Samedi matin, dix heures.

Les aventures de Jean-Marc.
 
Un patron doit absolument joindre son chef de service car il y a une panne majeure à l’usine. Il téléphone à la maison.
Et c’est une toute petite fille qui répond :
« – Allo…
– Est-ce que ton papa est là ?
– Oui.
– Est-ce que je peux lui parler ?
– Non.
– Pourquoi ?
– Peux pas…
– Bon. Est-ce que ta maman est là ?
– Oui.
– Bon. Je voudrais lui parler.
– Non.
– Pourquoi.
– Peux pas. »
Inquiet et à la fois ulcéré, le patron se demande si les parents sont vraiment là.
Ou s’ils avaient laissé leur petite gamine seule à la maison.
« – Dis-moi, si je ne peux pas parler à ton papa et à ta maman, est-ce qu’il y a d’autres personnes à la maison ?
– Oui.
– Qui ?
– La police.
– Je veux leur parler…
– Non. »
Il insiste.
« – Je veux parler aux policiers.
– Non.
– Pourquoi ?
– Est-ce que tu me jures de ne pas le dire ?
– Oui, oui.
– C’est parce qu’ils me cherchent. Je suis dans la garde-robe. Hi, hi, hi ! »
 
Jean-Marc chez son sexologue :
« – Que dois-je faire si ma femme commence à fumer pendant l’acte ?
– Ralentissez la cadence, et utilisez du gel lubrifiant. »
 
Une « revenue »… qui revient !
C’est la période des examens.
L’étudiante, talons aiguilles et chandail moulant, bien foutue, entre dans le bureau du prof et ferme la porte.
Elle s’élance alors à ses pieds…
« Monsieur, je suis prête à tout pour passer mon examen ! »
Elle enroule ses bras autour des jambes de l’homme, colle sa tête sur sa cuisse et le regarde droit dans les yeux, l’œil chaud, la bouche humide.
« – Je vous le dis. Je dois réussir. Je veux réussir.
– Vous avez dit tout ?
– Oui !
– Vraiment ?
– Ah oui…
– Que diriez-vous d’étudier ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, se posent des devinettes, attablés devant une bière.
« – Pourquoi les hommes portent-ils la cravate ?
– Oh, ça, c’est simple : Parce que c’est plus élégant qu’une laisse… »
 
Encore une revenue, de très loin et bigrement enrichie :
C’est l’histoire du poulet qui traverse une route. Pourquoi l’a-t-il fait ?
UN PROFESSEUR : Pour aller de l’autre côté.
PLATON : Pour son bien.
ARISTOTE : C’est dans la nature du poulet de traverser les routes.
KARL MARX : C’était historiquement inévitable.
SADDAM HUSSEIN : Ceci était un acte de rébellion qui justifie pleinement que nous ayons laissé tomber 50 tonnes de gaz dessus.
RONALD REAGAN : J’ai oublié.
CAPITAINE JAMES T. KIRK : Pour aller là où aucun autre poulet n’était allé avant.
HIPPOCRATE : À cause d’un excès de sécrétion de son pancréas.
MARTIN LUTHER KING, JR. : J’ai la vision d’un monde où tous les poulets seraient libres de traverser la route sans avoir à justifier leur acte.
MOÏSE : Et Dieu descendit du Paradis et Il dit au poulet “Tu dois traverser la route”. Et le poulet traversa la route et Il jubila.
RICHARD M. NIXON : Le poulet n’a pas traversé la route, je répète, le poulet N’A PAS traversé la route.
MACHIAVEL : L’élément important c’est que le poulet a traversé la route. Qui se fiche de savoir pourquoi ? La fin en soi de traverser la route justifie tout motif que ce soit.
FREUD : Le fait que vous vous préoccupiez tous du fait que le poulet a traversé la route révèle votre sentiment d’insécurité sexuelle latente.
BILL GATES : Je viens juste de mettre au point le nouveau Poulet Office 2000, qui ne se contentera pas seulement de traverser les routes, mais couvera aussi des œufs, classera vos dossiers importants, et …
DUTROUX : Pour m’attraper !
OLIVER STONE : La question n’est pas : “pourquoi le poulet a-t-il traversé la route ?” mais plutôt “Qui a traversé en même temps que le poulet, qui avons-nous oublié dans notre hâte et qui a pu observer le poulet ?”
DARWIN : Les poulets, au travers de longues périodes, ont été naturellement sélectionnés de telle sorte qu’ils soient génétiquement enclins à traverser les routes.
EINSTEIN : Le fait que le poulet traverse la route ou que la route se meuve sous le poulet dépend de votre référentiel.
BOUDDHA : Poser cette question renie votre propre nature de poulet.
ERNEST HEMINGWAY : Pour mourir. Sous la pluie…
RAMBO : J’en ai raté un ?
CLINTON : I did not have sexual relations with that chicken.
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Tu devrais rencontrer ma femme. Elle est médium et elle prédit l’avenir.
– Ben t’as de la chance, la mienne est extra large et ne me dit plus rien. »
 
Les mêmes :
« – Quelle est la différence entre être surpris et être étonné ?
– Chais pas.
– Un homme arrive chez lui. Sa femme est au lit avec son meilleur ami.
Lui, il est étonné. Sa femme est surprise.
– Parle pour la tienne… »
 
« – Quel est le poisson le plus stupide ?
– La sardine, parce qu’elle s’enferme dans une boîte et laisse la clé dehors. »
 
« – Quelle la différence entre un caniche qui te pisse dessus et un pitbull qui te pisse dessus ?
– Le pitbull, tu le laisses finir, voyons ! »
 
Germaine et Marie-Chantal, devant un thé fumant.
« – Tu prends la pilule toi ?
– Non. J’ai peur. C’est mon mari qui la prend !
– Ton mari ?
– Oui. Je lui verse un somnifère dans sa tisane avant de se coucher et il dort comme un bébé ! »
 
Jean-Gabriel se fait attraper pour avoir payé un marchand avec de la fausse monnaie.
Il s’explique devant le juge.
« C’est pas si pire que ça. Oui, je l’ai payé avec de la fausse monnaie, mais il m’avait vendu une perruque fabriquée avec de faux cheveux ! »
 
Un homme, insomniaque, consulte son psy :
« – Aidez-moi ! Je n’arrive plus à dormir car chaque nuit, je rêve d’un génie qui vient me voir et me dit : « Viens, on va faire pipi ». Alors je fais pipi au lit. J’ai tellement honte ! Ma femme menace de me quitter…
– La seule solution, c’est que dans votre rêve, vous répondez au génie : « Non ! Je n’ai pas envie ! » Et vous arrêterez de pisser au lit. »
Une semaine plus tard, le gars retourne chez son psy, avec le regard complètement abattu.
« – Ma femme m’a finalement quitté…
– Vous n’avez pas suivi mon conseil ?
– Si, quand le génie arrivait et me disait : « Viens, on va faire pipi. » Je lui répondais : « Non, j’ai pas envie ! » Alors il me répondait : « Ben viens, on va faire popo… » »
 
Encore une revenue, mais modifiée :
Ce sont trois sœurs en vacances chez leur grand-mère.
Le samedi elles disent :
« – Bon, grand-mère, on est samedi soir, on va sortir !
– Ah mais… Mais non je veux savoir ce que vous allez faire !
– On va sortir !
– Oui, mais qu’est-ce que vous allez faire ?
– On va sortir avec nos petits copains.
– Haha viens me dire toi… Comment est-ce qu’il s’appelle ton petit copain ?
– Ben il s’appelle Henry.
– Et qu’est-ce que vous faites ?
– Ben on rit ! »
La deuxième s’approche et dit :
« Ben moi il s’appelle Charles et on parle. »
Puis la troisième arrive, habillée tout en cuir.
La grand-mère lui demande :
« – Et toi mon chou, comment s’appelle ton petit copain ?
– Le mien, il s’appelle Hercule ! »
Dans l’original, il s’appelait Blaise…
 
Un garçon énerve tous ses copains car il connaît toutes les devinettes, pire que Jean-Marc.
Impossible de l’avoir, même quand ses potes inventent une bonne énigme, il trouve la réponse.
Mais un jour, Jean-Marc, justement, un de ses copains plus malin que les autres lui demande :
« – Quelle est la différence entre un citron, une tortue et de la super glue ?
– Facile, le citron est toujours pressé et la tortue ne l’est jamais !
– Oui… et la super glue ?
– Ben… merde… je ne vois pas !
- Ah, ah ! Je savais bien qu’avec ça, j’allais te coller ! »
 
Jean-Patrick rentre de l’école et voit qu’il y a « une fuite » dans les WC.
Il veut à tout prix savoir qui a fait cela…
Il demanda alors à sa famille :
Qui a fait une fuite dans la maison ?
« – Théo c’est toi ?
– Non.
– Ok, Louise c’est toi ?
– Non plus.
– Simon c’est toi ?
– Bah non.
– Papa, maman... Il y’a une fuite dans la maison c’est qui qui a fait ça ?
– Euh on ne sait pas. En tout cas, ce n’est pas nous chéri qui avons fait cela.
– Bah alors c’est qui ?
– Bah on ne sait pas, il a pris la fuite… »
 
Un vieux fermier possédait une grande ferme depuis plusieurs années.
Il avait un grand étang à l’arrière du corps de ferme et il l’avait bien arrangé avec des tables de pique-nique, des terrains de jeux, etc.
L’étang était propre et acceptable pour la baignade.
Un soir, le vieux fermier décide d’aller à l’étang puisqu’il n’y avait pas été depuis longtemps.
Il entend alors des voix crier et rire.
Il s’approche un peu plus et voit un groupe de jeunes femmes nues se baignant dans l’étang.
Il fait alors connaître sa présence et les femmes se dépêchent d’aller dans la partie profonde de l’étang.
Une des femmes lui crie : « On ne sortira pas tant que vous ne serez pas parti. »
Le vieil homme, inspiré, réplique : « Oh, n’ayez aucune crainte, je suis seulement ici pour nourrir l’alligator. »
 
Un curé débarque dans un petit village.
Il cherche la poste mais, ne la trouvant pas, se rend dans un bar pour demander son chemin.
Le problème est que personne ne prête attention à lui.
Alors qu’il s’apprête à sortir, un gars ivre l’interpelle :
« – Hep, m’sieur l’curé ! Vous cherchez la poste ?
– Oui mon fils », lui répond-il. « Pourriez-vous m’indiquer le chemin à prendre ? Je vous en serais très reconnaissant.
– Avec plaisir mon père ! Vous partez tout droit, vous prenez à droite, puis à gauche et encore à gauche. »
Le curé s’exécute et trouve effectivement le bureau de poste qu’il cherchait.
Souhaitant remercier le seul qui l’a aidé, il retourne au bar pour prêcher la bonne parole à l’homme ivre :
« Mon fils, je vous suis reconnaissant de votre aide, c’est pourquoi j'aimerais vous montrer le chemin vers le paradis. »
Le type saoul lui répond alors :
« Le chemin vers le paradis ? Mais tu ne connais même pas celui de la poste ! »
 
Samedi soir Marie-Laure est allée à un bal costumé.
Le lundi matin au bureau, sa copine s’empresse de lui demander :
« – Alors c’était bien cette soirée ?
– Oh, c’était super ! J’ai dansé avec un mec génial qui était déguisé en Adam !
– En Adam ? Et alors ?
– Eh bien, maintenant, je sais ce que ça veut dire « Être dur de la feuille » ! »
 
L’instituteur, le jour de la rentrée s’adresse à un élève :
« – Quelle est la première lettre de ton prénom ?
– Un H monsieur !
– Je vois, t’appelles-tu Henri ou Hector ?
– Perdu M'sieur ! C'est Achille ! »
 
Plus tard, un élève un peu hésitant récite :
« Je marche, tu marches, il marche… »
L’instituteur intervient :
« – Allons, plus vite !
– Je cours, tu cours, il court… »
 
Solutions des « contre-pets » de la semaine passée :
« Parfois en Léchant, les Singes mORDENT les cOUILLES… »
« Voici la Manière DE Bander ! »
« Dimanche, n’allez pas à la Fesse sans Moi, je vous prie… »
 
Propositions de la semaine :
« Ah les Occitans hérétiques… »
« À choisir, elle préfère le goût du blanc »
« La violoniste force les censeurs à admirer son joli don ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
I³