Demain il neige en plaine !
Et on a raison de conseiller de ne pas se découvrir d’un
fil… en avril !
En cause le dérèglement climatique, paraît-il.
Tu parles !
En tout cas parler de « réchauffement global », il ne faut pas exagérer quand il gèle sous nos tropiques.
Il n’empêche que ma « Nichée » me reproche assez
de dérégler la planète en achetant leurs bouteilles d’eau au format plastique (parce
que tu penses bien, l’eau de ville est déjà archi-polluée-dégueulasse, qu’elle ne
boit pas autre chose, même pas mon vin plein de sulfites ou mes canettes de
bière à l’orge-malté et au houblon… elle préfère le coca, nettement plus
diététique, naturellement !) : Ça fait poubelle et ça réchauffe la planète…
Moâ, je veux bien, mais l’eau de source en bouteille en verre, ça bouffe du carburant en pagaille.
« Oui mais le verre, ça se recycle ! »
Sauf que ça bouffe autant de calories et qu’en plus il faut le promener, le verre, ce qui n’est pas bon pour les « délicates alvéoles pulmonaires » de ma « Nichée », n’en déplaisent à tous « les déclinistes » du monde (https://flibustier20260.blogspot.com/search/label/Les%20d%C3%A9clinistes) et autres râleurs « écololos ».
Et puis quoi, de la neige tardive, ça n’a rien anormal.
Pas la peine de s’affoler pour si peu.
En plus, c’est bon pour les tomates et la nappe phréatique.
D’autant qu’habituellement, « l’anomalie » a eu lieu en mars et que cette année, comme il y a deux ans d’ailleurs (je m’en souviens pour avoir été confiné alors qu’il faisait si beau…), il a globalement également fait beau temps en ce mois mars qui se termine ce soir.
Un mois, long et difficile, comme tous les ans, mais parsemé de quelques jolies journées de soleil qui ont fait exploser les bourgeons aux arbres du « Luco » tel que les pigeons en fientent partout sans prévenir !
Notez qu’une vague de froid, c’est justement aussi un « risque »
pour les cultures. Car justement ce sont surtout les pics de chaleur de mars
qui posent problème.
Les cultures ont effectivement bourgeonné à cause de la température ambiante et des poussières sahariennes qui sont venues recouvrir toute la végétation de « poussière de sable ».
Sable qui revient d’ailleurs dans le Sud du pays depuis hier (il était en Hispanie la semaine dernière), alors que la neige s’annonce avec une vague de froid en provenance du Nord.
Et si l’idée de voir le paysage se draper de blanc, même sale, enchante certains, ce n’est pas le cas de tout le monde.
Pour les agriculteurs, ce froid fait craindre le
risque de gel pour leurs cultures, bien sûr. Même si ce phénomène climatique
n’est pas une anomalie en soi, ces épisodes de gel tardifs sont même
relativement fréquents.
En fait, leur souci vient plutôt des pics de chaleur qui auront précédé.
Avec des niveaux d’ensoleillement records dans certaines régions et des températures jusqu’à 8° C au-dessus des normales saisonnières, la chaleur précoce à la fin de l’hiver et au début du printemps a effectivement entraîné un bourgeonnement des cultures.
Et une vague de froid tardive peut alors ravager les plantes.
Bref, il n’est pas exceptionnel d’avoir des
températures froides en avril. Ce qu’il l’est plus, c’est de voir les dernières
gelées arriver de plus en plus tôt dans l’année.
Ainsi, les ultimes épisodes de froid arrivent désormais jusqu’à vingt jours plus tôt que d’ordinaire, conséquence du fameux réchauffement climatique.
Et si l’on peut penser que l’arrivée de ce froid printanier est une bonne nouvelle, la réalité n’est finalement pas aussi simple.
Car le changement climatique est aussi la cause de la douceur hivernale, ce « faux printemps ».
De plus, « les études montrent que l’apparition des « faux printemps » n’est pas compensée par la diminution des gels tardifs » en dit un expert climatologue.
La plante se retrouve alors prise dans un yo-yo
climatique, avec un rythme des saisons perturbé qui dérègle les cultures et
leur phénologie, c’est-à-dire le processus par lequel passe la plante au cours
de son développement (l’apparition de bourgeons, la floraison, etc.).
Conséquence pour les agriculteurs, le risque est bien réel de voir le gel détruire des cultures en plein développement.
Et face à ces dérèglements climatiques, le milieu agricole doit s’adapter.
Comme l’explique le même « expert », « on observe de plus en plus de records de chaleur en hiver, ça devient vraiment fréquent. Cette tendance est directement liée au changement climatique ».
Le climatologue ajoute que les épisodes de « faux printemps » vont ainsi se poursuivre, laissant les plantes toujours aussi vulnérables en cas d’épisodes de gel en avril.
Particulièrement important l’an dernier, le risque de
destruction des plantations semble moins sérieux cette année selon un
météorologue, rémunéré par « Météo-Gauloisie ».
Il explique même, lors d’un point presse autour de la vague de froid de demain, qu’il convient de relativiser le degré d’intensité potentielle de ces gelées : « Les vignes notamment devraient moins souffrir, même si la vigilance est de mise pour l’arboriculture ou les céréales ».
À cela s’ajoute un autre problème : L’arrivée du froid
ne devrait pas amener de précipitations abondantes alors que l’hiver a été
particulièrement sec, et le secteur agricole fait donc également face à un
autre risque : La sécheresse.
Une préoccupation qui intervient dans un contexte déjà tendu pour l’agriculture, marqué notamment par l’augmentation des prix des céréales en raison de la guerre en Ukraine.
« En France, il n’y aura pas de risque de pénurie. Mais il y a un risque de prix », a souligné le « sinistre des agriculteurs » qui ne manque pas d’humour à se faire « poète qui fait des vers sans en avoir l’air », alors que « Jupiter » avait alerté sur une possible « crise alimentaire sans précédent », l’indécent.
Ce dernier a raison : La baguette de pain de ma « Nichée »
aura déjà augmenté par inadvertance (moâ, je n’en mange plus pour cause de 60 %
de glucide dans une simple miche…), mais je ne l’en prive pas pour autant, bon
paternel que je suis…
Avec un peu de chance, je pourrai même l’inviter à faire un bonhomme de neige au parc, mais je n’y crois pas trop.
En revanche, sur les routes et en ville, ça va être le foutoir si on prend son « tas de boue à roulettes » : Les gens ne savent déjà pas conduire correctement et proprement sous la pluie, alors encore moins sur de la neige fraîche, sauf en montagne (où ils ont l’habitude).
Bref, j’impatiente de voir ce mélange promis de neige
sur chaussées salées et le sable saharien qui donne de si belles couleurs
ocres.
Ça me distraira des nouvelles du monde (et de la campagne électorale) qui restent, respectivement, toujours aussi anxiogènes et nulles à chialer.
Et comme il n’y a rien d’autre dans l’actualité, à part deux célébrités qui se giflent sur les plateaux, je passe à autre chose.
Un temps de repos pour mon neurone…
Que je mettrai peut-être à profit pour « affiner » le second prochain « roman d’été », dédié justement à ces élections.
Il est presque terminé d’ailleurs…
Ça aura avancé plus vite que je ne l’imaginais : Il faut dire que l’actualité de ces derniers mois s’est accélérée bigrement et qu’il y a eu tellement de « non-dits » que je ne sais pas si je dois tous les reprendre…
Enfin, bonne journée à toutes et tous : Ne rangez
pas vos doudounes, demain c’est poisson d’avril… et neige au menu !
Tant mieux pour les tomates…
En cause le dérèglement climatique, paraît-il.
Tu parles !
En tout cas parler de « réchauffement global », il ne faut pas exagérer quand il gèle sous nos tropiques.
Moâ, je veux bien, mais l’eau de source en bouteille en verre, ça bouffe du carburant en pagaille.
« Oui mais le verre, ça se recycle ! »
Sauf que ça bouffe autant de calories et qu’en plus il faut le promener, le verre, ce qui n’est pas bon pour les « délicates alvéoles pulmonaires » de ma « Nichée », n’en déplaisent à tous « les déclinistes » du monde (https://flibustier20260.blogspot.com/search/label/Les%20d%C3%A9clinistes) et autres râleurs « écololos ».
Pas la peine de s’affoler pour si peu.
En plus, c’est bon pour les tomates et la nappe phréatique.
D’autant qu’habituellement, « l’anomalie » a eu lieu en mars et que cette année, comme il y a deux ans d’ailleurs (je m’en souviens pour avoir été confiné alors qu’il faisait si beau…), il a globalement également fait beau temps en ce mois mars qui se termine ce soir.
Un mois, long et difficile, comme tous les ans, mais parsemé de quelques jolies journées de soleil qui ont fait exploser les bourgeons aux arbres du « Luco » tel que les pigeons en fientent partout sans prévenir !
Les cultures ont effectivement bourgeonné à cause de la température ambiante et des poussières sahariennes qui sont venues recouvrir toute la végétation de « poussière de sable ».
Sable qui revient d’ailleurs dans le Sud du pays depuis hier (il était en Hispanie la semaine dernière), alors que la neige s’annonce avec une vague de froid en provenance du Nord.
Et si l’idée de voir le paysage se draper de blanc, même sale, enchante certains, ce n’est pas le cas de tout le monde.
En fait, leur souci vient plutôt des pics de chaleur qui auront précédé.
Avec des niveaux d’ensoleillement records dans certaines régions et des températures jusqu’à 8° C au-dessus des normales saisonnières, la chaleur précoce à la fin de l’hiver et au début du printemps a effectivement entraîné un bourgeonnement des cultures.
Et une vague de froid tardive peut alors ravager les plantes.
Ainsi, les ultimes épisodes de froid arrivent désormais jusqu’à vingt jours plus tôt que d’ordinaire, conséquence du fameux réchauffement climatique.
Et si l’on peut penser que l’arrivée de ce froid printanier est une bonne nouvelle, la réalité n’est finalement pas aussi simple.
Car le changement climatique est aussi la cause de la douceur hivernale, ce « faux printemps ».
De plus, « les études montrent que l’apparition des « faux printemps » n’est pas compensée par la diminution des gels tardifs » en dit un expert climatologue.
Conséquence pour les agriculteurs, le risque est bien réel de voir le gel détruire des cultures en plein développement.
Et face à ces dérèglements climatiques, le milieu agricole doit s’adapter.
Comme l’explique le même « expert », « on observe de plus en plus de records de chaleur en hiver, ça devient vraiment fréquent. Cette tendance est directement liée au changement climatique ».
Le climatologue ajoute que les épisodes de « faux printemps » vont ainsi se poursuivre, laissant les plantes toujours aussi vulnérables en cas d’épisodes de gel en avril.
Il explique même, lors d’un point presse autour de la vague de froid de demain, qu’il convient de relativiser le degré d’intensité potentielle de ces gelées : « Les vignes notamment devraient moins souffrir, même si la vigilance est de mise pour l’arboriculture ou les céréales ».
Une préoccupation qui intervient dans un contexte déjà tendu pour l’agriculture, marqué notamment par l’augmentation des prix des céréales en raison de la guerre en Ukraine.
« En France, il n’y aura pas de risque de pénurie. Mais il y a un risque de prix », a souligné le « sinistre des agriculteurs » qui ne manque pas d’humour à se faire « poète qui fait des vers sans en avoir l’air », alors que « Jupiter » avait alerté sur une possible « crise alimentaire sans précédent », l’indécent.
Avec un peu de chance, je pourrai même l’inviter à faire un bonhomme de neige au parc, mais je n’y crois pas trop.
En revanche, sur les routes et en ville, ça va être le foutoir si on prend son « tas de boue à roulettes » : Les gens ne savent déjà pas conduire correctement et proprement sous la pluie, alors encore moins sur de la neige fraîche, sauf en montagne (où ils ont l’habitude).
Ça me distraira des nouvelles du monde (et de la campagne électorale) qui restent, respectivement, toujours aussi anxiogènes et nulles à chialer.
Et comme il n’y a rien d’autre dans l’actualité, à part deux célébrités qui se giflent sur les plateaux, je passe à autre chose.
Un temps de repos pour mon neurone…
Que je mettrai peut-être à profit pour « affiner » le second prochain « roman d’été », dédié justement à ces élections.
Il est presque terminé d’ailleurs…
Ça aura avancé plus vite que je ne l’imaginais : Il faut dire que l’actualité de ces derniers mois s’est accélérée bigrement et qu’il y a eu tellement de « non-dits » que je ne sais pas si je dois tous les reprendre…
Tant mieux pour les tomates…
Eh bien voilà : Il neige à "Paris-sur-la-plage" ce matin 1er avril !!!
RépondreSupprimerEt ce n'est pas une blague...
Comme quoi, l'hiver est drôlement en avance sur la saison : 9 mois !!!
Dire qu'hier, je remarquais qu'il avait fallu attendre le dernier jour du mois pour avoir une giboulée du mois de Mars !
Je me disais alors que les saisons reculaient...
Ce n'est pas un poisson d'avril !
I-Cube