Le « Maître des horloges » joue sa partition…
Finalement, avec le recul, on pourra dire qu’il est assez
extraordinaire. Entré par effraction dans la politique, il aura écrasé tout le
monde sur sa trajectoire et il continue.
D’accord, mais pas sur le même registre.
Il s’introduit chez « Tagada-à-la-fraise-des-bois »
qu’il bouscule à plusieurs reprises (une pensée émue au passage pour « El-Konnerie »
aux charmes incendiaires).
Ce n’était pas très difficile, mais il fallait le culot de le faire. Et lui il l’a fait : D’obscure conseiller, il devient « vizir » rapidement pour finalement devenir « Calife à la place du Calife », juste le temps de se frotter à l’appareil d’État au titre de sa formation préalable.
Le « Capitaine de pédalo », il aura tout connu. La pluie battante, les montres qui se retournent, les voitures électriques en panne, les maîtresses sur son scooter (quelle tenue indigne…) mais aussi la série des attentats qui ont terrorisé le bon peuple, la « Manif pour tous », les « Bonnets rouges », la guerre au Sahel, en Syrie, en Afghanistan et j’en passe.
Au bout de cinq ans, il était rincé, vidé, il n’en voulait plus, ne pouvait plus.
Et il aura ouvert une autoroute vers la fonction suprême à son successeur.
Ce qui n’était pas gagné pour « Jupiter » :
Il lui fallait battre le « meilleur d’entre-nous » (à savoir « Juppette »),
écarter « Bling-bling » (mais ça ce n’était pas très difficile, avec
toutes ses casseroles accrochées au kul et sa gueule de bandit de grand-chemin
multirécidiviste) et déglinguer « Fifi-le-souteneur » (ça aura été
plus compliqué, mais il a été aidé…).
Pour se retrouver face à « Marinella-tchi-tchi » : Au soir du premier tour de 2017, il savait qu’il avait déjà gagné, à l’arrache peut-être, mais elle ne pouvait pas sérieusement lui faire obstacle.
Il en a même fait la fête le soir à la Rotonde avec « sa bande », vénérable établissement qui aura été, plus tard, incendié, alors que j’y venais avec ma « Môman à moâ-même » manger des steaks-tartares et des crêpes avec ma « Nichée ».
Il y avait trop de bruit à La Coupole, en face, pour ma pôv’Môman, « Le Select » n’en avait que le nom et « Le Dôme » était déjà surfait…
Parti pour un quinquennat déchaîné, la première chose
qu’il veut faire, c’est de modifier la constitution du pays !
Comme si c’était une urgence…
Ses « Frangins-trois-points », parce que le projet était nébuleux, lui ont rappeler ses devoirs : Réformer le pays, l’assurance-chômage, l’assurance-vieillesse, la fiscalité, les privatisations, puis la « transition énergétique », etc. etc.
Parce que son « premier sinistre » d’alors lui aura copieusement savonner la planche sans avoir l’air d’y toucher, avec sa mesure à « 80 km/h » sur les routes secondaires, au moins autant que les abus de son premier cercle (les homards de « Rugby », les prises illégales d’intérêt de « Fer-Rang » et de quelques autres « trop intelligents » pour le bon peuple), voire ce « sinistre » (« Gris-veaux ») balançant sur la toile sa grosse bite en érection, finalement la « Jupitérie » n’aura pas été très loin, perdant toutes les élections intermédiaires !
Et les réformes promises ont patiné.
Il faut dire pour sa défense, qu’il aura été un
président de crises : Quand il n’y en avait pas, il les fabriquait, comme
les « Gilets jaunes », les violences policières inutiles, les lois
scélérates et liberticides, l’état d’urgence…
Et puis il aura été parfait à faire face au « Conard-virus » : On se savait en danger quotidien, mais là il aura fait le tour de force de nous mettre tous sous cloche, aidé par un « conseil scientifique » à la botte ou désemparé, je ne sais pas, se gardant des soupapes de sécurité à l’occasion des estives, deux en tout.
Pour nous remettre sous camisole à plusieurs reprises et faire front à cinq vagues pas moins de contamination.
On était « en guerre », qu’on se le dise !
Fameuse annonce que voilà…
Il aura même réussi à faire vacciner près de 90 % de la population adulte avec une « chimie expérimentale » aux frais de la princesse, dépensant les dizaines de milliards du « quoiqu’il en coûte » avec de l’argent que personne n’avait, alors que depuis Nuremberg ce genre de politique, surtout si elle est massive, est strictement condamnée !
Chapeau.
Même les critères de Maastricht ont volé en éclat… « en même temps », sa formule favorite.
Et puis là, comme le processus commence à s’épuiser, que
même l’Afrique ça ne passionne plus les foules depuis le repli des « ricains »
d’Afghanistan, il se trouve être Président de l’UE par intérim et doit
affronter la crise, puis la guerre en Ukraine, la vraie, celle qui déchire les
chairs.
Franchement, c’est très fort de sa part !
Un, parce que ça retarde son entrée en campagne, bien incapable de défendre un bilan par ailleurs assez médiocre, mais il va devoir le faire avant la fin de la semaine ;
Deux, parce qu’il a dû s’exposer en première ligne face à « Poux-Tine » le cocaïnomane (ou sous cortisone, je ne sais pas bien).
C’était pourtant tendu : Le second s’était fait remonter les bretelles à l’occasion d’un entretien avec « Xi-Ping-Pong » le chinois, le jour même de l’ouverture de ses jeux Olympiques. « Tu attends la cérémonie de clôture, si non je te taille un short et te mets la tête comme un compteur… »
Un langage que « Poux-Tine » connaît bien pour avoir tenu le même à « Bling-bling » quelques années auparavant…
« J’attendrai : tu vas apprécier la manœuvre. Deux mois de préparation, ce sera plié en 48 heures, tu vas voir. »
« Tant mieux : Si tu n’en fais qu’une bouchée, ce sera à mon tour d’organiser la même chose à Taïwan, tu vas voir ! »
Banco !
Alors que le premier (« Jupiter ») avait
besoin d’un uniforme tout neuf pour brouiller les cartes le plus vite possible :
Ce n’est pas pour rien qu’il avait fait avancer les deux tours de la
présidentielle !
Normalement, ils auraient dû avoir lieu 8 Mai, mais ça
tombait un jour de commémoration, chômé-férié… Le bon prétexte, finalement. Il
aurait pu être retardé de huit jours, ça ne mangeait pas de pain.
Sauf qu’il ne fallait pas que « Poux-Tine » ne tarde trop pour déclencher l’offensive en Ukraine.
Alors que j’aurai été lui, justement entre la fête du travail, une météo meilleure, des jours plus longs et la fête de la victoire contre les nazis du 9 mai (les mêmes qu’il retrouve à Kiev, paraît-il), personnellement j’aurai attendu le 1er Mai : Toute la planète est en vacances anticipées ce jour-là, retardant d’autant les réactions internationales.
Résultat, ça aura été fin février.
Un hasard du calendrier ? Tu parles, il s’y
préparait depuis le mois de décembre.
Et ça devait durer deux jours, mais ça pendra bien une à deux semaines pour « normaliser » le pays : Parfait pour « Jupiter », il échappera à ses « obligations » de débats et de meetings jusqu’à la fin mars…
Pour le maître des horloges, il est vraiment admirable…
Le seul hic, mais peu importe, c’est qu’il ne voulait
pas d’un remake de 2017. Surtout si « Marinella-tchi-tchi » passait
devant lui au premier tour.
L’histoire du « front républicain », ça ne fonctionne pas forcément à tous les coups.
Alors, avec quelques « frangins », ils auront inventer « Zézé-amour ».
Et ça marche : « Marinella-tchi-tchi », au lieu de faire 30 % des exprimés au premier tour, et lui entre 23 et 25 %, fera à peine 15 à 20 %, et encore avec beaucoup de bol, car tout peut arriver dans la dernière ligne droite.
Un temps on avait cru que « Pète-cresse » pouvait se retrouver face à lui au second tour, mais on s’est très vite rendu compte que c’était une mauvaise jument : Et puis on a « des dossiers » sur elle, qui parle bien évidemment de « boules puantes ».
C’est effectivement le mot, mais c’est elle qui les pète…
Bref, c’est joué, plié, emballé à tel point qu’on
redoute désormais la démobilisation des militants chez les « Marcheurs-même-pas-en-rêve »,
où près de la moitié des députés sortants ne se représenteront pas, écœurés par
un quinquennat, le doigt sur la couture en permanence, à avaler des couleuvres
à tous les repas (même si la cuisine du Palais Bourbon aura été améliorée à
mi-mandat, parce que c’était vraiment dégueulasse au « cinquième étage »).
L’autre angoisse, en tout cas en ce qui me concerne, c’est le taux d’abstention, dit aussi « taux d’illégitimité ».
Finalement, il ne sera pas pire qu’en 2017. Autour de 60 à 65 % de participation sont attendus.
Avec un socle élevé d’électeurs sûrs de leur choix et presque sûrs d’aller voter.
Notez que quand on ne va pas voter, on ferme ensuite sa gueule pour 5 ans.
D’un autre côté, les choix possibles sont tellement réduits…
Qu’il faille justement que « Bébé-roux » fasse une pub pas possible pour mobiliser les « élus » délivrant leur parrainage pour s’assurer, au nom du « choix démocratique », que tous seront bien sur la ligne de départ la semaine prochaine.
Plus il y en a, plus sa éparpille l’électorat.
« Bébé-roux » n’aura pas été jusqu’à parrainer « Zézé-amour », la manœuvre aurait été trop grossière, mais pis, « Marinella-tchi-tchi » !
Lui ? Oui, lui !
Fabuleux.
Et après ça on voudrait les prendre au sérieux…
Parce que « La-Salle » a ses parrainages, « T’oubliera », pas du tout, « Sœur-Âne » les a et quelques autres également qui feront de la figuration…
J’admire…
Tout cela est parfaitement et finement orchestré,
finalement.
Est-ce un « hasard-hasardeux » ?
Encore une fois, je n’y crois pas une seule seconde !
D’accord, je vois mal l’asperger du kremlin faire la courte échelle à « Jupiter » qui n’en manque pas une pour lui faire rentrer ses propos mensongers dans la gorge, quitte à maltraiter mes « potes » russes durant de longs mois… « avant normalisation ».
Car « Jupiter » n’aura pas digéré de s’être fait promener durant 5 heures d’entretien à Moscou, il y a encore peu, espérant contre toute logique, pouvoir revenir avec une victoire d’estime devant ses électeurs.
Il faut dire que personne ne s’attendait à ce que les « opérations
spéciales » en Ukraine mettent autant de temps à produire leurs effets.
Je vous le dis, pour le 9 mai, parti comme c’est parti… « Poux-Tine » en profite pour faire griller en pure perte quelques munitions à l’Otan, faire manœuvrer ses brigades clandestines du groupe Wagner, tester la loyauté de ses Tchétchènes et affiner ses outils de cyberguerre et autres « armes invincibles ».
À moins que pour une raison impérieuse, il avance le calendrier dans la précipitation, on va voir dans les prochains jours.
Le tout pour lui, c’est d’être au centre de l’actualité mondiale encore un moment (ça doit le faire jouir pendant ses moments de lucidité) et perturber des élections en Occident, car ça ne l’a jamais gêné, bien au contraire !
Ceci dit, dans l’hypothèse où tout cela n’est pas
orchestré comme je vous l’affirme ci-avant, parce que naturellement, ça ne
tient pas debout, en revanche, il faut reconnaître à « Jupiter » une
sacrée capacité « tactique » à tirer profit de toutes les situations
qui passent et « rapacent ».
Il est vraiment formidable.
À croire qu’ils les anticipent presque toutes et qu’il trouve toujours le bon positionnement en amont de leur survenance !
Un sacré talent, ou alors il a une boule de cristal qui fonctionne bien, ou il a des conseillers qui savent user de l’analyse situationniste-appliquée.
Mais dans cette hypothèse, il aurait été évident que, vu la débâcle afghane, la raclée au Mali, l’élection d’un diminué du rachis vieillissant à Washington, les discours du Kremlin et ceux de « BoJo », voire la cécité de « Mère-Quelle », tout cela aura été anticipé.
Et ils ont laissé faire, peut-être même encouragé, mijoter la soupe ou le ragout, tirant les marrons du feu à chaque occasion pour faire élire « Jupiter ».
Moâ, je redis « chapeau ».
Et j’attends déjà avec délice la suite, puisque j’ai la chance d’être encore un peu en vie…
D’accord, mais pas sur le même registre.
Ce n’était pas très difficile, mais il fallait le culot de le faire. Et lui il l’a fait : D’obscure conseiller, il devient « vizir » rapidement pour finalement devenir « Calife à la place du Calife », juste le temps de se frotter à l’appareil d’État au titre de sa formation préalable.
Le « Capitaine de pédalo », il aura tout connu. La pluie battante, les montres qui se retournent, les voitures électriques en panne, les maîtresses sur son scooter (quelle tenue indigne…) mais aussi la série des attentats qui ont terrorisé le bon peuple, la « Manif pour tous », les « Bonnets rouges », la guerre au Sahel, en Syrie, en Afghanistan et j’en passe.
Au bout de cinq ans, il était rincé, vidé, il n’en voulait plus, ne pouvait plus.
Et il aura ouvert une autoroute vers la fonction suprême à son successeur.
Pour se retrouver face à « Marinella-tchi-tchi » : Au soir du premier tour de 2017, il savait qu’il avait déjà gagné, à l’arrache peut-être, mais elle ne pouvait pas sérieusement lui faire obstacle.
Il en a même fait la fête le soir à la Rotonde avec « sa bande », vénérable établissement qui aura été, plus tard, incendié, alors que j’y venais avec ma « Môman à moâ-même » manger des steaks-tartares et des crêpes avec ma « Nichée ».
Il y avait trop de bruit à La Coupole, en face, pour ma pôv’Môman, « Le Select » n’en avait que le nom et « Le Dôme » était déjà surfait…
Comme si c’était une urgence…
Ses « Frangins-trois-points », parce que le projet était nébuleux, lui ont rappeler ses devoirs : Réformer le pays, l’assurance-chômage, l’assurance-vieillesse, la fiscalité, les privatisations, puis la « transition énergétique », etc. etc.
Parce que son « premier sinistre » d’alors lui aura copieusement savonner la planche sans avoir l’air d’y toucher, avec sa mesure à « 80 km/h » sur les routes secondaires, au moins autant que les abus de son premier cercle (les homards de « Rugby », les prises illégales d’intérêt de « Fer-Rang » et de quelques autres « trop intelligents » pour le bon peuple), voire ce « sinistre » (« Gris-veaux ») balançant sur la toile sa grosse bite en érection, finalement la « Jupitérie » n’aura pas été très loin, perdant toutes les élections intermédiaires !
Et les réformes promises ont patiné.
Et puis il aura été parfait à faire face au « Conard-virus » : On se savait en danger quotidien, mais là il aura fait le tour de force de nous mettre tous sous cloche, aidé par un « conseil scientifique » à la botte ou désemparé, je ne sais pas, se gardant des soupapes de sécurité à l’occasion des estives, deux en tout.
Pour nous remettre sous camisole à plusieurs reprises et faire front à cinq vagues pas moins de contamination.
On était « en guerre », qu’on se le dise !
Fameuse annonce que voilà…
Il aura même réussi à faire vacciner près de 90 % de la population adulte avec une « chimie expérimentale » aux frais de la princesse, dépensant les dizaines de milliards du « quoiqu’il en coûte » avec de l’argent que personne n’avait, alors que depuis Nuremberg ce genre de politique, surtout si elle est massive, est strictement condamnée !
Chapeau.
Même les critères de Maastricht ont volé en éclat… « en même temps », sa formule favorite.
Franchement, c’est très fort de sa part !
Un, parce que ça retarde son entrée en campagne, bien incapable de défendre un bilan par ailleurs assez médiocre, mais il va devoir le faire avant la fin de la semaine ;
Deux, parce qu’il a dû s’exposer en première ligne face à « Poux-Tine » le cocaïnomane (ou sous cortisone, je ne sais pas bien).
C’était pourtant tendu : Le second s’était fait remonter les bretelles à l’occasion d’un entretien avec « Xi-Ping-Pong » le chinois, le jour même de l’ouverture de ses jeux Olympiques. « Tu attends la cérémonie de clôture, si non je te taille un short et te mets la tête comme un compteur… »
Un langage que « Poux-Tine » connaît bien pour avoir tenu le même à « Bling-bling » quelques années auparavant…
« J’attendrai : tu vas apprécier la manœuvre. Deux mois de préparation, ce sera plié en 48 heures, tu vas voir. »
« Tant mieux : Si tu n’en fais qu’une bouchée, ce sera à mon tour d’organiser la même chose à Taïwan, tu vas voir ! »
Banco !
Sauf qu’il ne fallait pas que « Poux-Tine » ne tarde trop pour déclencher l’offensive en Ukraine.
Alors que j’aurai été lui, justement entre la fête du travail, une météo meilleure, des jours plus longs et la fête de la victoire contre les nazis du 9 mai (les mêmes qu’il retrouve à Kiev, paraît-il), personnellement j’aurai attendu le 1er Mai : Toute la planète est en vacances anticipées ce jour-là, retardant d’autant les réactions internationales.
Résultat, ça aura été fin février.
Et ça devait durer deux jours, mais ça pendra bien une à deux semaines pour « normaliser » le pays : Parfait pour « Jupiter », il échappera à ses « obligations » de débats et de meetings jusqu’à la fin mars…
Pour le maître des horloges, il est vraiment admirable…
L’histoire du « front républicain », ça ne fonctionne pas forcément à tous les coups.
Alors, avec quelques « frangins », ils auront inventer « Zézé-amour ».
Et ça marche : « Marinella-tchi-tchi », au lieu de faire 30 % des exprimés au premier tour, et lui entre 23 et 25 %, fera à peine 15 à 20 %, et encore avec beaucoup de bol, car tout peut arriver dans la dernière ligne droite.
Un temps on avait cru que « Pète-cresse » pouvait se retrouver face à lui au second tour, mais on s’est très vite rendu compte que c’était une mauvaise jument : Et puis on a « des dossiers » sur elle, qui parle bien évidemment de « boules puantes ».
C’est effectivement le mot, mais c’est elle qui les pète…
L’autre angoisse, en tout cas en ce qui me concerne, c’est le taux d’abstention, dit aussi « taux d’illégitimité ».
Finalement, il ne sera pas pire qu’en 2017. Autour de 60 à 65 % de participation sont attendus.
Avec un socle élevé d’électeurs sûrs de leur choix et presque sûrs d’aller voter.
Notez que quand on ne va pas voter, on ferme ensuite sa gueule pour 5 ans.
Qu’il faille justement que « Bébé-roux » fasse une pub pas possible pour mobiliser les « élus » délivrant leur parrainage pour s’assurer, au nom du « choix démocratique », que tous seront bien sur la ligne de départ la semaine prochaine.
Plus il y en a, plus sa éparpille l’électorat.
« Bébé-roux » n’aura pas été jusqu’à parrainer « Zézé-amour », la manœuvre aurait été trop grossière, mais pis, « Marinella-tchi-tchi » !
Lui ? Oui, lui !
Fabuleux.
Et après ça on voudrait les prendre au sérieux…
Parce que « La-Salle » a ses parrainages, « T’oubliera », pas du tout, « Sœur-Âne » les a et quelques autres également qui feront de la figuration…
J’admire…
Est-ce un « hasard-hasardeux » ?
Encore une fois, je n’y crois pas une seule seconde !
D’accord, je vois mal l’asperger du kremlin faire la courte échelle à « Jupiter » qui n’en manque pas une pour lui faire rentrer ses propos mensongers dans la gorge, quitte à maltraiter mes « potes » russes durant de longs mois… « avant normalisation ».
Car « Jupiter » n’aura pas digéré de s’être fait promener durant 5 heures d’entretien à Moscou, il y a encore peu, espérant contre toute logique, pouvoir revenir avec une victoire d’estime devant ses électeurs.
Je vous le dis, pour le 9 mai, parti comme c’est parti… « Poux-Tine » en profite pour faire griller en pure perte quelques munitions à l’Otan, faire manœuvrer ses brigades clandestines du groupe Wagner, tester la loyauté de ses Tchétchènes et affiner ses outils de cyberguerre et autres « armes invincibles ».
À moins que pour une raison impérieuse, il avance le calendrier dans la précipitation, on va voir dans les prochains jours.
Le tout pour lui, c’est d’être au centre de l’actualité mondiale encore un moment (ça doit le faire jouir pendant ses moments de lucidité) et perturber des élections en Occident, car ça ne l’a jamais gêné, bien au contraire !
Il est vraiment formidable.
À croire qu’ils les anticipent presque toutes et qu’il trouve toujours le bon positionnement en amont de leur survenance !
Un sacré talent, ou alors il a une boule de cristal qui fonctionne bien, ou il a des conseillers qui savent user de l’analyse situationniste-appliquée.
Mais dans cette hypothèse, il aurait été évident que, vu la débâcle afghane, la raclée au Mali, l’élection d’un diminué du rachis vieillissant à Washington, les discours du Kremlin et ceux de « BoJo », voire la cécité de « Mère-Quelle », tout cela aura été anticipé.
Et ils ont laissé faire, peut-être même encouragé, mijoter la soupe ou le ragout, tirant les marrons du feu à chaque occasion pour faire élire « Jupiter ».
Et j’attends déjà avec délice la suite, puisque j’ai la chance d’être encore un peu en vie…
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