On commence par la mieux dotée !
Dans le mille : « Valy-Pète-Cresse » avec
9,7 millions d’euros !
Je dois avoir à peu près son âge, mais je n’arriverai pas à la rattraper avec mes pôvres droits d’auteur…
La présidente de la région « Île-de-Gauloisie » et candidate « LRd » dispose de trois maisons et de terrains
pour une valeur totale de plus de 4,1 millions d’euros, dont une maison dans
les Yvelines et une autre en Loire-Atlantique.
J’en étais resté à deux maisons voisines à La Baule…
Son époux, cadre supérieur chez General Electric, et elle-même possèdent pour près de 6,5 millions d’euros en assurance-vie (c’est pour payer les droits de succession dus par les gamins le jour de leur décès), un plan d’épargne retraite (article 82), pas mal de stock-options et actions de General electric (l’actuel employeur du mari), des comptes courants sur une SARL, des produits d’épargne divers, et 60.000 euros d’œuvres d’art dont deux Miro et un Hélion.
Plus une vieille C4 de 2007.
Voilà à quoi servent les rémunérations perçues depuis 5 ans du comptable public.
Ceci dit, elle est aussi endettée à hauteur d’un million d’euros, entre un prêt immobilier (811.049 euros) et un montant dû au Trésor public de 173.749 euros. Cette dernière somme, notifiée « tardivement fin 2021 », a été payée en février. Elle était liée à « un retard de calcul de la part du fisc sur l’ajustement » entre impôts dus au titre de 2020 et montants prélevés à la source.
Je ne vous raconte pas le niveau des assiettes « ajustées »…
Pas un mot sur les rémunérations de son époux : C’est « grisé ».
Et évidemment, pas de trace de sa fiducie (pour la bonne raison que ces fonds ne lui appartiennent juridiquement plus), ni des fameuses actions Alsthom de son mari.
Arrive ensuite « Zézé-amour » : Pas moins de
4,2 millions d’euros !
Le candidat de « Reconquête ! » est propriétaire ou copropriétaire à « Paris-sur-la-plage » de pas moins de cinq appartements allant du 27 au 165 mètres carrés, pour des montants de 176.400 à 1,8 million d’euros.
Il lui reste néanmoins quelque 633.000 euros à rembourser de quatre emprunts immobiliers.
Il possède aussi 90 % du capital de la société d’édition Rubempré, pour une valeur de 1,5 million d’euros.
L’ex-journaliste en tire d’ailleurs l’essentiel de ses revenus comme gérant ou écrivain « auteur-compositeur ».
Un artiste…
« Dupont-Gnan-Gnan » détient la médaille de
bronze : 2 millions d’euros !
C’est un peu plus dans mes cordes…
Le candidat de « Debout la Gauloisie » est propriétaire de plusieurs biens immobiliers, dont un appartement à « Paris-sur-Seine » de 105 mètres carrés évalué à 1,4 million d’euros. Et il tire l’essentiel de ses revenus de ses fonctions électives.
Bonne mère que la Patrie…
« Mes-Luches » porte haut à 1,4 million d’euros.
Il reste au pied du podium (vous savez, la « place du kon » d’après Monsieur
« clac-clac » sur le dernier Vendée-Globe-Chalenge).
Son patrimoine est principalement composé d’un appartement à « Paris-sur-la-Seine » évalué à 1,2 million d’euros, d’une maison dans le Loiret pour 170.000 euros, ainsi que de 95.000 euros sur divers comptes bancaires.
Là, je dois faire un peu mieux… sauf que moâ, ce n’est pas dans le Loiret qu’est posée ma maison, mais en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », Balagne pour être plus précis.
Il doit cependant encore rembourser 100.000 euros d’emprunt immobilier alors que je ne dois plus rien à personne : Trop longtemps vécu de découverts en découverts.
« Marinella-tchi-tchi » reste millionnaire,
avec 1,2 million d’euros tout de même.
La candidate « Air-Haine » déclare des biens immobiliers représentant au total 1,29 million d’euros : Une maison de 633 mètres carrés dans les Hauts-de-Seine (celle de Papa), dont elle détient en SCI 12,5 % des parts pour un montant de 616.800 euros, une maison de 120 mètres carrés dans le Morbihan, dont elle possède en indivision 28,5 %, soit 111.883 euros et enfin une maison dans les Yvelines, qu’elle possède également en indivision 25 %, soit 565.801 euros.
Bref, une fille qui vit en indivision partout où elle crèche…
Et surprise, elle a contracté trois prêts, dont un pour sa campagne présidentielle auprès de la banque hongroise MKB de 10.691.775 d’euros.
Un pays qu’elle aime bien, la Hongrie…
L’avantage c’est que c’est dans l’UE, mais pas encore dans la zone Euro…
Et puis, si elle dépasse 5 % des bulletins, mes impôts la rembourseront !
Mon berger « Gens-La-salle » pèse 630.000
euros. Le président du mouvement « Résistons ! » et ancien berger
détient des terres dans les Pyrénées-Atlantiques pour 120.000 euros et
également trois maisons et un appartement, pour 680.000 euros au total.
Il a encore quelques dettes. Probablement qu’il aura embrouillé son banquier avec son langage « des montagnes ».
« Sœur-Âne », la « soce » pointe à
575.000 euros. La mairesse en chef de la kapitale est propriétaire avec son
mari d’une maison à Paris de 118 mètres carrés dans le XVème arrondissement,
évaluée à près de 1,4 million d’euros, pour laquelle 400.000 euros restent à
rembourser.
Y-arrivera-t-elle avec sesmaigres émoluments d’élue
« soce » avant de prendre une retraite bien méritée ?
Notez qu’elle dispose aussi d’environ 100.000 euros sur différents comptes bancaires, pour « voir venir »…
Puis le plus curieux : « Jupiter »
arrive derrière avec 550.000 euros. Le président-candidat a déclaré, comme en
2017, un patrimoine principalement constitué de comptes bancaires et d’instruments
financiers : Un livret de développement durable abondé à 120.000 euros (je
croyais que c’était plafonné : Je découvre !) et un livret A de 22.000
euros ; une assurance-vie dont la valeur de rachat s’élève à 113.000 euros.
Il lui reste 122.500 euros environ à rembourser d’un prêt pour travaux contracté en 2011 afin d’assurer le confort nécessaire à « Bibi » son épouse dans un maison qui lui appartient (à elle).
Curieusement, elle n’apparaît pas dans cette déclaration, ce qui est probablement normal s’il s’agit d’un bien propre des « Trognon ».
Mais bon, on va y revenir, parce que ses revenus (hors la location du rez-de-chaussée de ladite maison qui ne figurent nulle part) sont enviables…
On rappelle qu’il avait déjà remis fin 2021 une déclaration de situation patrimoniale de fin de mandat et la HATVP a jugé que sa variation depuis son entrée à l’Élysée en 2017 ne présentait « pas de caractère anormal ».
Il n’a jamais perçu que 900.000 euros de revenus net imposables entre le début de son mandat à l’Élysée et le 31 décembre 2021.
C’est là que c’est curieux.
« Yan-Nique-Yoda », « l’écololo-bobo »
déclare 412.000 euros… L’essentiel de son patrimoine se compose d’un contrat d’assurance-vie
de 67.000 euros, de 90.000 euros répartis sur cinq comptes bancaires et d’un
scooter… électrique de 4.000 euros.
Et son mandat d’eurodéputé lui assure un revenu de 108.900 euros brut par an.
On comprend qu’il vise à une promotion…
« Fa-bien-Roux-Sot » émarge à 220.000 euros.
Quand on est « coco-stal » on aime bien les maisons du peuple, mais également
de posséder son propre toit. Il est ainsi propriétaire de pas moins de deux
maisons dans son département du Nord, l’une de 100 mètres carrés en pleine
propriété pour 180.000 euros, l’autre, détenue à 60 %, pour 120.000 euros.
C’est quand même bien le kapital, finalement !
D’ailleurs il a fait appel à sa banque capitaliste pour souscrire un crédit immobilier (dont 92.770 euros restent à rembourser) et un prêt à taux zéro de 6.130 euros.
L’un de ses comptes chèques était dans le rouge à la date de sa déclaration, à – 219 euros. Comme quoi on lui fait confiance puisqu’il n’est pas signalé « Banque de Gauloisie » et que sa carte bancaire semble encore fonctionner.
Ce sont des choses qui arrivent, j’en sais quelque chose.
Même « Jupiter », en 2017, avait un compte en négatif de plus de 4.000 euros…
Chez « Nath-Art-Tôt », ce sont 219.000 euros.
On n’est pas « lutte ouvrière » sans rien : Copropriétaire d’un
appartement de 48 mètres carrés à Pantin (Seine-Saint-Denis), sa part étant
évaluée à 177.600 euros.
Elle épargne encore un peu pour ses vieux jours, mais à hauteur de moins de 40.000 euros.
« Poux-Toux », le candidat du parti anti
capitaliste : 122.000 euros, presque 2 fois moins ! Il faut dire qu’il est
au chômage depuis son licenciement de l’usine Ford de Blanquefort (Gironde) en
septembre 2021.
Alors il perçoit des indemnités comme conseiller municipal et métropolitain à Bordeaux.
Évidemment, il n’a pas de patrimoine immobilier, mais tout de même près de 100.000 euros répartis sur quatre comptes bancaires.
Fort le gamin…
Perso, mes périodes de chômage correspondent à mes « mises à découvert ».
Et j’ai mis des années à m’en remettre pour assurer tous les jours la becquetance de « ma Nichée ».
À l’étude des déclarations, un patrimoine et un seul a
de quoi surprendre, et ça ne vous aura sûrement pas échappé.
(J’y reviens)
C’est celui de « Jupiter ».
Rien ne vous étonne, vous ?
Il ne s’est à peine enrichi durant 5 ans et c’est justement
et au contraire sa stupéfiante modestie qui pose problème.
Le président de la République a déclaré 550.000 euros et pas un de plus.
Le candidat « Manu » avait déclaré 310.000 euros de patrimoine en 2017.
En cinq ans à l’Élysée, « Jupiter » aura cumulé deux fois le patrimoine moyen brut des « Gauloisiens » (c’est-à-dire sans déduction du passif), qui atteint environ 270.000 euros.
Les 310.000 euros de « Jupiter » en 2017 en faisaient certainement l’un des énarques, inspecteurs des finances, banquiers d’affaires chez Rothschild et anciens ministres les plus démunis de l’Hexagone.
Goût de la pauvreté, quand tu nous tiens…
La Banque Rothschild, où il fut brillant dit-on, n’a pourtant pas la réputation de payer ses salariés au lance-pierres, loin de là.
Le candidat de l’époque s’en était expliqué : Il avait eu à payer de lourds impôts et réglé des travaux dans la maison de son épouse.
Généreux pour l’État et pour la famille, en somme. Touchant.
Personne n’y a rien trouvé à redire, dont acte.
Même pas les quelques-uns qui savent compter les bonus sur un deal à 9 milliards…
Déjà à l’époque, on s’était tout de même un peu étonné
(cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2017/04/les-zones-dombre-de-votre-futur.html)
et il nous affirmait, droit dans les yeux, qu’il n’était pas très dépensier.
Ok, mais alors soit Monsieur est en réalité très dépensier ou très mauvais gestionnaire, ou les deux à la fois, ce qui est son droit le plus strict, mais il le dissimule.
Car il faut savoir compter (je sais, je sais : On n’apprend plus cela dans les ékoles de la République…)
Revenons à 2022. En cinq ans, « Jupiter » a
donc mis de côté 240.000 euros (550.000 – 310.000). Soit 48.000 euros par an ou
4.000 par mois.
C’est bien.
Mais voilà, entre le début de son mandat et le 31 décembre 2021, « Jupiter » aura perçu pour l’exercice de ses fonctions la somme de 900.000 euros nets imposables ! De plus il est logé, nourri, vêtu, transporté (il n’a même pas de voiture : Peut-être ne sait-il pas conduire…) et n’a guère de loisirs, tout occupé qu’il est aux affaires de l’État, ni le temps de se dorer la pilule sur un yacht de prestige : Il ne dispose que de Fort Brégançon quelques jours d’été.
(Où d’ailleurs, il n’avait pas bronzé d’un iota, ce qui là encore n’a étonné personne).
Mais il a tout de même trouvé le temps de dépenser en
cinq ans, sans qu’il en reste la moindre trace dans sa déclaration de
patrimoine, 660.000 euros (900 de revenu moins 240 d’accroissement de
patrimoine), soit 132.000 euros par an (11 k€/mois).
Pour preuve, aucune acquisition d’appartement, de bateau, de chalet, même pas une petite voiture à peine luxueuse.
Même pas un toit « à lui » pour y accueillir, sa « nichée » : Il n’a pas de nichée, incapable de se reproduire à 44 ans dépassés…
Non, rien de tout cela : Il aurait été contraint de le déclarer.
On ne lui prête pourtant aucune passion coûteuse, pas
de maîtresses exigeantes, ni de « mignons » extravagants, pas de passion pour les
montres de luxe ou les vieux meubles signés par exemple, les statuettes d’art
primitif ou des « bottines » en croco.
« Jupiter » a des goûts vraiment trop simples, quelques livrets d’épargne tout au plus, un petit emprunt de 122.500 euros.
Il ventile donc, hors loyer, 11.000 euros par mois (132.000/12). C’est neuf fois le SMIC net (1.219 euros par mois) tous les mois et on ne voit pas comment.
Ou alors il joue au casino tous les soirs en cachette, puisqu’il ne boit pas son pognon : On ne l’a jamais vu saoul à avoir « mal aux cheveux » à mâtine, ni même « chargé »,
Je dois avoir à peu près son âge, mais je n’arriverai pas à la rattraper avec mes pôvres droits d’auteur…
La présidente de la région « Île-de-Gauloisie » et candidate « LR
J’en étais resté à deux maisons voisines à La Baule…
Son époux, cadre supérieur chez General Electric, et elle-même possèdent pour près de 6,5 millions d’euros en assurance-vie (c’est pour payer les droits de succession dus par les gamins le jour de leur décès), un plan d’épargne retraite (article 82), pas mal de stock-options et actions de General electric (l’actuel employeur du mari), des comptes courants sur une SARL, des produits d’épargne divers, et 60.000 euros d’œuvres d’art dont deux Miro et un Hélion.
Plus une vieille C4 de 2007.
Voilà à quoi servent les rémunérations perçues depuis 5 ans du comptable public.
Ceci dit, elle est aussi endettée à hauteur d’un million d’euros, entre un prêt immobilier (811.049 euros) et un montant dû au Trésor public de 173.749 euros. Cette dernière somme, notifiée « tardivement fin 2021 », a été payée en février. Elle était liée à « un retard de calcul de la part du fisc sur l’ajustement » entre impôts dus au titre de 2020 et montants prélevés à la source.
Je ne vous raconte pas le niveau des assiettes « ajustées »…
Pas un mot sur les rémunérations de son époux : C’est « grisé ».
Et évidemment, pas de trace de sa fiducie (pour la bonne raison que ces fonds ne lui appartiennent juridiquement plus), ni des fameuses actions Alsthom de son mari.
Le candidat de « Reconquête ! » est propriétaire ou copropriétaire à « Paris-sur-la-plage » de pas moins de cinq appartements allant du 27 au 165 mètres carrés, pour des montants de 176.400 à 1,8 million d’euros.
Il lui reste néanmoins quelque 633.000 euros à rembourser de quatre emprunts immobiliers.
Il possède aussi 90 % du capital de la société d’édition Rubempré, pour une valeur de 1,5 million d’euros.
L’ex-journaliste en tire d’ailleurs l’essentiel de ses revenus comme gérant ou écrivain « auteur-compositeur ».
Un artiste…
C’est un peu plus dans mes cordes…
Le candidat de « Debout la Gauloisie » est propriétaire de plusieurs biens immobiliers, dont un appartement à « Paris-sur-Seine » de 105 mètres carrés évalué à 1,4 million d’euros. Et il tire l’essentiel de ses revenus de ses fonctions électives.
Bonne mère que la Patrie…
Son patrimoine est principalement composé d’un appartement à « Paris-sur-la-Seine » évalué à 1,2 million d’euros, d’une maison dans le Loiret pour 170.000 euros, ainsi que de 95.000 euros sur divers comptes bancaires.
Là, je dois faire un peu mieux… sauf que moâ, ce n’est pas dans le Loiret qu’est posée ma maison, mais en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », Balagne pour être plus précis.
Il doit cependant encore rembourser 100.000 euros d’emprunt immobilier alors que je ne dois plus rien à personne : Trop longtemps vécu de découverts en découverts.
La candidate « Air-Haine » déclare des biens immobiliers représentant au total 1,29 million d’euros : Une maison de 633 mètres carrés dans les Hauts-de-Seine (celle de Papa), dont elle détient en SCI 12,5 % des parts pour un montant de 616.800 euros, une maison de 120 mètres carrés dans le Morbihan, dont elle possède en indivision 28,5 %, soit 111.883 euros et enfin une maison dans les Yvelines, qu’elle possède également en indivision 25 %, soit 565.801 euros.
Bref, une fille qui vit en indivision partout où elle crèche…
Et surprise, elle a contracté trois prêts, dont un pour sa campagne présidentielle auprès de la banque hongroise MKB de 10.691.775 d’euros.
Un pays qu’elle aime bien, la Hongrie…
L’avantage c’est que c’est dans l’UE, mais pas encore dans la zone Euro…
Et puis, si elle dépasse 5 % des bulletins, mes impôts la rembourseront !
Il a encore quelques dettes. Probablement qu’il aura embrouillé son banquier avec son langage « des montagnes ».
Y-arrivera-t-elle avec ses
Notez qu’elle dispose aussi d’environ 100.000 euros sur différents comptes bancaires, pour « voir venir »…
Il lui reste 122.500 euros environ à rembourser d’un prêt pour travaux contracté en 2011 afin d’assurer le confort nécessaire à « Bibi » son épouse dans un maison qui lui appartient (à elle).
Curieusement, elle n’apparaît pas dans cette déclaration, ce qui est probablement normal s’il s’agit d’un bien propre des « Trognon ».
Mais bon, on va y revenir, parce que ses revenus (hors la location du rez-de-chaussée de ladite maison qui ne figurent nulle part) sont enviables…
On rappelle qu’il avait déjà remis fin 2021 une déclaration de situation patrimoniale de fin de mandat et la HATVP a jugé que sa variation depuis son entrée à l’Élysée en 2017 ne présentait « pas de caractère anormal ».
Il n’a jamais perçu que 900.000 euros de revenus net imposables entre le début de son mandat à l’Élysée et le 31 décembre 2021.
C’est là que c’est curieux.
Et son mandat d’eurodéputé lui assure un revenu de 108.900 euros brut par an.
On comprend qu’il vise à une promotion…
C’est quand même bien le kapital, finalement !
D’ailleurs il a fait appel à sa banque capitaliste pour souscrire un crédit immobilier (dont 92.770 euros restent à rembourser) et un prêt à taux zéro de 6.130 euros.
L’un de ses comptes chèques était dans le rouge à la date de sa déclaration, à – 219 euros. Comme quoi on lui fait confiance puisqu’il n’est pas signalé « Banque de Gauloisie » et que sa carte bancaire semble encore fonctionner.
Ce sont des choses qui arrivent, j’en sais quelque chose.
Même « Jupiter », en 2017, avait un compte en négatif de plus de 4.000 euros…
Elle épargne encore un peu pour ses vieux jours, mais à hauteur de moins de 40.000 euros.
Alors il perçoit des indemnités comme conseiller municipal et métropolitain à Bordeaux.
Évidemment, il n’a pas de patrimoine immobilier, mais tout de même près de 100.000 euros répartis sur quatre comptes bancaires.
Fort le gamin…
Perso, mes périodes de chômage correspondent à mes « mises à découvert ».
Et j’ai mis des années à m’en remettre pour assurer tous les jours la becquetance de « ma Nichée ».
(J’y reviens)
C’est celui de « Jupiter ».
Rien ne vous étonne, vous ?
Le président de la République a déclaré 550.000 euros et pas un de plus.
Le candidat « Manu » avait déclaré 310.000 euros de patrimoine en 2017.
En cinq ans à l’Élysée, « Jupiter » aura cumulé deux fois le patrimoine moyen brut des « Gauloisiens » (c’est-à-dire sans déduction du passif), qui atteint environ 270.000 euros.
Les 310.000 euros de « Jupiter » en 2017 en faisaient certainement l’un des énarques, inspecteurs des finances, banquiers d’affaires chez Rothschild et anciens ministres les plus démunis de l’Hexagone.
Goût de la pauvreté, quand tu nous tiens…
La Banque Rothschild, où il fut brillant dit-on, n’a pourtant pas la réputation de payer ses salariés au lance-pierres, loin de là.
Le candidat de l’époque s’en était expliqué : Il avait eu à payer de lourds impôts et réglé des travaux dans la maison de son épouse.
Généreux pour l’État et pour la famille, en somme. Touchant.
Personne n’y a rien trouvé à redire, dont acte.
Même pas les quelques-uns qui savent compter les bonus sur un deal à 9 milliards…
Ok, mais alors soit Monsieur est en réalité très dépensier ou très mauvais gestionnaire, ou les deux à la fois, ce qui est son droit le plus strict, mais il le dissimule.
Car il faut savoir compter (je sais, je sais : On n’apprend plus cela dans les ékoles de la République…)
C’est bien.
Mais voilà, entre le début de son mandat et le 31 décembre 2021, « Jupiter » aura perçu pour l’exercice de ses fonctions la somme de 900.000 euros nets imposables ! De plus il est logé, nourri, vêtu, transporté (il n’a même pas de voiture : Peut-être ne sait-il pas conduire…) et n’a guère de loisirs, tout occupé qu’il est aux affaires de l’État, ni le temps de se dorer la pilule sur un yacht de prestige : Il ne dispose que de Fort Brégançon quelques jours d’été.
(Où d’ailleurs, il n’avait pas bronzé d’un iota, ce qui là encore n’a étonné personne).
Pour preuve, aucune acquisition d’appartement, de bateau, de chalet, même pas une petite voiture à peine luxueuse.
Même pas un toit « à lui » pour y accueillir, sa « nichée » : Il n’a pas de nichée, incapable de se reproduire à 44 ans dépassés…
Non, rien de tout cela : Il aurait été contraint de le déclarer.
« Jupiter » a des goûts vraiment trop simples, quelques livrets d’épargne tout au plus, un petit emprunt de 122.500 euros.
Il ventile donc, hors loyer, 11.000 euros par mois (132.000/12). C’est neuf fois le SMIC net (1.219 euros par mois) tous les mois et on ne voit pas comment.
Ou alors il joue au casino tous les soirs en cachette, puisqu’il ne boit pas son pognon : On ne l’a jamais vu saoul à avoir « mal aux cheveux » à mâtine, ni même « chargé »,
Ou alors ce doit être de la « poudre » formidablement excellente…
On en connaît qui ont été interdits de gestion ou
placés sous curatelle pour moins que cela…
Des dépenses qui restent donc un véritable mystère.
Ou des sommes qui tombent à leur tour dans un « trou noir » juridique, une fois de plus ?…
(cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2017/05/la-providence-llc-et-les-macrondleaks.html)
Remarquez que, d’un autre côté, pour le pays c’est une
aubaine : Si 50 millions de de « Gauloisiens » dépensaient en
babioles fongibles 11.000 euros chaque mois, l’économie tournerait comme un missile
hypersonique.
Le pays serait déjà en orbite solaire.
Que ça ferait pâlir d’envie Singapour ou le Qatar, les commerçants fêteraient Noël tous les soirs et le mot « crise » tomberait en désuétude puis dans l’oubli général !
« Jupiter » présiderait un pays envié de tous et on copierait partout ses méthodes.
Mais non, le pays râle parce que le litre d’essence est à plus de 2 boules qui met le kilomètre parcouru à 0,1 € avec une petite cylindrée…
Et personne ne s’étonne…
Vraiment remarquable de cécité et d’ignorance, finalement !
Des dépenses qui restent donc un véritable mystère.
Ou des sommes qui tombent à leur tour dans un « trou noir » juridique, une fois de plus ?…
(cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2017/05/la-providence-llc-et-les-macrondleaks.html)
Le pays serait déjà en orbite solaire.
Que ça ferait pâlir d’envie Singapour ou le Qatar, les commerçants fêteraient Noël tous les soirs et le mot « crise » tomberait en désuétude puis dans l’oubli général !
« Jupiter » présiderait un pays envié de tous et on copierait partout ses méthodes.
Mais non, le pays râle parce que le litre d’essence est à plus de 2 boules qui met le kilomètre parcouru à 0,1 € avec une petite cylindrée…
Vraiment remarquable de cécité et d’ignorance, finalement !
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