Je l’avoue piteusement !

Le premier débat, je ne l’ai pas vu.
 
Et il y a plusieurs raisons à ça. Ce n’est pas une excuse, mais une explication :
D’abord, ce n’était pas un débat, mais des interviews successives.
Ensuite, il n’y avait pas tout le monde : Ni « Poux-toux », disparu englouti dans le PAF, interdit d’antenne, comme Arlette Laguiller, Miss « Art-Tôt », pas plus que « La-Salle », considéré comme un « candidat de merde et inutile » par le régisseur, ni « Du-Pont-Gnan-Gnan », mais celui-là, son absence ne me gêne pas vraiment.
Et puis surtout, il y avait ma « Nichée » à la maison qui s’autorisait à jouer les prolongations du week-end !
Enfin, on m’en aura fait un résumé que je tente de vous rapporter, juste pour que je me rappelle plus tard, parce qu’à mon âge avancé, on a la cervelle qui devient de la « sauce blanche » de plus en plus fréquemment.
Sauf que finalement, il n’y a rien à se rappeler, hors peut-être à se rappeler qu’il n’y avait rien à se rappeler !
 
De plus, ils ont tous fait étalages de ce que tout le monde connait de leurs discours, avec quelques nuances, puisque le thème, c’était « La Gauloisie-impériale face à la guerre ».
Tu parles d’une idée : On mène une guerre totale contre le « Conard-virus » depuis deux ans, on voit arriver de loin la sixième vague de contamination, pour le lendemain des élections, juste au moment où on nous précipite droit dedans mais sans les masques, comme en 2020… et « Poux-Tine » ne fait même pas la guerre à la guerre que nous ne la lui faisons pas plus, copain-copain qu’on a toujours été…
Circulez, il n’y a rien à voir, finalement.
Sauf que…
 
Sauf que c’est l’occasion de mettre les points sur le « i » et les barres au « t ».
D’ailleurs, c’est ce que « Jupiter » affirme : « Ce que j’essaie de faire au nom de la France, mais ce que nous essayons de faire en Européens, c’est d’essayer de stopper cette guerre sans faire la guerre », a-t-il fait valoir.
Tu vois bien qu’on n’est pas en guerre !
Interrogé pour savoir s’il considérait « Poux-tine » comme un « dictateur », il a argué que ce n’est « pas en insultant ou en qualifiant que ce sera le plus efficace ». Conséquemment, il entend encore continuer à lui parler… poliment !
 
Il faut qu’il se dépêche : D’après les sources bien informées du Pentagone, celui-là est atteint d’un cancer soigné aux stéroïdes.
C’est marrant, dans le roman de l’été prochain, j’avais déjà annoncé qu’il était sous corticoïdes, vu la tronche qu’il se paye depuis un moment.
Corticoïde, stéroïde, je vous avoue qu’il va falloir que je me documente pour être plus précis.
En attendant, c’est la raison pour laquelle il est pressé d’étendre son ex-empire à lui de dans ses rêves et fantasmes les plus fous…
 
« Marinella-tchi-tchi », « Mes-Luches » et « Zézé-Amour » tous trois soupçonnés de connivences passées avec le président russe, ont également refusé de se prononcer, préférant le terme d’« autocrate », contrairement à « Sœur-Âne » qui n’hésite pas à nommer un chat un chat, « Valy » et « Ya-nique-Yoda » également. Ce dernier veut d’ailleurs et en plus « traquer les milliardaires russes partout ».
Les milliardaires ukrainiens, polonais, chypriotes, libanais, anglais et ricains, ça ne le gêne pas trop, me semble-t-il…
Il en aura profité pour plaider pour un embargo sur le gaz et le pétrole… russe.
Je pensais que « l’or noir » n’avait pas d’odeur où la même d’où qu’il vienne.
Bin si finalement, surtout pour un « écololo-bobo » : Le russe pue plus que le kurde ou le qatari.
D’ailleurs, ça n’a tellement pas plu à « Poux-tine » que celui-là s’est démerdé, je ne sais pas encore comment, pour faire pleuvoir de la boue jusque dans l’Est de la « Gauloisie-impitoyable » dès le lendemain. Et ça aura progressé…
Là, il faut que je me renseigne d’où ça vient et si les « Teutons » et autres « Polaks » sont ou non victimes de la même pollution.
Parce qu’en plus, si ce sont des suies radioactives, ça va être assez rigolo…
 
tPour le reste, c’était, me semble-t-il « yarte à la crème » : Les candidats ont longuement parlé de la flambée des prix du carburant, conséquence concrète la plus immédiate de la guerre pour les « Gauloisiens-acéphales ».
Je rappelle que la crise de l’énergie, c’était avant les embargos diverses et autres mesures de rétorsions au menées bellicistes russes, qu’en plus, justement, ni le gaz ni le pétrole russe n’en font d’ailleurs partie.
Mais bon, dans la mémoire collective, on, est en train d’annoncer que c’est « Poux-Tine » qui en est directement responsable.
Et le pire, c’est que ça va fonctionner dans l’inconscient de la plupart des gens.
Quand je dirai le contraire, je vous parie qu’on me prendra pour un dangereux « révisionniste » !
 
Plus généralement leur discours se serait orienté vers la défense du pouvoir d’achat, préoccupation numéro un des électeurs.
La sécurité dans les rues, les « no-go-zones » et les migrations intempestives, tout ça est passé à l’as, même la théorie du « Grand remplacement » (une fiction littéraire, vous rappelle-je) : On va se faire bouffer la laine sur le dos de nos maghrébins par les Ukrainiens et personne ne râle !
Magnifique…
Et « Jupiter » n’en a pas profité pour annoncer de nouvelles mesures, soulignant, un sourire au coin de la lèvre, que « le candidat a été précédé par le président et c’est normal ».
Mais il a toutefois rappelé que le gouvernement avait déjà claqué 20 milliards d’euros en faveur du pouvoir d’achat citant par exemple le chèque inflation.
D’ailleurs plusieurs candidats auraient dénoncé l’annonce du gouvernement d’une remise à la pompe de 15 centimes par litre à partir du 1^er avril, estimant qu’elle « vient trop tard », à l’image de « Sœur-Âne » qui a même ironisé sur un éventuel « poisson d’avril ».
Moâ, je trouve seulement que ce n’est pas assez : Mais, en bon boomer, je me souviens du litre d’essence (plombée) à 1 franc par litre…
« Mes-Luches » aurait même plaidé pour un blocage des prix à « 1,30 euro ou 1,40 euro à la pompe ».
On est dans une autre dimension, là où plus de 60 % du prix tient dans les taxes…
Et « Roux-Sel » pour une taxation des profits des pétroliers…
Celui-là… on va y revenir.
 
Naturellement, le débat aurait également tourné autour des retraites, « Jupiter » confirmant son intention de repousser l’âge de départ à 65 ans, alors que d’autres veulent l’avancer à 60 ans avec 40 annuités complètes ou le laisser tel qu’il est.
Concernant les économies d’énergie et le nucléaire, ils ont tous affiché leurs profondes divergences : « Mes-Luches » aurait ainsi insisté sur le « danger » du nucléaire civil en cas de guerre et « l’écololo » de la troupe sur la nécessité d’en sortir, alors que « Sœur-Âne » aurait courageusement défendu un « mixte ».
Les autres, y compris « Roux-Sel », auront défendu le nucléaire comme instrument d’indépendance.
 
Pour « Jupiter », « Nous pouvons y arriver ». Où ça ?
Et d’égrainer tout ce qu’il a décidé (avec votre pognon) pour votre pouvoir d'achat, toutes les mesures d’aides mises en place au cours des derniers mois, du chèque inflation en passant par le chèque énergie, le boulier tarifaire et la baisse de 15 centimes d’euros par litre du 1^er avril au 31 juillet… se défendant de mesures à visées électorales avec cette dernière aide annoncée le week-end dernier par son « Premier sinistre ».
Non ? Mais tu crois au Père Noël, toi ?
Oui, mais seulement en période électorale où on claque un pognon considérable (qu’on n’a pas) pour des prunes.
« Bat-La-Mou » avait fait la même chose…
Et au passage il aurait justifié son virage sur le nucléaire, rappelant désormais les trois piliers de sa stratégie : La baisse de la consommation, le nucléaire et les énergies renouvelables.
Et il est sérieux, là ?
Non : « La vraie réponse, c’est l’écologie et le travail ».
Et puis une promesse qu’il ne tiendra naturellement pas : Il n’y aura pas de hausse d’impôt et il continuera les baisses en cas de réélection, « comme il le fait depuis cinq ans ».
Arf : J’attends toujours.
Je ne sais pas comment je me démerde, mais je passe depuis toujours à côté des bons plans, sur ces sujets-là…
 
La candidate « Air-Haine » n’aurait pas ménagé ses efforts pour se montrer souriante et apaisée, elle qui traîne encore comme un boulet son débat raté de 2017.
Première à s’exprimer, elle a surtout mis l’accent sur le pouvoir d’achat, insistant sur les « faiblesses très lourdes de notre pays, conséquence de choix politiques erronés » de « Jupiter ».
Comme si elle s’y connaissait…
Et elle est revenue autant que possible sur le sujet, soucieuse de mobiliser l’électorat populaire, celui qui votait « coco-stal » dans les années 70 : « Je veux protéger le pouvoir d’achat des Français », a-t-elle martelé.
Comme si elle s’y connaissait…
 
Elle a aussi promis de « baisser les impôts des Français ». Elle a insisté sur le caractère « extrêmement juste sur le plan social » de sa propre réforme des retraites (un système progressif avec une retraite pleine à 60 ans pour quarante annuités). Et elle a fait miroiter une baisse des prix des carburants de « 34 à 50 centimes par litre » en baissant la TVA sur l’énergie et en supprimant « des augmentations de taxe décidées par Emmanuel Macron ».
« Ce que je ne veux pas, c’est que le prix du gaz soit multiplié par huit » et « que les Français se fassent hara-kiri au motif de sanctions décidées par nos dirigeants ».
 
« Mes-Luches » aurait consacré une partie importante de son intervention à justifier sa position sur le conflit ukrainien. « Ça fait depuis 2014 que j’alerte sur le risque de guerre en Ukraine », a-t-il assuré, tout en réaffirmant son souhait de voir la « Gauloisie-lumineuse » travailler davantage à un accord de cessez-le-feu plutôt que d’insister sur les sanctions visant Moscou.
Il a aussi confirmé son intention d’abaisser l'âge de la retraite 60 ans, de bloquer les prix de produits de première nécessité ou encore d’augmenter le SMIC.
Il a également maintenu sa volonté de sortir au plus vite du nucléaire, soulignant la « dangerosité » de l’atome en évoquant les incidents subis par les centrales nucléaires ukrainiennes en marge des combats.
Bien : Conforme à lui-même.
 
Ce n’était pas comme « Zézé-Amour » qui a délaissé ses thématiques favorites, notamment l’immigration (Ukrainienne ?), pour concentrer son discours sur la situation internationale. Alors que le conflit ukrainien a précipité sa chute dans les sondages, il a de nouveau tenté de justifier ses anciennes prises de position favorables à « Poux-Tine ».
« Après la chute de l’URSS, Poutine avait redressé son pays comme un patriote russe », a-t-il fait valoir, interrogé sur sa volonté de voir un jour un « Poutine français ». « J’ai condamné l’invasion » russe.
Encore une fois, il se trompe : La crise monétaire de 1998 a laissé de profondes traces dans l’économie russe, qui ne s’en est pas vraiment remise. Celle de 2008 aura été moins catastrophique, mais n’aura pas arrangé les choses…
 
Il aurait également déroulé ses propositions en matière de défense, en particulier l’augmentation du budget des Armées à 70 milliards d’euros d’ici à 2030. « Nous avons un devoir de puissance », a-t-il affirmé. Selon lui, la « faiblesse » de l’armée est telle qu’en cas de « guerre de haute intensité nous aurions trois jours de munitions ».
Pas grave : On sera rayé des cartes en moins de deux heures…
Il aurait également fustigé le projet d’Europe de la défense, cher à « Jupiter » : « Ce qui se passe, c’est le renforcement de l’agence européenne de l’Otan. Qu’est-ce que va faire l’Allemagne avec ses 100 milliards ? Ils vont acheter américain », a-t-il déploré.
Mais attends un peu : Quand tu fais une politique de relance par la dépense, comme le propose « Mes-Luches » et quelques autres, ils achètent quoi au juste les « Gauloisiens-patriotes » ?
Des produits chinois ou ricains.
Et si les « Teutons » achètent des F 35, c’est pour rester opérationnels avec les munitions nucléaires ricaines qu’ils ont chez eux…
 
« Valy-Pète-Cresse » aurait été égale à elle-même, cherchant encore à convaincre qu’elle était à la hauteur, la chérie, pour mettre en œuvre « les réformes si longtemps différées » dans un pays qui « s’affaiblit depuis dix ans ».
« Il y a tant à reconstruire (…) Il faudra du courage. Ce courage, je l’ai », disant avoir la « main ferme » mais « respectueuse ».
Des claques, oui… Si elle en était tellement convaincue, elle nous le serinerait pas à tout bout de champs : Une catastrophe !
Naturellement, elle aussi est pour réduire les impôts, pour l’augmentation des salaires nets de 10 %, pour la hausse des pensions de réversion des veuves, pour le « choc de simplification », pour les « quotas migratoires » et pour l’« immunité zéro ».
Elle promet même « deux fois plus d’économies que de dépenses ».
Bref, elle est pour tout !
Formidable.
 
Le problème, c’est qu’elle y croit…
Elle a tout de même pensé a épinglé « Jupiter », lui reprochant d’avoir été « trop tardif dans sa prise de conscience de la dangerosité de Poutine », taclant sa décision de fermer la centrale de Fessenheim et moquant sa volonté de repousser à 65 ans l’âge de départ à la retraite.
« Il a écouté mon programme et j’en suis heureuse », a-t-elle affirmé, tout en appelant les électeurs à ne pas être « dupes » d’un « illusionniste » qui veut « faire le contraire de ce qu’(il) a fait » comme président.
 
Pour « l’écololo » il faut armer les Ukrainiens pour soutenir leur « résistance héroïque ».
« C’est le combat de la liberté contre la répression. » C’est vrai.
« Regardons vingt ans de massacre, de crimes de guerre. Poutine est un dictateur », a asséné l’eurodéputé, dénonçant « trop de complaisance », liée, selon lui aux énergies fossiles, « à ces dépendances incroyables ».
« Les énergies fossiles tuent la démocratie, comme le climat ».
Pour lui, un embargo « immédiat » sur le gaz russe est possible avec une mobilisation des pouvoirs publics.
Seulement si les « teutons » sont d’accord, ce qui est loin d’être le cas, même chez leur « Grünen ».
« Chaque jour, nous donnons 700 millions de dollars à Poutine pour financer sa guerre », a-t-il indiqué, en souhaitant un grand plan de mobilisation pour pouvoir baisser « nos consommations de gaz de 10 à 15 % ».
On fait quoi du reste ? On remplace par du nucléaire les jours sans vent et pluvieux ?
 
Il assure pourtant que les énergies renouvelables sont « les seules énergies de sécurité et de paix » et il a répété qu’il voulait une sortie progressive du nucléaire : « au fur et à mesure que nous déploierons les énergies renouvelables, nous fermerons les centrales, ça prendra vingt, vingt-cinq ans ».
Sûr !
Le soleil fera un effort pour chauffer plus fort : C’est d’ailleurs ce que nous promettent tous les oiseaux de malheur qui veulent sauver la planète malgré elle…
 
Le candidat « coco-stal » a de son côté appelé à se concentrer sur la négociation d’un cessez-le-feu entre la Russie, mère patrie de la troisième Internationale que’il faut préserver, et l’Ukraine, sa petite-sœur dépendante et bientôt « vassalisée », tout en désignant sans hésiter Moscou comme « l’agresseur » dans ce conflit.
Ce n’est pas le point de vue ni de « Poux-tine » ni de « La-Vrov ».
Il appelle toutefois à « ne pas mettre sur le dos de la guerre » les difficultés du pays, « qui étaient là avant » : Enfin un « déviant » ?
 
Et puis il nous aurait fait du « George-Marché » en enchaînant les formules chocs, évoquant « la station essence, devenu le seul endroit où l’on tient le pistolet tout en se faisant braquer » ou encore « l’essence Coco Chanel ».
Mais comme les autres, il aurait détaillé les mêmes mesures en faveur du pouvoir d’achat : Baisser les prix des carburants en taxant les grandes entreprises du secteur de l’énergie, augmenter le SMIC ou encore abaisser la retraite à 60 ans.
Il lui faudrait peut-être lui peaufiner sa culture économique : Quand tu taxes une entreprise, ce n’est pas elle qui paye, mais ses clients…
Quand elle en trouve encore qui soient solvables.
Sans ça on ferme et on met tout le monde au chômage, globalement ce qui se passe au pays de la « désindustrialisation » depuis au moins 40 ans…
 
Je vous rappelle toutefois que c’est le seul candidat de gôche à soutenir l’énergie nucléaire et qui estime que l’atome est indispensable au pays pour atteindre la souveraineté énergétique via une « énergie stable, pilotable et décarbonée ».
Parfaitement juste !
Y’a aussi que le comité d’entreprise d’EDF et des gaziers est aux mains de la CGT, un syndicat… frère qui finance bien des choses à travers ses « permanents ».
 
Quant à « Sœur-Âne », elle a tenu à se différencier de ses concurrents de gôche. Face à « Poux-Tine », elle a maintenu ses propos contre « Mes-Luches » qu’elle accuse de complaisance envers le président russe.
Et puis comme les autres, elle aurait servi la même soupe : Plaidant pour des mesures immédiates pour soutenir le pouvoir d’achat, comme la baisse de la TVA sur l’essence, elle s’est aussi distinguée de « l’écololo », dont certains estiment qu’il défend une politique écologiste « punitive » : « Dans mon programme on n’oppose jamais l’écologie au social », a-t-elle lancé, égrainant ses propositions telles que le maintien de la retraite à 62 ans, la revalorisation du SMIC ou encore le respect strict de l’égalité salariale femme-homme.
Et malgré la crise ukrainienne, la candidate a maintenu son objectif de sortir du nucléaire d’ici 2050, disant pourtant être opposée à une « sortie brutale » de l’atome afin de prendre le temps de développer le renouvelable.
 
Bref, vous l’avez compris : Une séance pas bien passionnante qui n’augure rien de meilleur pour les prochains jours où il n’y a rien à se rappeler, hors peut-être le fait de se rappeler qu’il n’y avait rien à se rappeler !
Finalement, ils ont raison de ne pas faire campagne : Ils n’ont rien à dire d’autre que des banalités.
Aucun ne fait rêver, tous ne voient l’avenir pas plus loin que le bout de leur nez : On dirait qu’ils candidatent pour être ministre de ceci ou de cela, rien de plus.
Aucune flamme, aucune âme, même chez « Jupiter » qui aura pourtant soulevé un semblant d’espoir et d’enthousiasme il y a 5 ans…
On est assez mal parti pour les 5 ans qui viennent, finalement.