Ou les vraies raisons du retour des punaises de lit
Disparues de Gauloisie dans les années 1950, les
punaises de lit sont en recrudescence dans… les médias !
Un retour en fanfare qui fait le tour de la planète (même mon pote hellène me l’a signalé entre deux incendies et quelques inondations) au moment même où on accueille sa sainteté le Pape à Marseille et le mondial de l’ovalie dans nos stades !
Je crois rêver, puisqu’on invoque sentencieusement les voyages et les locations de tourisme voire même la migration indésirable !
Et effectivement, depuis peu de « nombreux »
internautes ont souligné la présence de punaises de lit dans certains trains de
la SNCF ainsi que dans le métro parigot (alors qu’à part deux ou trois wagons,
les agents ne détecte rien…) mais pas dans celui de Reims…
Notez qu’ils n’ont pas encore de métro, mais ça va venir puisque même à Nancy ils ont débranché leur Tramway…
Et qu’on a coutume de pointer du doigt l’industrie du tourisme comme responsable de la présence de ces nuisibles qui peuvent transformer les nuits en véritables cauchemars.
Le tout à l’avant-veille de la saison olympique !…
Un hasard du calendrier qui a bon dos, en pense-je.
Parce que bon, ça fait des années que les puces de lit
font le leur dans les murs de la Kapitale : Même que ma voisine les aura
importé de Miami il y a des années avec ses bagages et que je m’en défends avec
un chat en charge des nuisibles…
Et qu’il s’en débrouille très bien, au moins jusque-là.
Car les bagages sont bel et bien des sources de prolifération, mais le succès de la seconde main est aussi à prendre en considération (histoire de vous dégouter de « recycler » les brocantes).
C'est l’un des rares avantages constatés lorsque la pandémie avait drastiquement freiné les voyages et limité les déplacements.
Mais avec le tourisme qui a repris, le phénomène refait parler de lui depuis qu’une horde d’insectes a été repérée sur certaines lignes du métro parisiens et dans le train, incitant le ministère du Transport a organisé une stratégie contre-offensive avec les opérateurs de transport.
Pour rappel, fin juillet dernier, l’Anses avait
souligné la problématique dans un rapport estimant que plus d’un foyer gauloisien
sur dix (11 %, ce qui fait un sur 9, comme quoi, même à l’Anses, ils ne savent
pas compter…) avait été infesté entre 2017 et 2022, ce qui reste peu sur une
année : « Si tous les foyers peuvent être touchés par les punaises de
lit, nous avons néanmoins pu identifier quelques facteurs qui favorisent les
infestations : le fait de voyager ou de résider dans un logement partagé par
exemple », avait expliqué la directrice adjointe de la Direction des
sciences sociales, économie et société de l’Anses.
Elle ne cause pas des invasions de poux dans la tête des « chères têtes-blondes » qui fréquentent les ékoles de la République (réputées pour accueillir aussi du « migrant-vagabond »).
Elle avait indiqué ce vecteur de propagation de ces insectes qui se cachent dans les valises pour ensuite infester les matelas et sommiers pour piquer la nuit.
Les humains n’y sont donc pour rien : ce sont leurs bagages qu’il faut brûler au passage des frontières !
Prévenez les touristes qui iraient sur les sites olympiques !
Car l’Anses avait rappelé que le problème des punaises
de lit n’existait plus après-guerre mais que l’essor des voyages internationaux
avait stimulé leur réapparition tandis que la résistance des petites bêtes aux
insecticides rendait le phénomène complexe.
La reprise du trafic aérien et des voyages après plus de deux années au ralenti relance logiquement la crainte de ramener dans ses bagages ce souvenir désagréable.
Avec la réouverture des frontières de la Chine, les compagnies aériennes estiment en effet que 4,35 milliards de passagers seront transportés dans le monde cette année, soit un niveau tout proche de celui de 2019, année de référence puisque dernier millésime avant que le secteur du tourisme ne soit mis à l’arrêt à cause du « Conard-virus ».
Une tendance confirmée au début de la saison estivale par l’Association du transport aérien international (Iata), qui a annoncé en juin dernier une hausse du trafic de 31 % par rapport au même mois un mois plus tôt. Désormais, le va-et-vient des avions dans le ciel de la planète est à 94,2 % du niveau avant la crise sanitaire.
Le Telegraph avait avancé une autre explication pour
démontrer combien le retour des punaises de lit est une réalité d’autant qu’au Royaume-Uni,
qui ne fait pourtant pas la Une des tabloïds, les infestations de punaises de
lit sont en augmentation de 65 % en une année, d’après leur géant de la
désinfection.
Et, si la « seconde main » est une vraie solution pour amoindrir le gaspillage et l’impact de notre consommation sur la Terre, elle se révèle aussi comme un nid pouvant initier le début d’un envahissement : « Lors d’infestations graves, les insectes peuvent également s’infiltrer dans les appareils électroniques conservés près du lit, y compris les téléviseurs et les prises, préférant les cachettes toujours chaudes », expliquait également ce journal britannique.
Bref, on peut ramener chez soi les fameuses petites bêtes quand on déniche dans une brocante ou sur Le Bon Coin ce joli meuble vintage qui apportera du cachet à son salon, de la même manière quand on revient d’un séjour long-courrier.
Voir dans les chaussettes d’un immigrant (mal-rasé) ?
C’est vous dire s’il y a de quoi en rester étonné (mais pas vous…)
Les punaises de lit constituent aussi un problème
économique. Selon l’Anses, s’attaquer à la désinfestation d’un lieu sinon à
lutter contre la présence des insectes coûte en moyenne 230 millions d’euros
par an, sans compter 80 millions de soins aux désespérés qui en sont victime,
si l’on prend en compte la période de 2017 à 2022, et ce rien qu’en
Gauloisie-désinfectée.
Face à ce problème, le service public a publié des recommandations afin de prévenir tout risque d’infestation. Il recommande notamment de ne pas ouvrir immédiatement ses bagages sur le lieu de vacances et de vérifier la présence éventuelle des punaises sur place. Et dans le cas où l’on est victime de ces insectes, les traitements non chimiques, à base de chaleur sèche, sinon la congélation, sont des solutions à privilégier.
Tu fous tes fringues et tes pompes au congélateur, ou tu les repasses.
C’est valable pour le matelas et les sommiers : Un coup de fer à repasser, et les bestioles clamsent !
Simple et facile, finalement.
Mais on peut rester étonné à l’approche des JO (qui
auront lieu dans un pays sale, où les gens ne se lavent pas, c’est bien connu,
qui accueillent des populations en mauvaise santé, sans visa et sans hygiène –
que ça leur coûte une blinde à soigner pour accumuler les déficits de leurs
régimes sociaux – quand ils ne parviennent pas à les noyer avant d’aborder les
côtes pour tuer les poux qu’ils transportent), que finalement « l’augmentation
du nombre d’articles de presse (sur le sujet) est plus importante que l’augmentation
du nombre de punaise de lits. »
D’après les résultats de l’Inserm sur le sujet, d’avril 2019 à mars 2020, 39 % des patients ayant consulté pour des piqûres de punaises de lit souffraient d’insomnie et 39 % estimaient que l’infestation avait eu un retentissement sur leur vie professionnelle, familiale ou sociale.
« La population de punaises de lit double tous les cinq ans en France ». Je me demande bien où…
Pas en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » en tout cas (mais est-ce encore la Gauloisie ?…).
« On me demande souvent combien il y a de foyers de punaises de lit en France. C’est impossible à dire car toutes les personnes dont le logement est infesté n’en parlent pas ». Il existe en effet aujourd’hui encore une idée reçue idiote et tenace sur le fait qu’avoir des punaises de lit chez soi serait lié à la saleté sinon à l’insalubrité.
Et c’est valable sous toutes les latitudes.
Or, il n’en est rien : « C’est un parasite de l’humain et tout le monde peut en avoir chez soi », relève un entomologiste.
Outre la question du tabou, s’il est difficile de
chiffrer le nombre de foyers de punaises de lit, c’est aussi parce qu’il n’existe
aucun réseau de surveillance entomologique qui permettrait d’estimer l’évolution
des densités de population, comme cela est fait pour d’autres insectes.
Dans l’attente d’un tel outil, les données concernant une résurgence proviennent d’études portant sur le recours aux services de désinsectisation et de signalements des acteurs de terrain (associations, centres communaux d’action sociale, etc.). C’est sur ces données que le rapport de l’Anses a pu signaler que 11 % des ménages infestés par les punaises de lit entre 2017 et 2022…
Une hausse imputée par conséquent aux voyages plus
nombreux et aux températures estivales, printanières et automnales plus
favorables.
Pas à l’absence de savonnage, ou au défaut de visa !
Et on retrouve tout ça au cinéma, dans le métro ou les trains, demain les avions et les bus…
C’est histoire de vous dégouter de sortir de chez vous et probablement d’éviter d’accueillir des Zélandais ou des kangourous pour les jeux : Pour le mondial, c’était trop tard…
Faudait-il céder à la panique et éviter ces lieux publics ?
C’est l’ambiance générée, car s’il est évidemment très
désagréable de se faire piquer, ladite piqûre est bénigne et surtout, le risque
de ramener des punaises de lit chez soi est assez minime.
En effet, « elles viennent sur les humains pour se nourrir et retournent se cacher ». De fait, il semble assez exceptionnel qu’elles puissent transiter du métro à notre logement par l’intermédiaire de nos vêtements ou de nos chaussures – et elles sont généralement suffisamment grosses pour que le cas échéant, on puisse les retirer avant de rentrer.
« Des gens renoncent à traiter leur appartement et une fois que leur appartement est infesté, ça contamine les appartements voisins », nous affirme le premier adjoint à la maire de « Paris-sur-la-plage » !
Bé voyons…
Pour qu’elles deviennent nos colocataires indésirables après une séance de ciné ou un transport en métro, il faudrait qu’elles aient pu se faufiler dans un sac ouvert. Or, elles ne volent pas ni ne sautent… alors ah que quoi au juste, pov’ krétin ?
Mais il est crucial que les pouvoirs publics prennent
les choses en main, comme l’aura demandé les services de « Sœur-Âne »
la parigote dans une lettre adressée à « Lili-Bête-Borgne » le 28
septembre. Dans ce cadre, le même premier adjoint a annoncé le 29 septembre sur
« Trans-Intox » son souhait de voir intégré au contrat d’assurance
habitation le risque d’être infesté par des punaises de lit. « C’est trop
cher, donc des gens renoncent à traiter leur appartement et une fois que leur
appartement est infesté, ça contamine les appartements voisins », a-t-il
expliqué.
Faut le faire, question récupération idiote et politicienne pour racketter le pingouin…
Peut-on s’assurer contre la konnerie de nos élus ?
Sûrement plus cher que pour la chute de satellite sur le coin de la tronche…
Parce que « comme les punaises de lit ne
transmettent pas de maladie, on ne peut pas forcer les gens à traiter leur
logement, ce qui peut conduire à des situations inextricables lorsque l’habitant
d’un logement refuse d’intervenir… Là, il ne reste plus qu’à déménager. »
En attendant, nos experts s’accordent sur le fait que
l’on se sort des infestations aux punaises de lit et qu’il importe de garder la
tête froide.
Reste à éviter certaines erreurs comme jeter sommier, matelas et vêtements dans l’urgence, croire les belles promesses concernant un traitement en trois pschitts de produit miracle de la part de professionnels peu scrupuleux, ou encore ne pas respecter le protocole préparatoire de l’entreprise qui intervient.
On met ainsi en garde contre l’usage de produits du commerce à base de pyréthrinoïdes : « Ils sont inefficaces et entretiennent la résistance des punaises de lit aux insecticides. De plus, comme ils contiennent des répulsifs, ils risquent de les repousser ailleurs, puisqu’elles ont tendance à monter, notamment dans des faux plafonds depuis lesquels elles iront se promener vers les logements voisins. » Nombreux de ces produits sont par ailleurs très toxiques…
Le ministère de l’Environnement ayant mis à
disposition une page web pleine de conseils pour éviter les punaises de lit à
la disposition des autochtones et des candidats à la migration (estivales ou
olympiades), cela sera-t-il suffisant pour contrecarrer les effets de la
campagne médiatique mondiale en cours renforçant l’idée que le gauloisien est,
monolingue, sale, pue, rote, pète, met la main au kul et est infesté de saloperies
inavouables !
À suivre, mais franchement, je me bidonne…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Un retour en fanfare qui fait le tour de la planète (même mon pote hellène me l’a signalé entre deux incendies et quelques inondations) au moment même où on accueille sa sainteté le Pape à Marseille et le mondial de l’ovalie dans nos stades !
Je crois rêver, puisqu’on invoque sentencieusement les voyages et les locations de tourisme voire même la migration indésirable !
Notez qu’ils n’ont pas encore de métro, mais ça va venir puisque même à Nancy ils ont débranché leur Tramway…
Et qu’on a coutume de pointer du doigt l’industrie du tourisme comme responsable de la présence de ces nuisibles qui peuvent transformer les nuits en véritables cauchemars.
Le tout à l’avant-veille de la saison olympique !…
Un hasard du calendrier qui a bon dos, en pense-je.
Et qu’il s’en débrouille très bien, au moins jusque-là.
Car les bagages sont bel et bien des sources de prolifération, mais le succès de la seconde main est aussi à prendre en considération (histoire de vous dégouter de « recycler » les brocantes).
C'est l’un des rares avantages constatés lorsque la pandémie avait drastiquement freiné les voyages et limité les déplacements.
Mais avec le tourisme qui a repris, le phénomène refait parler de lui depuis qu’une horde d’insectes a été repérée sur certaines lignes du métro parisiens et dans le train, incitant le ministère du Transport a organisé une stratégie contre-offensive avec les opérateurs de transport.
Elle ne cause pas des invasions de poux dans la tête des « chères têtes-blondes » qui fréquentent les ékoles de la République (réputées pour accueillir aussi du « migrant-vagabond »).
Elle avait indiqué ce vecteur de propagation de ces insectes qui se cachent dans les valises pour ensuite infester les matelas et sommiers pour piquer la nuit.
Les humains n’y sont donc pour rien : ce sont leurs bagages qu’il faut brûler au passage des frontières !
Prévenez les touristes qui iraient sur les sites olympiques !
La reprise du trafic aérien et des voyages après plus de deux années au ralenti relance logiquement la crainte de ramener dans ses bagages ce souvenir désagréable.
Avec la réouverture des frontières de la Chine, les compagnies aériennes estiment en effet que 4,35 milliards de passagers seront transportés dans le monde cette année, soit un niveau tout proche de celui de 2019, année de référence puisque dernier millésime avant que le secteur du tourisme ne soit mis à l’arrêt à cause du « Conard-virus ».
Une tendance confirmée au début de la saison estivale par l’Association du transport aérien international (Iata), qui a annoncé en juin dernier une hausse du trafic de 31 % par rapport au même mois un mois plus tôt. Désormais, le va-et-vient des avions dans le ciel de la planète est à 94,2 % du niveau avant la crise sanitaire.
Et, si la « seconde main » est une vraie solution pour amoindrir le gaspillage et l’impact de notre consommation sur la Terre, elle se révèle aussi comme un nid pouvant initier le début d’un envahissement : « Lors d’infestations graves, les insectes peuvent également s’infiltrer dans les appareils électroniques conservés près du lit, y compris les téléviseurs et les prises, préférant les cachettes toujours chaudes », expliquait également ce journal britannique.
Bref, on peut ramener chez soi les fameuses petites bêtes quand on déniche dans une brocante ou sur Le Bon Coin ce joli meuble vintage qui apportera du cachet à son salon, de la même manière quand on revient d’un séjour long-courrier.
Voir dans les chaussettes d’un immigrant (mal-rasé) ?
C’est vous dire s’il y a de quoi en rester étonné (mais pas vous…)
Face à ce problème, le service public a publié des recommandations afin de prévenir tout risque d’infestation. Il recommande notamment de ne pas ouvrir immédiatement ses bagages sur le lieu de vacances et de vérifier la présence éventuelle des punaises sur place. Et dans le cas où l’on est victime de ces insectes, les traitements non chimiques, à base de chaleur sèche, sinon la congélation, sont des solutions à privilégier.
Tu fous tes fringues et tes pompes au congélateur, ou tu les repasses.
C’est valable pour le matelas et les sommiers : Un coup de fer à repasser, et les bestioles clamsent !
Simple et facile, finalement.
D’après les résultats de l’Inserm sur le sujet, d’avril 2019 à mars 2020, 39 % des patients ayant consulté pour des piqûres de punaises de lit souffraient d’insomnie et 39 % estimaient que l’infestation avait eu un retentissement sur leur vie professionnelle, familiale ou sociale.
« La population de punaises de lit double tous les cinq ans en France ». Je me demande bien où…
Pas en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » en tout cas (mais est-ce encore la Gauloisie ?…).
« On me demande souvent combien il y a de foyers de punaises de lit en France. C’est impossible à dire car toutes les personnes dont le logement est infesté n’en parlent pas ». Il existe en effet aujourd’hui encore une idée reçue idiote et tenace sur le fait qu’avoir des punaises de lit chez soi serait lié à la saleté sinon à l’insalubrité.
Et c’est valable sous toutes les latitudes.
Or, il n’en est rien : « C’est un parasite de l’humain et tout le monde peut en avoir chez soi », relève un entomologiste.
Dans l’attente d’un tel outil, les données concernant une résurgence proviennent d’études portant sur le recours aux services de désinsectisation et de signalements des acteurs de terrain (associations, centres communaux d’action sociale, etc.). C’est sur ces données que le rapport de l’Anses a pu signaler que 11 % des ménages infestés par les punaises de lit entre 2017 et 2022…
Pas à l’absence de savonnage, ou au défaut de visa !
Et on retrouve tout ça au cinéma, dans le métro ou les trains, demain les avions et les bus…
C’est histoire de vous dégouter de sortir de chez vous et probablement d’éviter d’accueillir des Zélandais ou des kangourous pour les jeux : Pour le mondial, c’était trop tard…
Faudait-il céder à la panique et éviter ces lieux publics ?
En effet, « elles viennent sur les humains pour se nourrir et retournent se cacher ». De fait, il semble assez exceptionnel qu’elles puissent transiter du métro à notre logement par l’intermédiaire de nos vêtements ou de nos chaussures – et elles sont généralement suffisamment grosses pour que le cas échéant, on puisse les retirer avant de rentrer.
« Des gens renoncent à traiter leur appartement et une fois que leur appartement est infesté, ça contamine les appartements voisins », nous affirme le premier adjoint à la maire de « Paris-sur-la-plage » !
Bé voyons…
Pour qu’elles deviennent nos colocataires indésirables après une séance de ciné ou un transport en métro, il faudrait qu’elles aient pu se faufiler dans un sac ouvert. Or, elles ne volent pas ni ne sautent… alors ah que quoi au juste, pov’ krétin ?
Faut le faire, question récupération idiote et politicienne pour racketter le pingouin…
Peut-on s’assurer contre la konnerie de nos élus ?
Sûrement plus cher que pour la chute de satellite sur le coin de la tronche…
Reste à éviter certaines erreurs comme jeter sommier, matelas et vêtements dans l’urgence, croire les belles promesses concernant un traitement en trois pschitts de produit miracle de la part de professionnels peu scrupuleux, ou encore ne pas respecter le protocole préparatoire de l’entreprise qui intervient.
On met ainsi en garde contre l’usage de produits du commerce à base de pyréthrinoïdes : « Ils sont inefficaces et entretiennent la résistance des punaises de lit aux insecticides. De plus, comme ils contiennent des répulsifs, ils risquent de les repousser ailleurs, puisqu’elles ont tendance à monter, notamment dans des faux plafonds depuis lesquels elles iront se promener vers les logements voisins. » Nombreux de ces produits sont par ailleurs très toxiques…
À suivre, mais franchement, je me bidonne…
Notez que pendant ce temps-là, on ne parle plus des rats, des émeutes, des encombrements de la circulation, de travaux permanents sur la voie publique, des bouquinistes et des SDF qui fleurissent dans les espaces verts et sous les porches !
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