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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 7 mars 2022

Colonna victime de l’islamisme radical !

Jusque dans sa prison…
 
De qui se moque-t-on au juste ? Il purge une peine de perpétuité, cette fois-ci dans la centrale d’Arles après avoir été promené dans divers autres pénitenciers du pays pour être catalogué « DPS », détenu particulièrement surveillé…
Je ne vous raconte la jungle pour les autres, qui juste « simplement surveillés », parce qu’« ils » ont réussi à le passer à tabac avec une facilité déconcertante !
Tellement violente, l’agression, qu’il en est resté dans le coma.
Alors évidemment, le parquet national antiterroriste (Pnat) aura annoncé jeudi dernier se saisir de l’enquête sur cette violente agression dans les locaux de la centrale d’Arles, parce que le « codétenu » agresseur est déjà condamné pour terrorisme, fiché S et lui aussi « particulièrement surveillé »…
 
Officiellement, « les circonstances des faits et les premiers éléments d’enquête qui semblent, en l’état, exclure un différend d’ordre personnel, motivent cette saisine », explique le Pnat dans un communiqué, précisant que l’enquête était ouverte pour « tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste ».
Bé si, c’était une « affaire personnelle », pas une histoire de femme ni de recel de trafic, mais parce qu’Yvan aura « mal parlé du Prophète », autrement dit manqué de respect envers ledit « Prophète »…
Si, si, c’est ce qu’on va nous faire avaler !
 
Les faits se sont déroulés dans la matinée de mercredi 2 mars, alors qu’Yvan faisait de la musculation, seul, dans une salle de l’établissement, jusqu’à ce qu’un autre détenu, soit venu faire le manage de la salle.
Le mek, sous l’œil des caméras de surveillance et des gardiens postés derrière leurs écrans, se jette à pied joint sur Colonna, le roue de coups, le retourne complètement inconscient, l’étrangle « à mains nues », puis l’étouffe en piétinant sauvagement durant une bonne minute son larynx avant d’envelopper sa tête dans un sac en plastique pour finalement reprendre son balai et son sceau et signaler au gardien en faction que « Colonna a eu un malaise » !
Je mettrais ça dans un de mes romans des plus gores (de ceux que je ne publie pas) vous me rigoleriez au nez…
Et pourtant, les caméras de vidéosurveillance de la prison montrent effectivement qu’il a « sauté à pieds joints sur le dos » de Colonna qui faisait ses pompes, avant de le « rouer de coups de poing » et de lui « écraser la trachée pendant plus d’une minute avec son pied ».
L’agresseur lui a ensuite effectivement mis un sac sur la tête. Une scène « glaçante », d’une « rare violence » en disent ceux qui ont visionné les images…
 
Découvert en arrêt cardiaque et respiratoire par les surveillants pénitentiaires qui ont lancé l’alerte, « les secours internes prodiguaient un massage cardiaque, moins de trois minutes après l’alerte », a fait valoir le procureur de la République à Tarascon.
Une fois son cœur relancé Yvan Colonna a été transporté à l’hôpital d’Ares avant d’être transféré dans un établissement marseillais où il se trouve toujours en coma post-anoxique, un type de coma consécutif à une privation d’oxygène dans le cerveau, selon le proc’. Naturellement, son pronostic vital est engagé.
Il n’est pas encore en état de mort cérébrale, comme l’affirmaient pourtant plusieurs sources mercredi.
Mais bon, s’il retrouve un semblant de conscience un jour ou l’autre, il ne pourra vraisemblablement plus avoir l’usage de ses neurones au complet.
 
Son agresseur, Franck Elong Abé, est un jihadiste camerounais de 36 ans, interpellé en Afghanistan en 2012 par les Américains avant d’être remis à la « Gauloisie-pénitentiaire » en 2014.
Condamné en 2016, il purge une peine de seulement neuf ans de prison pour « association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte de terrorisme », ont précisé à l’AFP deux sources proches du dossier.
Tu m’expliques, là ?
2012 + 9 ans égalent combien au juste ?
Qu’est-ce qu’il foutait là ?
Mettons que sa détention n’ait démarré qu’en 2014 que le gars se soit payé quelques rallonges, normalement il sortait libre dans moins d’un an, parce que sa peine de sûreté n’était que des « deux-tiers », 6 ans.
Qu’est-ce qu’il pique une colère jusqu’à « massacrer » un type qu’il connait à peine ?
Et qu’est-ce que Colonna en avait à foutre du « Prophète » pour aller énerver un raz-du-casque qu’on va bien entendu nous décrire comme d’un excité ?
 
L’enquête vise à déterminer si Franck Elong Abe avait prémédité son geste. Selon une source sécuritaire, le suspect, qui s’est converti à l’Islam, est décrit comme étant « radicalisé », « impulsif et virulent », « souffrant aussi d’instabilités psychiatriques qui lui ont valu plusieurs séjours en unités psychiatriques ».
Et paf !
En 2011, ce Camerounais de 36 ans rejoint l’Afghanistan pour combattre aux côtés de groupes terroristes. Capturé par les militaires américains en 2012, il passe deux années en détention à Bagram, la principale prison militaire d’Afghanistan, située à une soixantaine de kilomètres de Kaboul.
Il est finalement rapatrié chez nous en 2014 et échoue en prison à Rouen, en Normandie, où il a passé une partie de sa jeunesse. C’est en avril 2016 qu’il est condamné à neuf années de détention.
Entretemps il s’est fait remarquer à plusieurs reprises en détention : Alors qu’il est incarcéré à Rouen, il tente de se suicider en février 2015.
Transféré le mois suivant à l’hôpital-prison de Seclin, dans le Nord, il tente de s’évader après avoir menacé une jeune interne en psychiatrie avec un objet pointu.
Pour ces faits, il écope de quatre années de prison supplémentaires.
D’accord, 4 + 9 = 13. 13 + 2012 = 2025…
Mais il faut en rajouter : En octobre 2019, le suspect se retrouve une nouvelle fois devant un tribunal.
Il est jugé à Alençon (Orne) pour avoir dégradé et incendié sa cellule à 14 reprises entre juillet et août 2019.
Il est condamné à 9 mois de prison. Pour exécuter sa peine, il est transféré de la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne) puis à Arles le 17 octobre 2019. Là-bas, il assurait l’entretien des salles au rez-de-chaussée en qualité d’auxiliaire d’étage.
 
« C’est une marque de confiance car on permet à ce détenu de se déplacer plus facilement dans la prison avec des balais, des produits d’entretien », note une source pénitentiaire.
Une décision prise en commission par la direction de l’établissement, avec l’aval de la direction interrégionale de l’administration pénitentiaire, mais qui a étonné de nombreux surveillants : En effet, Franck était « renfermé sur lui-même et dialoguait peu avec le personnel. Ce choix n’était pas judicieux ».
Un représentant du syndicat Ufap-Unsa justice estime même qu’il serait nécessaire de créer des établissements « accueillant des détenus aux profils ciblés, parmi lesquels ceux condamnés pour des affaires de terrorisme ».
Personnellement, je les laisserai croupir dans leur cellule.
Mais je ne suis pas « Garde des sots »…
 
Naturellement, pour l’avocat de la famille du « berger de Cargèse », cette agression soulève « énormément de questions ».
« Comment le suspect a-t-il pu devenir auxiliaire alors qu’il est manifestement dangereux ? Comment ces deux détenus, particulièrement surveillés, ont-ils pu se retrouver seuls dans la même pièce, sans surveillance ? »
L’avocat observe aussi que les gardiens sont intervenus après que Franck Elong Abe soit sorti de la salle de sport pour prévenir qu’Yvan Colonna avait fait un malaise.
« Alors qu’il y a une caméra de surveillance dans la pièce, pourquoi n’y a-t-il eu aucune intervention ? »
Avant de conclure : « Il y a quelque chose de complètement inacceptable. Les conditions de cette agression sont incroyables pour la famille d’Yvan Colonna. »
Il peut le dire…
 
Pour rappel, Colonna a été condamné à la prison à perpétuité pour l’infâme assassinat du préfet Claude Érignac en 1998. Le préfet de Corse a été tué par balles dans une rue d’Ajaccio, dans la soirée du 6 février 1998.
Suspect numéro un dans cette affaire, Colonna a passé plus de quatre années en cavale (preuve de sa culpabilité présumée, n’est-ce pas…), faisant de lui le plus recherché du pays au début des années 2000, parce que ses potes s’était fait arrêter et ils avaient « bavé » sur son compte.
Le militant indépendantiste est finalement arrêté dans le maquis corse, près Olmeto, dans le Sud de l’île de Beauté, le 4 juillet 2003.
Entre-temps, les autorités publiques auront eu l’occasion de mettre le boxon dans bien des « affaires Corses » et soulever quelques lièvres (la piste de l’enseignement, la piste agricole, les pistes des mafias locales et son corbeau jamais identifié, je vous en passe et des meilleurs…), jusqu’à provoquer quelques « règlement de comptes » dans le milieu et s’enliser dans l’affaire de la Paillote « Chez Francis ».
Mais ça n’a jamais empêché les mafieux de faire main-basse sur des trafics juteux et quelques terrains promis aux bétonneurs…
Quant aux « cousins natios », qui comptaient les coups, ils en faisaient les gorges chaudes une fois la nuit tombée…
Et ça se perpétue encore de nos jours…
 
Incarcéré huit années à la prison de Fresnes, puis un an à celle de Toulon, le Corse rejoint la maison centrale d’Arles en 2013. Il fait ensuite un bref séjour à la prison de Réau, en Seine-et-Marne, après une tentative d’évasion présumée.
Aucun intérêt à s’évader : Il est nettement plus en sécurité en prison qu’entre les mains de ses proto-complices…
Détenu à la prison d’Arles depuis près de neuf ans, il a, depuis, multiplié les demandes de rapprochement en Corse mais elles ont toutes été refusées.
Ceci dit, pour beaucoup, le commando des bergers de Cargèse, dont la plupart sont encore derrière les barreaux, avait désigné Colonna comme le tueur du Préfet.
Sauf que tout le monde sait à Ajaccio que ça ne s’est pas passé comme ça.
 
En effet, s’ils étaient tous sur place en vue de commettre cette exécution inutile et finalement contreproductive, le seul témoin visuel des derniers moments du Préfet fait clairement et de façon à la fois spontanée et récurrente, référence à « un grand blond ».
D’ailleurs, l’analyse balistique et les contre-expertises, parlent d’une balle tirée de haut en bas dans la nuque du Préfet.
Ce n’est donc pas un gnome brun qui peut être l’auteur de ce forfait.
Matériellement impossible, même avec un escabeau : Le Préfet était non seulement un grand-commis de l’État, parfaitement intègre (pas comme son successeur), mais une personne de haute stature.
De plus, un Corse exécute de face, pas dans le dos, tout le monde sait ça sur place !
Et chacun sait que le fameux « grand blond » aura été exfiltré seulement quelques heures plus tard depuis l’aéroport voisin en direction de l’Afrique en avion particulier.
La trace des réseaux « Pasquale », l’homme des « pastaga » et des casinos africains des fameux « clans corses » de l’époque qui aura fini « sinistre » de la République.
Or, Érignac, avait eu à traiter de ces affaires-là dans son parcours préfectoral antérieur, et avait déjà croisé quelques-uns de ces dossiers sulfureux.
Vous savez additionner 1 + 1 ?
En « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » aussi.
 
On sait également que quand on met la future victime au contact avec son futur assassin, sans surveillance, même dans une prison sécurisée, il ne faut pas plus de deux minutes pour exécuter « un contrat ».
Vite fait, bien fait, d’autant que l’agresseur suppose déjà qu’on dira de lui qu’il est cinglé, ce qui lui évitera peut-être de prolonger son séjour à l’ombre.
Sauf que c’est manifestement un « mauvais » : D’abord, il n’a pas réussi à tuer sur le coup sa victime, un amateur, ensuite même s’il croit pouvoir finir en « martyr » du jihad, il ne sait même pas qu’il va devoir retourner en prison et non pas en asile psychiatrique.
Et les matons ne le ménageront et le laisseront même crever, parce que c’est sur eux que va retomber la faute de service d’un collègue malintentionné.
Parce que forcément, il y a une complicité interne pour un disfonctionnement majeur, donc 1 + 1, il y avait « un contrat ».
 
Là où la démonstration s’arrête pour l’heure, c’est qu’on ne voit pas très bien qui aurait eu intérêt à faire taire « définitivement » Colonna : Il était déjà aculé au silence, tout avait été dit et il était devenu « inopérant » et inaudible, même chez les « natios », sauf si on apprend qu’il préparait un bouquin.
Va-t-on le découvrir ?
Parce que là, ce n’est plus « 1 + 1 », mais « 2 + 2 ».
À suivre, une fois de plus…

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