Pas vraiment envie d’être sérieux !
Les étoiles se remettent à leur place dans le ciel, une fois de plus, exactement
comme au jour de ma naissance, figurez-vous.
Non pas que je ne suis pas mécontent de réaliser une « perf’ » que je n’imaginais pas atteindre il n’y a pas seulement 10 ans de ça.
À l’époque, je broyais du noir, un noir d’encre de seiche, je ne vous raconte même pas.
Il faut dire que je naviguais de galères en déconvenues, de déceptions en revers.
Et puis ça a failli « pas le faire ».
Ce qui me désole profondément désormais, c’est qu’il y a plus jeune que
moâ qui rendent les armes avant moâ…
Voir partir plus âgé que soi, c’est dans l’ordre naturelle des choses.
Ou seulement les effets de la « force de l’habitude », je ne sais pas.
J’en ai tellement enterré…
Mais les plus jeunes, ils se trompent : On compte sur eux pour nous porter en terre et ils se dégonflent avant nous, les couards !
Notez, je ne leur en veux pas.
Pour certains, ce sont les accidents de la vie.
Mais quand c’est la maladie qui les emporte, là, ça fait mal, très mal.
Surtout pour eux jusqu’à les faire renoncer aux souffrances imposées par leur corps…
J’en suis à mon troisième en une poignée d’années…
Incroyable. Presqu’improbable.
Qu’ai-je donc fait pour mériter de devoir poursuivre le calvaire ?
Mon Papa-à-moâ (celui qui quand je l’évoque me fait encore parfois fondre en larmes) m’aurait affirmé que « tu es sur Terre pour gagner ton paradis… ».
Ouais, peut-être, mais c’est pénible.
Alors aujourd’hui, comme on navigue entre
« pseudo-confinement », restrictions en tous genres, privations et
couvre-feu comme jamais, je ne me lève pas.
(Si, pour aller pisser, tout de même…).
De toute façon, il n’est même pas possible d’organiser un dîner-festif avec ma « Nichée », alors à quoi bon !
Il est reporté à dimanche prochain à l’heure du déjeuner, que je vais leur faire le coup du : « Ma « petite-sœur » est malade. Elle ne pourra pas venir », alors qu’il n’est même pas prévu de l’inviter, retranchée qu’elle est sur son balcon…
Juste pour voir leur tête !
Et puis tant pis, demain j’aurai une barbe de deux jours (ça fait
dégueulasse à souhait et j’ai horreur de ça), de quoi me mettre de bonne humeur.
Et, hors l’apéro matinal, le méridien, le vespéral, le nocturne et les bières intercalaires (j’ai lu qu’un brasseur va balancer 250 fûts pour cause de mévente et de date de péremption : Je vais me les faire livrer…), je fais régime : Une bonne façon de réduire ma masse à trimballer.
Donc je vous laisse un petit-post histoire de ne pas faire « un
blanc » et peut-être que je vais faire comme ce pharmacien : Il doit
bien me rester une canette de Koka réservée à ma « Nichée » (je ne
bois pas de cet étron depuis que je sais que c’est un médicament, qui, en plus,
sent le suppositoire et la naphtaline…).
Je vais la tester avec un test antigénique.
Je mesure bien le sucre dans ma bière et mes « « alcools-forts » avec ma « machine à piquer » les diabétiques type 2…
Pourquoi pas le Koka ?
Quitte à dékonner une fois par an, pourquoi pas, n’est-ce pas ?
Il y a d’ailleurs un pharmacien qui l’aura fait.
Des images partagées plus de 40.000 fois sur « Fesses-boucs » depuis le 25 janvier où il a obtenu un résultat positif au « Conard-virus ».
Trop drôle, ou comment expliquer la pandémie…
Les complotistes y verront un coup « anti-Trompe » des chinois de « Xi-Ping-pong » !
« D’après ce que l’on me dit… Il paraît que le Coca-Cola rend le test du virus positif. On va le vérifier aujourd’hui », explique-t-il au début de sa vidéo.
L’homme verse ensuite trois gouttes de la boisson sur un test antigénique développé par AAZ.
« S’il devient positif, c’est fou. Je serai peut-être obligé de déclarer à la Sécu que Monsieur Coca-Cola est positif », explique-t-il, avant d’annoncer une minute plus tard : « Le test au Coca est positif au Covid… Incroyable ! », ajoutant ensuite ironiquement « Si vous buvez du Coca, vous attrapez le corona ».
Qui est une autre bibine, mexicaine qui n’est désormais plus produite (encore un effet scandaleux du « Conard-virus »)…
Tout se tient !
Et le plus drôle de cette histoire-là, c’est que cette vidéo a été reprise
par de nombreux sites complotistes, qui ont pris cette démonstration au premier
degré.
Car il s’agissait en réalité d’une blague.
L’auteur de la vidéo a en effet affirmé que c’était une farce.
« On déconnait entre potes. Je l’ai faite parce que plein de patients à moi me disent ‘‘Oui, il paraît que si on boit du Coca on a le Covid’’ (…) J’ai fait le test et je l’ai envoyé à un groupe comme ça et puis ils ont dû l’envoyer à des amis à eux et c’est parti comme ça », a expliqué le pharmacien.
Et comme d’habitude, cette blagounette, abondamment repartagée sur les
réseaux, n’a en tout cas pas beaucoup fait rire l’Union des syndicats de
pharmaciens d’officine (USPO) en « Gauloisie-fliquée ». Celle-ci a
dénoncé dans un communiqué « une tentative d’humour irresponsable et inappropriée
».
Vraiment, ils n’ont aucun sens de l’humour !
Tout se perd…
Les effets du confinement ?
Et face à la viralité de cette vidéo relayant une « fake news »,
« Fesses-boucs » a été contraint d’ajouter à côté de la publication
un message d’alerte pour « manque de contexte » de nature à induire des
personnes en erreur…
Ces tristes sires : J’ai bien raison de rester couché, finalement.
Le monde se retourne la tête assez salement tout seul comme ça, sans que je n’aie à y mettre ma pincée de sel.
Pensez un peu à mon désarroi : Demain, c’est le nouvel an pour moâ.
Peut-être, si je suis réveillé à minuit, je vais lâcher quelques pétards dans la rue, juste pour fêter son arrivée : J’ai bien été privé de feu d’artifice le premier janvier.
Et ainsi de vérifier si les voisins appellent ou non les pandores : Manqueraient-ils eux aussi d’humour pour dénoncer des fêtards violant le couvre-feu ?
On n’est à l’abri d’aucune mauvaise surprise par les temps qui courent !
Alors bonne journée à vous toutes et tous,
Et à demain avec quelques « histoires d’en rire », bien naturellement !
I3
PS : Je déplace le post du jour à lundi prochain… On va causer de bourses
prises de folie.
PPS : L’année dernière, le compteur des visiteurs de ce blog à la même date aura noté 385.620 visiteurs/jour uniques. En un an, ça aura fait plus de 50.000 passages : Toujours et bien heureusement un tout « piti-blog » et c’est très bien comme ça.
Un grand merci à toutes et tous !
Non pas que je ne suis pas mécontent de réaliser une « perf’ » que je n’imaginais pas atteindre il n’y a pas seulement 10 ans de ça.
À l’époque, je broyais du noir, un noir d’encre de seiche, je ne vous raconte même pas.
Il faut dire que je naviguais de galères en déconvenues, de déceptions en revers.
Et puis ça a failli « pas le faire ».
Ou seulement les effets de la « force de l’habitude », je ne sais pas.
J’en ai tellement enterré…
Mais les plus jeunes, ils se trompent : On compte sur eux pour nous porter en terre et ils se dégonflent avant nous, les couards !
Pour certains, ce sont les accidents de la vie.
Mais quand c’est la maladie qui les emporte, là, ça fait mal, très mal.
Surtout pour eux jusqu’à les faire renoncer aux souffrances imposées par leur corps…
J’en suis à mon troisième en une poignée d’années…
Incroyable. Presqu’improbable.
Qu’ai-je donc fait pour mériter de devoir poursuivre le calvaire ?
Mon Papa-à-moâ (celui qui quand je l’évoque me fait encore parfois fondre en larmes) m’aurait affirmé que « tu es sur Terre pour gagner ton paradis… ».
Ouais, peut-être, mais c’est pénible.
(Si, pour aller pisser, tout de même…).
De toute façon, il n’est même pas possible d’organiser un dîner-festif avec ma « Nichée », alors à quoi bon !
Il est reporté à dimanche prochain à l’heure du déjeuner, que je vais leur faire le coup du : « Ma « petite-sœur » est malade. Elle ne pourra pas venir », alors qu’il n’est même pas prévu de l’inviter, retranchée qu’elle est sur son balcon…
Juste pour voir leur tête !
Et, hors l’apéro matinal, le méridien, le vespéral, le nocturne et les bières intercalaires (j’ai lu qu’un brasseur va balancer 250 fûts pour cause de mévente et de date de péremption : Je vais me les faire livrer…), je fais régime : Une bonne façon de réduire ma masse à trimballer.
Je vais la tester avec un test antigénique.
Je mesure bien le sucre dans ma bière et mes « « alcools-forts » avec ma « machine à piquer » les diabétiques type 2…
Quitte à dékonner une fois par an, pourquoi pas, n’est-ce pas ?
Des images partagées plus de 40.000 fois sur « Fesses-boucs » depuis le 25 janvier où il a obtenu un résultat positif au « Conard-virus ».
Trop drôle, ou comment expliquer la pandémie…
Les complotistes y verront un coup « anti-Trompe » des chinois de « Xi-Ping-pong » !
« D’après ce que l’on me dit… Il paraît que le Coca-Cola rend le test du virus positif. On va le vérifier aujourd’hui », explique-t-il au début de sa vidéo.
L’homme verse ensuite trois gouttes de la boisson sur un test antigénique développé par AAZ.
« S’il devient positif, c’est fou. Je serai peut-être obligé de déclarer à la Sécu que Monsieur Coca-Cola est positif », explique-t-il, avant d’annoncer une minute plus tard : « Le test au Coca est positif au Covid… Incroyable ! », ajoutant ensuite ironiquement « Si vous buvez du Coca, vous attrapez le corona ».
Qui est une autre bibine, mexicaine qui n’est désormais plus produite (encore un effet scandaleux du « Conard-virus »)…
Tout se tient !
Car il s’agissait en réalité d’une blague.
L’auteur de la vidéo a en effet affirmé que c’était une farce.
« On déconnait entre potes. Je l’ai faite parce que plein de patients à moi me disent ‘‘Oui, il paraît que si on boit du Coca on a le Covid’’ (…) J’ai fait le test et je l’ai envoyé à un groupe comme ça et puis ils ont dû l’envoyer à des amis à eux et c’est parti comme ça », a expliqué le pharmacien.
Vraiment, ils n’ont aucun sens de l’humour !
Tout se perd…
Les effets du confinement ?
Ces tristes sires : J’ai bien raison de rester couché, finalement.
Le monde se retourne la tête assez salement tout seul comme ça, sans que je n’aie à y mettre ma pincée de sel.
Peut-être, si je suis réveillé à minuit, je vais lâcher quelques pétards dans la rue, juste pour fêter son arrivée : J’ai bien été privé de feu d’artifice le premier janvier.
Et ainsi de vérifier si les voisins appellent ou non les pandores : Manqueraient-ils eux aussi d’humour pour dénoncer des fêtards violant le couvre-feu ?
On n’est à l’abri d’aucune mauvaise surprise par les temps qui courent !
Et à demain avec quelques « histoires d’en rire », bien naturellement !
PPS : L’année dernière, le compteur des visiteurs de ce blog à la même date aura noté 385.620 visiteurs/jour uniques. En un an, ça aura fait plus de 50.000 passages : Toujours et bien heureusement un tout « piti-blog » et c’est très bien comme ça.
Un grand merci à toutes et tous !
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