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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 21 février 2021

On savait que ça rendait sourd…

Mais il y a pire !
 
Je veux parler de la « branlette »…
Je vous rappelle que si « tout le monde le fait » (95 % des hommes, 74 % des femmes de 18 ans et plus), personne n’en parle, une activité traitée comme d’une maladie honteuse.
 
D’ailleurs, la pratique porte toujours les stigmates de son étymologie, rappelée par Montaigne (le philosophe…) : « Manustupration », du latin – parce qu’il avait des « lettres », lui – manus stupratio, littéralement « se salir la main ».
Ce qui n’empêche pas cette action d’être également décrite comme un « polissage » ou un « astiquage ».
Une sorte de va-et-vient entre pollution et nettoyage, en quelle que sorte.
Ce qu’on vient de découvrir c’est qu’une activité sexuelle intense peut entraîner une rupture d’anévrisme parfois fatale, en raison d’une brusque augmentation de la pression artérielle.
Notez que le 16 février dernier, on se remémorait le décès du président Félix Faure qui recevait sa maîtresse attitrée au palais de l’Élysée, décédé d’un « ripolinage » manu-buccal et sensuel visant à vidanger les burnes et faire dégorger le poireau…
Comme quoi…
 
Ce qui me fait penser à mon second patron, celui du temps où je faisais mon stage pour devenir expert-comptable.
Lui était « franc-maçon » et il s’en vantait outrageusement, tel qu’il voulait que j’entre dans sa loge.
Et c’était un bon vivant.
Mercédès décapotable, téléphone à bord à une époque où ça ne se faisait pas, quelques « maisons » dans le Perche, à Courchevel et sur la côte (je n’ai jamais su laquelle), hôtels particuliers ici et là, il avait même racheté pour une bagatelle celui du chef d’antenne de la CIA de l’époque à Paris, situé boulevard Malherbes : Il lui a fait un chèque de plusieurs dizaines de millions de francs et ils ont fait les actes après.
Un jour, « Madame » s’affole : Il n’était pas rentré.
Tout le monde savait où il était en pareilles circonstances, mais elle n’a pas voulu y aller.
Je l’ai fait à sa place avec mon chef de mission : On est arrivé juste après les pompiers et les flics qui ramassaient la dépouille, pour consoler la maîtresse à moitié dévêtue qui racontait l’épisode avec force détails…
« Belle mort », ai-je rapporté à sa nouvelle veuve.
On peut dire que ma délicatesse naturelle ne m’aura pas vraiment ouvert une carrière fulgurante dans ce métier-là, au moins cette année-là…
 
Pour en revenir à nos moutons du jour, il se trouve que la pandémie de « Conard-virus » et l’isolement ont conduit certains célibataires à prendre leur plaisir tout seul.
On peut comprendre aussi, ou au moins l’accepter…
La masturbation peut pourtant conduire tout droit à l’hôpital, comme l’a expérimenté un malheureux Japonais de 51 ans dont le cas vient d’être décrit dans le « Journal of stroke and cerebrovascular diseases ».
Alors qu’il se trouve en plein orgasme, il ressent une violente douleur dans le côté gôche de la tête avec une céphalée intense culminant pendant une minute.
S’ensuivent plusieurs vomissements après lesquels le patient décide de se rendre aux urgences.
Personnellement, ça m’est arrivé une fois en avalant d’un seul coup, en « Ritalie », une boule entière de glace… « ritalienne » !
J’ai tellement eu froid à la tête que j’ai eu une douleur sensationnelle au sommet du chef.
Heureusement, je suis resté debout et ça s’est passé tout seul, parce que c’était vraiment effroyable !
 
Un scanner révèle alors une hémorragie cérébrale dans l’hémisphère gôche, mais l’angiographie pratiquée ne permet pas de détecter l’origine du sang.
L’examen révèle quant à lui une légère dilatation de l’artère carotide gôche.
De nombreux examens sont ensuite menés, sans plus de résultats.
Il faudra attendre le 9ème jour pour que l’angiographie cérébrale montre que la dilatation de la carotide s’est transformée en anévrisme, la création d’une poche de sang, associé à une sténose (obstruction de l’artère).
L’hématome provoqué par le traumatisme initial a ainsi abouti à une dissection artérielle, une fissure de la paroi artérielle où le sang s’accumule dans l’espace intracrânien sous l’effet de la pression sanguine.
 
Ce patient-là sera finalement traité à l’aide d’une « spirale » (coiling), qui consiste à fermer l’anévrisme de l’intérieur à l’aide de fines spirales (coils) via un accès endovasculaire.
Il s’est également vu poser un stent, afin de dévier le sang pour ne pas qu’il s’accumule à nouveau dans le sac.
Et il a finalement pu ressortir de l’hôpital avec « un excellent pronostic », selon ses toubibs.
 
« Il s’agit du premier cas de dissection artérielle lié la masturbation », témoignent les auteurs de l’article.
Faux m’insurge ! Et Félix Faure, alors ?
Notez qu’a priori il ne se masturbait pas, lui…
Il semblerait, dans le cas de notre nippon, que c’est la brusque augmentation de la tension artérielle durant l’orgasme qui a provoqué la dissection de la paroi artérielle.
Au moins, il en aura profité…
 
Les médecins rapportent toutefois deux autres cas de rupture d’anévrisme suite à une masturbation, justement.
En 2016, une jeune femme de 24 ans était ainsi subitement décédée alors qu’elle se masturbait dans sa salle de bains…
La pôvrette…
En 2012, c’était une femme de 39 ans qu’on avait retrouvée morte avec le manche d’un batteur à œufs enfoncé dans l’anus sur une profondeur de onze centimètres, très probablement utilisé comme stimulateur sexuel.
Archaïque…
Son hémorragie crânienne avait ici été provoquée par la rupture de l’anévrisme au niveau de la carotide interne gôche.
La gôche, toujours la gôche…
 
Autrement dit, et il faut le savoir, le sexe est une activité particulièrement à risque pour les personnes présentant un anévrisme (environ 2 % à 3 % de la population).
Selon une étude parue en 2011, l’activité sexuelle intense accroît le risque de rupture d’anévrisme de 4,3 %, contre 3,6 % pour la défécation ou 3,5 % pour la consommation de soda.
Étonnantes statistiques qu’il me fallait partager avec vous : Caguer est plus dangereux que boire un Koka !
Mais devant l’activité coïtale (ou apparentée), la plus dangereuse de toutes est toutefois de boire du café, qui augmente le risque de 10,6 % !
Comme quoi, une petite fellation est trois fois moins dangereuse que de se shooter à la caféine…
 
J’ai cherché pour les boissons fortes en teneur d’alcool, je n’ai pas trouvé.
Dommage…
De toute façon, ça fluidifie le sang et stimule le palpitant (et l’esprit… pour certains seulement).
 
Soyez donc prudents dans vos ébats sensuels, et
Bonne fin de week-end à toutes et à tous !
 
I3

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