Qui vient prendre place dans le confessionnal.
Elle se penche à la grille du parloir et commence :
« – Pardonnez-moi mon père, parce que j’ai péché.
– Allez-y mon enfant, parlez, quel péché avez-vous commis ?
– Mon père, j’ai commis le péché de vanité. Deux fois par jour, je me contemple devant le miroir en me disant que je suis magnifique. »
À ce moment-là, le curé se penche à la grille et observe longuement la
jeune fille, puis il lui dit :
« Mon enfant, j’ai une bonne nouvelle pour vous : Ce n’est pas un péché, c’est simplement une erreur. »
Jean-Luc a du mal à comprendre l’arithmétique.
La maîtresse essaie de lui faire comprendre grâce à des exemples concrets :
« – Jean-Luc, si tu plonges la main dans ta poche de droite et que tu trouves une pièce de 1 euro, puis si tu plonges ta main gauche dans ta poche de gauche et que tu trouves un autre euro, qu’est-ce que tu auras ?
– Le pantalon de quelqu’un d’autre Madame… »
Jean-Paul raconte à Jean-Marc sa soirée :
« J’étais au bar, hier, quand j’ai réalisé qu’il fallait désespérément que je soulage mon ventre enflé.
La musique étant très forte, j’ai synchronisé mes pets aux
sons de la musique. Après deux chansons, je commençais à me sentir réellement
mieux.
Tout en finissant ma bière j’ai remarqué que tout le monde me regardait.
J’ai pris un air le plus innocent possible pensant peut-être qu’ils avaient senti une odeur désagréable venant de ma direction, mais bon, personne ne pouvait vraiment dire qui était l’empoisonneur…
Puis soudain, je me suis aperçu que j'avais mes écouteurs… »
Réflexions de Jean-Marc, quand il rencontre la maréchaussée :
« Ben sûr que je ne vous ai pas vu ! Mon détecteur de radar n’était pas branché. »
« Moi aussi j’aurais aimé devenir policier mais j’ai préféré passer
mon bac ».
« Mon frère aussi est policier.
Il avait un complexe d’infériorité et c’est pourquoi il a
choisi le corps policier.
Il voulait porter un revolver… »
« Si jamais tu décides de me frapper, fait un sourire à la vidéo-caméra
! »
« Est-ce que c’est vrai que tous les policiers acceptent des
cadeaux ? »
« Merci monsieur l’agent de me donner un avertissement.
Hier aussi j’en ai eu un ! »
On avait déjà eu la version « automobile Microsoft ».
Voici celle des ascenseurs…
L’ascenseur vous demanderait “Êtes-vous sûr ?” quand vous appuyez sur le
bouton de l’étage désiré.
La charge utile serait, à raison de 70 kg par personne, de 9 personnes
soit 629,9999995623485 kg.
D’ailleurs, seules les personnes pesant exactement 70 kg pourraient emprunter les ascenseurs Microsoft, puisque cela aura été fixé comme standard par les ingénieurs Microsoft.
La puissance des treuils doublerait tous les deux ans, mais le poids des
cabines doublerait tous les six mois, ce qui aurait pour effet de rendre les
ascenseurs de moins en moins fiables et de plus en plus lents.
Les personnes qui emprunteraient les ascenseurs Microsoft deviendraient de
ce fait incompatibles avec les ascenseurs Schindler ou Otis.
Il faudrait alors les reformater.
Les ascenseurs seraient livrés avec un logiciel “Building Explorer”,
permettant de se rendre à n’importe quel étage de l’immeuble, à condition d’être
très patient.
En cas de problème, on verrait apparaitre des messages du type :
– Accès à l’étage impossible. L’étage doit être encombré ou l’ouverture de
la porte n’est pas fiable. Réessayez plus tard.
– L’étage que vous avez demandé n’existe plus. Vérifiez si le bouton sur
lequel vous avez appuyé correspond à un étage.
– Veuillez attendre la fin des opérations de l’ascenseur avant de quitter
la cabine.
Chaque fois que vous emprunteriez l’ascenseur, vous auriez l’astuce du
jour, du style : Savez-vous qu’en ne restant pas dans la porte, vous permettez
à celle-ci de se refermer plus facilement ?
Ou bien… Si vous ne vous allongez pas par terre, cela permettra à d’autres
personnes d’emprunter l’ascenseur en même temps que vous.
Microsoft resterait propriétaire des ascenseurs, ses clients ne disposant
que d’une licence d’utilisation.
Les ascenseurs Microsoft seraient bien sûr livrés d’abord en version beta,
les utilisateurs étant chargés de noter les anomalies et de les faire connaître
à Microsoft … une fois décoincés.
Les ascenseurs Microsoft étant tous à quatorze niveaux, il faudrait
ajouter des étages aux immeubles afin qu’ils acceptent les ascenseurs Microsoft.
Les ascenseurs Microsoft proposeraient des raccourcis claviers très
utiles, par exemple la combinaison de touches Sonnerie-Ouverture des portes – 2
pour atteindre le premier sous-sol.
De temps en temps, il se produirait une erreur de protection générale
ayant pour effet de faire s’écrouler l’immeuble.
Il n’y aurait plus d’escaliers (tellement plus simples, moins chers et
plus rapides pour la plupart des utilisations …)
On pourrait demander un “aperçu de l’étage” pour être sûr que celui-ci
correspond à ce que l’on veut rechercher.
En cas de panne, vous auriez accès à a une hotline Microsoft de 8 h 00 à
20 h 00 sauf le dimanche.
La conversation pourrait être de ce type-là :
« – Bonjour, bienvenue chez Microsoft. Je suis votre responsable du service après-vente. Que puis-je faire pour vous ?
– Je suis coincé dans l’ascenseur.
– Êtes-vous sûr que vous êtes coincé ? L’ascenseur n’est-il pas en train de travailler ?
– Comment le saurais-je ?
– Y’a-t-il une lumière orange qui clignote sur le panneau de commande ?
– Non, je ne vois rien.
– Vous rappelez-vous tout ce que vous avez fait avant d’être coincé ?
– J’ai appuyé sur le bouton du 4ème étage, l’ascenseur a démarré puis s’est arrêté.
– Êtes-vous seul ou plusieurs dans l’ascenseur ?
– Je suis seul.
– Pesez-vous plus ou moins de 630 kg ?
– Euh …. moins, je crois.
– Pouvez-vous sortir de l’ascenseur ?
– Non, les portes sont fermées.
– Avez-vous sauvegardé l’étage auquel vous désirez vous rendre ? Sinon il vous faudra réappuyer sur le bouton quand l’ascenseur fonctionnera à nouveau.
– Non, mais ça va, je m’en souviens.
– Très bien. Quelle est la version de votre ascenseur ?
– ??? Euh … il a été construit au début de l’année.
– Je vois. Il y avait un bogue dans cette version.
Sortez de l’ascenseur et ouvrez les portes de l’extérieur, ainsi vous serez décoincé.
Ensuite, demandez à votre revendeur Microsoft la dernière version d’ascenseur, plus complète et permettant d’atteindre le quatrième étage.
Merci d’avoir fait appel au service après-vente Microsoft ! »
Réflexions diverses de Jean-Marc à Jean-Paul, attablés devant une
bière au café du coin :
« Tu sais, les pucelages, il s’en perd tous les jours…
et on n’en trouve jamais. »
Désespéré de ne trouver aucun travail, un chômeur accepte de se rendre à
un entretien d’embauche pour un poste de nettoyeur des toilettes chez
Microsoft-Europe.
Le DRH lui fait passer un entretien, puis de nombreux tests et lui dit :
« Félicitations : vous êtes engagé ! Donnez-moi votre email et je vous enverrai le formulaire à remplir, ainsi que la date et l’heure auxquelles vous devrez vous présenter pour commencer votre travail. »
L’homme, désespéré, répond qu’il ne possède pas d’ordinateur, et encore moins d’email.
Stupéfait, le DRH de Microsoft lui répond que s’il n’a pas d’email, cela signifie que, virtuellement, il n’existe pas.
Et il ne peut pas embaucher quelqu’un qui n’existe pas.
Le moral de notre homme est au plus bas.
Il n’a plus rien en poche.
Il rentre chez lui et constate qu’il n’a rien à manger, à part quelques tomates dans son frigidaire.
Ayant une immense envie de hamburger, il prend ses tomates, les lave soigneusement, puis fait du porte-à-porte pour les vendre.
Cela fonctionne si bien qu’il fonce au supermarché, rachète des tomates et les vend à nouveau en porte-à-porte.
Il répète l’opération toute la soirée et revient chez lui avec plus de 100 euros.
Il réalise alors qu’il pourrait survivre de cette manière.
Chaque jour, il part de chez lui très tôt et vend ses tomates dans sa rue, puis dans son quartier, puis dans la ville entière, se formant une clientèle d’habitués fidèles.
Peu de temps après, il s’équipe d’un camion de livraison, puis acquiert progressivement une petite flotte de véhicules et se met à embaucher des chauffeurs.
Quatre ans plus tard, l’homme est propriétaire d’une des plus grandes sociétés de distribution alimentaire d’Europe.
Il pense alors au futur de sa famille, et décide de prendre une assurance vie.
Il appelle un assureur, le rencontre et choisit son contrat.
Quand la conversation se termine, l’assureur lui demande son email pour lui envoyer la proposition.
L’homme répond qu’il n’a pas d’email.
« Incroyable ! » lui dit l’assureur. « Vous n’avez pas d’email et vous êtes arrivé à construire cet empire ! Imaginez ce que à quoi vous seriez arrivé si vous aviez un email ! »
L’homme réfléchit un instant, puis répond :
« Je serais en train de nettoyer les chiottes chez Microsoft ! »
Germaine, Marie-Chantal et Marie-Claire discutent de tout et de rien
devant un thé, au salon de thé du coin.
« – La pilule ? Non je ne la prends pas. Nous sommes catholiques et très religieux » dit la première femme.
« – Moi non plus », dit la seconde. « La pilule me fait gonfler. On utilise le bon vieux thermomètre.
– Quant à nous », dit la troisième femme, « on utilise la chaudière et les
billes.
– Quoi ? La chaudière et les billes ! Tu veux dire quoi, là ?
– Ben, c’est simple. Comme je suis pas mal plus grande que mon Jean-François, on fait l’amour debout.
Il monte sur une chaudière renversée. Et quand ses yeux viennent ronds comme des billes, je donne un coup de pied sur la chaudière. »
Un couple de p’tits vieux se rend chez le médecin.
L’homme passe en premier.
Puis sa femme…
« – Bonjour madame. Je voudrais vous parler de votre mari avant de vous examiner.
– Oh non. Ne me dites-pas que c’est son cœur. Je lui ai dit
de se reposer.
– Non ce n’est pas tellement ça… Sauf qu’il m’a raconté comment Dieu est bon pour lui. La nuit, par exemple, lorsqu’il se lève pour faire pipi, la lumière s’allume automatiquement et, lorsqu’il a fini, la lumière s’éteint d’elle-même. Alors madame, qu’en pensez-vous.
– Ça ? C’est sa maudite habitude d’aller pisser dans le frigo ! »
Jean-Marc et Jean-Paul attablés au comptoir de leur bar préféré :
« – J’ai réécrit mon testament.
– Ah oui ?
– Je lègue tout à ma femme. Tout. Absolument tout, mais à une condition.
– Laquelle ?
– Qu’elle se remarie.
– Allons bon !
– Oui, je veux qu’il y ait au moins un gars sur la terre qui regrette mon départ. »
Plus tard :
« – Savais-tu que le lit est l’endroit le plus dangereux du monde.
– Non ! Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
– Selon une étude scientifique très sérieuse, 90 % des gens y meurent. »
Solutions des « contre-pets » de la semaine passée :
« Ah les EXccitants érOtiques… »
« À choisir, elle préfère le Bout du Gland »
« La violoniste force les Danseurs à admirer son joli Con ! »
Propositions de la semaine :
« Méfiez-vous des dons coûteux ! »
« Le vin de la cantinière se répandit sur les sandales »
« Jean-Marc s’est introduit à tâtons dans le salon des vins… »
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
I3
« – Pardonnez-moi mon père, parce que j’ai péché.
– Mon père, j’ai commis le péché de vanité. Deux fois par jour, je me contemple devant le miroir en me disant que je suis magnifique. »
« Mon enfant, j’ai une bonne nouvelle pour vous : Ce n’est pas un péché, c’est simplement une erreur. »
La maîtresse essaie de lui faire comprendre grâce à des exemples concrets :
« – Jean-Luc, si tu plonges la main dans ta poche de droite et que tu trouves une pièce de 1 euro, puis si tu plonges ta main gauche dans ta poche de gauche et que tu trouves un autre euro, qu’est-ce que tu auras ?
« J’étais au bar, hier, quand j’ai réalisé qu’il fallait désespérément que je soulage mon ventre enflé.
Tout en finissant ma bière j’ai remarqué que tout le monde me regardait.
J’ai pris un air le plus innocent possible pensant peut-être qu’ils avaient senti une odeur désagréable venant de ma direction, mais bon, personne ne pouvait vraiment dire qui était l’empoisonneur…
Puis soudain, je me suis aperçu que j'avais mes écouteurs… »
« Ben sûr que je ne vous ai pas vu ! Mon détecteur de radar n’était pas branché. »
Il voulait porter un revolver… »
Voici celle des ascenseurs…
D’ailleurs, seules les personnes pesant exactement 70 kg pourraient emprunter les ascenseurs Microsoft, puisque cela aura été fixé comme standard par les ingénieurs Microsoft.
Il faudrait alors les reformater.
La conversation pourrait être de ce type-là :
« – Bonjour, bienvenue chez Microsoft. Je suis votre responsable du service après-vente. Que puis-je faire pour vous ?
– Êtes-vous sûr que vous êtes coincé ? L’ascenseur n’est-il pas en train de travailler ?
– Comment le saurais-je ?
– Y’a-t-il une lumière orange qui clignote sur le panneau de commande ?
– Non, je ne vois rien.
– Vous rappelez-vous tout ce que vous avez fait avant d’être coincé ?
– J’ai appuyé sur le bouton du 4ème étage, l’ascenseur a démarré puis s’est arrêté.
– Êtes-vous seul ou plusieurs dans l’ascenseur ?
– Je suis seul.
– Pesez-vous plus ou moins de 630 kg ?
– Euh …. moins, je crois.
– Pouvez-vous sortir de l’ascenseur ?
– Non, les portes sont fermées.
– Avez-vous sauvegardé l’étage auquel vous désirez vous rendre ? Sinon il vous faudra réappuyer sur le bouton quand l’ascenseur fonctionnera à nouveau.
– Non, mais ça va, je m’en souviens.
– Très bien. Quelle est la version de votre ascenseur ?
– ??? Euh … il a été construit au début de l’année.
– Je vois. Il y avait un bogue dans cette version.
Sortez de l’ascenseur et ouvrez les portes de l’extérieur, ainsi vous serez décoincé.
Ensuite, demandez à votre revendeur Microsoft la dernière version d’ascenseur, plus complète et permettant d’atteindre le quatrième étage.
Merci d’avoir fait appel au service après-vente Microsoft ! »
« Tu sais, les pucelages, il s’en perd tous les jours…
Le DRH lui fait passer un entretien, puis de nombreux tests et lui dit :
« Félicitations : vous êtes engagé ! Donnez-moi votre email et je vous enverrai le formulaire à remplir, ainsi que la date et l’heure auxquelles vous devrez vous présenter pour commencer votre travail. »
L’homme, désespéré, répond qu’il ne possède pas d’ordinateur, et encore moins d’email.
Stupéfait, le DRH de Microsoft lui répond que s’il n’a pas d’email, cela signifie que, virtuellement, il n’existe pas.
Et il ne peut pas embaucher quelqu’un qui n’existe pas.
Le moral de notre homme est au plus bas.
Il n’a plus rien en poche.
Il rentre chez lui et constate qu’il n’a rien à manger, à part quelques tomates dans son frigidaire.
Ayant une immense envie de hamburger, il prend ses tomates, les lave soigneusement, puis fait du porte-à-porte pour les vendre.
Cela fonctionne si bien qu’il fonce au supermarché, rachète des tomates et les vend à nouveau en porte-à-porte.
Il répète l’opération toute la soirée et revient chez lui avec plus de 100 euros.
Il réalise alors qu’il pourrait survivre de cette manière.
Chaque jour, il part de chez lui très tôt et vend ses tomates dans sa rue, puis dans son quartier, puis dans la ville entière, se formant une clientèle d’habitués fidèles.
Peu de temps après, il s’équipe d’un camion de livraison, puis acquiert progressivement une petite flotte de véhicules et se met à embaucher des chauffeurs.
Quatre ans plus tard, l’homme est propriétaire d’une des plus grandes sociétés de distribution alimentaire d’Europe.
Il pense alors au futur de sa famille, et décide de prendre une assurance vie.
Il appelle un assureur, le rencontre et choisit son contrat.
Quand la conversation se termine, l’assureur lui demande son email pour lui envoyer la proposition.
L’homme répond qu’il n’a pas d’email.
« Incroyable ! » lui dit l’assureur. « Vous n’avez pas d’email et vous êtes arrivé à construire cet empire ! Imaginez ce que à quoi vous seriez arrivé si vous aviez un email ! »
L’homme réfléchit un instant, puis répond :
« Je serais en train de nettoyer les chiottes chez Microsoft ! »
« – La pilule ? Non je ne la prends pas. Nous sommes catholiques et très religieux » dit la première femme.
« – Moi non plus », dit la seconde. « La pilule me fait gonfler. On utilise le bon vieux thermomètre.
– Ben, c’est simple. Comme je suis pas mal plus grande que mon Jean-François, on fait l’amour debout.
Il monte sur une chaudière renversée. Et quand ses yeux viennent ronds comme des billes, je donne un coup de pied sur la chaudière. »
L’homme passe en premier.
Puis sa femme…
« – Bonjour madame. Je voudrais vous parler de votre mari avant de vous examiner.
– Non ce n’est pas tellement ça… Sauf qu’il m’a raconté comment Dieu est bon pour lui. La nuit, par exemple, lorsqu’il se lève pour faire pipi, la lumière s’allume automatiquement et, lorsqu’il a fini, la lumière s’éteint d’elle-même. Alors madame, qu’en pensez-vous.
– Ça ? C’est sa maudite habitude d’aller pisser dans le frigo ! »
– Je lègue tout à ma femme. Tout. Absolument tout, mais à une condition.
– Laquelle ?
– Qu’elle se remarie.
– Allons bon !
– Oui, je veux qu’il y ait au moins un gars sur la terre qui regrette mon départ. »
« – Savais-tu que le lit est l’endroit le plus dangereux du monde.
– Selon une étude scientifique très sérieuse, 90 % des gens y meurent. »
« Ah les EXccitants érOtiques… »
« À choisir, elle préfère le Bout du Gland »
« La violoniste force les Danseurs à admirer son joli Con ! »
« Méfiez-vous des dons coûteux ! »
« Le vin de la cantinière se répandit sur les sandales »
« Jean-Marc s’est introduit à tâtons dans le salon des vins… »
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