Et parfois, ils font très fort…
Je veux dire que le monde s’effrite à défaut de sombrer, que nos médias ne
savent que causer des fautes d’un arbitre de Rugby qui aura favorisé une
affiche dans laquelle son équipe nationale devait figurer en finale (quitte à
saborder le championnat), les bourses s’écroulent lentement, on se massacre
toujours en Ukraine et alors on en a plein la bouche et le neurone des
propagandes proche-orientales qui veulent justifier des massacres commis.
Je ne sais décidément pas dans quel monde on vit : J’ai dû me tromper d’affectation en naissant ici et pas sur une autre planète…
Mais alors, les meilleures auront été débité par deux « majors »
(je n’en cite que deux à mon panthéon des lumières de la semaine) de la pensée
post-moderne contemporaine.
D’abord, « Konne-benne-dites » (mais oui, il n’est pas encore « dispersé » sur le « Boul’-Mich’ », selon ses dernières volontés exprimées sans être shooté) qui la ramène en ciblant la présidente de l’Assemblée nationale, « Ya-Aile-Brune-Piverts » (un patronyme bien breton, comme on en dit en Auvergne profonde…), et « Juppette » qui se réveille derrière « Mes-Luches » (le troisième « permanent » du duo).
Il faut dire que ce dernier nous a fait très fort en stigmatisant la détentrice du « Perchoir » de l’Assemblée Nationale de mes « députacrouilles », mais passons ce qui a fait réagir l’ex-meneur de Mai 68 et ex-député européen « écololo » et avance, lui aussi, quelques idées pour sortir de l’impasse tragique du conflit Hamas-Israël.
« Mes-Luches » twiste à propos de la présidente de l’Assemblée Nationale,
qu’elle « campe à Tel-Aviv pour encourager le massacre ».
Au moins, il a le sens de la formule après le massacre réalisé par le Hamas…
Réaction de celui qui a fait vaciller un temps « le Général » (qui l’aura laminé par surprise en convoquant des élections anticipées) : « Ce tweet incarne l’ignominie et la bêtise en même temps. Les 3.000 personnes qui étaient présentes place de la République ne sont pas plus représentatives de la France que quelque autre rassemblement. » (Ce qui reste vrai…)
« Dans cette période, attaquer la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, descendante de Juifs polonais et de Juifs allemands, c’est la démonstration ultime que Jean-Luc Mélenchon et LFI ne comprennent pas ce qui s’est passé. »
Et d’expliquer : « Je connais des milliers de Juifs qui ont
une judéité qui n’a rien à voir avec le judaïsme.
Mais le 7 octobre, plus aucun n’était pas Juif. Qu’un pogrom
de cette dimension, de cette barbarie ait pu avoir lieu en Israël nous a tous
perturbés. On connaît la phrase d’Elie Wiesel : « Je peux ne pas vivre en Israël, mais
je ne peux pas vivre si Israël n’existe pas. » C’est ce que nous avons tous
ressenti. »
Oui, là, franchement… On peut comprendre, mais bon, on peut très bien
vivre sans Israël. Et les juifs en premier depuis la destruction du Temple et
jusqu’en 1947…
Mais, le « breton de Teutonnie », il va plus loin et c’est
là que ça reste formidable : « On s’insurge avec raison quand aux
États-Unis un Noir est tué, en disant : « Black Life Matters ». Aujourd’hui,
on n’entend pas du cœur de notre société : « Jew Life Matters ». «
La vie d’un Juif compte. »
Je n’ai pas entendu ces mots crier par des milliers de voix. » Et c’est vrai que parfois j’en ai honte d’être né à cette époque-là : J’ai dû me tromper dans mon affectation, vous dis-je…
« Et quand Mme Panot déclare sur France Inter que l’hôpital de
Gaza a été touché par une attaque d’Israël, et qu’on lui démontre que c’est
faux, elle rétorque : « Toutes les armées mentent toujours. »
On est dans l’obscurantisme total. Cela me rappelle le début des années 1960 quand on disait aux communistes français qu’il y avait des camps de concentration en Russie, et qu’ils répondaient : « Mais non, c’est une invention de l’impérialisme américain. » »
En voilà bien, des amalgames : Crie-t-on « Gazaouis life
Matters », au juste ?
Quant à « Mes-luches », « Dany-le-rouge » (il était
roux il a largement blanchi depuis) constate qu’il « attise le feu sur
des mensonges. Pour capitaliser sur la révolte qui s’est affirmée dans les
banlieues cet été, et chercher un nouvel électorat.
Mélenchon se sert de la rancœur de beaucoup de personnes d’origine
musulmane et l’instrumentalise, à des fins politiques, même bassement
électorales.
Je ne sais pas si tout cela est orchestré. Je ne sais pas si ces gens sont antisémites, mais s’ils l’étaient, ils ne parleraient pas autrement.
Il ne s’agit pas de nier aujourd’hui la terrible douleur palestinienne : depuis des dizaines d’années, je me bats pour un État palestinien. Mais il faut arrêter avec l’obscurantisme.
Dans les années 1960, une certaine gauche a défendu tous les mouvements d’émancipation nationale, en Algérie, à Cuba, au Vietnam, au Nicaragua ou au Cambodge.
Tous sont devenus des États totalitaires ! »
Merci pour ce constat lucide.
Et encore, il oublie de parler de ces États où se succèdent les coups d’État « décolonisés » et ceux où prolifèrent les groupes terroristes…
Sa solution : « Il faut aider les Palestiniens à se libérer
du Hamas. L’horreur du 7 octobre a remis la cause palestinienne à l’ordre du
jour. Et, aujourd’hui, qui en défend l’idée ?
Les Américains Biden et Blinken essaient de redonner une
dimension à l’Autorité palestinienne, pour qu’après le démantèlement du Hamas,
il existe une autre force capable de reprendre Gaza.
On ne peut pas défendre la cause palestinienne si l’on ne dénonce pas le terrorisme du Hamas. Pis, on nuit à cette cause : l’État que veut le Hamas, c’est l’Iran. »
Le « grand Satan » reste donc l’Iran.
Qui participe étroitement à la ligue du triangle des dernières dictatures majeures, Moscou, Téhéran, Pyongyang, qui visent à un monde (déjà) multipolaire mais sous leur contrôle en attirant plein de « bébés dictatures » dans leur orbite, sur tous les continents, d’ailleurs…
Ceci dit, depuis le temps qu’on aide les Gazaouis à se libérer du Hamas…
Mais il persiste : « Phase numéro un : démantèlement physique
du Hamas à Gaza. Je sais que ce sera très dur, mais il n’y a pas d’autres
solutions que de briser la mainmise de cette organisation terroriste sur son
territoire. »
Aveu d’échec…
« Phase numéro deux, le gouvernement Netanyahou tombe : il est responsable de ne pas avoir su protéger les Israéliens. Ou il a la grandeur de Golda Meir, et il démissionne. Ou il sera démissionné. Un gouvernement modéré s’installe, et il devra remettre à l’ordre du jour les négociations avec les Palestiniens.
Avec l’aide d’une force d'interposition turco-marocaine,
pour rétablir l’ordre à Gaza. »
Mais ils ne veulent pas servir de tampon, m’insurge-je ! Pas fous…
« Mais il y a aussi en prison, en Israël, un militant du Fatah,
Mawran Barghouti. Il peut être le Mandela palestinien.
Il incarne une autorité positive qui est apte à s’opposer à
l’autorité négative du Hamas.
Barghouti avait, d’ailleurs, soutenu les négociations avec Israël, il a été déçu, et il a pris les armes.
Comme Mandela, et c’est ainsi qu’on pourra enclencher de nouvelles négociations avec pour objectif la seule idée moralement défendable : l’existence de deux États. »
Note, « kamarade-konne-benne-dites », que tous ceux qui ont
soutenu cette solution se sont fait assassiner. Juif et égyptien…
Probablement que les volontaires ne sont plus très nombreux, désormais.
Bref, je constate que le « communautarisme » religieux fait
couler le sang au nom de leur Dieu.
Qui est d’ailleurs le même, même s’il change de nom.
C’est quand même dommage : La religion, ce n’est plus l’opium du peuple chère au « Kamarade Vladimir », mais la première cause de mortalité planétaire (après les mobilités douces à vélo…)
Et puis, dans le même style, mais sur un registre totalement différent, on
a eu droit au réveil de « Juppette » (l’ex-meilleur-d’entre-tous).
Lui, il est marrant : Il a osé se demander si l’islam était bien
compatible avec notre République.
Forcément, à « gôche » ils y voient de l’« islamophobie » et que certain le qualifie carrément d’« effrayant ».
C’est qu’il faut lire (ou écouter) jusqu’au bout son intervention : « Est-ce qu’il y a une forme d’islam qui est compatible avec la République ? Je veux encore le croire. Parce que si la réponse est non à cette question, cela veut dire qu’il y a 4 à 5 millions de Français musulmans qui n’ont pas la place chez nous.
Et on ne peut pas l’accepter », avait-il déclaré dimanche en huit,
sur Radio J (« J » qui ne veut pas dire « jeune »…).
L’ancien « Premier sinistre » du « Chi », reconverti
en super sage du Conseil Constitutionnel, vient en effet de confesser au détour
d’une interview qu’il lui arrivait à présent de se poser la question de savoir
si l’islam était ou non compatible avec la République.
Notez que mieux vaut tard que jamais.
Mais tout de même, on ne peut s’empêcher de penser que chez un personnage de ce calibre, ayant exercé les responsabilités locales, nationales au plus haut niveau et si longtemps, le commencement de la lucidité se sera fait attendre quelque chose comme une éternité.
C’est seulement arrivé en bout de carrière, après – allez savoir ? – trois ou quatre décennies d’intense réflexion, qu’il parvient à se poser enfin une bonne question, et à regarder la réalité en face.
Pas facile !
Selon « Monsieur Juppette », l’initiative de la réponse à son
questionnement incomberait aux institutions et aux représentants de ladite
religion eux-mêmes.
Ce sont eux qui devraient dire s’il y a compatibilité ou pas.
Certes on peut rêver, d’autant qu’on connaît leur réponse : C’est oui !
Notamment (et seulement) si la République adapte ses lois à celle du Coran.
C’est ça l’effet du « communautarisme-parigot » de la « gôche-bobo-caviar » qui en aura inventé des tonnes pour nuire et affaiblir volontairement l’unité nationale, jusqu’à inventer « Touche pas à mon pote » en oubliant toutes les autres communautés qui ne sont pas des « minorités visibles »…
Notez également qu’il aurait pu se mettre à penser et à parler en homme
d’État, en homme d’État de bonne facture, en affirmant, par exemple, que compte
tenu de ce que nous subissons de drames ces derniers temps, il revenait à
l’État, et à son chef en premier lieu, non pas d’attendre mais d’exiger – oui
exiger – que les instances de la religion concernée s’expriment sur le sujet.
Les mettre au pied du mur en somme.
Comme l’a si bien fait un certain Napoléon (un natif de la minorité
ajacienne) avec les juifs en février 1807, d’ailleurs.
Il convoqua et réunit durant un mois des personnalités juives représentatives désignées par les préfets et les grands rabbins en exigeant d’eux – nous disons bien en exigeant – des réponses, claires et départies de toute ambiguïté à une série de questions, elles aussi claires et sans ambiguïté.
Parmi ces questions, celle-ci qui pourrait être proposée aujourd’hui à l’identique, à la virgule près, aux tenants de l’Islam : « Les Juifs nés en France et traités par la loi comme citoyens français regardent-ils la France comme leur patrie ?
Ont-ils l’obligation de la défendre ?
Sont-ils obligés d’obéir aux lois et de suivre les dispositions du Code Civil ? »
Bon, la nationalité israélienne n’existait pas alors, et la réponse, unanime,
précise, nette, ne s’est pas fait attendre : « La France est notre patrie,
les Français sont nos frères. Les Juifs sont prêts à défendre la France jusqu’à
la mort. »
Par ailleurs, il est précisé que le rôle du rabbin consiste à « rappeler en toutes circonstances l’obéissance aux lois (gauloisiennes) notamment et en particulier celles relatives à la défense de la patrie. »
De plus, il suffit de se reporter aux registres des Juifs morts pour mon pays lors des deux conflits mondiaux pour constater avec quelle dignité, quelle rigueur la parole donnée a été tenue.
Qu’ils en soient remerciés, au moins autant que mes tirailleurs sénégalais et mes goumiers marocains venus libérer Bastia…
Se rappelle-t-on qu’en ces temps-là, « Juppette » accrochait des
lilas aux portes des mosquées, tapait la belote avec un imam bordelais proche
des Frères musulmans, écrivait « L’Identité heureuse » sur les murs.
Mais le temps passe, le compteur tourne.
Et après quelques hésitations, il se lance, et tant pis s’il se retrouve mis au ban de la société : Il n’a plus rien à démontrer.
En réalité, le cas est plus grave qu’il en a l'air. La poursuite de la
description du symptôme en témoigne. À l’écoute de l’émission, « Riton-Zézé-Amour »
est effaré : Le gaillard de Bordeaux veut être calife à la place du calife
chez Reconquête.
Il y a péril en la demeure.
Le retour au réel est brutal. La convalescence sera longue.
« Juppette » douterait-il que le monde musulman soit décidé à faire enfin toute la lumière sur sa compatibilité avec la République ?
« Moi, je ne suis pas musulman, donc, c’est pas à moi de le dire. »
« C’est aux musulmans de le dire, nous, nous sommes prêts à respecter la laïcité.
La laïcité, ça veut dire que la religion n’impose pas sa loi
dans la sphère publique ».
Voulait-il dire qu’il constatait le contraire de ce qu’il espère de la
communauté musulmane ?
Et alors quoi ? Si l’épisode est fort drôle, parce que la question
aurait dû être posée à l’occasion des différentes réunions avec les autorités
religieuses du culte musulman qui se sont succédées entre le « Chi »
et « Bling-bling », y compris chez les gôchistes avant de penser un
peu trop rapidement à récupérer les voix de ces citoyens de seconde génération
(qui restent aux antipodes des « valeurs de gôche », sauf quand ça
les arrange… : L’état de droit, c’est bien quand on se fait gauler par les
forces de l’ordre pour des délits voire des crimes, parce qu’on a droit à un
avocat payé par le kontribuable, mais insoutenable dès qu’il s’agit de refuser
d’obtempérer…), qui se vautre dans un soi-disant communautarisme de bon aloi…
Elle l’est d’autant plus qu’on aura appris dans le courant de la semaine
que le hongrois, il retourne totalement sa veste sur le sujet la migration
« hors-UE » (bouddhiste ou islamique ?), se disant prêt à
accueillir tout le monde, y compris les désespérés de la planète.
Du « Mère-quelle », mais à la hongroise (qui aura tout de même « exfiltré » de force tous ses juifs dans des camps, il y a quelques décennies de ça) : Il y a du travail qui manque de bras, figurez-vous, même sur les bords du beau Danube bleu.
On vit décidément une époque de tous les contrastes, paradoxes et
contraires que s’en est épuisant.
Il serait temps de remettre de l’ordre dans les idées de nos leaders de pensée, parce que là, ça fait désordre.
En plein conflit européen, ce serait la moindre des choses…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A
ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA
DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE »
!
Je ne sais décidément pas dans quel monde on vit : J’ai dû me tromper d’affectation en naissant ici et pas sur une autre planète…
D’abord, « Konne-benne-dites » (mais oui, il n’est pas encore « dispersé » sur le « Boul’-Mich’ », selon ses dernières volontés exprimées sans être shooté) qui la ramène en ciblant la présidente de l’Assemblée nationale, « Ya-Aile-Brune-Piverts » (un patronyme bien breton, comme on en dit en Auvergne profonde…), et « Juppette » qui se réveille derrière « Mes-Luches » (le troisième « permanent » du duo).
Il faut dire que ce dernier nous a fait très fort en stigmatisant la détentrice du « Perchoir » de l’Assemblée Nationale de mes « députacrouilles », mais passons ce qui a fait réagir l’ex-meneur de Mai 68 et ex-député européen « écololo » et avance, lui aussi, quelques idées pour sortir de l’impasse tragique du conflit Hamas-Israël.
Au moins, il a le sens de la formule après le massacre réalisé par le Hamas…
Réaction de celui qui a fait vaciller un temps « le Général » (qui l’aura laminé par surprise en convoquant des élections anticipées) : « Ce tweet incarne l’ignominie et la bêtise en même temps. Les 3.000 personnes qui étaient présentes place de la République ne sont pas plus représentatives de la France que quelque autre rassemblement. » (Ce qui reste vrai…)
« Dans cette période, attaquer la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, descendante de Juifs polonais et de Juifs allemands, c’est la démonstration ultime que Jean-Luc Mélenchon et LFI ne comprennent pas ce qui s’est passé. »
Je n’ai pas entendu ces mots crier par des milliers de voix. » Et c’est vrai que parfois j’en ai honte d’être né à cette époque-là : J’ai dû me tromper dans mon affectation, vous dis-je…
On est dans l’obscurantisme total. Cela me rappelle le début des années 1960 quand on disait aux communistes français qu’il y avait des camps de concentration en Russie, et qu’ils répondaient : « Mais non, c’est une invention de l’impérialisme américain. » »
Je ne sais pas si tout cela est orchestré. Je ne sais pas si ces gens sont antisémites, mais s’ils l’étaient, ils ne parleraient pas autrement.
Il ne s’agit pas de nier aujourd’hui la terrible douleur palestinienne : depuis des dizaines d’années, je me bats pour un État palestinien. Mais il faut arrêter avec l’obscurantisme.
Dans les années 1960, une certaine gauche a défendu tous les mouvements d’émancipation nationale, en Algérie, à Cuba, au Vietnam, au Nicaragua ou au Cambodge.
Tous sont devenus des États totalitaires ! »
Et encore, il oublie de parler de ces États où se succèdent les coups d’État « décolonisés » et ceux où prolifèrent les groupes terroristes…
On ne peut pas défendre la cause palestinienne si l’on ne dénonce pas le terrorisme du Hamas. Pis, on nuit à cette cause : l’État que veut le Hamas, c’est l’Iran. »
Qui participe étroitement à la ligue du triangle des dernières dictatures majeures, Moscou, Téhéran, Pyongyang, qui visent à un monde (déjà) multipolaire mais sous leur contrôle en attirant plein de « bébés dictatures » dans leur orbite, sur tous les continents, d’ailleurs…
Ceci dit, depuis le temps qu’on aide les Gazaouis à se libérer du Hamas…
Aveu d’échec…
« Phase numéro deux, le gouvernement Netanyahou tombe : il est responsable de ne pas avoir su protéger les Israéliens. Ou il a la grandeur de Golda Meir, et il démissionne. Ou il sera démissionné. Un gouvernement modéré s’installe, et il devra remettre à l’ordre du jour les négociations avec les Palestiniens.
Barghouti avait, d’ailleurs, soutenu les négociations avec Israël, il a été déçu, et il a pris les armes.
Comme Mandela, et c’est ainsi qu’on pourra enclencher de nouvelles négociations avec pour objectif la seule idée moralement défendable : l’existence de deux États. »
Probablement que les volontaires ne sont plus très nombreux, désormais.
Qui est d’ailleurs le même, même s’il change de nom.
C’est quand même dommage : La religion, ce n’est plus l’opium du peuple chère au « Kamarade Vladimir », mais la première cause de mortalité planétaire (après les mobilités douces à vélo…)
Forcément, à « gôche » ils y voient de l’« islamophobie » et que certain le qualifie carrément d’« effrayant ».
C’est qu’il faut lire (ou écouter) jusqu’au bout son intervention : « Est-ce qu’il y a une forme d’islam qui est compatible avec la République ? Je veux encore le croire. Parce que si la réponse est non à cette question, cela veut dire qu’il y a 4 à 5 millions de Français musulmans qui n’ont pas la place chez nous.
Notez que mieux vaut tard que jamais.
Mais tout de même, on ne peut s’empêcher de penser que chez un personnage de ce calibre, ayant exercé les responsabilités locales, nationales au plus haut niveau et si longtemps, le commencement de la lucidité se sera fait attendre quelque chose comme une éternité.
C’est seulement arrivé en bout de carrière, après – allez savoir ? – trois ou quatre décennies d’intense réflexion, qu’il parvient à se poser enfin une bonne question, et à regarder la réalité en face.
Pas facile !
Ce sont eux qui devraient dire s’il y a compatibilité ou pas.
Certes on peut rêver, d’autant qu’on connaît leur réponse : C’est oui !
Notamment (et seulement) si la République adapte ses lois à celle du Coran.
C’est ça l’effet du « communautarisme-parigot » de la « gôche-bobo-caviar » qui en aura inventé des tonnes pour nuire et affaiblir volontairement l’unité nationale, jusqu’à inventer « Touche pas à mon pote » en oubliant toutes les autres communautés qui ne sont pas des « minorités visibles »…
Les mettre au pied du mur en somme.
Il convoqua et réunit durant un mois des personnalités juives représentatives désignées par les préfets et les grands rabbins en exigeant d’eux – nous disons bien en exigeant – des réponses, claires et départies de toute ambiguïté à une série de questions, elles aussi claires et sans ambiguïté.
Parmi ces questions, celle-ci qui pourrait être proposée aujourd’hui à l’identique, à la virgule près, aux tenants de l’Islam : « Les Juifs nés en France et traités par la loi comme citoyens français regardent-ils la France comme leur patrie ?
Sont-ils obligés d’obéir aux lois et de suivre les dispositions du Code Civil ? »
Par ailleurs, il est précisé que le rôle du rabbin consiste à « rappeler en toutes circonstances l’obéissance aux lois (gauloisiennes) notamment et en particulier celles relatives à la défense de la patrie. »
De plus, il suffit de se reporter aux registres des Juifs morts pour mon pays lors des deux conflits mondiaux pour constater avec quelle dignité, quelle rigueur la parole donnée a été tenue.
Qu’ils en soient remerciés, au moins autant que mes tirailleurs sénégalais et mes goumiers marocains venus libérer Bastia…
Mais le temps passe, le compteur tourne.
Et après quelques hésitations, il se lance, et tant pis s’il se retrouve mis au ban de la société : Il n’a plus rien à démontrer.
Il y a péril en la demeure.
Le retour au réel est brutal. La convalescence sera longue.
« Juppette » douterait-il que le monde musulman soit décidé à faire enfin toute la lumière sur sa compatibilité avec la République ?
« Moi, je ne suis pas musulman, donc, c’est pas à moi de le dire. »
« C’est aux musulmans de le dire, nous, nous sommes prêts à respecter la laïcité.
Du « Mère-quelle », mais à la hongroise (qui aura tout de même « exfiltré » de force tous ses juifs dans des camps, il y a quelques décennies de ça) : Il y a du travail qui manque de bras, figurez-vous, même sur les bords du beau Danube bleu.
Il serait temps de remettre de l’ordre dans les idées de nos leaders de pensée, parce que là, ça fait désordre.
En plein conflit européen, ce serait la moindre des choses…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire