Les régimes pauvres en glucides sont-ils utiles ?
Selon des « chercheurs qui cherchent », les chances de connaître
une phase de rémission augmente de 53 à 83 % chez les patients atteints de
diabète de type 2 suivants un régime pauvre en glucides !
Je peux en témoigner : Ce n’est pas vraiment une ALD « à vie » comme on a osé me le faire croire, abusant de ma crédulité.
Il serait néanmoins inefficace dans la durée surtout chez les diabétiques prenant des médicaments ou les insulino-dépendants (les types 1), forcément.
Et comme depuis j’ai balancé tous mes médocs…
Je me soigne aux alcools forts : C’est bon pour le cœur et le moral !
C’est qu’après des années de lutte contre l’obésité et les produits gras,
on s’est rendu compte que finalement on empoisonnait tout le monde avec des
régimes bourrés de sucres ajoutés, jusque dans la flotte (et ses limonades et
autres sodas).
Une erreur de santé publique fatale, puisque ça tue et ça ampute à haute densité.
Aussi les régimes alimentaires appelés « low carb » ou « very low carb » sont devenus au fil du temps très en vogue, depuis quelques années, notamment chez les stars.
Pourtant je n’en suis décidément pas une…
Mais, pas tous convaincus, des « chercheurs qui cherchent » peuvent encore et aussi se demander s’ils sont réellement appropriés pour lutter contre le diabète de type 2.
Moâ, je sais déjà…
D’autant qu’une récente méta-analyse vient de paraître dans le British
Medical Journal et nous en raconte plus sur l’efficacité et la sécurité des
deux versions les plus radicales de ce régime, à savoir les régimes à moins de
26 % ou 10 % de glucides.
Moâ, je proscris de mes gamelles et bidons tout ce qui a plus de deux chiffres sur les étiquettes : Devenu un véritable spécialiste-expert…
Effectivement, en analysant comparativement les données des personnes
diabétiques qui ont reçu une alimentation dite « de contrôle »
(équilibrée : 3 tiers égaux de protéines, lipides, glucides) et celles qui
ont choisi un régime faible en glucides, les chercheurs ont constaté une
amélioration considérable des paramètres clés du diabète de type 2.
Les taux d’hémoglobine glyquée, la perte de poids ou encore le taux de triglycérides s’améliorent !
En comparaison avec un groupe « contrôle », les chances relatives de connaître une phase de rémission de leur diabète (quand le taux d’hémoglobine glyquée est sous le seuil de 6,5 %, je suis à 5,9 % pour revenir de 9,1 %) ont augmenté de 53 à 83 % chez les patients suivant un régime « low carb ».
Mais… Un succès que les chercheurs tendent tout de même à relativiser des
fois qu’ils perdent des clients à amputer des membres inférieurs.
En effet, ils ont découvert que les effets très prometteurs du début du régime ne duraient pas dans le temps.
Aïe !
Si les résultats à six mois sont encourageants, très même, après un an, les effets de cette alimentation à faible teneur en glucides diminuent fortement, surtout pour le régime très pauvre en glucides.
Je ne suis pas d’accord : Après plus de 5 ans, je reste encore dans les « normes » !
Ce phénomène serait notamment dû à la difficulté de tenir une routine diététique avec une consommation de sucre aussi faible sur le long terme.
Foutaise ! Ce n’est pourtant pas très compliqué : Le « cent-trois-P+R »,
c’est fastoche.
Même moâ, je parviens à me priver de pâte, de pain, de patate et de riz, et sans forcer.
Bon, le pain, ça a été pénible au démarrage, surtout quand on m’en fait griller sous le nez…
Ça me rappelle invariablement les tartines de ma Grand-mère longues comme le bras, qu’elle grillait au four, beurrait à profusion avant d’y verser une épaisse couche de sucre dessus.
Le tout trempé dans un bol de Banania au lait Gloria (parce que le lait
frais des montagnes corses partait se faire pasteuriser sur le continent, à
cette époque-là, pour revenir en boîte concentrée), je ne te vous raconte même
pas…
Les chercheurs concluent ainsi à une efficacité pour les personnes dont le diabète est récent et pour des effets à court terme.
Les ignares…
Autre bémol signalé, l’efficacité diminue considérablement chez les
diabétiques prenant des médicaments ou chez ceux ayant un diabète
insulino-dépendant.
Cela confirme la nécessité d’adopter ce type de régime quand on vient de découvrir son diabète.
Plus il est récent, plus le régime faible en glucides est utile, tout en suivant des bilans réguliers.
Et concernant la rémission totale du diabète de type 2, la question est encore sujette à débat scientifiquement.
Je peux apporter mon témoignage : Dès lors que tu fais le « 103PR »
(Sans trois P et Riz) et que tu ne manges que des protéines (animales en ce qui
me concerne – je bouffe les bêtes qui bouffent de l’herbe – avec un léger filet
d’huile d’olive), tes papilles revivent, tu maigris (un quart de tonne en ce
qui me concerne et en 6 mois) et tu compenses le « goût sucré » des
indispensables bonnes fins de repas avec ces cochonneries aux sucraloses
synthétiques, type aspartam (je préfère celui de Super U, garanti sans
aspartam, justement) dans mes desserts lactés.
Nature ou non : J’ai un jeu complet de sirops garantis sans sucre et je fais le tour de monde des saveurs en commençant par la vanille toute la semaine.
Figurez-vous que même la poudre de cacao, si elle a des insectes broyés dedans, il n’y a que 12 % de glucide…
Bref, on vit mieux sans glucide, surtout les cachés : Il sont dans
tous les plats préparés industriels que c’en est une honte.
Il va falloir que les industriels de la bouffe y songent, tôt ou tard.
Même ma pâtisserie fait déjà des gâteux et des chocolateries à « bas indice glycémique ».
On maigrit, on se fait plaisir et on n’a aucune sensation de faim : Magique !
Le tout c’est de faire attention à ce qu’on vous sert « hors du foyer ». Parce que la frite avec le steak saignant, c’est du poison !
Pour l’heure, ça tombe bien : Les restaurants & brasseries sont fermés !
Les bars aussi et là, c’est galère, dois-je vous avouer. Parce qu’une
bière c’est à peine 3,6 % de glucide, les alcools forts, c’est moins de 0,5 %,
le plus souvent 0,1 % (mais pas tous, par exemple le Cointreau [25 %], la
Bénédictine ou la Chartreuse [40 %]), à condition de ne pas s’en servir pour en
faire des cocktails.
Les seuls acceptables restent les cafés/rhum, whisky ou cognac à condition de les sucrer soi-même avec les « petites-pilules-blanches » livrées en « paquets-pockets » et d’éviter la crème chantilly (12 %) pour préférer la crème fraîche (3 %).
C’est dire si on peut encore se faire plaisir !
Et depuis, mon pied qui saignait va nettement mieux…
Même pas une once d’écorchure en vue…
Moins de sucre, c’est des vacances pour votre pancréas qui ne sature plus
et ça repose le foie qui n’a pas à métaboliser ce sucre qui abondait dans le
sang à être transformé en graisses adipeuses qu’il faut bien stocker quelle que
part.
Du coup, on a plutôt tendance à déstocker (ce qui fait maigrir) juste ce qu’il faut, ce qui fait aussi dégringoler le taux de cholestérol et autre triglycérides infects, donc la tension artérielle baisse et le sang navigue plus aisément dans des tuyaux « nettoyés ».
Je peux en témoigner : Ce n’est pas vraiment une ALD « à vie » comme on a osé me le faire croire, abusant de ma crédulité.
Il serait néanmoins inefficace dans la durée surtout chez les diabétiques prenant des médicaments ou les insulino-dépendants (les types 1), forcément.
Et comme depuis j’ai balancé tous mes médocs…
Je me soigne aux alcools forts : C’est bon pour le cœur et le moral !
Une erreur de santé publique fatale, puisque ça tue et ça ampute à haute densité.
Aussi les régimes alimentaires appelés « low carb » ou « very low carb » sont devenus au fil du temps très en vogue, depuis quelques années, notamment chez les stars.
Pourtant je n’en suis décidément pas une…
Mais, pas tous convaincus, des « chercheurs qui cherchent » peuvent encore et aussi se demander s’ils sont réellement appropriés pour lutter contre le diabète de type 2.
Moâ, je sais déjà…
Moâ, je proscris de mes gamelles et bidons tout ce qui a plus de deux chiffres sur les étiquettes : Devenu un véritable spécialiste-expert…
Les taux d’hémoglobine glyquée, la perte de poids ou encore le taux de triglycérides s’améliorent !
En comparaison avec un groupe « contrôle », les chances relatives de connaître une phase de rémission de leur diabète (quand le taux d’hémoglobine glyquée est sous le seuil de 6,5 %, je suis à 5,9 % pour revenir de 9,1 %) ont augmenté de 53 à 83 % chez les patients suivant un régime « low carb ».
En effet, ils ont découvert que les effets très prometteurs du début du régime ne duraient pas dans le temps.
Aïe !
Si les résultats à six mois sont encourageants, très même, après un an, les effets de cette alimentation à faible teneur en glucides diminuent fortement, surtout pour le régime très pauvre en glucides.
Je ne suis pas d’accord : Après plus de 5 ans, je reste encore dans les « normes » !
Ce phénomène serait notamment dû à la difficulté de tenir une routine diététique avec une consommation de sucre aussi faible sur le long terme.
Même moâ, je parviens à me priver de pâte, de pain, de patate et de riz, et sans forcer.
Bon, le pain, ça a été pénible au démarrage, surtout quand on m’en fait griller sous le nez…
Ça me rappelle invariablement les tartines de ma Grand-mère longues comme le bras, qu’elle grillait au four, beurrait à profusion avant d’y verser une épaisse couche de sucre dessus.
Les chercheurs concluent ainsi à une efficacité pour les personnes dont le diabète est récent et pour des effets à court terme.
Les ignares…
Cela confirme la nécessité d’adopter ce type de régime quand on vient de découvrir son diabète.
Plus il est récent, plus le régime faible en glucides est utile, tout en suivant des bilans réguliers.
Et concernant la rémission totale du diabète de type 2, la question est encore sujette à débat scientifiquement.
Nature ou non : J’ai un jeu complet de sirops garantis sans sucre et je fais le tour de monde des saveurs en commençant par la vanille toute la semaine.
Figurez-vous que même la poudre de cacao, si elle a des insectes broyés dedans, il n’y a que 12 % de glucide…
Il va falloir que les industriels de la bouffe y songent, tôt ou tard.
Même ma pâtisserie fait déjà des gâteux et des chocolateries à « bas indice glycémique ».
Le tout c’est de faire attention à ce qu’on vous sert « hors du foyer ». Parce que la frite avec le steak saignant, c’est du poison !
Pour l’heure, ça tombe bien : Les restaurants & brasseries sont fermés !
Les seuls acceptables restent les cafés/rhum, whisky ou cognac à condition de les sucrer soi-même avec les « petites-pilules-blanches » livrées en « paquets-pockets » et d’éviter la crème chantilly (12 %) pour préférer la crème fraîche (3 %).
C’est dire si on peut encore se faire plaisir !
Et depuis, mon pied qui saignait va nettement mieux…
Du coup, on a plutôt tendance à déstocker (ce qui fait maigrir) juste ce qu’il faut, ce qui fait aussi dégringoler le taux de cholestérol et autre triglycérides infects, donc la tension artérielle baisse et le sang navigue plus aisément dans des tuyaux « nettoyés ».
Moins de sucre ça affame également vos tumeurs cancéreuses qui en font une consommation effarante (c’est même comme ça qu'on les détecte au scanner) pour mieux vous pourrir la vie quand elles seront devenues obèses.
Mais il paraît que moins de sucre dans le cerveau (puisque lui en fait une
fringale perpétuelle, jusqu’à 30 % de sa combustion), ça rend plus kon.
Notez que comme moâ je l’étais déjà à l’état natif, personne n’a vu la différence !
Voilà donc de quoi vous régaler sans vous tuer, au lieu de baffrer et
boire des cochonneries aux normes édictées par des « sachants-US »
qui auront rendu les États-Uniens affreusement obèses et cardiaques en moins
d’une génération.
Comme on copie tout en Europe, on a failli finir avec des bagnoles grosses comme des SUV pour vous transporter.
Parce que les « pots de yaourt » type Fiat 500 ou Mini 1000, forcément elles auront pris du poids pour faire face à votre masse, et que ce n’est pas bon pour la planète.
Mais ça, les SUV ne dureront qu’un temps : Ce ne sont que des bagnoles de « kéké adipeux » !
Ça permet juste de les repérer de loin encore un temps, jusqu’à ce que la taxe au poids produise des effets visibles.
Voilà, voilà un point de « scienteux » pour réfléchir à votre menu
de la journée.
(Et de la semaine).
Bien à vous toutes et tous !
I3
Notez que comme moâ je l’étais déjà à l’état natif, personne n’a vu la différence !
Comme on copie tout en Europe, on a failli finir avec des bagnoles grosses comme des SUV pour vous transporter.
Parce que les « pots de yaourt » type Fiat 500 ou Mini 1000, forcément elles auront pris du poids pour faire face à votre masse, et que ce n’est pas bon pour la planète.
Mais ça, les SUV ne dureront qu’un temps : Ce ne sont que des bagnoles de « kéké adipeux » !
Ça permet juste de les repérer de loin encore un temps, jusqu’à ce que la taxe au poids produise des effets visibles.
(Et de la semaine).
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