Il n’a perdu son temps…
C’est l’histoire des deux étudiants qui marchent le
long de leur campus lorsque l’un des deux dit à l’autre, admiratif :
« ― J’ai vu ton nouveau vélo : Il est super ! Où est-ce que tu l’as trouvé ?
― Bé en fait, alors que je marchais et que j'étais
dans mes pensées, je croise une super nana en vélo qui s’arrête devant moi,
pose son vélo par terre, se déshabille entièrement et me dit : « Prends ce
que tu veux ! »
― Tu as eu raison : Les vêtements auraient certainement été trop serrés… »
Un client entre dans une brasserie dotée d’un immense
zinc, s’accoude au milieu et commande un demi.
« ― Je vous dois combien ?
― 3 euros », fait le garçon.
Le type sort trois pièces de 1 euro, pose la première
devant lui, va tout au bout à gauche poser la seconde, puis tout au bout à
droite poser la troisième.
Sans broncher le garçon fait tout le zinc pour récupérer ses 3 euros.
Le lendemain, même manège : Une pièce au milieu, une au bout à gauche, une au bout à droite.
Et le barman fait tout le zinc pour récupérer ses 3 euros.
Chaque jour c'est la même chose.
Mais voilà qu’un matin, le type paye avec un billet de cinq euros. Alors le garçon sort deux pièces de 1 euros de la caisse pour la monnaie, et avec un sourire triomphant, il va en poser une à un bout du zinc, et la seconde à l’autre bout.
Et quand il revient au milieu, le type sort 1 euro de sa poche et dit en le posant devant lui :
« Réflexion faite, remettez-moi ça... »
Un éleveur de poulet se rend au café local.
Il s’assied à côté d’une femme et commande un verre de Champagne.
La femme dit :
« ― Comme c'est bizarre, je viens aussi de commander un verre de Champagne !
― Quelle coïncidence ! » dit l’éleveur
qui ajoute, « C’est un jour spécial pour moi… Je le célèbre.
― C’est un jour spécial pour moi aussi, je le célèbre également », dit la
femme.
« Quelle coïncidence ! » dit
l'éleveur.
Pendant qu’ils trinquent l’homme demande :
« ― Que célébrez-vous donc ?
― Mon mari et moi essayons d’avoir un enfant depuis
des années, et aujourd’hui mon gynécologue m’a annoncé que j’étais enceinte.
― Quelle coïncidence ! » dit l’homme.
« Je suis éleveur de volailles et pendant des années toutes mes poules
ont été infertiles, mais aujourd’hui, elles se sont toutes mises à pondre des
œufs fécondés.
― C’est génial », dit la femme. « Comment avez-vous fait pour
que vos poules deviennent fertiles ?
― J'ai utilisé un autre coq »,
répond-il.
La femme sourit et dit : « Quelle coïncidence
! »
Une vieille revenue :
Il était une fois un homme parfait et une femme parfaite qui se rencontrèrent. Après s’être fait la cour, ils se marièrent. Leur union était bien sûr parfaite.
Une nuit de réveillon de Noël, ce couple parfait conduisait leur voiture parfaite le long d’une route déserte, lorsqu’ils remarquèrent quelqu’un en détresse sur le bord de la route.
Étant parfaits, ils s'arrêtèrent pour lui apporter leur aide.
La personne en détresse était le Père Noël, avec sa hotte remplie de cadeaux.
Ne voulant pas que des milliers d’enfants soient déçus une veille de Noël, le couple parfait prit le Père Noël et ses jouets à bord de leur voiture parfaite et l’accompagna pour la distribution de cadeaux.
Malheureusement, à cause du mauvais temps, le couple parfait et le Père Noël eurent un accident !
Seulement l’un d’entre eux survécu à cet événement dramatique.
Lequel ?
La femme parfaite a survécu. En fait, c’est la seule
personne de cette histoire qui existe vraiment.
Tout le monde sait que le Père Noël et l’homme parfait n’existent pas !
Les femmes arrêtent de lire à partir d’ici, c’est la fin de la blague.
Les hommes peuvent continuer !
Donc, si le Père Noël n’existe pas, pas plus d'ailleurs que l’homme parfait, la femme parfaite devait forcément conduire… Cela explique l’accident !
D’autre part, si vous êtes une femme et que vous êtes en train de lire, cela illustre une autre vérité misogyne à souhait : Les femmes n’écoutent jamais ce qu’on leur dit !…
Jean-Marc à Jean-Paul devant une bière en terrasse de café :
« ― Ma femme et moi, on est mariés depuis dix
ans, et je vais te dire le secret de la réussite de notre couple :
On va régulièrement dans une boîte-restaurant qu’on
adore.
Ça commence par un petit dîner aux chandelles, ensuite on descend au sous-sol, et là whisky, lumières tamisées, séries de slows…
― Vous y allez souvent ? » demande Jean-Paul.
« ― Toutes les semaines !
Elle le jeudi et moi le samedi… »
C’est l’histoire des deux cow-boys qui convoyaient du
bétail dans les plaines de l’Ouest et distinguent la silhouette d’un Indien
couché sur le sol.
Ils se rapprochent et voient finalement que le Comanche est à plat ventre, l’oreille collée contre le sol.
Les cow-boys s’arrêtent et le premier dit au second :
« Tu vois cet Indien, il est en train d’écouter les vibrations du sol. Il est capable de déterminer si un cavalier ou un attelage arrive et à quelle distance il se trouve. »
À ce moment-là, l’Indien tourne la tête et dit :
« ― Chariot couvert, à deux miles, plein sud. Deux chevaux, un bai brun et un alezan. Un homme, une femme, deux enfants avec affaires dans chariot.
― Incroyable ! » s’exclament en cœur les cow-boys.
« Cet Indien est tout bonnement incroyable.
C’est époustouflant ! Comment arrive-t-il à connaître autant de détails ??? »
Alors l’Indien tourne à nouveau la tête et fait :
« Chariot rouler sur moi il y a une demi-heure… »
Jean-Marc et Jean-Paul, en voiture s’arrêtent au feu rouge.
Jean-Marc, le passager dit au conducteur :
« C’est vert. »
Pas de réponse.
Jean-Marc répète :
« C’est vert. »
Toujours pas de réponse.
Il insiste :
« Je te dis que c’est vert ! »
Jean-Paul, le conducteur répond enfin :
« Je sais pas moi… une grenouille ? »
Encore une « vieille revenue » :
Une belle mère décide de savoir si ses trois gendres l’aiment ou au moins l’apprécient…
Le lendemain en se promenant au bord du fleuve avec son premier gendre, elle glisse dans l’eau et commence à se noyer, le gendre sans hésitation plonge et sauve sa belle-mère.
Le lendemain, devant la maison, il trouve une voiture neuve, une petite Peugeot 208 avec un mot sur le pare-brise :
« Merci de la part de ta belle-mère qui t’aime. »
Elle entreprend le même scénario avec le deuxième gendre. Celui-ci plonge et sauve sa belle-mère.
Lui aussi reçoit une voiture, une petite Peugeot 208 avec un mot sur le pare-brise :
« Merci de la part de ta belle-mère qui t’aime. »
Même scénario avec le troisième gendre, elle glisse dans l’eau et commence à se noyer et lui regarde sa belle-mère se noyer en se disant :
« Depuis le temps que j'attendais ça ! »
Le lendemain, il voit une Porsche Cayenne avec toutes les options, toute neuve devant sa maison avec un petit mot sur le pare-brise :
« Merci de la part de ton beau-père qui t’aime. »
En Grèce, Jean-Marc a voulu visiter un
monastère orthodoxe perché au sommet d’un falaise vertigineuse.
On l’installe dans une nacelle accrochée à une simple corde, et en haut deux moines tournent une manivelle pour le hisser.
En cours de route Jean-Marc constate que la corde est complètement usée.
Quand il arrive enfin, livide, il demande au moine :
« ― La corde vous la changez régulièrement ?
― Bien sûr ! Chaque fois qu’elle casse… »
Cet été, c’est un 747 est au-dessus de l’Atlantique.
Soudain le commandant de bord s’adresse aux passagers :
« L’un de nos réacteurs vient de tomber en panne. Cela ne pose aucun problème, mais nous aurons vingt minutes de retard sur l’horaire prévu. »
Un peu plus tard il reprend le micro :
« Un second réacteur vient de s’arrêter. Notre retard sur l’horaire sera d’une heure. »
Quelque temps après, nouvelle intervention :
« Le troisième réacteur est stoppé. Notre retard atteindra deux heures… »
Alors Jean-Marc s’écrie :
« Pourvu que le quatrième réacteur ne tombe pas en panne !
Sinon, je rate ma correspondance ! »
C’est l’histoire de ce directeur d’asile de fous qui a
deux perroquets dans son bureau : Un rouge et un vert
Un jour, ils s’échappent et vont se percher dans un arbre.
Le directeur demande si un des patients peut grimper dans l’arbre les récupérer.
Un fou se présente, monte dans l’arbre et ramène le perroquet rouge…
Ensuite, il va s’asseoir.
Le directeur lui demande pourquoi il ne va pas chercher le perroquet vert.
Le fou lui répond :
« Comme il n’est pas mûr, je l’ai laissé sur l’arbre ! »
D’ailleurs, l’hiver dernier, dans la cour du même établissement
psychiatrique, les pensionnaires se promenaient.
Le chien du gardien qui gambadait dans la cour, s’approche de l’un d'eux.
Apeuré, celui-ci se baisse pour ramasser une pierre.
Mais celle-ci reste collée au sol par la gelée.
Alors, il s’est enfuit vers la porte.
Le gardien l’arrête :
« ― Où courez-vous comme ça ?
― Je m'en vais. C’est une maison de fous ici !
― Bé oui, c’est pour cette raison que je ne vous laisse pas sortir.
― Non, mais rendez-vous compte : Ici les chiens sont en liberté mais on attache les pierres ! »
Jean-Paul va chez le médecin et se plaint d’avoir du
mal à s’endormir.
Au lieu de lui donner des médicaments, le médecin lui propose autre chose :
« Vous allez prendre chaque soir, au coucher, un verre de lait et un bain bien chaud » dit-il à son patient.
« Revenez me voir dans une semaine, nous ferons le point. »
Une semaine s’écoule et Jean-Paul revient :
« Bonjour ! Avez-vous respecté ce que je vous ai prescrit ? » lui demande le docteur.
« Pas de problème pour le verre de lait… mais le bain… je n’arrive pas à tout boire ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE
PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN
LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN
AGENT « NON RUSSE » !
« ― J’ai vu ton nouveau vélo : Il est super ! Où est-ce que tu l’as trouvé ?
― Tu as eu raison : Les vêtements auraient certainement été trop serrés… »
« ― Je vous dois combien ?
Sans broncher le garçon fait tout le zinc pour récupérer ses 3 euros.
Le lendemain, même manège : Une pièce au milieu, une au bout à gauche, une au bout à droite.
Et le barman fait tout le zinc pour récupérer ses 3 euros.
Chaque jour c'est la même chose.
Mais voilà qu’un matin, le type paye avec un billet de cinq euros. Alors le garçon sort deux pièces de 1 euros de la caisse pour la monnaie, et avec un sourire triomphant, il va en poser une à un bout du zinc, et la seconde à l’autre bout.
Et quand il revient au milieu, le type sort 1 euro de sa poche et dit en le posant devant lui :
« Réflexion faite, remettez-moi ça... »
Il s’assied à côté d’une femme et commande un verre de Champagne.
La femme dit :
« ― Comme c'est bizarre, je viens aussi de commander un verre de Champagne !
Pendant qu’ils trinquent l’homme demande :
« ― Que célébrez-vous donc ?
Il était une fois un homme parfait et une femme parfaite qui se rencontrèrent. Après s’être fait la cour, ils se marièrent. Leur union était bien sûr parfaite.
Une nuit de réveillon de Noël, ce couple parfait conduisait leur voiture parfaite le long d’une route déserte, lorsqu’ils remarquèrent quelqu’un en détresse sur le bord de la route.
Étant parfaits, ils s'arrêtèrent pour lui apporter leur aide.
La personne en détresse était le Père Noël, avec sa hotte remplie de cadeaux.
Ne voulant pas que des milliers d’enfants soient déçus une veille de Noël, le couple parfait prit le Père Noël et ses jouets à bord de leur voiture parfaite et l’accompagna pour la distribution de cadeaux.
Malheureusement, à cause du mauvais temps, le couple parfait et le Père Noël eurent un accident !
Seulement l’un d’entre eux survécu à cet événement dramatique.
Lequel ?
Tout le monde sait que le Père Noël et l’homme parfait n’existent pas !
Les femmes arrêtent de lire à partir d’ici, c’est la fin de la blague.
Les hommes peuvent continuer !
Donc, si le Père Noël n’existe pas, pas plus d'ailleurs que l’homme parfait, la femme parfaite devait forcément conduire… Cela explique l’accident !
D’autre part, si vous êtes une femme et que vous êtes en train de lire, cela illustre une autre vérité misogyne à souhait : Les femmes n’écoutent jamais ce qu’on leur dit !…
Ça commence par un petit dîner aux chandelles, ensuite on descend au sous-sol, et là whisky, lumières tamisées, séries de slows…
― Vous y allez souvent ? » demande Jean-Paul.
Ils se rapprochent et voient finalement que le Comanche est à plat ventre, l’oreille collée contre le sol.
Les cow-boys s’arrêtent et le premier dit au second :
« Tu vois cet Indien, il est en train d’écouter les vibrations du sol. Il est capable de déterminer si un cavalier ou un attelage arrive et à quelle distance il se trouve. »
À ce moment-là, l’Indien tourne la tête et dit :
« ― Chariot couvert, à deux miles, plein sud. Deux chevaux, un bai brun et un alezan. Un homme, une femme, deux enfants avec affaires dans chariot.
Alors l’Indien tourne à nouveau la tête et fait :
« Chariot rouler sur moi il y a une demi-heure… »
« C’est vert. »
Pas de réponse.
Jean-Marc répète :
« C’est vert. »
Toujours pas de réponse.
Il insiste :
« Je te dis que c’est vert ! »
Jean-Paul, le conducteur répond enfin :
« Je sais pas moi… une grenouille ? »
Une belle mère décide de savoir si ses trois gendres l’aiment ou au moins l’apprécient…
Le lendemain en se promenant au bord du fleuve avec son premier gendre, elle glisse dans l’eau et commence à se noyer, le gendre sans hésitation plonge et sauve sa belle-mère.
Le lendemain, devant la maison, il trouve une voiture neuve, une petite Peugeot 208 avec un mot sur le pare-brise :
« Merci de la part de ta belle-mère qui t’aime. »
Elle entreprend le même scénario avec le deuxième gendre. Celui-ci plonge et sauve sa belle-mère.
Lui aussi reçoit une voiture, une petite Peugeot 208 avec un mot sur le pare-brise :
« Merci de la part de ta belle-mère qui t’aime. »
Même scénario avec le troisième gendre, elle glisse dans l’eau et commence à se noyer et lui regarde sa belle-mère se noyer en se disant :
« Depuis le temps que j'attendais ça ! »
Le lendemain, il voit une Porsche Cayenne avec toutes les options, toute neuve devant sa maison avec un petit mot sur le pare-brise :
« Merci de la part de ton beau-père qui t’aime. »
On l’installe dans une nacelle accrochée à une simple corde, et en haut deux moines tournent une manivelle pour le hisser.
En cours de route Jean-Marc constate que la corde est complètement usée.
Quand il arrive enfin, livide, il demande au moine :
« ― La corde vous la changez régulièrement ?
Soudain le commandant de bord s’adresse aux passagers :
« L’un de nos réacteurs vient de tomber en panne. Cela ne pose aucun problème, mais nous aurons vingt minutes de retard sur l’horaire prévu. »
Un peu plus tard il reprend le micro :
« Un second réacteur vient de s’arrêter. Notre retard sur l’horaire sera d’une heure. »
Quelque temps après, nouvelle intervention :
« Le troisième réacteur est stoppé. Notre retard atteindra deux heures… »
Alors Jean-Marc s’écrie :
« Pourvu que le quatrième réacteur ne tombe pas en panne !
Un jour, ils s’échappent et vont se percher dans un arbre.
Le directeur demande si un des patients peut grimper dans l’arbre les récupérer.
Un fou se présente, monte dans l’arbre et ramène le perroquet rouge…
Ensuite, il va s’asseoir.
Le directeur lui demande pourquoi il ne va pas chercher le perroquet vert.
Le fou lui répond :
« Comme il n’est pas mûr, je l’ai laissé sur l’arbre ! »
Le chien du gardien qui gambadait dans la cour, s’approche de l’un d'eux.
Apeuré, celui-ci se baisse pour ramasser une pierre.
Mais celle-ci reste collée au sol par la gelée.
Alors, il s’est enfuit vers la porte.
Le gardien l’arrête :
« ― Où courez-vous comme ça ?
― Bé oui, c’est pour cette raison que je ne vous laisse pas sortir.
― Non, mais rendez-vous compte : Ici les chiens sont en liberté mais on attache les pierres ! »
Au lieu de lui donner des médicaments, le médecin lui propose autre chose :
« Vous allez prendre chaque soir, au coucher, un verre de lait et un bain bien chaud » dit-il à son patient.
« Revenez me voir dans une semaine, nous ferons le point. »
Une semaine s’écoule et Jean-Paul revient :
« Bonjour ! Avez-vous respecté ce que je vous ai prescrit ? » lui demande le docteur.
« Pas de problème pour le verre de lait… mais le bain… je n’arrive pas à tout boire ! »
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