois loubards ricanent…
Le premier dit au patron :
« ― Vous avez vu ce minable ? Il ne sait pas éteindre sa clope !
« ― Il n’est même pas capable de marcher normalement », fait le
troisième, « il tombe.
― Et il ne sait pas conduire non plus », dit le patron.
« Je viens de le voir partir avec son trente-huit tonnes : En
faisant sa marche arrière, il a écrasé trois belles motos… »
Parlant du retour de l’ancien dans la mode avec une petite copine de son
âge, Marie-Germaine, une fillette de 11 ans fait remarquer :
« ― Tu sais, il paraît que maman a aussi porté des chaussures à talon compensé, à l’époque !
― C’est où, l’Époque ? » demande sa petite sœur, 4 ans
Dans un bar, Jean-Marc se fait passer pour un médecin devant une
femme.
Ils finissent la soirée au lit. Après avoir fait l’amour, la femme dit à Jean-Marc :
« Tu sais, je te crois lorsque tu dis que tu es médecin ! »
Jean-Marc la regarde avec un grand sourire et lui dit :
« Ah, vraiment, cela me fait plaisir ! »
Et la femme répond :
« Oui, je te crois et je peux même te dire que tu es anesthésiste car je n’ai absolument RIEN ressenti ! »
« Une femme peut fort bien porter une robe de bal sans savoir
danser, une robe de cocktail sans avoir soif, un maillot de bain sans savoir
nager.
Et se mettre toute nue sans savoir faire l’amour.
Mais si elle met une robe de mariée, elle sait tout de suite s’en servir. »
C’est l’histoire d’un homme qui rentre dans un bar et demande une bière.
Il en boit une gorgée et la remet sur le comptoir quand, tout à coup, un singe grimpe sur le comptoir et fait pipi dans la bière.
L’homme demande au serveur à qui est le singe ?
Ce dernier lui répond qu’il appartient au joueur de piano.
Alors l’homme va voir le pianiste et lui demande :
« ― Vous savez, votre singe a fait pipi dans ma bière !
― Non, mais si vous me donnez l’air, je peux essayer de la
jouer. »
« ― Qu’est-ce que ça donne quand un homme parle cochon à une femme
?
― Un harcèlement sexuel.
― Et qu’est-ce que ça donne quand une femme parle cochon à un homme ?
― 3,99 € la minute… »
Dans la série des revenues :
Deux amis golfeurs jouent régulièrement ensemble.
Un jour, ils se font une promesse : Le premier qui meurt vient aviser l’autre pour lui dire s’il y a un club de golf en haut.
Quelques années plus tard, un des deux amis décède dans un accident de la route.
Soudain, quelques années après son décès, le disparu apparaît, dans la nuit, devant son copain de golf.
« ― Jean-Pierre ! C’est moi Jean-Charles !
― Hé ! Jean-Charles. F-A-B-U-L-E-U-X ! Enfin ! Te voilà ! Je
croyais bien que tu ne reviendrais jamais. Et que c’était le néant.
Alors ? Raconte ?
― Ben… J’ai deux nouvelles pour toi.
― Dis-moi, est-ce que tu joues au golf ?
― Oui, on joue au golf et, demain matin, à 7 heures 30, tu as un départ ! »
Encore une, impayable mais très ancienne (et intacte, même
pas « enrichie ») :
« ― Allô !
― Bonjour mon cœur, c’est papa au téléphone… Tu peux me
passer maman ?
― Ze peux pas, elle est à l’étaze dans sa chambre avec oncle David. »
Bref silence…
« ― Mais ma chérie, tu n’as pas d’oncle David.
― Si, si, il est dans la chambre avec maman !
― Bien, OK, bon, alors, voilà ce que je veux que tu fasses : Pose le téléphone, cours en haut, frappe à la porte de la chambre, et crie à maman et oncle David que la voiture de papa vient de rentrer dans le garage…
― D’accord papa. »
Quelques secondes plus tard, la fillette revient au téléphone.
« ― Z’ai fait ce que tu m’as dit, papa.
― Et qu’est-ce qui s’est passé ?
― Ben, maman s’est mise à crier, a sauté hors du lit toute nue, elle s’est mise à courir partout, elle a glissé sur le tapis, elle est tombée par la fenêtre, et maintenant elle est toute morte.
― Oh mondieumondieumondieu… Et oncle David ?
― Ben, il a sauté hors du lit tout nu, s’est mis à courir partout, puis il a sauté par la fenêtre de derrière dans la piscine…
Mais il a oublié que le week-end dernier tu avais vidé la piscine pour la nettoyer, et maintenant il est tout mort lui aussi… »
Long silence…
Puis papa dit : « La piscine ? Quelle piscine ? Je suis bien au 01.42.92.81.00 ? »
Par exception et pour information, ceci n’est pas une blague.
Connaissez-vous l’origine du mot croque-mort ?
La recherche dans les textes en vieux « Francilien-natif » permet de trouver la réponse.
Dans les temps anciens, pour s’assurer qu’une personne était bien décédée, l’usage voulait que la personne en charge de cette vérification, le croque-mort, morde violemment un des doigts de pied de la victime (en général un pouce, le gros orteil).
Si rien ne se passait, l’issue était fatale et la mise en terre inéluctable.
Cette fonction de croque-mort, qui était une vraie charge, (comme les bourreaux), se transmettait de père en fils depuis la nuit des temps.
Or, il arriva une 1ère catastrophe : Le dernier croque-mort, bien qu’ayant eu de nombreux enfants, n’eut aucun garçon.
Sa fille aînée reprit donc sa charge, après réunion et avis favorable du conseil des sages compétents dans ce type de question.
Seconde surprise, la première victime qu’elle a eu à traiter avait une grave maladie, qui l’avait conduite à être amputée des 2 pieds…
Pire encore, la gangrène l’avait en partie gagnée et on lui avait coupé les 2 jambes jusqu’à la hauteur des cuisses.
La jeune fille examina la situation… et mordit donc avec précautions le premier membre inférieur qu’elle put trouver…
Ce fut à cette époque et dans ces circonstances, très précisément, qu’on passa de l’expression « croque-mort » à… « pompe funèbre » !
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
« ― Tu sais, il paraît que maman a aussi porté des chaussures à talon compensé, à l’époque !
Ils finissent la soirée au lit. Après avoir fait l’amour, la femme dit à Jean-Marc :
« Tu sais, je te crois lorsque tu dis que tu es médecin ! »
Jean-Marc la regarde avec un grand sourire et lui dit :
« Ah, vraiment, cela me fait plaisir ! »
Et la femme répond :
« Oui, je te crois et je peux même te dire que tu es anesthésiste car je n’ai absolument RIEN ressenti ! »
Mais si elle met une robe de mariée, elle sait tout de suite s’en servir. »
Il en boit une gorgée et la remet sur le comptoir quand, tout à coup, un singe grimpe sur le comptoir et fait pipi dans la bière.
L’homme demande au serveur à qui est le singe ?
Ce dernier lui répond qu’il appartient au joueur de piano.
Alors l’homme va voir le pianiste et lui demande :
« ― Vous savez, votre singe a fait pipi dans ma bière !
― Et qu’est-ce que ça donne quand une femme parle cochon à un homme ?
― 3,99 € la minute… »
Deux amis golfeurs jouent régulièrement ensemble.
Un jour, ils se font une promesse : Le premier qui meurt vient aviser l’autre pour lui dire s’il y a un club de golf en haut.
Quelques années plus tard, un des deux amis décède dans un accident de la route.
Soudain, quelques années après son décès, le disparu apparaît, dans la nuit, devant son copain de golf.
« ― Jean-Pierre ! C’est moi Jean-Charles !
Alors ? Raconte ?
― Ben… J’ai deux nouvelles pour toi.
― Dis-moi, est-ce que tu joues au golf ?
― Oui, on joue au golf et, demain matin, à 7 heures 30, tu as un départ ! »
« ― Allô !
― Ze peux pas, elle est à l’étaze dans sa chambre avec oncle David. »
« ― Mais ma chérie, tu n’as pas d’oncle David.
― Bien, OK, bon, alors, voilà ce que je veux que tu fasses : Pose le téléphone, cours en haut, frappe à la porte de la chambre, et crie à maman et oncle David que la voiture de papa vient de rentrer dans le garage…
― D’accord papa. »
« ― Z’ai fait ce que tu m’as dit, papa.
― Ben, maman s’est mise à crier, a sauté hors du lit toute nue, elle s’est mise à courir partout, elle a glissé sur le tapis, elle est tombée par la fenêtre, et maintenant elle est toute morte.
― Oh mondieumondieumondieu… Et oncle David ?
― Ben, il a sauté hors du lit tout nu, s’est mis à courir partout, puis il a sauté par la fenêtre de derrière dans la piscine…
Mais il a oublié que le week-end dernier tu avais vidé la piscine pour la nettoyer, et maintenant il est tout mort lui aussi… »
Puis papa dit : « La piscine ? Quelle piscine ? Je suis bien au 01.42.92.81.00 ? »
Connaissez-vous l’origine du mot croque-mort ?
La recherche dans les textes en vieux « Francilien-natif » permet de trouver la réponse.
Dans les temps anciens, pour s’assurer qu’une personne était bien décédée, l’usage voulait que la personne en charge de cette vérification, le croque-mort, morde violemment un des doigts de pied de la victime (en général un pouce, le gros orteil).
Si rien ne se passait, l’issue était fatale et la mise en terre inéluctable.
Cette fonction de croque-mort, qui était une vraie charge, (comme les bourreaux), se transmettait de père en fils depuis la nuit des temps.
Or, il arriva une 1ère catastrophe : Le dernier croque-mort, bien qu’ayant eu de nombreux enfants, n’eut aucun garçon.
Sa fille aînée reprit donc sa charge, après réunion et avis favorable du conseil des sages compétents dans ce type de question.
Seconde surprise, la première victime qu’elle a eu à traiter avait une grave maladie, qui l’avait conduite à être amputée des 2 pieds…
Pire encore, la gangrène l’avait en partie gagnée et on lui avait coupé les 2 jambes jusqu’à la hauteur des cuisses.
La jeune fille examina la situation… et mordit donc avec précautions le premier membre inférieur qu’elle put trouver…
Ce fut à cette époque et dans ces circonstances, très précisément, qu’on passa de l’expression « croque-mort » à… « pompe funèbre » !
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